posté le 06-11-2016 à 15:27:37

Genèse d'une ..., chap. N° 3 - Esprit = Souffle, Vent, Intelligence

Genèse d’une Religion, le Christianisme

 

 

Dernières phrases du chapitre précédent.

 

Ce que la littérature nomme « chrétien » aux trois premiers siècles, ce terme est pour ainsi dire inconnu les deux premiers siècles, car employé seulement en milieu restreint, terme utilisé par Polycarpe de Smyrne le jour de son exécution

Martyre de Polycarpe de Smyrne IX : 2, à XII : 3

« 2. Le proconsul se le fit amener et lui demanda si c'était lui Polycarpe. Il répondit que oui, et le proconsul cherchait à le faire renier en lui disant :

« Respecte ton grand âge » et tout le reste qu'on a coutume de dire en pareil cas ; « Jure par la fortune de César, change d'avis, dis : A bas les athées. »

Mais Polycarpe regarda d'un œil sévère toute cette foule de païens impies dans le stade, et fit un geste de la main contre elle, puis soupirant et levant les yeux, il dit :

 « A bas les athées ! »

3. Le proconsul insistait et disait :

« Jure, et je te laisse aller, maudis le Christ ! »

Polycarpe répondit :

 « Il y a quatre-vingt-six ans que je le sers, et il ne m'a fait aucun mal ; comment pourrais-je blasphémer mon roi qui m'a sauvé ? »

X : 1. Et comme il insistait encore et disait :

 « Jure par la fortune de César ! »

 Polycarpe répondit :

« Si tu t'imagines que je vais jurer par la fortune de César, comme tu dis, et si tu fais semblant de ne pas savoir qui je suis, écoute je te le dis franchement : Je suis chrétien. Et si tu veux apprendre de moi la doctrine du christianisme, donne-moi un jour, et écoute-moi. »

2. Le proconsul répondit :

 « Persuade cela au peuple ! »

 Polycarpe reprit :

« Avec toi, je veux bien discuter ; nous avons appris en effet à donner aux autorités et aux puissances établies par EL-SHADDAÏ, le respect convenable, si cela ne nous fait pas tort. Mais ceux-là, je ne les estime pas si dignes que je me défende devant eux. »

XI : 1. Le proconsul dit :

 « J'ai des bêtes, et je te livrerai à elles si tu ne changes pas d'avis. »

 Il dit :

« Appelle-les, il est impossible pour nous de changer d'avis pour passer du mieux au pire, mais il est bon de changer pour passer du mal à la justice. »

2. Le proconsul lui répondit :

« Je te ferai brûler par le feu puisque tu méprises les bêtes, si tu ne changes pas d'avis. »

Polycarpe lui dit :

« Tu me menaces d'un feu qui brûle un moment et peu de temps après s’éteint. Tu ignores le feu du jugement à venir et du supplice éternel réservé aux impies.

 Mais pourquoi tarder ? Va, fais ce que tu veux. »

XII : 1. Voilà ce qu'il disait et beaucoup d'autres choses encore. Il était tout plein de force et de joie et son visage se remplissait de grâce. Non seulement il n'avait pas été abattu ni troublé par tout ce qu'on lui disait, mais c'était au contraire le proconsul qui était stupéfait. Il envoya son héraut au milieu du stade proclamer trois fois :

« Polycarpe s'est déclaré chrétien ! »

2. A ces paroles du héraut, toute la foule des païens et des Juifs, établis à Smyrne, avec un déchaînement de colère, se mit à pousser de grands cris :

« Voilà le docteur de l'Asie, le père des chrétiens, le destructeur de nos dieux ; c'est lui qui enseigne tant de gens à ne pas sacrifier et à ne pas adorer. »

En disant cela, ils poussaient des cris et demandaient à l'asiarque Philippe de lâcher un lion sur Polycarpe. Celui-ci répondit qu'il n'en avait pas le droit, puisque les combats de bêtes étaient terminés.

3. Alors il leur vint à l'esprit de crier tous ensemble :

 « Que Polycarpe soit brûlé vif ! »

Il fallait que s'accomplît la vision qui lui avait été montrée : pendant sa prière, voyant son oreiller en feu, il avait dit d'un ton prophétique aux fidèles qui étaient avec lui :

« Je dois être brûlé vif »

Le mot « chrétien » n'est pas utilisé par le Nouveau Testament pour désigner les disciples de Jésus le Nazôréen ; ceux-ci sont habituellement appelés les « Galiléens » ou les « Nazôréens ». Comme souvent je l’écris les textes dit « d’Inspiration Divine » tel que les « Évangiles » ont été falsifiés, altérés, corrompus, dénaturés de leur pensés d’origine.

Une preuve ? …

Nous avons tous appris que les Actes des Apôtres ont été écrit par le Disciple Luc l’Évangéliste. Que savons-nous de ce Disciple ?

 

 

Genèse de la plus grande idolâtrie mondiale

 

Chapitre N°3

 

Esprit égal Souffle, Vent, Intelligence

 

En premier il n’est pas hébreu, c’est plutôt un helléniste, c’est-à-dire un grec, médecin de son état, et écrivain pour son plaisir.

Rédacteur du troisième Évangile synoptique, car nous sommes dans l’ignorance de l’origine rédactionnel du premier Évangile, qui peut venir des fragments d’un Évangile aux Hébreux écrits en plusieurs logions, comme l’évangile de Thomas, par Matthieu quand ce dernier fut dans l’obligation de quitter la Syrie et la Palestine pour sans doute aller évangéliser l’Éthiopie, l’enseignement des paroles de Jésus le Nazôréen se faisaient oralement, et peut-être une partie des écrits du jeune Disciple Marc qui suivait l’Apôtre Pierre comme son ombre, ou hypothétiquement l’Évangile apocryphe de Pierre.

Eusèbe de Césarée affirme au quatrième siècle que :

« Matthieu prêcha d'abord aux Hébreux. Comme il devait aussi aller vers d'autres, il confia à l'écriture, dans sa langue maternelle, son évangile, suppléant du reste à sa présence par le moyen de l'écriture, pour ceux dont il s'éloignait. »

C'est donc la perspective de son départ qui déclencha le processus.

Un extrait de l’Évangile de Thomas et du premier Évangile de Matthieu en araméen ou il est écrit 

 JÉSUS a dit :

----« Que celui qui cherche ne cesse de chercher, jusqu’à ce qu’il trouve. Et quand il aura trouvé, il sera troublé ; quand il sera troublé, il sera émerveillé, et  il régnera ;………et ayant régné il atteindra le repos. »

----« Le Royaume est à l’intérieur de vous ; et il est à l’extérieur de vous. Lorsque vous vous connaîtrez, alors on vous connaîtra ; et vous saurez que c’est vous les fils du PÈRE  [ EL-SADDAÏ]  vivant. »        

----« Reconnais ce qui est devant ta face, et ce qui t’es caché te sera dévoilé. Car il n’y a rien de caché qui ne sera manifesté, rien de couvert qui restera sans être dévoilé, et rien de ce qui a été enseveli qui ne sera soulevé. »…[ Papyrus Oxyrhynque 654.  Mt 10 :26, Mc 4 :22, Lc 8 :17 ; 12 :2.] 

L’empereur romain « Néron » en l’an 64 ap. J-C., par ses persécutions fit connaître cette « Secte », les « Nazôréens » ou les « Nazaréniens », qui prirent de l’ampleur.

Pour ce travail, l'intervention d'un témoin de la première heure avait paru indispensable. Le premier évangile, condensé de la catéchèse apostolique, était plus réduit que l'évangile selon Matthieu actuel. 

PAPIAS !

Cet homme peut connu des catholiques d’aujourd’hui, a fréquenté dans sa jeunesse quelques Apôtres et Disciples qui étaient avec Jésus le Nazaréen, tout particulièrement l’apôtre Jean. Il connaît les filles de l’apôtre Philippe, et est en relation avec Polycarpe de Smyrne son ami. Il a écrit un ouvrage de cinq Livres intitulé « Explication des Paroles du Seigneur (de Jésus le Nazaréen) ».

Il a lu le Ier Évangile de Matthieu ; cet Évangile est écrit en « Logia de Jésus »-----[ Jésus a dit ----- Jésus a fait ---]---- dans la langue hébraïque du Messie, « l’Araméen »

Cet Évangile ressemble étrangement en écriture à l’Évangile de Thomas !

Bizarrement le Vatican ne parle pas de ces Écrits mais les garde jalousement en le déclarant « Apocryphe ».

Après ces quelques lignes, je peux me permettre de vous conseillez : 

« Vous Tous les « Chrétiens », Catholiques, Orthodoxes, Protestants, et vos innombrables Sectes, faites comme moi le « PAÏEN » …

Cherchez !

Cherchez encore… !

Vous serez étonnés… !

Comme moi vous deviendrez « PAÏEN » ! »

Voici la préface de l’œuvre de Papias :

« Pour toi, je n’hésiterai pas à ajouter à mes explications ce que j’ai bien appris autrefois des presbytres et dont j’ai bien gardé le souvenir, afin d’en fortifier la vérité. Car je ne me plaisais pas auprès de ceux qui parlent beaucoup, comme le font la plupart, mais auprès de ceux qui enseignent la vérité Je ne me plaisais pas non plus auprès de ceux qui font mémoire de commandements étrangers, mais auprès de ceux qui rappellent les commandements donnés par le Seigneur à la foi et nés de la vérité elle-même. Si quelque part venait quelqu’un qui avait été dans la compagnie des presbytres, je m’informais des paroles des presbytres : ce qu’ont dit André ou Pierre, ou Philippe, ou Thomas, ou Jacques, ou Jean, ou Matthieu, ou quel qu’autres des disciples du Seigneur, et ce que disent Aristion et le presbytre Jean, disciples du Seigneur. Je ne pensais pas que les choses qui proviennent des livres ne fussent aussi utiles que ce qui vient d’une parole vivante et durable. »

Eusèbe de Césarée Livre III, XXXIX : 3-4

Eusèbe de Césarée, malgré l’antipathie qu’il avait contre Papias, l’estimant d’esprit et d’écriture médiocre, cite les fragments de l’œuvre de ce dernier sur l’origine des évangiles selon Marc et Matthieu 

« Et voici ce que disait le presbytre : Marc qui était l’interprète de Pierre a écrit avec exactitude, mais pourtant sans ordre, tout ce dont il se souvenait de ce qui avait été dit ou fait par le Seigneur. Car il n’avait pas entendu ni accompagné le Seigneur ; mais plus tard, comme je l’ai dit, il a accompagné Pierre. Celui-ci donnait ses enseignements selon les besoins, mais sans faire une synthèse des paroles du Sauveur. De la sorte, Marc n’a pas commis d’erreur en écrivant comme il se souvenait. Il n’a eu, en effet, qu’un seul dessein, celui de ne rien laisser de côté de ce qu’il avait entendu et de ne tromper en rien dans ce qu’il rapportait » Eusèbe de Césarée Hist. Ecclés. Livre III, XXXIX : 15

Voilà ce que Papias raconte de Marc. II dit d'autre part ceci de Matthieu :

« Matthieu réunit les sentences de Jésus en langue hébraïque et chacun les traduisit comme il put. » E. de C. Hist. Ecclés. Livre III, XXXIX : 16

L’importance de ces passages est incontestable car « Papias est le plus ancien témoin qui nous ait rapporté des souvenirs touchant l’origine humaine des évangiles » 

Le Disciple Luc rédacteur de l’Évangile dont il porte le nom est aussi le concepteur des Actes des Apôtres qui est une continuité de son Évangile ceci étant prouvé et non démenti par les exégètes qui reconnaissent le style de l’écriture, la grammaire et l’orthographe de la langue grecque. Une chose est certaine, le terme « Chrétien », n’existe pas à l’époque de l’écriture des « Actes des Apôtres » XI : 26, « L'ayant trouvé, il l'amena à Antioche. Toute une année durant ils vécurent ensemble dans l'Église et y instruisirent une foule considérable. C'est à Antioche que, pour la première fois, les disciples reçurent le nom de « chrétiens » ».

Nous sommes sous le règne de l’Empereur Romain Trajan, né en 53 décès en 117, règne de 98 à sa mort, son successeur sera Hadrien.

Là, nous nous apercevons de la falsification, l’altération de ces « Écrits » qui, souvenez-vous sont « d’Inspiration Divine ». La référence la plus ancienne connue pour le terme « Chrétien » se trouve dans la Lettre d’Ignace d’Antioche aux Magnésiens IV : 1, « Il convient donc de ne pas seulement porter le nom de chrétiens, mais de l'être aussi ; certains, en effet, parlent toujours de l'évêque, mais font tout en dehors de lui. », début du IIème siècle.

Le mot grec « christianos » qui signifie « disciple du Messie » est dérivé du mot « christos », signification, « celui qui est oint » avec une fin adjectivale empruntée au latin, dont la signification est d’adhérer ou faire partie de ; c’est à Antioche de Syrie que le terme « chrétien » fut employé pour la première fois par un hébreu helléniste en traduction du mot hébreu « messiah », celui qui est Oint. Nous sommes au début du deuxième siècle, quoique, est-ce vrai, cela est moins sûr ce mot aurait été employé pour « Évode ». Par contre Ignace d’Antioche l’a employé une fois dans sa lettre aux Magnésiens c’est une certitude, je vous ai posé la preuve juste avant.

Donc le Nouveau Testament, dans les Actes des Apôtres, XI : 26, XXVI : 28, et dans I Pierre IV : 16, sont trois versets falsifiés, tronqués où le terme « chrétien » ne devrait absolument pas apparaître puisque ce mot n’existait ni dans l’oral alors encore moins dans l’écriture. Livres, du Nouveau Testament qui devraient être sacrés et qui nous inculquent le mensonge !

Les termes « Nazôréens, Nazaréens » utilisés dans les Actes des Apôtres, par l’avocat hébreu Tertullus sont bien employés car ces mots sont l’équivalence du mot hébreu « Notzrim » qui apparaît dans le Talmud Babylonien.

Le « Christianisme » est comme la religion Hindou et Bouddhiste une « Trimurti », ou « Trinité », c’est-à-dire trois Dieux réunis pour en dégager un seul. Les Hindous nomment ce « Dieu » le Brâmãn et les chrétiens la « Sainte Trinité », Dieu Père, Dieu Fils, Dieu Saint-Esprit, les trois faisant un seul Dieu « DIEU ».

Moi, le Païen de « GRANDELOUPO », je mets en garde mes semblables, il me semble que les chrétiens jurent devant tous ceux qui ont les oreilles grandes ouvertes, qu’ils ne prient qu’un seul « DIEU », alors, ou je suis plus bête que la moyenne, ou le « Christianisme » et les « chrétiens » sont des fieffés menteurs.

Mon « Dieu » à moi, EL-SHADDAÏ, écrit sept fois dans la Genèse, est un « DIEU » seul et unique, son Fils Emmanuel, Jésus le Nazôréen est né sur la Terre dans un corps de femme avec un sang parfait, comme à son origine, voilà pourquoi il pouvait être « l’équivalent » d’Adam et d’Ève et que son sacrifice, son immolation pouvait être agréable à son Père et reçut « Sainement » pour la résurrection. Ainsi par sa perfection terrestre Jésus le Nazôréen, comme un Grand Guerrier, venait de vaincre la mort et terrasser Sammaël, offrant aux humains une résurrection certaine. Il ne faut pas oublier que, à l’aurore de sa résurrection, un grand nombre de caveaux et de pierres tombales s’ouvrirent et se soulevèrent pour la résurrection de plusieurs centaines d’humains qui, avant de s’élever pour les Cieux rendirent une dernière visite à leurs proches. Un nombre incalculable d’humains déclarèrent ce phénomène qui fut rapporté dans toute la Galilée, Samarie, Judée, mettant les prêtres sadducéens et pharisiens dans un grand effroi, mais aussi dans une grande colère.

 Je n’invente rien, tous ces faits furent réellement rapportés par les historiens, théologiens, écrivains de l’époque. Voilà pourquoi j’écris, pour vous dévoiler tous ces mensonges de la chrétienté qui vous emmène vers l’idolâtrie, et moi, je voudrai que vous sortiez de cette religion nauséabonde, que vous dessillez les yeux, et que vous sortiez d’Elle, car la Bible la compare à une prostituée, je crois que ces écrivains de l’époque ne se trompaient pas.

Pour plus d’éclaircissement, je vais écrire sur ce fameux « Saint-Esprit » ou « Esprit-Saint » que la chrétienté considère comme une personne déifiée soit le « Dieu Saint-Esprit, Esprit-Saint » qui est la troisième personne de la « Sainte Trinité » dans le christianisme, nommé aussi « Amour du Père et du Fils »

Au début de ce que l’on nomme ère chrétienne la « Sainte Trinité » n’existait pas, et était inconnue des Pères Apostoliques et après des Pères de l’Église. Ce dogme commencera à prendre tournure à partir du Concile de Nicée.

Le mot « esprit » traduit dans le Nouveau Testament signifie en grec « Pneuma » soit littéralement « souffle ». Donc l’étude du Saint-Esprit est appelée la pneumatologie de plus dans la Bible Hébraïque ce mot est le substantif féminin « rûah » qui signifie très concrètement le « souffle » ou « le vent » qui en latin ce dit spiritus. Comme le « Souffle », « le Vent » sont des phénomènes ressentis, mais invisible à tout être vivant sur la terre de la Terre le Nouveau Testament est obligé de le matérialiser comme une colombe, Marc I : 10, des langues de feu, Actes des Apôtres II : 1-12, mais encore dans l’Évangile de Jean XIV :14-17, cet « Esprit » est désigné comme un « Paraclet » qui signifie « consolateur, avocat de la défense, de temps en temps de l’accusation ».

« L’Esprit » que reçurent les Apôtres à la Pentecôte, représenté par certains par une colombe ou bien une langue de feu, est un « souffle, un vent » qui leur donne « l’Intelligence » selon ce que l’Apôtre avait besoin, Actes II : 1-12. « L’Esprit d’Intelligence donc Sain » n’est pas égalitaire comme le Vent car nous ignorons d’où il vient et où il va et nous mesurons sa puissance au frétillement des feuilles sur les arbres, et au vacillement de la cime de ceux-ci, et selon notre position sur la terre, il souffle plus ou moins fort.

L’Esprit est comme le vent intouchable qui passe entre les doigts, impalpable, invisible, donc l’Esprit ne peut pas être comparé à un être vivant, c’est une impossibilité, alors pourquoi ce dogme chrétien de « l’Esprit-Saint ou Saint-Esprit » troisième personne de cette Trinité qui est un dogme mensonger puisque cette Trinité supprime le monothéisme, par un trithéisme unifié, supprimant l’unicité de l’Être Suprême faisant de leur Dieu « DIEU », un dieu en trois personnes, Père, Fils, Saint-Esprit, soit une Trimurti comme chez les Hindous.

Moi le « PAÏEN » je suis un menteur ?

Alors vous Chrétien prouvez-moi le contraire, si vous le pouvez !

Difficile n’est-ce pas ?

Ce que reçurent les Apôtres une première fois par Jésus le Nazôréen fut un souffle d’Intelligence afin qu’ils comprennent les « Écritures » ainsi que les Paraboles de leur Maître. Explication, le Nouveau Testament parle d’Esprit, l’Esprit est quelque chose d’invisible, comme le Vent ou le souffle qui est un vent, mais c’est aussi une « Intelligence » que nous reconnaissons par le Verbe, qui est la Parole, par l’action de l’humain donc toute ces choses qui furent données sont « Saines », donc l’humain Apôtre a reçu un Esprit  propre sans tache donc « Sain » et non « Saint » qui est  l’adoration, la vénération de quelqu’un, de quelque chose, mais ce n’est pas quelque chose de propre, limpide, sans tache.

Vous chrétiens reconnaissez que mon explication est d’une logique indémontable !

Suite à cet éclaircissement, à la Pentecôte les Apôtres reçurent d’EL-SHADDAÏ un « Souffle d’Intelligence Sain » non égalitaire, mais répandue selon ce que chacun avait besoin voilà pourquoi les Apôtres tous ensembles parlaient toutes les langues et idiomes du Bassin Méditerranéen et des Pays limitrophes. Par contre individuellement ils ne parlaient pas toutes ces langues et idiomes du Bassin Méditerranéen et des Pays limitrophes, mais les langues et idiomes qui leur étaient nécessaires selon les régions et pays de destination. A cette Pentecôte les douze reçurent un « Esprit Sain », propre, limpide, cristallin, sans tache et non un « Esprit » de vénération, glorification, adoration, de sanctification comme le terme « Saint » écrit ainsi signifie.

Vous chrétiens reconnaissez ma logique, et comment allez-vous faire pour me contredire ?

 

L’Esprit-Saint n’existe pas !

 

Par politesse je vous préviens que la semaine prochaine, soit le mardi 12-11-2016 je rentre à l’hôpital pour une dizaine de jours, la santé n’étant pas au mieux, et il faut faire avec, et le plus comique dans tout cela, c’est l’infirmier qui me suit mensuellement depuis une petite année, qui commence à perdre le moral avec mes plaies ulcéreuses aux pieds et aux jambes, et le derrière de la cuisse, sans compter la souffrance malgré les trois grammes de morphine journalière et ce produit étant dangereux il faut faire attention de ne pas devenir un droguer. ajouter aussi le Dafalgan 6/j, Doliprane 4/j Érika 400g/j enfin presque tout pour calmer la douleur et cela ne suffit pas.

Il y  a malheureusement des humains qui sont beaucoup plus malheureux que moi, car j’ai la chance d’avoir ce soutient spirituel avec EL-SHADDAÏ, et celui indéfectible de mon épouse qui est aussi un support, rien avoir avec ce Dieu seul et unique, ce n’est pas comparable, mais quelle chance j’ai d’avoir ces deux soutient !

Alors en attendant les prochains écrits portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée et de vous-même avec l’Esprit d’EL-SHADDAÏ dans votre cœur !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 30-10-2016 à 18:35:10

La Toussaint chap. N° 2 - La plus grande fête idolâtre ...

La Toussaint

 

Dernières phrases du chapitre précédent !

 

Par des prophètes la « Mouvance des Nazôréens » fut prévenu de la destruction du Temple et beaucoup de fidèle de cette croyance quitta Jérusalem pour se réfugier à Pella en Jordanie. Cette « Mouvance des Nazôréens, Messianistes » resta propre jusqu’à la moitié du deuxième siècle fin de celui-ci « L'Église alors était appelée vierge, parce qu'elle n'avait encore été souillée par aucun enseignement erroné. » Hist. Ecclés. Livre IV, XXII : 6 Eusèbe de Césarée. Cette « Mouvance » commença à se structurer et quelques-uns virent qu’il y avait un nom à se faire avec des honneurs et une fortune.

Constantin le Grand, homme intelligent, comprit vite qu’il fallait qu’il prenne les rennes du christianisme naissant et qu’il avait tout à gagner. De plus sa mère revenait de son pèlerinage à Jérusalem avec, soi-disant un morceau de la « Vraie Croix », et déjà dans certaines régions d’Afrique du Nord les humains dit chrétiens commençaient à se signer, et se répandit à grande vitesse dans toute la chrétienté, la « Croix » devenant l’emblème de tout le christianisme de l’époque. Après le décès de Constantin le Grand les dogmes du christianisme venaient les uns après les autres ainsi que les Conciles pour valider ces théories, ces certitudes qui devenaient des croyances. Pour grandir les Empereurs de l’Empire Romain qui sont les « Pontifex Maximus » de cette religion doivent faire des concessions avec les autres religions que l’on nomme maintenant païennes, donc on incorpore certaines fêtes importantes et tenaces en les christianisant comme Noël et le jour de l’An, mais aussi la Saint Jean, sans parler d’autres fêtes comme la Toussaint.

Tout ce que je viens d’écrire est l’histoire religieuse du paganisme alors qu’en est-il de cette religion mondiale, le christianisme ? En avant-propos, j’ai survolé l’essentiel pour que déjà, avec votre conscience vous réfléchissiez à la dure réalité de mes écrits.

 

 

 

Chapitre N° 2

 

La plus grande fête idolâtre Chrétienne

 

Pendant les premières années de l’Église dite maintenant chrétienne, en effet nous sommes au milieu du IIIème, début du IVème siècle, les fidèles observaient des anniversaires spéciaux pour les martyrs qui avaient été exécutés pour leurs croyances. Bientôt il n’y eut plus assez de jours dans l’année pour désigner des jours civils spéciaux pour chaque martyr individuel, alors les chrétiens observèrent un jour de fête en l’honneur de tous les martyrs.

 Au Vème siècle, les diocèses voisins commencèrent à échanger leurs fêtes, à transférer des reliques, à les diviser et à se réunir pour célébrer en commun les fêtes.

« Fréquemment, des groupes de martyrs, ce sont les humains qui étaient réunis pendant les persécutions et qui subissaient leur sort sans se rebeller, pardonnant leurs persécuteurs.

  Le nombre de martyrs devint si grand qu’un jour séparé ne put être assigné à chacun. Toutefois, l’Église croyant que chaque martyr devait être vénéré désigna un jour commun pour tous » (Encyclopédie catholique).

Bien avant cela pour tromper le peuple, les prêtres des petits temples contèrent que la déesse Cybèle, qui était la mère de tous les dieux, leur était apparue. Cette déesse leur aurait dit que, si Rome voulait remporter la victoire sur toutes les nations, on eût à élever, à tous les dieux, ses fils, un Temple magnifique. Ce Temple fut donc construit sur une base circulaire, pour symboliser l'éternité des dieux.

Le Panthéon de Rome fut un édifice religieux antique situé sur le Champ de Mars, construit en l’an 27 avant J-C. au début du règne d’Auguste, l’an 63 av. J-C. et l’an14 après J-C., sur l'ordre d'Agrippa. Endommagé par plusieurs incendies, le Temple fut entièrement reconstruit en l’an 123-125 de l’EC sous Hadrien 76-138 règne de 117 à 138. Le plan du nouvel édifice est exceptionnel, sans précédent dans l’architecture romaine.

Pour vous expliquer l’importance de ce Temple voici ce qu’un écrivain Français contemporain dit :

« « J’étais remonté pour la structure même de l’édifice aux temps primitifs et fabuleux de Rome, aux temples ronds de l’Étrurie antique. J’avais voulu que ce sanctuaire de tous les Dieux reproduisît la forme du globe terrestre et de la sphère stellaire, du globe où se renferment toutes les semences du feu éternel, de la sphère creuse qui contient tout[]. C’était aussi la forme de ces huttes ancestrales où la fumée des plus anciens foyers humains s’échappait par un orifice situé au faîte. La coupole, construite d’une lave dure et légère, qui semblait participer encore au mouvement ascendant des flammes, communiquait avec le ciel par un grand trou alternativement noir et bleu. Ce temple ouvert et secret était conçu comme un cadran solaire. Les heures tournaient en rond sur ces caissons soigneusement polis par les artisans grecs ; le disque du jour y resterait suspendu comme un bouclier d’or ; la pluie formerait sur le pavement une flaque pure ; la prière s’échapperait comme une fumée vers ce vide où nous mettons les dieux. » » --- Marguerite Yourcenar dans les Mémoires d’Hadrien ---

Suite aux persécutions contre les païens sous Théodose 1er, 347-395, règne de 379 à 395, après l’Édit de Thessalonique le 28 février 380 et le Concile de Constantinople en l’an 381, où cette Empereur le « Pontifex Maximus » par dogme décrète la « Sainte Trinité » pour le christianisme condamnant sur le coup l’arianisme profitant pour fermer le Panthéon et celui-ci tomba à l’abandon

Le temple abritait de nombreuses statues, dont celles d’Arès, qui est la planète Mars, père de Romulus, celle d’Aphrodite, qui est la planète Venus, divinité ancestrale de la gens Iulia une gens est un groupe familial patrilinéaire portant le même nom descendant par les mâles d’un ancêtre commun, donc ici la descendance est les Iulii vieille famille de la Rome antique dont la descendance serait le Troyen Iule, ainsi que celle du divin Jules César. L’entrée était gardée de part et d’autre par les statues d’Auguste et d’Agrippa, tous deux consuls en 27 av. J.-C., ce qui respectait, en apparence, la parité républicaine des pouvoirs et confirmait l’ascension d’Agrippa comme héritier potentiel d’Auguste.

L’Empire Romain se désagrège.

Je ne peux vous écrire comment le christianisme a pris une telle ampleur, car cela serait trop long, mais bientôt je vous expliquerais comment cette religion en est arrivé à gouverner le monde.

Théodose empereur Romain chrétien, pendant les persécutions contre les « païens » à la fin du IVème siècle, fit fermer tous les Temples des Dieux Romains y compris le Panthéon, mais ceux-ci restèrent propriété de l’Empire.

L’évêché de Rome au Vème siècle déclare ceci :

« La sainteté exprime l'état de communion avec Dieu, dans l'Église, par le baptême. »

Étaient réputés « Saints » et vénérés comme tels tous les humains baptisés devenus martyrs et décédés par les persécutions en sus des apôtres.

Flavius Phocas Auguste, plus connu sous le nom de Phocas, Empereur Romain Byzantin son siège se situant à Constantinople, successeur de Maurice auquel il fera trancher la tête ainsi qu’à toute sa famille, épargnant les femmes, dans un climat politique difficile, donnera la primauté à l’Évêché de Rome ce qui lui vaudra les foudres des Évêques grecques partisan du « Symbole de Chalcédoine en l’an 451 ». Sournoisement l’Évêché de Rome reçoit en cadeau, pour le pardon de Phocas de la décapitation de Maurice et des siens, le Panthéon de Rome qui sera rebaptisé « Sainte-Marie-aux-Martyrs ».

L’Évêque de Rome Boniface IV, successeur de Boniface III, lui-même successeur de Grégoire 1er, 590-604, au comble de l’hypocrisie, fera enlever toutes les statues de pierre représentant les dieux romains, par des statues représentant des humains nommés « Saint ».

Les ouailles viendront maintenant dans ce Panthéon, euh ! pardonnez-moi dans cette « Église Sainte-Marie-aux-Martyrs » se signer et faire des offrandes devant la statues de Saint …. euh ! veuillez encore m’excuser ce n’est pas des offrandes, c’est des cierges et de la monnaie sonnante.

 « --Les saints inscrits au martyrologe romain sont ceux pour lesquels l'Église déclare être sûre qu'ils sont au Paradis. Ils font donc l'objet d'un culte public dit culte de dulie lequel s'oppose au culte de lâtrie qui n'est dû qu'à Dieu.

Comment des humains aussi imparfaits peuvent-ils déclarés de telle certitude, puisqu’ils ne sont pas « Dieu », EL-SHADDAÏ ?  

Dans le cas de Marie, mère de Jésus le Nazaréen, une exception est admise, qui se nomme hyperdulie

Le culte de dulie est, pour l'Église, le culte réservé aux « Saints », aux « Anges » par opposition au culte de lâtrie, réservé à Dieu, et au culte d'hyperdulie, réservé à la Vierge Marie

La lâtrie est un terme utilisé dans la théologie chrétienne, et plus particulièrement catholique, pour signifier l'adoration, forme la plus haute de l'adoration, due exclusivement à la Sainte Trinité. »

Vous remarquerez qu’il est écrit « Sainte Trinité », alors que plus haut il est écrit « réservé à Dieu ».

Tout ce que j’écris, sont des textes de l’Encyclopédie Catholique Romaine.

Et ceci est écrit de telle sorte que l’Être Suprême, que la chrétienté nomme « DIEU », soit, comment dirai-je, incorporé à la Sainte Trinité qui représente trois « Dieux », le Père, le Fils, l’Esprit-Saint, contredisant l’unicité de celui que je nomme EL-SHADDAÏ, plutôt que ce nom vulgaire de « DIEU »

« Le culte d'hyperdulie qui signifie servitude ou serviteur, est le culte rendu à la Vierge Marie, supérieur au simple culte rendu aux Saints et aux Anges. Ce terme est à distinguer de celui d'adoration ou latrie qui ne convient que pour Dieu.

Pour les théologiens catholiques, la différence entre le culte de dulie et de latrie n'est pas une différence de degré, mais de nature : il y a autant de différence entre les deux, qu'entre Dieu et sa créature. Il doit aussi y avoir des degrés dans le culte de dulie : le culte du Saint lui-même est plus important que le culte d'une relique, par exemple. C'est ce qu'on appelle la dulie absolue et la dulie relative.

Le culte de dulie revêt deux formes :

La vénération : témoignage du respect dû à un Saint.

L'invocation : demande d'intercession en vue d'obtenir un avantage particulier.-- » 

Je tiens bien à vous faire remarquer qu’il n’y a rien de biblique, mais le plus grave pour vous, « Chrétien », c’est que ces textes font force de Lois dans le christianisme. De plus ces Lois chrétiennes confirment bien l’IDOLÂTRIE de cette religion puisque, il est bien écrit que « le culte du « Saints » est plus important que le culte d’une relique »

Vous constaterez que ce Temple, le Panthéon fut vidé de toutes les idoles de la religion païenne romaine, mais que celles-ci furent remplacées par des statues représentant des martyrs déclarés « Saint ».

Dites-moi où est la différence entre une statue représentant le Dieu Mithra, nommé « idole » et une ronde-bosse qui incarne un humain décédé mais que l’on appelle « Saint » ? …

Il n’y a aucune différence car d’un côté ou d’un autre vous priez de la matière, donc c’est de l’idolâtrie, seul le terme change, mais quel terme ! …! …!  L’une est une « idole » l’autre est un « Saint » alors que toutes les deux sont statues et destructibles.

J’appelle ceci de l’hypocrisie !

Mais il y en a beaucoup parmi vous chrétiens, qui vont me prouver que ce n’est pas la même chose ! …

Je suis peut-être un « Païen », mais sûrement pas un niais, et pour moi peu importe la figurine, de la pierre reste de la pierre !

Je reprends l’historicité de la « Toussaint »

Alors, l’Église chrétienne sous l’Évêque de Rome Grégoire IV décida, avec l’appui du gouvernement de Flavius Honorius, de « blanchir » la fête romaine de Feralia du 21 février, fête des morts, et celle de Lémuria du 9 au 13 mai fête des Lémures, qui sont des spectres malfaisants.

« Fatigué de réprimander les Romains pour leurs réjouissances bien arrosées soi-disant pour honorer les morts et leur spectre, et souhaitant plus de convertis, l’Évêque de Rome Boniface IV en 609 apr. J.-C., déclara que Feralia ainsi que Lémuria serait une fête chrétienne. Au lieu d’honorer tous les morts, et des spectres, ils devaient maintenant honorer seulement les « Saints » décédés. Au lieu des réjouissances et de l’alcool, ce serait maintenant un jour de prières et de méditation. Au lieu de l’appeler Feralia et Lémuria, il changea le nom en « Toussaint ». Puis il changea le jour de sa célébration du 21 février au 13 mai. Boniface IV consacra, le 13 mai 610, le Panthéon à Rome à la Sainte Vierge et à tous les martyrs, date anniversaire de la dédicace de cette église. » (Encyclopédie catholique).

Début du VIIème siècle la primauté de l’Évêque de Rome a été reconnu par l’Église Orthodoxe d’Orient dont l’évêché est à Constantinople, mais on parle toujours des byzantins.

Les successeurs de Boniface IV se suivent et l’Église continue à se détériorer.

VIIIème siècle. Les factions chrétiennes se font la guerre spirituelle entre l’Orient et l’Occident. Les Évêques font leur loi dans leur territoire et les dogmes naissent à la vitesse des jours. L’évêché de Rome, dû sans doute à sa position impériale, dicte ses Lois sur les autres évêchés. L’Évêque de Rome Grégoire II en 727 condamne l’iconoclaste – c’est l’adoration des images et reliques des « Saints » --

Son successeur, Grégoire III préside un Concile au Vatican où 193 évêques participent. Ils condamnent l'attitude de l'empereur à l'égard des icônes et des images qu'il ordonne de détruire. L'une des plus importantes résolutions du Concile consiste à excommunier ceux qui défigurent l'icône du Christ, de la Vierge Marie, des Apôtres et des Saints.

Si cela n’est pas de l’hypocrisie, qu’est-ce-que c’est ! Deux poids deux mesures !

La chrétienté primitive a disparue. Le terme « église » qui signifiait « Assemblée » ait remplacé par « L’ÉGLISE » puis par « Église de ROME ».

 Suite à une guerre contre les Lombards et Ravenne, ceux-ci ayant été vaincu par Pépin le Bref en 752, Roi des Francs, leur territoire fut offert à l’Évêque de Rome, Étienne II, qui prit le titre de « Pontife » c’est à dire « PAPE » et tous ces territoires furent nommés « États Pontificaux ».

Le premier « PAPE » réel de l’histoire des « papes » venait de naître. De plus l’ÉGLISE devenait officiellement « ÉTAT » dont le siège était à Rome. L’évêché de Rome portera le nom de « Saint Siège »

L’église catholique de Rome avait fait du « Panthéon » une église dédiée à Sainte-Marie des Martyrs. Ainsi, au culte des divinités romaines se substitue le culte des « Saints Catholiques. » La célébration de cette « Église » était un 13 mai.

Maintenant je peux l’écrire, le Pape Grégoire IV en 830, ordonne que la fête de la Toussaint soit célébrée dans le monde entier.

Pendant ce temps, les Celtes continuaient à observer la fête de leur Dieu Samain le 1er novembre sous une forme ou une autre. L’Église catholique s’en aperçut, et l’Évêque de Rome Grégoire IV ordonne que cette fête, la Toussaint, soit célébrée dans le monde entier.

En 835, Grégoire IV déplaça cette date anniversaire du 13 mai, au 1er novembre pour des raisons pratiques afin que les fidèles fussent plus nombreux à cette commémoration. En effet les vendanges et les moissons étant terminées, les pèlerins pouvaient plus facilement se déplacer et se nourrir.

Sur le conseil de Grégoire IV, l’empereur Louis le Pieux institua la fête de tous les saints sur tout le territoire de l’Empire Carolingien dont la majorité était de culture religieuse Celte.

Le jour prit le nom du Jour de tous les Saints, soit « Toussaint »

Voilà comment une fête païenne Celte du 1er novembre devint une solennité chrétienne dans tout l’Empire romain et carolingien.

Là, il y a quand même matière à réflexion !

Pour cette année j’ai fini avec cette plus grande fête de l’idolâtrie Chrétienne particulièrement Catholique.

Quand EL-SHADDAÏ dit : « Sortez d’elle mon Peuple ! » Ce Dieu seul et unique dit bien ce que nous devons faire. Nous sommes libres de sortir de cette religion idolâtre en nous signant devant un crucifix, une statue de pierre représentant un humain ou de continuer tous nos gestes et pensées devant de la matière sans vie qui ne nous apportera rien ! Mais nous sommes responsables de nous, libre de notre choix !

Portez-vous bien et prenez soins de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales à tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 23-10-2016 à 17:28:14

La Toussaint chap. N°1 - Fête Celte le Samhain

La Toussaint

Les enfants sont en vacances scolaires étalées sur trois semaine afin d’englober les fêtes religieuses de la Toussaint, et le lendemain, 2 Novembre la fête des défunts. A l’ère des Gaules, le Ier Novembre était le début de l’année, soit le Nouvel An de nos jours simplement que les humains de cette époque entraient dans le période sombre, les jours diminuaient très vite jusqu’au solstice d’Hiver le 20-22 décembre, période froide et triste, la nature particulièrement les arbres avaient perdus leur joli manteau vert

A cette époque la Terre commençait doucement à se peupler et il devait y avoir au maximum deux à trois cents millions hommes de pied sans compter les femmes, les enfants et les vieillards. Les humains ne se faisaient pas la guerre pendant cette période sombre, mais beaucoup décédaient à cause des maladies et du froid qui était beaucoup plus rigoureux comparé à notre XXIème siècle. Les hommes, les guerriers, aimaient mieux mourir au combat car une bonne place leur était réservée dans les cieux, tandis que si, ils mourraient de maladie, c’était une malédiction des Dieux et ils étaient jetés dans le corps d’une bête immonde, affreuse, pleine de pustules.

 

Chapitre N° 1

 

Fête Celte de Samhain

 

Comme chaque année le dernier jour du mois d’Octobre, une fête Scandinave, pays du nord de l’Europe, exportée aux USA par les colons en 1750-1800, est célébrée, je parle de l’Halloween.

Halloween fête scandinave, mais surtout d’origine Celte, se fête le 31 Octobre. La culture « Celte » apparaît vers le VIIIème siècle avant la naissance de Jésus le Nazôréen.

Personnellement je suis convaincu que la culture Celte avec sa langue le gaëlique est une résultante de la tour de Babel quand les humains furent dispersés sur toute la surface de la Terre selon leur aspect et leurs langues. Ceux que l’on nommera les galiciens sont ces humains qui suivirent les cotes des mers, mais aussi les grandes plaines et plateaux, de l’Anatolie point de départ où ils reviendront des millénaires après, en Galatie, traversant le Bosphore, séparant la Mer Noire de la Mer de Marmara, Mer Méditerranée, suivant la route de Sofia, Belgrade, Zagreb, Trieste, Milan, col du Mont Cenis, Grenoble, Nîmes, Béziers, Toulouse, Bordeaux, Bayonne, Bilbao, La Corogne en Galice. Ce peuple en Galice ce format une langue grammaticale, et l’humain étant un nomade une partie de ces humains remontèrent à Bordeaux puis vers le Nord donnant leur nom les « Gales » qui devinrent les Gaules. Leur langue était le Celte et ces Celtes s’installèrent en Petite Bretagne, puis traversèrent la Mer du Nord et la Manche et s’établirent dans cette grande ile qui deviendra la Grande Bretagne, l’Écosse et le Pays de Galles, avec une autre grande ile à côté de celle-ci, je parle de l’Irlande puis le Nord de l’Europe juste avant les pays Scandinaves jusqu’au Danube, tous étaient de langue Celte.

La culture spirituelle de tous ces peuples était le druidisme. Ils croyaient en un Dieu le Samhain qui s’écrit aussi Samhan, Samain.

La mythologie celtique est pauvre en document ce qui fait que les connaissances sont lacunaires et les seules sources que les historiens et exégètes possèdent sont indirectes, les vestiges archéologiques, les témoignages de ceux qui les ont côtoyés comme les Grecs et les Romains, Jules César avec ses écrits sur « la guerre des Gaules », et les littératures médiévales galloise et irlandaise. Comme les autres peuples de l’antiquité, les Celtes avaient une culture religieuse polythéiste dans laquelle officiait le classe sacerdotal druidisme. Cette religion s’est progressivement dissoute dans la culture de l’Empire Romain des dix décennies avant l’Ère Commune (EC.), à l’exception de l’Irlande et de l’Écosse où la civilisation celtique résista jusqu’à l’arrivé au Vème, VIème siècle du christianisme qui évangélisa ces deux Nations en faisant des concessions sur leurs fêtes païennes, les christianisant.

Il faut reconnaître que les Prêtres druidismes, privilégiaient l’oral sur l’écriture car peu d’humains savaient lire ce qui devint pour eux une perte du témoignage, les paroles s’envolent seuls les écrits restent d’où des informations données au compte-goutte. La civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe pendant plusieurs siècles.

Dans la mythologie celtique le « Samhain » est la fête religieuse qui célèbre le début de la saison « Sombre » de l’année celtique qui en opposé avait une saison « Claire ». Le Samhain est une fête de transition, le passage d’une année à l’autre, et d’ouverture vers « l’Autre Monde », celui des dieux. Elle est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais car, de par sa définition, elle est propice aux événements magiques et mythiques. Son importance chez les Celtes est indéniable, incontestable puisque nous la retrouvons en Gaule sous les trois nuits de Samain durant le mois de Somonios, notre mois de Novembre, sur le calendrier de Coligny.

Le mot « Halloween » est un mot typiquement anglais son étymologie ayant aucun rapport avec la langue celtique même le gaélique. En effet en langue anglaise « Hallows » qui est une forme archaïque de « Holy » qui signifie « saint » et de « even » qui signifie « soir » Ce « even » est devenue « evening », puis « e’en » pour finir par « een » Ce qui en français devenait le « soir de tous les saints » devenant « Toussaint »

La fête de « Samain » était une fête importante dans le milieu celte puisque c’était une fête de nouvelle année qui commençait toujours par la saison « Sombre ». La fête durait sept jours trois jours avant, le jour pour Samhain, trois jours après, les trois premiers jours marquaient la fermeture des jours « Claires » puisqu’il n’y avait plus de récolte, puis venait le jour de la nouvelle année, le premier Novembre, et les trois premiers jours « Sombres » qui représentait l’arriver du froid

Les celtes avaient peu de Dieux et selon la province ils changeaient de nom. Cela ne les a pas empêché d’avoir une mythologie élaborée. Contrairement à la pensée générale, si les celtes privilégiaient l’orale, ils connaissaient l’écriture comme l’alphabet étrusque ou grec, et ils ont quand même inventé un système particulier de notation qui est l’écriture oghamique

L’immortalité de l’âme était une des croyances des Celtes, ce qui explique, peut-être, les témoignages sur leur vaillance et leur intrépidité au combat, puisque la peur de la mort était absente.

Ils croyaient que Samhain, le dieu des morts, rassemblait les âmes de ceux qui étaient morts pendant la dernière année et décidait quelle forme ils prendraient l’année suivante.

Ces âmes pouvaient aussi bien avoir un corps humain ou être condamnées à vivre dans des animaux, les âmes ou les esprits les plus méchants prenant la forme de chats. En espérant tromper Samhain et lui faire donner des sentences plus légères, les adorateurs celtes essayaient de le soudoyer en offrant des prières et des cadeaux.

L’Encyclopédie Britannique dit ce qui suit :

« Samhain, fin de l’été celte, une des fêtes du calendrier les plus importantes et les plus sinistres de l’année celte. Lors de Samhain, célébrée le 1er novembre, on croyait que le monde des dieux était rendu visible aux yeux de l’humanité et que ces dieux jouaient des tours à leurs adorateurs humains. Il s’agissait d’un temps plein de danger, rempli de frayeur et d’événements surnaturels. La période était remplie d’offrandes et de sacrifices de toutes sortes. On les croyait essentiels, car sans eux, les Celtes pensaient qu’ils ne pourraient surmonter les périls de la saison et résister aux actions des dieux. Samhain fut un important précurseur de l’Halloween. »

« La nuit du 31 octobre, la veille du Nouvel An, les Celtes, après avoir fait les récoltes et les avoir engrangées en prévision de l’hiver, commençait leur fête. D’abord, ils éteignaient les feux de cuisine dans leurs maisons. Puis les druides, prêtres celtes, qui signifie, « Savant, Savoir, Sagesse », se rencontraient au sommet des collines dans les profondes forêts de chênes, ils considéraient cet arbre comme sacré, et ils préparaient d’énormes feux sacrés afin d’effrayer les mauvais esprits et honorer leur dieu soleil. Ensuite, les gens brûlaient de leur récolte et de leurs animaux en sacrifice à leurs dieux tout en dansant autour alors que la « saison du soleil » les quittait et que la « saison de la noirceur » faisait son apparition. Les Celtes portaient des costumes faits de peaux et de têtes d’animaux, et se prédisaient l’avenir. Le matin suivant, ils rallumaient leurs feux de cuisine à partir des feux sacrés pour se dégager des esprits méchants et être protégés pendant la saison hivernale. »

Le nom de Samhain signifie « réunion », c’est une fête obligatoire de toute la société celtique qui donne lieu à des assemblées et des banquets rituels ; son caractère païen la place sous l’autorité de la classe sacerdotale des druides.

Le 31 Octobre dans notre époque moderne est la fête de l’Halloween, veille de la « Toussaint » fête religieuse, et dernier jour de l’année Celte qui équivaut à notre Saint Sylvestre, le 1er Novembre étant le premier jour de l’année Celte jour de célébration du Dieu Samhain, sachant que « Halloween » signifie « soir de tous les Saints » et comme déjà écrit, il existe aucune relation avec la croyance celtique, même gaélique.

En dépit de son nom d'origine chrétienne et anglaise, la grande majorité des sources présentent Halloween comme un héritage de la fête païenne de Samhain – Samain – qui était célébrée au début de l’automne par les celtes et constituait pour eux une fête de fin d’année et de « Nouvel An ». En gaélique, l’Halloween est ainsi connue jusqu’à nos jours sous le nom de « Oïche Shamhna » fête très populaire en Bretagne, Irlande, Pays de Galles et Écosse on l’on trouve de nombreux témoignages historiques de son existence. Jack-O ’-Lantern est elle-même issue d’une légende irlandaise.

Les siècles passent ! En Palestine les romains viennent de crucifier un humain du nom de Jésus de Nazareth. Ces Disciples dont douze seront nommés Apôtres, par leur force intellectuelle et spirituelle surtout à Jérusalem, puis en Asie Mineur, spécialement Antioche, et en basse Égypte, particulièrement à Alexandrie, par leur intelligence au-dessus de la moyenne de l’époque feront beaucoup de Disciples et la « Mouvance des Nazôréen » naitra.

Cette mouvance deviendra de plus en plus forte dans tout le Bassin Méditerranéen et dans les pays limitrophes, ainsi que dans la classe élevée romaine, sans dépasser les dix pourcents de toutes les religions de l’époque. Les siècles continuent à passer jusqu’au IIIème siècle ou l’Empereur Romain Constantin le Grand, qui après sa victoire au Pont de Milvius en Octobre 312 sur Maxence, déclarera la « Mouvance des Nazôréen » qui sont appelés « Chrétiens » depuis un demi-siècle, religion de l’empire romain et tenant sa promesse du Pont de Milvius se fera baptiser « Chrétien ».

Puis quelques années après en l’an 325 il réunira un Concile à Nicée ou plus de trois cents Évêques de tout l’Empire participeront, et c’est là que Constantin le Grand se déclarera le « Pontifex Maximus » c’est-à-dire le « Pontife » qui signifie « Pape » en français de la religion impériale le « Christianisme » et avec son ami Eusèbe de Césarée choisira arbitrairement les Livres qui formeront le « Codex » et prendront le titre de « Livres Canoniques » de l’Ancien Testament et la réunion de certaines Lettres et Épitres, ainsi que quatre Évangiles qui formeront le « Nouveau Testament ». 

Au commencement les « Évêques » étaient les responsables des « Assemblées » que l’on nommait aussi « Églises » et c’était lui qui veillait fidèlement aux enseignements de Jésus le Nazôréen et qui agrandissait le nombre de fidèles. N’oublions pas que la Genèse du christianisme était des hébreux, Jésus était araméen et ses Apôtres des hébreux qui à l’époque suivaient les Lois de Moïse qui étaient celles dictées par EL-SHADDAÏ que ces derniers nommaient « Yahvé ». Les humains qui suivaient la « Mouvance des Nazôréens » était en général des hébreux de la Diaspora, dont une grande partie était hellénisé. Les hébreux de l’époque de Jésus le Nazôréen, n’ont pas compris l’enseignement de ce dernier qui expliquait que la circoncision de cœur était plus importante que la circoncision de chair. Ce débat sur la circoncision fut l’objet de discussions âpres entre les Apôtres et Disciples hébreux de confession judaïque ou hellénisée en l’an 52. Mais il y a eu la grande révolte juive de l’an 66 à 73 ou en l’an 70 le « Segond Temple » fut rasé ainsi que la ville de Jérusalem qui mettait fin définitivement au Pays d’Israël et il faudra attendre 1948 pour que ce Pays redevienne une Nation. Par des prophètes la « Mouvance des Nazôréens » fut prévenu de la destruction du Temple et beaucoup de fidèle de cette croyance quitta Jérusalem pour se réfugier à Pella en Jordanie. Cette « Mouvance des Nazôréens, Messianistes » resta propre jusqu’à la moitié du deuxième siècle fin de celui-ci « L'Église alors était appelée vierge, parce qu'elle n'avait encore été souillée par aucun enseignement erroné. » Hist. Ecclés. Livre IV, XXII : 6 Eusèbe de Césarée. Cette « Mouvance » commença à se structurer et quelques-uns virent qu’il y avait un nom à se faire avec des honneurs et une fortune.

Constantin le Grand, homme intelligent, comprit vite qu’il fallait qu’il prenne les rennes du christianisme naissant et qu’il avait tout à gagner. De plus sa mère revenait de son pèlerinage à Jérusalem avec, soi-disant un morceau de la « Vraie Croix », et déjà dans certaines régions d’Afrique du Nord les humains dit chrétiens commençaient à se signer, et se répandit à grande vitesse dans toute la chrétienté, la « Croix » devenant l’emblème de tout le christianisme de l’époque. Après le décès de Constantin le Grand les dogmes du christianisme venaient les uns après les autres ainsi que les Conciles pour valider ces théories, ces certitudes qui devenaient des croyances. Pour grandir les Empereurs de l’Empire Romain qui sont les « Pontifex Maximus » de cette religion doivent faire des concessions avec les autres religions que l’on nomme maintenant païennes, donc on incorpore certaines fêtes importantes et tenaces en les christianisant comme Noël et le jour de l’An, mais aussi la Saint Jean, sans parler d’autres fêtes comme la Toussaint.

Tout ce que je viens d’écrire est l’histoire religieuse du paganisme alors qu’en est-il de cette religion mondiale, le christianisme ? En avant-propos, j’ai survolé l’essentiel pour que déjà, avec votre conscience vous réfléchissiez à la dure réalité de mes écrits.

Que la « Toussaint » soit la plus grande fête idolâtre du christianisme est une vérité, et cela est évident puisque c’est l’adoration des « Statues » fixée fermement sur des « basses-rondes » le long des murs ou des colonnes du « Temple Chrétien, Église, Chapelle, Cathédrale », en reconnaissant que parmi le monde chrétien seul les Protestants rejettent tout ce qui est représentation de saints.

Je pense que cette lecture historique de la Toussaint fut pour vous un bon enseignement. Aucun texte biblique note cette fête comme étant une fête d’EL-SHADDAÏ. Alors je vous laisse pour cette semaine à votre réflexion.

Portez-vous bien !

Salutations cordiales à tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 15-10-2016 à 00:42:42

Genèse d'une ... chap. N°2 - Enfantement des Nazôréens

Genèse d’une religion, le Christianisme

 

Dernières phrases du chapitre précédent

 

Donc en tout premier l’humain était monothéiste, puis il y a eu cette dispersion soudaine de la race humaine sur tout le globe terrestre. Je ne parle toujours pas du religieux car pour le moment ce n’est que l’histoire de l’humanité conté par de nombreux historiens et scientifiques comme les paléontologues et géologues.

L’humain à la naissance d’Abram était devenu polythéiste, mais il y avait toujours un Dieu supérieur à tous les autres et en général c’était celui de la guerre.

Abram nommé Abraham par EL-SHADDAÏ, car cela signifiait, « Père des Nations », était  le principal patriarche de la religion hébraïque postdiluvienne, aïeul du judaïsme, du christianisme, et l’un des cinq grands prophètes de l’islam, ascendant du peuple hébreu et des « Mousta’riba », Arabes assimilés aux Arabes, descendants d’Ismaël fils d’Agar la servante d’Abraham, établis dans le Hedjaz, Arabie Déserte puis se sont répandus successivement dans toute la Péninsule Arabique et au-delà du Golfe Persique.

La religion hébraïque est le berceau ou la naissance des trois grandes religions mondiales directement et indirectement c’est-à-dire des fœtus des autres religions. La religion la plus proche du judaïsme est le christianisme. Cette religion nie tout rapprochement avec la religion hébraïque même si elle en a pris les bases fondamentales tel que l’Ancien Testament.

Avant de se nommer « christianisme » pendant les trois premiers siècles de son existence ce n’était que des sectes juives ou hébraïques. En effet pendant les deux premiers siècles les « Assemblées » ou « Églises » se nommaient la « Mouvance des Nazôréens, Nazaréens, Nazaréniens, de Nazareth », les « Messianistes ».

 

 

Chapitre N°2

 

Enfantement des Nazôréens

 

« Les « Nazôréens ou Nazaréens » en hébreu sont un groupe religieux « juif-messianiste » personnellement j’aime mieux parler des « judéo-messianistes » ou mieux des « hébreu-messianistes », mal connu, attesté de manière indirecte à partir de la seconde moitié du premier siècle, après la destruction totale du Second Temple ainsi que les fortifications de la ville de Jérusalem en l’an 70, par Titus fils de Vespasien, au cours de la Grande Révolte hébraïque 66-73 de l’EC. Ce groupe a la particularité de reconnaître en Jésus le Nazôréen sa Messianité tout en continuant à pratiquer les préceptes de la Loi de Moïse dictée par EL-SHADDAÏ, c’est-à-dire respect de la circoncision de chair, action depuis la mort de Jésus complètement inutile, interdiction de manger une viande étouffée ou avec son sang, respecter le sabbat. Les Nazôréens, Nazaréens, Messianiste qualifiaient Jésus de « Serviteur d’EL-SHADDAÏ » mais ne reconnaissaient pas sa « divinité » » (La chrétienté primitive, sectes juives, Messianistes, Nazôréen, Nazaréen)

Tertullien début du IIIème siècle indique que « Nazaréen » était la plus ancienne dénomination des Disciples de Jésus le Nazôréen. A Jérusalem la communauté des Nazôréens est la plus importante et déjà connu comme le pilier des « Messianistes » en l’an 35-36 juste avant la lapidation d’Étienne en l’an 37, Jacques le Juste, d’Alphée, le Mineur étant Évêque de Jérusalem, Apôtre de Jésus le Nazôréen dirigeant ce mouvement avec Simon Képhas dit Pierre et Jean tous les deux Apôtres de Jésus comme Jacques, les trois surnommés « les colonnes »

Ces trois Apôtres dirigeront et répartiront les autres Apôtres et Disciples de Jésus le Nazôréen pour aller annoncer la venue du royaume d’EL-SHADDAÏ aux hébreux de Palestine, puis à ceux de la Diaspora qui sont autour du Bassin Méditerranéen afin d’enseigner les paroles et Paraboles de Jésus le Nazôréen. Les Apôtres et Disciples de Jésus avaient du mal à se séparer et ils aimaient se revoir assez souvent pour se fortifier les uns les autres. Après la crucifixion de Jésus le Nazôréen les Apôtres et Disciples se trouvèrent orphelins car ils avaient pris l’habitude d’entendre tous les jours Jésus enseigner la foule hétéroclite qui le suivait, mais aussi en privé, de les enseigner « eux » différemment de la foule, citant très souvent le « Nom » de son Père géniteur.

A cette époque les Nazôréens, Galiléens, Nazaréens, Nazaréniens, de Nazareth, de la ville de Jérusalem devaient être prudent car ils avaient un persécuteur zélé même très zélé selon certains écrits antiques, du nom de Saül de Tarse, ce dernier étant responsable de la lapidation d’Étienne, jusqu’à en être témoin.

Les historiens païens et chrétiens reconnaîtront que le terme « Nazôréen, Nazaréen et Messianiste » sera donné aux descendants directs apostoliques, donc hébraïques jusqu’au Vème siècle.

Une chose qu’il ne faut pas oublier, à l’ère de Jésus, ce dernier était appelé comme dans la Bible le « Nazôréen », Matthieu II : 23, voilà pourquoi en parlant de Jésus je parle de lui comme les Apôtres et les premiers Disciples soit « Jésus le Nazôréen » ou selon la traduction des Bibles « Jésus le Nazaréen »

Pour avoir le terme Jésus-Christ il faudra attendre que le Nouveau Testament apparaisse en Codex et que les Livres soit choisis arbitrairement au Concile de Nicée en l’an 325 par Constantin le Grand et son ami Eusèbe de Césarée, an 265 – 330, Évêque théologien et historien. Le Nouveau Testament écrit avec l’Ancien Testament n’apparaîtra qu’après le voyage à Jérusalem par la mère de Constantin, Hellène, où il y a eu cette légende sur la « Vraie Croix » en l’an 327-328 et il faudra attendre encore dix bonnes années avant de voir apparaître ce Codex Biblique.

Un « CODEX » :

 C’est un assemblage de feuillets en parchemin, manuscrits, qui forme un parallélépipédique. Ceci est l’ancêtre du « Livre ». Le Codex remplace les « Rouleaux »

Le Codex  « Vaticanus » ---- comme le « Sinaïticus » ----- en plus des « Livres » que nous connaissons, comprend, pour l’Ancien Testament le --- « Livre d’Hénoch » et le  « Livre des Jubilés » --- [--seule la Bible Éthiopienne a gardé ces Livres --] --, pour le Nouveau Testament, après l’Apocalypse il y a : Epître de Barnabé, Épître d’Hermas le Pasteur, Épître des Apôtres, Épître de Jacques, la Deuxième Epître de Pierre, la Deuxième et Troisième Épître de Jean,  Évangile de Pierre, Évangiles des Hébreux qui a été la source de l’évangile canonique de Matthieu,……en fin de Livre les Écrits de Papias, Épître de Clément de Rome, Deuxième Épître de Clément de Rome, la « Didaché » qui signifie « enseignement » appelé aussi « Doctrine des Douze Apôtres » , que je vous conseille de lire, moi le PAÏEN, et vous vous apercevrez que c’est le « Père », c’est-à-dire le TRÈS-HAUT --- « EL-SHADDAÏ » ---, qui est prié et non Jésus le Nazaréen, son Fils unique. LUI, il est le « Serviteur » de son « Père ».

Le Codex « Alexandrinus » datant du Vème siècle est conservé à la British-Library

Le Codex « Sinaïticus » découvert en 1844 dans le monastère de Sainte-Catherine au Sinaï est conservé au British-Muséum. Ce codex est de la même époque, de la même origine que le codex Vaticanus-----320--330, IVème siècle.

 Le meilleur !…

Le Codex « Vaticanus », manuscrit en « Velin », écrit en grec « oncial »-----ancien grec-----, daté du IVème siècle, 320---330. 

Il s’agit de l’un des plus anciens manuscrits de la Bible, le plus complet, Ancien et Nouveau Testament confondus.

Si ma mémoire ne me fait pas défaut, c’est le « Codex Sinaïticus » dont les cinquante premiers exemplaires furent terminé en l’an 360 avec l’Ancien et le Nouveau Testament mais en plus « l’Épître de Barnabé, les Livres d’Hermas le Pasteur, le quatrième Livre des Maccabées » et en moins « l’Apocalypse de Jean », qui sera ajouté au Codex Vaticanus au Concile de Constantinople en l’an 381 sous l’Empereur Romain Théodose 1er, qui après la mort de Gratien, Empereur Romain de l’Occident, fait la réunification de l’empire et du point de vue religieux reprend le titre de « Pontifex Maximus » que Gratien avait abandonné à l’Évêque de Rome ce qui avait déplu à Théodose et pour faire comprendre à Gratien que c’était bien lui le « Pontife » de la religion chrétienne il installa son siège apostolique à Constantinople.

Au Concile de Nicée en l’an 325, quand les livres bibliques furent choisis arbitrairement l’Apocalypse de Jean était considéré comme un livre hérétique et apocryphe

C’est dans les petits Conciles nommés « Conciles régionaux » que certains dogmes furent ajoutés aux Évangiles, exemple entre les « Conciles de l’an 340 jusqu’à ceux de l’an360 » fut ajouté ce dogme qui fait force de Loi « Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon « Église » » Matthieu XVI : 18 et seulement Matthieu écrit cela, personne d’autre, ni Marc, ni Luc, ni Jean.

Le terme « Christ » fut accolé à Jésus en 326-328, après le pèlerinage d’Hellène, mère de Constantin le Grand, à Jérusalem.

C'est à partir du IVème siècle que la croix devient emblème et symbole de la chrétienté, par l'Empereur Constantin le Grand à travers le chrisme. C’est à partir de cette époque et l’invention de la relique de la « Vraie Croix » par la mère de l’Empereur que son culte se répand, signe sur les vêtements, les maisons, les sarcophages, les pièces de monnaie, tatouages aux vertus propitiatoires ou protectrices, et, au cours des IVème et Vème siècle, elle commence progressivement à orner les édifices religieux. Constantin et sa famille ne sont pas les promoteurs d'une impulsion iconographique, ils le sont par contre d'une architecture cultuelle qui, parmi d'autres ouvrages, voit s'édifier les Basilique tel que la Basilique Sainte Croix de Jérusalem à Rome.

J. Hall écrit : « Après la reconnaissance de la chrétienté par Constantin le Grand, les chrétiens ne craignent plus les persécutions et, encore plus à partir du Vème siècle, la croix commence à être représentée sur des sarcophages, cercueils de pierre, des lampes, des coffrets et d’autres objets. » La plus ancienne attestation de « Croix-Trophée » figure sur un sarcophage daté de 340-350 conservé au Musée Pio Cristiano, Italie.

Au début du Vème siècle Rufin d’Aquilée rapporte les circonstances de la découverte de la « Vraie Croix » dans un récit considéré comme l’élaboration d’une Légende.

« Hélène vint à Jérusalem, inspirée par Dieu. Un signe céleste lui indiqua le lieu qu’elle devait creuser. Elle en retira trois croix, celle du Christ et celles des deux larrons. Hélène demeura perplexe car comment reconnaître parmi elles le bois sur lequel Jésus avait subi sa douloureuse agonie ? Macaire, l’évêque de Jérusalem, qui assistait l’impératrice dans ses recherches, demanda qu’on amenât sur une civière une femme mourante. Au contact de la première croix, la moribonde demeura insensible : la seconde croix elle aussi, ne produisit aucun effet, mais à peine la femme eut-elle touché la troisième qu’aussitôt elle se leva et se mit à marcher avec entrain et à louer Dieu. Ce miracle permit ainsi de distinguer la vraie croix. Hélène fit trois parts de cette croix, l’une destinée à Jérusalem, la seconde à Constantinople, la troisième à Rome. »

De ce voyage elle amena trois morceaux de la « Vraie Croix ».

Un pour l’évêché de Rome en Occident un pour l’épiscopat de Constantinople en Orient et un autre qui serait resté à Jérusalem pour y être déposé dans la Basilique construit sur le lieu théorique de la découverte. Les Scribes copiant le Codex Sinaïticus accoleront à Jésus le terme « Christ » qui ne signifie plus Messie, Oint, mais christos, crux, croix en français, donc c’est Jésus-Croix, Jésus-Crux, Jésus-Christos, soit Jésus-Christ. Maintenant la croix est devenue un objet sacré, on se signe devant une croix, en formant une croix, au Nom du Père sur le front, du Fils au bas de ventre, du Saint-Esprit, sur l’épaule gauche avec un « Ainsi soit-il » ou « Amen » par un toucher sur l’épaule droite. Pour la religion Orthodoxe, les trois doigts de la main réunis, annulaire, majeur, index, représentativité de la Trinité, représente le patibulum en partant de droite à gauche, le contraire du Catholicisme, de gauche à droite.

La croix, de toute la chrétienté est considérée comme le symbole principal de cette religion, c’est l’image du gibet de la crucifixion de Jésus le Nazôréen, mais le symbolisme de la « Croix » est beaucoup plus ancien puisque les Prêtres Babyloniens portaient un turban autour de la tête qui descendait derrière à la manière des Évêques avec leur mitre à tête de poisson, et sur lequel des croix étaient découpées à espace régulier. Julien Ries, 19-04-1920 décédé 23-02-2013, prêtre catholique Belge, du diocèse de Namur, anthropologue et historien des religions de renommée internationale souligne le caractère universel de la croix : Mésopotamie, Élamite, Amérindienne, etc.

La croix représente en premier un engin de torture romaine par la crucifixion. C’est un terrible supplice par la douleur et du point de vue « intelligent » c’est une mort humiliante pour l’époque.

Ce que la littérature nomme « chrétien » aux trois premiers siècles, ce terme est pour ainsi dire inconnu les deux premiers siècles, car employé seulement en milieu restreint, terme utilisé par Polycarpe de Smyrne le jour de son exécution

Martyre de Polycarpe de Smyrne IX : 2, à XII : 3

« 2. Le proconsul se le fit amener et lui demanda si c'était lui Polycarpe. Il répondit que oui, et le proconsul cherchait à le faire renier en lui disant :

« Respecte ton grand âge » et tout le reste qu'on a coutume de dire en pareil cas ; « Jure par la fortune de César, change d'avis, dis : A bas les athées. »

Mais Polycarpe regarda d'un œil sévère toute cette foule de païens impies dans le stade, et fit un geste de la main contre elle, puis soupirant et levant les yeux, il dit :

 « A bas les athées ! »

3. Le proconsul insistait et disait :

« Jure, et je te laisse aller, maudis le Christ ! »

Polycarpe répondit :

 « Il y a quatre-vingt-six ans que je le sers, et il ne m'a fait aucun mal ; comment pourrais-je blasphémer mon roi qui m'a sauvé ? »

X : 1. Et comme il insistait encore et disait :

 « Jure par la fortune de César ! »

 Polycarpe répondit :

« Si tu t'imagines que je vais jurer par la fortune de César, comme tu dis, et si tu fais semblant de ne pas savoir qui je suis, écoute je te le dis franchement : Je suis chrétien. Et si tu veux apprendre de moi la doctrine du christianisme, donne-moi un jour, et écoute-moi. »

2. Le proconsul répondit :

 « Persuade cela au peuple ! »

 Polycarpe reprit :

« Avec toi, je veux bien discuter ; nous avons appris en effet à donner aux autorités et aux puissances établies par EL-SHADDAÏ, le respect convenable, si cela ne nous fait pas tort. Mais ceux-là, je ne les estime pas si dignes que je me défende devant eux. »

XI : 1. Le proconsul dit :

 « J'ai des bêtes, et je te livrerai à elles si tu ne changes pas d'avis. »

 Il dit :

« Appelle-les, il est impossible pour nous de changer d'avis pour passer du mieux au pire, mais il est bon de changer pour passer du mal à la justice. »

2. Le proconsul lui répondit :

« Je te ferai brûler par le feu puisque tu méprises les bêtes, si tu ne changes pas d'avis. »

Polycarpe lui dit :

« Tu me menaces d'un feu qui brûle un moment et peu de temps après s’éteint. Tu ignores le feu du jugement à venir et du supplice éternel réservé aux impies.

 Mais pourquoi tarder ? Va, fais ce que tu veux. »

XII : 1. Voilà ce qu'il disait et beaucoup d'autres choses encore. Il était tout plein de force et de joie et son visage se remplissait de grâce. Non seulement il n'avait pas été abattu ni troublé par tout ce qu'on lui disait, mais c'était au contraire le proconsul qui était stupéfait. Il envoya son héraut au milieu du stade proclamer trois fois :

« Polycarpe s'est déclaré chrétien ! »

2. A ces paroles du héraut, toute la foule des païens et des Juifs, établis à Smyrne, avec un déchaînement de colère, se mit à pousser de grands cris :

« Voilà le docteur de l'Asie, le père des chrétiens, le destructeur de nos dieux ; c'est lui qui enseigne tant de gens à ne pas sacrifier et à ne pas adorer. »

En disant cela, ils poussaient des cris et demandaient à l'asiarque Philippe de lâcher un lion sur Polycarpe. Celui-ci répondit qu'il n'en avait pas le droit, puisque les combats de bêtes étaient terminés.

3. Alors il leur vint à l'esprit de crier tous ensemble :

 « Que Polycarpe soit brûlé vif ! »

Il fallait que s'accomplît la vision qui lui avait été montrée : pendant sa prière, voyant son oreiller en feu, il avait dit d'un ton prophétique aux fidèles qui étaient avec lui :

« Je dois être brûlé vif »

Le mot « chrétien » n'est pas utilisé par le Nouveau Testament pour désigner les disciples de Jésus le Nazôréen ; ceux-ci sont habituellement appelés les « Galiléens » ou les « Nazôréens ». Comme souvent je l’écris les textes dit « d’Inspiration Divine » tel que les « Évangiles » ont été falsifiés, altérés, corrompus, dénaturés de leur pensés d’origine.

Une preuve ? …

Nous avons tous appris que les Actes des Apôtres ont été écrit par le Disciple Luc l’Évangéliste. Que savons-nous de ce Disciple ?

Pardonnez mon retard dans les « Écritures ». J’ai dû me faire opérer d’un avant-bras car je ne pouvais plus commander mes doigts, alors pour vous écrire cela devenait de plus en plus difficile pour moi. Au cours de cette opération j’ai eu la chance de voir la puissance de celui que je nomme « EL-SHADDAÏ », ce Dieu seul et unique, qui au cours de l’injection pour m’endormir, un goût subit de ferraille, m’arriva dans la bouche.

J’en ai fait part à l’infirmière qui assistait l’anesthésiste, et elle comprit tout de suite, et ordonna que l’on arrêtât l’injection. Le chirurgien avec mon accord du opérer à vif et à la place de durer vingt minutes, cela dura deux heures. Après l’intervention, je me suis permis de demander au chirurgien pourquoi ils arrêtèrent tout de suite l’injection. Il me fit savoir que si je ne parlais pas de ce goût étrange et désagréable de ferraille dans ma bouche, il y a forte chance pour que je ne sois plus de ce monde car c’était un rejet immédiat du produit par le cœur, surtout que le corps a rejeté le produit tout de suite en particulier le cœur.

Pourquoi j’ai tout de suite parlé de cette saveur de fer à cette infirmière, je n’en sais rien ! Pourquoi j’ai supporté l’opération à vif, je ne sais pas ?

La seule chose que je me souvienne c’est ces remerciements de courage par les deux chirurgiens et les quatre infirmières qui me remerciaient pour la vaillance que j’avais eu de supporter la douleur de l’incision sur un peu plus de quinze centimètres de longueur et trois à quatre centimètres en profondeur. Comment leur expliquer que je n’ai vraiment ressenti la douleur par seulement deux fois ?

Difficile de dire à votre chirurgien je n’ai rien senti grâce à la prière et à l’aide, la protection de ce Dieu seul et unique, surtout qu’il me déplaçait un nerf moteur de commandement de la main !

Je sais que dans ma quête pour vous faire connaître ce « Dieu », cet Être Suprême, seul et unique, ainsi que son Fils engendré qui n’a pas de « Divinité » car ce n’est pas un Dieu, lui-même nous l’enseigne dans l’Évangile de l’Apôtre qu’il aimait le plus, celui de Jean XX :17, vérifiez et lisez avec le cœur et vous saurez que j’ai raison. Vous mes semblables vous irez vers ce « Dieu » et arrêterez d’être idolâtre, devant un crucifix une statue représentant un Disciple, un Apôtre, une vierge, en vous signant devant ces images taillées de pierre, de bois, de métal, matière sans vie.

Sans doute que je dois encore rester sur cette Terre, pour continuer à écrire pour ce Dieu seul et unique EL-SHADDAÏ pour que son nombre d’Enfants croissent afin que le « petit nombre » soit le plus grand possible.

Portez-vous bien !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 20-09-2016 à 07:50:37

Genèse d'une ... chap. N°1 - Supérieur à l'Homme

Genèse d’une Religion, le Christianisme

 

Nous sommes au mois de septembre 2016 et je suis obligé de penser à mes semblables. Le 23 de ce mois je me fais hospitaliser pour une intervention chirurgicale. Je vais avoir du mal à écrire pour vous et ceci me fait penser à cette merveilleuse machine qu’est l’Humain.

Il ne peut pas y avoir évolution, la machine humaine est trop bien agencée. Si par mégarde vous venez de vous couper, vous réunissez les chairs, les maintenez bien collées et un mois après c’est comme si, il n’était rien arrivé, comme à l’origine. Mais encore vous pouvez penser faire le bien, faire le mal, convoiter la femme de votre prochain, penser et prier un « Dieu » ou plusieurs. Grâce à votre cerveau et l’esprit qui vie par lui vous pouvez par la parole dire du bien de votre semblable et penser en mal sur lui sans qu’il le sache.

Mais vous pouvez vous poser la question sur l’existence de ce Dieu seul et unique que je vénère et que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham. Je n’oublie pas que nous sommes nous humains sa ressemblance et en regardant la foule je vois les multiples facettes de ce Dieu. C’est vers lui que vous devez aller !

 

Chapitre N° 1

 

Supérieur à l’Homme

 

Pour commencer je suis considéré par la religion chrétienne comme faisant partie des « Païen », situation que je suis fier de portée.

Voilà plus d’une décennie que j’écris sur différents « Blogs » pour vous faire connaître la vérité sur les principales religions existantes sur notre Planète Terre, toute la chrétienté, la musulmane et la judaïque, mais il y a aussi l’hindouisme et le bouddhisme, les autres comme le confucianisme ou le taoïsme sont plus des courants de penser que des religions. Mon but n’est pas d’avoir beaucoup de Lectrices et Lecteurs qui soit en accord avec moi, ce qui m’amènerait un nombre certain de commentaires, mais plutôt que l’humain qui vient me lire se remette en question en abandonnant en premier la religion idolâtre dont il fait partie.

En effet toutes les religions terrestres sont idolâtres, celle que l’on considère la plus vieille est la religion araméenne ou hébraïque dans un très vieil hébreu disparu complètement aujourd’hui, mais qui aurait été le langage antédiluvien. A cause du religieux les scientifiques paléographes ne se prononcent pas avec certitude sur des écrits très anciens indéchiffrables plus ancien que le sumérien.

Comme moi vous avez appris la dispersion des humains sur toute la Terre après que ces derniers construisirent cette Tour de Bélius à Babel pendant quarante-trois ans avant la confusion du langage et de l’aspect de chacun. Tous les humains participaient à la construction, hommes, femmes, enfants, vieillards …, exceptés quelques rebelles qui étaient contre cette bâtisse comme : « Nachor, Ruge, Saba, Armodath, Iobab, Abimahel, Zaba. »

Aujourd’hui, grâce aux archéologues qui parcourent le monde, nous pouvons certifier que ce système de construction a été pratiqué sur toute la face du globe et toujours pour des édifices religieux et mortuaires. Il suffit de regarder les premières pyramides, les temples Aztèques, Incas, et même certaines constructions de temples asiatiques. Nous sommes bien obligé de reconnaître que ces édifices ont tous la même origine, de par leur conception extérieure similaire, sauf se mentir effrontément ….., et cela n’a jamais fait avancer la science, au contraire !

Voici quelques références « d’ÉCRITS et TEXTES » religieux ou historiques les plus connus, souvent falsifiés, réservés à certaines élites, certes très instruit, mais peu intelligent, car manquant souvent de logique, certifiant « vérité » leur supposition, supputation, imaginaire, invention, déformation de certains textes …, les autres beaucoup plus authentiques et véridiques évincés du grand public.

Quelques exemples ci-dessous ! ….

-----« Eusèbe de Césarée dans ….  « Préparation évangélique, voir particulièrement Livre IX, Chapitre XVIII » « Histoire ecclésiastique » …, Saint Jérôme dans « Prolugus Galéatus », … Philon dans « De opificio mundi » et « Confusione linguarum », … Ben Sirach « Ecclésiastique » IIIème siècle av. J.C., …La vie des Réchabites selon la « Narration de Zosime », … Légende iranienne du Roi « Yima » dans le « Vendidad », …  Code de Hammourabi XIX, XVIIIème siècle av. J.C. « La Loi du Talion », … Édouard Dhorme recueils « l’Épopée de Gilgamesh, le Déluge babylonien, l’Aurore de l’histoire Babylonienne », …. Chez Plon « Les Manuscrits de la Mer Morte », … La Bible de Jérusalem, … La Bible des Pléiades « Ancien et Nouveau Testament », … La IIIème Bible « Écrits Intertestamentaires » « Testament de Ruben, Nephtali, Gad » « Écrits Sibyllins », « Les Jubilés », « Antiquités Bibliques », …. Hénoch ou Énoch, … Baruch, Esdras II, III, IV, … La Bible éthiopienne en Guèze ... Flavius Joseph de Vidal et Naquet dans « Antiquités Juives, Guerre des Juifs » et beaucoup d’autres comme les Religions et Civilisations Aztèques, Incas, Hindous IXème siècle av. J.C., …Naissance du Bouddhisme, … etc. »

Premier Texte proche de la BIBLE commune …

----« …EL-SHADDAÏ dit :

 « Voici ce qu’un peuple unique a entrepris de faire ; maintenant rien ne leur échappera. Allons, descendons et confondons leurs langages. Qu’ils n’entendent plus les paroles les uns des autres et qu’ils se dispersent parmi les villes et les nations. Ainsi ils ne concevront aucun dessein unique jusqu’au jour du Jugement. »

EL-SHADDAÏ descendit, et nous descendîmes avec Lui, pour voir la ville et la Tour qu’avaient fondées les humains. Elle se trouvait entre Assur et Babylone, dans le pays de Shinear. Il confondit leur langue, et ainsi ils n’entendirent plus les paroles les uns des autres et cessèrent de construire la Tour et la ville. EL-SHADDAÏ envoya un vent violent sur la Tour et la renversa à terre. On l’appela « La RUINE ». ….. »----

C’est ce texte des Septante qui fut adopté par les Massorètes, et qui fut altéré plusieurs fois.

Deuxième Texte : celui-là, par contre, fut évincé avec empressement, pourtant connu d’Origène, Eusèbe de Césarée, Philon, le Talmud de Babylone, le TaNack, de Baruch, Esdras, Isaïe …

 Pourquoi ? …

 Sans aucun doute la réponse est là ! … ! …

-----« …EL-SHADDAÏ dit :

 « Voici qu’ils sont un seul peuple et ils ont une seule langue pour tous. Ce qu’ils ont commencé à faire, la terre ne le supportera pas et le ciel ne pourra tolérer sa vue. Il arrivera, si on ne les empêche pas immédiatement, qu’ils deviendront audacieux en tout ce qu’ils auront décidé de faire.

 C’est pourquoi, voici que je vais séparer leurs langues, changer leur aspect, leur visage et je les disperserai dans tous les pays pour que chacun ne connaisse plus son frère et que chacun d’entre eux ne comprenne plus la langue de son prochain.

 Je mets les pierres en garde à leur sujet. Ils se construiront des demeures avec les tiges de la paille et ils se creuseront des cavernes et, comme les bêtes des champs, ils habiteront là.

Et il en sera ainsi devant moi en tout temps, pour que plus jamais ils ne pensent à cela. Je les considérerai comme une goutte d’eau et je les comparerai à un crachat. Pour certains, leur fin viendra dans l’eau, quant aux autres, ils seront desséchés par la soif. »

EL-SHADDAÏ descendit, et nous descendîmes avec Lui.

EL-SHADDAÏ fit tout ce qui avait été dit.

 Il sépara leurs langues, changea leur physique, leur aspect, chacun ne reconnaissant plus son frère, ne comprenant plus la langue de son prochain. C’est ainsi que leur dessein fut brisé et qu’ils cessèrent de bâtir la Tour.

EL-SHADDAÏ les dispersa de là, sur la face de toute la terre. Chacun partit selon son aspect, selon son langage. A cause de cela, on donna à ce lieu le nom de « CONFUSION » et de « RUINE » car EL-SHADDAÏ confondit leurs langages, changea leur visage et leur aspect, qu’il les dispersa sur la face de toute la Terre, et c’est là qu’il envoya un vent violent qui détruisit toute la Tour et la ville. …. »----

En lisant ces « Textes » nous comprenons mieux la diversité de la race humaine.  Mais avec des « Écrits » comme ceux ci-dessus, la religion prend un coup de massue, et les scientifiques aussi, car la première a ses dogmes en disgrâce, et les autres sont obligés de reconnaître une « Force Supérieure », donc un phénomène religieux. Voilà pourquoi les deux ont intérêt que ces Textes restent cachés.

En premier, ce Texte détruit complètement la doctrine de « l’évolution », puis la croyance des « Cro-Magnon, Neandertal, et tout ce qui se termine en « thrope » ».

 Pour moi ce Texte confirme que des humains vivaient dans des grottes, et qu’ils connaissaient l’écriture, le dessin et la peinture. Il suffit de regarder les fresques des grottes de Lascaux, pour voir que la différence avec les animaux d’aujourd’hui est minime, surtout que l’humain a anéanti pas mal de races de chevaux, car les dessins représentent bien des chevaux.

Des « Écrits » comme ceux-là remettent tout en question, même les dates ! …

Je viens de vous faire toucher ce que seront les Textes et Écritures suivant, ce mélange historique comme preuve de la vérité, mais aussi ces faits étranges qui seront là pour vous faire raisonner, à la recherche de ce Dieu seul et unique, ce Dieu qui avait donné son « NOM » à Moïse, son « AMI », et qui était inscrit en sceau sur le turban frontal du Grand Prêtre afin que tous les humains puissent le lire, oui ! Mais voilà ! Ces derniers ont estimé ce « Nom » trop « Saint » pour être prononcé par n’importe quel humain et que cette prérogative leur était réservé à « Eux » Grand Prêtre. Voilà pourquoi j’appelle ce Dieu comme Abraham, soit EL-SHADDAÏ qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes », mais aussi parce que ce « NOM » est écrit sept fois dans la Genèse comme une plénitude et que ce « Nom » n’est pas une invention de ma part.

Revenons à cet ère de la Tour de Bélius dont la ville qui sera construite à quelques petits kilomètres de cette Tour sera baptisée Babylone.

Les humains se réunissent en groupe de même aspect, puis de même langage pour se comprendre ceux à la peau jaune prennent la direction de l’Asie traversent ce grand fleuve qu’ils nomment « Indus » et le Territoire terrestre prit entre la Mer d’Oman et le Golfe du Bengale sera nommé « Inde ». Le langage sera l’hindi et une très grande religion se formera « l’Hindouisme » ou « Sanatana Dharma » qui signifie « Loi Éternelle ». C’est une des plus vieilles religions du monde encore pratiquées qui n’a ni Fondateur, ni Église, mais un milliard de fidèles répartie dans quatre-vingt-quatre pays suivent sa théologie, et c’est la troisième religion mondiale après le « christianisme » et « l’islam ».

Cette religion, l’hindouisme, a la particularité de n’avoir ni prophètes, ni dogmes, mais comme le christianisme cette religion sculpte des statues qui représentent leurs Dieux car l’hindouisme est une Trimurti avec le Brahman, « Brahmâ, Vishnou, Shiva » comme le christianisme avec la « Sainte Trinité »

Cette religion a son embryon, le Bouddhisme né de Siddhartha Gautama le « Bouddha » qui signifie « l’éveillé ». Il est natif de Lumbini sur la route de Kapilavastu capital du clan familial dans l’actuel Népal sur les contreforts de l’Himalaya. Son père le souverain Suddhodana, appartenait à la caste des guerriers « ksatrivas » et sa mère la princesse Mayadevi était issue du clan des Koliyas, tantôt allié, tantôt adversaire des Shakyas.

C’est la quatrième religion mondiale avec environ un demi-milliard de fidèles répartie dans le monde.

Le christianisme veut le nier, mais il ne faut pas oublier que cette religion est un germe du Judaïsme, et que le protestantisme est un kyste de la chrétienté occidentale, quant à l’orthodoxie cela est due à une scission de la chrétienté en deux blocs en 1054 au sujet du « filioque » qui fut l’excuse pour avoir l’Église d’Orient, orthodoxe, et l’Église d’Occident, catholique.

Je voulais essayer d’écrire comme mes semblables d’Internet, mais cela est dans une impossibilité puisque je dénonce l’idolâtrie religieuse de tout bord, ainsi que son hypocrisie.

Donc, à tout point de vue, je préfère avoir un nombre de visite limité, mais avoir des humains qui réfléchissent et raisonnent et qui se transforment pour être les « Enfants » de ce Dieu unique, ce Dieu SHADDAÏ, son fils unique Jésus le Nazaréen ou Nazôréen qui sera notre Roi sur la Terre au moment voulu par son Père EL-SHADDAÏ, et qui est notre médiateur pour le moment car il nous représente dans les Cieux.

Cette mise à jour importante étant faite, ce qui permet un respect mutuel, je reprends le cours normal des écritures.

Que savons-nous de la naissance des religions ? Pour ainsi dire rien ! L’origine de l’homme et de sa multiplication commence dans la même région qui est l’Anatolie et la Mésopotamie.

Depuis le commencement de l’humanité, l’humain a toujours cru à une force supérieure à lui-même qui débute par le monothéiste. Je ne parlerai pas de « l’Évolution » puisqu’il est prouvé aujourd’hui que Darwin était un faisan avec son « Évolution ». Une chose est certaine scientifiquement, l’humain était beaucoup plus intelligent il y a trois mille ans et son sang était de meilleure qualité qu’aujourd’hui, je dirai même, et ce que j’écris ce jour est prouvé par la science, le sang des années 1950 était de meilleure qualité que le sang de l’année 2016. Comme je vous l’ai souvent écrit le sang est la vie, mais si celui qui a créé l’homme n’intervient pas, l’humain se dirige vers sa propre perte, son anéantissement, car le sang transportera le suicide programmé de l’humain tellement son sang sera mauvais.

Vous mes semblables je vous demande de bien réfléchir sur ce que je viens d’écrire car cela est une prophétie certaine et les scientifiques le savent bien, et malheureusement pour nous ils n’ont pas le remède. Je ne veux pas faire peur à mes semblables et pourtant c’est une vérité.

Donc en tout premier l’humain était monothéiste, puis il y a eu cette dispersion soudaine de la race humaine sur tout le globe terrestre. Je ne parle toujours pas du religieux car pour le moment ce n’est que l’histoire de l’humanité conté par de nombreux historiens et scientifiques comme les paléontologues et géologues.

L’humain à la naissance d’Abram était devenu polythéiste, mais il y avait toujours un Dieu supérieur à tous les autres et en général c’était celui de la guerre.

Abram nommé Abraham par EL-SHADDAÏ, car cela signifiait, « Père des Nations », était  le principal patriarche de la religion hébraïque postdiluvienne, aïeul du judaïsme, du christianisme, et l’un des cinq grands prophètes de l’islam, ascendant du peuple hébreu et des « Mousta’riba », Arabes assimilés aux Arabes, descendants d’Ismaël fils d’Agar la servante d’Abraham, établis dans le Hedjaz, Arabie Déserte puis se sont répandus successivement dans toute la Péninsule Arabique et au-delà du Golfe Persique.

La religion hébraïque est le berceau ou la naissance des trois grandes religions mondiales directement et indirectement c’est-à-dire des fœtus des autres religions. La religion la plus proche du judaïsme est le christianisme. Cette religion nie tout rapprochement avec la religion hébraïque même si elle en a pris les bases fondamentales tel que l’Ancien Testament.

Avant de se nommer « christianisme » pendant les trois premiers siècles de son existence ce n’était que des sectes juives ou hébraïques. En effet pendant les deux premiers siècles les « Assemblées » ou « Églises » se nommaient la « Mouvance des Nazôréens, Nazaréens, Nazaréniens, de Nazareth », les « Messianistes ».

J’espère que cette lecture vous a bien enseigné, car il est important de connaître la vérité sur les religions, mais j’écrirai le plus sur celle qui nous intéresse avec plus de deux milliards de fidèles et même plus si nous prenons toute la chrétienté.

Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales à Tous

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 09-09-2016 à 18:15:37

Rébellion d'un Quidam, chap N°4 Final - Responsable

Comme vous avez dû vous en apercevoir, maintenant je mets le triple de temps pour faire mes recherches car je veux, je désirerai que ce soit vous qui réfléchissiez, raisonner sur les écrits Bibliques.

Comme vous le savez toute chose dans l’Univers porte un « NOM »

L’Être Suprême avait un « Nom » qu’il avait donné à Moïse pour que tous les humains de la Terre le connaissent ! Oui ! Mais l’être humain a un esprit tortueux et « Ceux » qui avaient la charge d’enseigner leurs semblables ont décrété que ce « Nom » était trop saint pour être prononcé par un simple mortel. Alors pourquoi cet Être Suprême a-t-il donné son « Nom » à Moïse ? Alors pourquoi cet Être Suprême l’a-t-il fait inscrire en sceau sur le front des Grands-Prêtres pour que tous les humains puissent le lire ?

Voilà pourquoi je nomme cet Être Suprême comme Abraham puisque ce « NOM » est marqué sept fois dans la Genèse comme une plénitude soit « EL-SHADDAÏ » qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes »

Donc mes semblables quand vous priez, en particulier les « Chrétiens » surtout quand vous récité dix fois un « Pater » ou « Notre Père », Matthieu VI : 9-13, vous commencez bien par : Notre Père qui est au Ciel ou qui est au Cieux, que ton « NOM » donc cet Être Suprême a bien un Nom, pas ce nom vulgaire de « Dieu », mais comme toi on ne t’appelle pas « homme » ou « femme » ou « frère », mais bien par Thomas ou Sandrine ou Jules, ou Lydia, donc que ton « NOM » EL-SHADDAÏ soit sanctifié qui signifie vénéré, glorifié, adoré, et là vous appelez bien votre Père Créateur « EL-SHADDAÏ » et non Jésus-Christ qui n’est pas un Dieu puisque Jésus le Nazôréen le dit lui-même Jean XX : 17 « Jésus lui dit : « Ne me touche pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va trouver mes frères et dis-leur : je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »

Devant un texte comme celui-ci il n’y a plus rien à dire

Alors vous mes semblables chrétiens réfléchissez bien car ça ne sert à rien de réciter comme un âne dix fois la même prière, une sincère même assis sur le « trône » dans les chiottes a plus d’importance pour EL-SHADDAÏ que vos dix paters récités dans l’église devant un crucifix où la statue de matière représentant un humain quelconque que vous nommez « Saint »

 

Dernière phrase du Chapitre précédent

 

Ce que j’ai façonné de mes mains le plus merveilleux, le plus complexe, le plus splendide de toute ma création est l’humain, être de matière à mon image, à leur ressemblance, à notre reflet, car comme Moi je l’ai fait « créateur », « inventif », avec une mémoire, une réflexion, mais aussi avec tous les sens, tous les sentiments.

C’est à cause de cela que j’aime l’Humain, que j’ai une attention particulière pour LUI, bonté, miséricorde, amour, compassion, patience ……

Je l’ai conçu parfait, comme tous les Visibles des cieux, je lui ai même offert l’ESPRIT, pour qu’il soit vraiment mon image comme-ci je me regardais dans une glace, avec cette liberté d’Esprit, et Lui quand à-t-il fait ?

Toi, Vous, les HUMAINS, vous me faites réprimande !

 C’est l’Humain, qui, volontairement par vanité, orgueil, convoitise, librement a choisi sa voie ! 

Aujourd’hui les humains disent que je suis un Dieu machiavélique, mais au départ, c’est l’humain qui a désobéi, connaissant en plus la sentence !

Tiens, pour te dire à combien vous me ressemblez ! 

Avec tes enfants, vos enfants, vous ne mettez pas une interdiction pour savoir si vous pouvez avoir confiance ? 

Vous les prévenez bien, même plusieurs fois !

 Et pourtant …… !

 Comme les premiers humains …….

« Libre de leur choix » ! 

Alors comme Moi, « A. « QUIDAM » » tu es machiavélique avec tes enfants ? … »----

 

La rébellion du « QUIDAM »

 

Quatrième Chapitre et Fin

 

[Parenthèse suite

 Voilà le dernier chapitre de la rébellion du Quidam. Sur le Manuscrit qu’il m’a laissé beaucoup d’écritures m’oblige à relire et comprendre ce qu’il a écrit. Une chose est certaine …, comment deux milles, et peut être trois milles ans avant la naissance de Jésus le Nazôréen, ce « Scribe de Justice » a écrit qu’à l’ère des dernières générations tous les humains de la Terre se parleraient les uns, les autres ? ….

Deux milles ans après la naissance de Jésus le Nazôréen Les êtres humains se parlent les uns, les autres, la preuve avec ce massacre de Nice puisque le président des USA, Continent éloigné de notre Europe envoyait ces condoléances à notre Président de la République par un discours officiel, mais que les dirigeants Asiatiques Continent opposé à celui des « USA » et à « l’Amérique du Sud » en faisaient de même nous prouvant que tous les êtres humains du globe se parlent les uns, les autres. Autre « Signes » pour les humains, c’est « l’Arc-en-Ciel », qui est un contrat entre les humains et leur Créateur comme quoi jamais plus il n’y aurait de catastrophe sur la Terre pour détruire l’homme en une seule fois, mais aussi afin d’éviter la destruction de toutes les âmes vivantes sur la Terre à cause de l’humain.

Trop de chose nous prouve l’incapacité de l’homme à gérer ce qu’on lui a donné, car la Terre a une gestion magnifique nous prouvant l’existence d’une force supérieure à nous, écartant toute « Évolution »

La seule chose que fait bien l’humain c’est se faire la guerre et se tuer les uns les autres.

Même le peuple choisit par l’Être suprême après avoir eu la Terre Promise, n’est resté que quatre siècles en paix, l’ère des Rois arrive avec les guerres fratricides et les guerres de pouvoir. A croire que l’être humain est maudit !

 

Pourrais-tu me laisser la parole que je puisse te répondre !

Oui ! 

Tu m’as offert une « VIE », puisque cette femme est enceinte d’une fille …

Oui ! … Tu écoutes mes prières, les exauces, individuellement …

Pourquoi, alors, tu laisses se propager famine, maladie, guerre, pauvreté… ?

Eux aussi sont des humains comme moi, comme Nous !

Eux aussi font partie de ta « Création » !

 Nous sommes « humains » comme EUX, imparfait, et comme EUX, tous les jours nous commettons des fautes !

Quelle différence existe-t-il entre EUX et Nous ?

Aucune !

Regarde cette disparité entre les humains, cette discordance ….,très riche et souvent abject et très pauvre n’ayant même pas le temps de penser à Toi, … EL-SHADDAÏ !

N’y a-t-il pas une contradiction avec les paroles que tu viens de prononcer ?

  Pourquoi tu nous regardes, nous écoutes, nous protèges, NOUS !

Serais-tu sectaire EL-SHADDAÏ ?

 Qu’avons-nous de si particulier ?

 

----« …  «  Stop ! …Tu es reparti pour le même réquisitoire ! …

Combien de fois mon FILS Bien-Aimé a-t-il traité ses Apôtres et Disciples d’imbécile !

Faut-il que je fasse de même avec Toi ?

Faut-il que je réitère pour que tu comprennes bien ?

Tu sais que la TERRE et ses environs sont le Royaume que j’ai donné à SAMMAËL et les SIENS pour des  « TEMPS », puis, « Un TEMPS », alors il faut respecter le temps donné  des « choses » …

Ça tu le sais !

Après avoir façonné l’ « HOMME », avant que je ne le dépose sur la Terre, Sammaël le premier Incorporel, le premier Ange comme vous les appelez, c’est rebellé contre moi, son « CRÉATEUR », à cause de l’  « HOMME » et ma lancé ce défi disant :

«  Moi ! Sammaël, le premier inventé, fabriqué, issu du feu et de la poussière du cosmos, je devrai me prosterner devant ton Image fait de matière et d’eau ? ….

J’établirai mon TRÔNE en face du Tien et je serai aussi puissant que TOI ! …. »

C’est là, que tu m’as vu le précipiter sur la TERRE avec tous ses partisans

Quand j’ai déposé l’ « HOMME » sur la TERRE, il était parfait en tout ; quand je lui ai donné une compagne, sortie de sa chair, elle était parfaite en tout !

Les deux étaient « Libre de leur Choix » comme les Anges dans les Cieux avec Sammaël !

Pas de menaces, pas de tortures, « Librement » ils ont choisi connaissant parfaitement la sentence.

 Et ce manque de courage :

 «  Ce n’est pas moi, c’est l’animal ….., ce n’est pas moi c’est la femme que …. »

A ce jour rien n'a changé avec l’ « HOMME, l’HUMAIN », ce n’est pas vous, c’est Moi EL-SHADDAÏ responsable de vos malheurs !

Pourtant sur cette TERRE je vous ai tout offert pour que vous soyez heureux, mais c’est par votre perversion volontaire que vous faites votre propre malheur.

 Comme tous les Incorporels des Cieux, comme Adam et Ève vous avez le « Libre Choix » !  

Vous êtes libres de vous-mêmes, libre de vos actions, de vos pensées !

Pourquoi existe-t-il sur la Terre les guerres, famines, épidémies ?

C’est vous les humains, qui, volontairement détruisez tout ce que je vous ai offert à cause de votre cupidité, avidité, méchanceté, vanité, convoitise, orgueil, etc …

Je sais que l’humain se transforme à cause de cette imperfection, cette tare qui grandit de génération en génération, mais cette décadence de l’humain est bien due à l’humain !

« A . « QUIDAM » » reconnaît ce fait, cet exemple flagrant !

Considère, regarde ce qui reste des enseignements de mon FILS BIEN-AIMÉ, JÉSUS le NAZARÉEN !

 En quatre cents ans vous en avez fait un culte idolâtre, ce que j’ai en abomination.

 Vous avez ajouté, retranché, altéré, choisi les Écrits des Évangiles qui vous convenaient, supprimant, interdisant, brûlant tous les Epîtres, Lettres, Évangiles, même les « Livres d’Énoch, mon Scribe de Justice » qui vous enseignaient et vous dérangeaient dans votre conscience tel que le premier évangile de Matthieu, celui de Thomas, Pierre, Marc, Nicodème, les lettres des Apôtres et Disciples comme Céphas, Thaddée, Lucius de Cyrène, Hermas, Ananias, …

Que reste-t-il de l’instruction de mon FILS ? … Aujourd’hui, même à ce jour ?

Des Temples dans lesquels vous allez vous signer, vous prosterner devant de la matière sans vie, trempant le NOM de mon FILS dans vos coupes d’iniquités et de forfaitures oubliant l’essentiel de son enseignement :

 « Le Père est plus grand que moi, sans Lui je ne suis rien ! »

Il avait prévenu les humains, comme moi avec les deux premiers humains :

« Un cep de vigne a été planté en dehors du PÈRE et, n’étant pas solide, il sera arraché jusqu’à sa racine et détruit »

Tu as remarqué, constaté par tes actions antérieures qu’il était plus facile de suivre les Lois et Préceptes de SAMMAËL. A croire que les humains trouvent un immense plaisir dans leurs mauvaises actions. Pourtant il y a plus à gagner qu’à perdre à suivre mes « Commandements » !

Par ton expérience personnelle, aujourd’hui tu peux certifier qu’il est plus facile de suivre mes « Principes » que ceux de SAMMAËL, et tu es beaucoup plus heureux maintenant qu’avant !  

Regarde le travail que tu as accompli, et combien de tes semblables t’ont écouté ?

Tu as perdu ceux que tu croyais tes amis à cause de mon « NOM » !

Combien de tes bonnes relations ne viennent plus te voir, par ma faute, à cause de mon « NOM » et des enseignements véridiques de mon FILS ?

Leurs reproches :

 « A ; « QUIDAM » » depuis que tu m’as expliqué cette chose, tu m’ennuies car je ne peux plus la faire, ma « Conscience ». Ou, je reconnais que tu as parfaitement raison, mais tout le monde le fait alors ….., je continue mais il y a toujours ce phénomène d’écœurement, si seulement je ne t’avais pas écouté ! ….. »

Tu les déranges dans leur train-train !

Mon FILS a dit :

« Peut-être les hommes pensent-ils que je suis venu jeter la paix sur le monde ; ils ne savent pas que je suis venu jeter les divisions sur la Terre : feu, épée et guerre. Car il y en aura cinq dans une maison : trois contre deux et deux contre trois, le père contre le fils et le fils contre le père. »--log.16 Év. Thomas ----

Alors je trouve ton réquisitoire injuste, tes réprimandes non fondées, et avant d’ouvrir la bouche fait travailler ton cerveau, mets tes paroles sur une balance pour que celles-ci soient pour ton auditoire une référence de « Sagesse ».

N’oublie jamais « A. « QUIDAM » », tu es comme les Anges des Cieux, comme les Veilleurs et Anges qui sont tous les jours avec Toi, tu es complètement libre de ton choix, comme SAMMAËL, ADAM, ÈVE, tu as le « Libre Choix » !

Pour affirmer ton Cœur et ton Esprit, puisque tu es septique comme l’Apôtre de mon Fils Bien-Aimé Thomas, je te donnerai la « Vue », la « Connaissance », l’ « Intelligence », la « Compréhension » de tous les « SIGNES », car tout ira en empirant.

Toi et tes Semblables seront sous la protection des Armées de mon Fils Chéri, JÉSUS Emmanuel le Nazaréen, comme tu le nommes, nous serons votre défense et votre force telle est la volonté d’EL-SHADDAÏ SABAOT !

Car MOI ! …{ le NOM que chaque être humains me donne personnellement } …EL-SHADDAÏ, Créateur de l’Univers, du ciel et de la Terre, de l’homme façonné de mes mains, par ma volonté, à mon image, à leur ressemblance et notre reflet, car je suis en l’apparence de tous les humains, chacun étant Moi, comme tous les Incorporels, je suis dans une grande fureur contre la Terre ! …contre les humains !

Ils sont pires que Sodome et Gomorrhe !

Contrairement à ton procès, je regarde …, écoute …, entends …, vois ! …

Ils m’écœurent …, me répugnent …, me font vomir !

Je ne détruirais pas cette Terre à cause de TOI, de tes « Semblables », mon « Peuple », mais je vais la secouer, comme le chien fait pour éjecter tous ses parasites !

Oracle d’EL-SHADDAÏ!

Soyez joyeux votre rétribution approche ! …

Yeshouah, Jésus le Nazaréen, mon FILS BIEN-AIMÉ avec tous les Veilleurs, Anges, veillent sur vous ! …

Quant à Toi, « A. « QUIDAM » » il ne te reste que peu de temps sur cette Terre !

Comme promis tes camarades de Voyages t’attendent, et cette fois-ci, ton labeur terminé, il n’y aura aucune rémission, même si tu vas supplier mon Fils, car Lui, contrairement aux humains, il écoute les directives de son PÈRE.

Je ne veux plus de réquisitoire jusqu’à ta présence devant nous à l’ « ASSEMBLÉE » !

Demande, je te donnerai !

Appelle, je répondrai !

Prie, j’écouterai !

Sois fort, je serai ton armure !

Parle, je serai ton glaive …, ton miel !

Toi et toute ta maisonnée je vous bénis !

Ne doute pas !

Le « LIBRE CHOIX » !

Tu es « BÉNI » « A. « QUIDAM » » !

Oracle d’EL-SHADDAÏ ! … ! … » …. »----

 

Le réquisitoire du « QUIDAM » est fini.

Il me reste, et il vous restera sans doute, les mêmes questions …

Sans les réponses !

Que faisons-nous sur la Terre ?

Pourquoi nous avons l’impression que les bonnes actions sont plus difficiles à exécuter que les mauvaises ? …

Pourquoi quand nous commettons quelque chose que nous considérons bien cela nous rend heureux, joyeux ?

Au contraire, si nous calomnions, insultons, maudissons, etc …, nos semblables cela ne nous cause aucun problème, comme-ci ces actions faisaient parties de la vie courante, étaient normales ! ………

Et, cette conscience ? …… Interne à chaque individu ?

Quand vous arriverez à la fin de votre vie, vous vous poserez ces questions :

----- Je suis à l’âge …, de ……, qu’ai-je fais ? …que restera-t-il de mon passage ?

Pendant toutes ces années qu’ai-je vue de la Terre ? … Est-ce normal ? …De ma vie, qu’ai-je fait ? ------

Là, sachant que prochainement « DAME MORT » va venir vous chercher, selon votre conscience, une multitude de questions, de regrets, de remords vont venir vous pourrir l’Esprit.

N’est-il pas trop tard ? …

Je fais la promesse, que si Celui qui est au-dessus de ma tête, me laisse encore un peu de « Temps », je vous écrirai certains « Mystère » du visible dans l’invisible, sachant par avance qu’un nombre majoritaire d’humains fanatiques, bornés, dans leur idéal religieux, eux les insensés, au cerveau embuée, dépourvu de réflexion et Sagesse, m’insulteront d’aliéné, de mystique, de hâbleur, ainsi que tous les termes argotiques et grossiers leur passant par la tête.

Je l’écrirai quand même, si j’en ai le temps, pour le « Petit Nombre » d’humains qui sont à la recherche d’une « Vérité », d’une « Lumière » intérieur.

Leur « Conscience » !

Prenez soins de vous et portez-vous bien !

Cordialement !

Sig. JP.G. dit  « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 23-08-2016 à 09:38:32

Rébellion du Quidam, chap. N° 3

Dernière phrase du Chapitre précédent

 

Un temps dans le bien, tu demandes de l’aide et tu pries le Seigneur EL-SHADDAÏ, ton Dieu, tu fais des efforts pour suivre et respecter mes LOIS et mes PRÉCEPTES, tes pensées sont tournées vers moi le Créateur de toutes choses et tu t’éloignes du « Mal », et un autre temps, beaucoup plus long, car plus facile, où tu sers SAMMAËL par tes pensées, tes actions, où volontairement tu m’oublies, tu abandonnes mes Lois pour celles de « BÉLIAR », te trouvant sans cesse des excuses pour  agir avec le « Mal » ! …

N’ai-je pas raison ? …

Toi, « A. « QUIDAM » » tu me fais des admonestations ! …

Le courage ne te manque pas !

Que peux-tu dire pour ta défense ?

Jusqu’à quand vas-tu continuer à servir deux MAÎTRES ?

Mon FILS ne t’a-t-il pas enseigné ceci :

«  Il est impossible pour un homme de monter en même temps deux chevaux ou de bander deux arcs ; il est impossible pour un serviteur de servir deux maîtres, autrement il honorera l’un et offensera l’autre.

 Personne ne boit du vin vieux et n’a aussitôt envie de boire du vin nouveau. On ne verse pas plus du vin nouveau dans de vieilles outres, de peur qu’elles n’éclatent ; le vin vieux, on ne le verse pas dans une outre neuve, de peur qu’elle ne le gâte. On ne coud pas une vielle pièce sur un vêtement neuf, parce qu’il se produirait une déchirure. »

Quand te décideras-tu à lutter contre le « PRINCE du MAL » ?

 

 

 

La rébellion du

 

« QUIDAM »

 

Troisième Chapitre

 

[Parenthèse suite

L’Homme en premier reçu le « Souffle d’EL-SHADDAÏ » qui est le « Souffle de Vie » puisque ce Dieu insuffla un souffle dans les narines de l’Homme et ce dernier devint une âme vivante.

L’homme en premier puis la femme furent déposés sur la Terre tous les deux parfaits de corps et d’esprit, façonnés par les mains de ce Dieu seul et unique, que je nome EL-SHADDAÏ. Ce Dieu fit de ce corps humain une gestion magnifique, splendide car il devait vivre éternellement. L’humain devait se nourrir des différents produits de la terre que ce corps transformerait par l’intermédiaire de l’estomac, du foie, du pancréas, et autres organes le tout devenant une nourriture pour le liquide sang, dépositaire de la génétique personnelle de chaque humain, ce liquide étant la vie de l’humain. Ce fluide transporteur de la nourriture et de l’oxygène nécessaire à la vie de ce corps était parfait à l’origine. Quand Ève puis Adam volontairement mangèrent du seul fruit interdit par EL-SHADDAÏ, ils donnèrent une tare à leur sang respectif, le désagrégeant de sa perfection, donc ce sang transportait maintenant la mort et par reproduction devenait de plus en plus mauvais.

Si EL-SHADDAÏ laisse faire ainsi, le sang devenant de plus en plus mauvais, l’humain va à son propre suicide. Il disparaîtra de la Terre définitivement car le sang sera devenu tellement mauvais qu’il ne transportera que la mort.

Ce que je viens d’écrire est prouvé scientifiquement et ces derniers cherchent une parade à ce phénomène car il est prouvé que le sang des humains des années 1950 était de meilleure qualité que le sang des humains des années 2010. Les médias ne vont pas claironner une telle nouvelle, mais ces découvertes scientifiques nous donnent matière à réflexion et je n’invente rien, malheureusement.]

 

Quand te décideras-tu à le rejeter de ton Esprit ?

Quand te décideras-tu à ne plus l’écouter, obéir à ses ordres ?

Quand te décideras-tu à éloigner de Toi, par la pensée et par des actes, cet ennemi qui est le mien ? … » … »----

 

Arrête ! …

 

---- « …. « …Moi, EL-SHADDAÏ, je connais tes pensées, je connais ton cœur ! …

 As-tu oublié ? 

L’homme est ma création !

Alors ne m’interromps pas !

Je suis EL-SHADDAÏ ton Dieu, et jusqu’à tes derniers jours, je serai plein de tendresse et de commisération pour Toi !

Ouvre ton Cœur !

Entends mes paroles !

N’ai-je point été tous les jours de ta Vie avec Toi ?

Et Toi ! …. Avec Moi ?

Combien de fois as-tu fermé ton cœur ?

Combien de fois t’es-tu bouchées les oreilles ?

Combien de fois m’as-tu délaissé, négligé volontairement ? 

Combien de fois as-tu rejeté les conseils de mes Veilleurs et Anges qui t’étaient assignés ?

Combien de fois as-tu servi SAMMAËL, me repoussant par des pensées et des actes mauvais, alors que j’étais là ! …, en ESPRIT, à l’intérieur de ta boite crânienne ?

Combien de fois m’as-tu tourné le dos ?

Combien de fois as-tu joué les aveugles en détournant ton regard de ma Face, Moi EL-SHADDAÏ, ton Dieu ? … m’accusant des malheurs de la Terre ! …

Et Moi, EL-SHADDAÏ, à chaque fois que tu prenais conscience de tes erreurs, que tu revenais en larmes avec des regrets sincères, j’ouvrais grand les bras, pour t’accueillir, comme un père heureux de retrouver son fils, le serrant fortement contre sa poitrine, pardonnant et oubliant toutes ses fautes.

Je connais ton imperfection, et malgré cela considère tout ce que je t’ai offert ainsi qu’à tes proches. Faut-il que je te rappelle le nombre de prières que j’ai exhaussé en ta faveur ?

Tu m’accuses de ne pas regarder la Terre, pourtant, TOI, je te regarde bien ! 

Je t’écoute bien !

Souviens-toi avec quelle rapidité je t’ai offert ce que tu me demandais ?

Ton exclamation :

 « Le Créateur Tout-Puissant EL-SHADDAÏ existe vraiment ! 

Maintenant je le sais et j’en suis sûr ! … »

Comme la « Multitude » de ces humains, qui comme Toi m’ont cherché, même par des chemins détournés, et m’ont trouvé.

 Je te le dis, parmi vous, mon « Peuple », il existe des humains qui ont été des assassins, des prostitués, des trafiquants, même certains, qui ont pratiqué le contre-nature, très peu, ce que j’ai en abomination, à toute cette multitude j’ai pardonné, pourtant tu me dis que je ne regarde pas la Terre ?

 Seul ceux qui blasphèment contre Moi, contre mon Fils, contre l’ESPRIT des LOIS Universelles infalsifiables, ne peuvent être pardonnés sur la Terre comme dans les Cieux, seul le Néant est leur terminaison.

Parmi mon « Peuple » seul un petit nombre comme Toi, se rebellent contre MOI ! …Avec la même vergogne, la même audace, les mêmes griefs ! …..

Tous vous avez un point commun, sauf quelques très petites exceptions.

Tous, votre ESPRIT, ce clone de votre image, de votre reflet, devait quitter son corps matériel, vous avez refusé, vous vous êtes rebellés contre mes ordres, ma volonté !

Tous vous m’avez supplié, m’appelant chacun par un NOM différent, tous avec de bonnes raisons, et moi avec patience j’ai écouté vos doléances et je les ai entendus.

 Alors votre « Corps » immatériel a récupéré son corps matériel. Simplement que, tous vous connaissez les symptômes du départ.

Tous vous êtes inscrits sur les « LIVRES », les Veilleurs et les Anges veillent, mais parmi vous, pendant ce délaie, quelques-uns uns iront à leur perte en servant SAMMAËL, par leur orgueil et leur vanité, car pour que tout soit une « Justice Parfaite », à tous, j’ai laissé le « LIBRE CHOIX » ! … 

 

« N’oublie pas, je te laisse sur cette Terre pour peu de « TEMPS » ! … »

 

Ne fussent pas mes Paroles ?

TOI, « A. « QUIDAM » » tu me fais des récriminations, aurais-tu oublié que tu m’es redevable de ce qui est le plus sacré sur la Terre !

Ne m’as-tu pas demandé une VIE ?

Cet homme, qui, depuis plusieurs années voulait un enfant et ne pouvait pas en avoir dû à la faiblesse de ses spermatozoïdes, lui qui avait passé tous les testes scientifiques des humains avec la même réponse négative, qu’as-tu fait ?

Tu m’as supplié pour lui, car tu l’aimais beaucoup !

Mais, ce n’est pas moi qui t’ai dit de faire un « Chantage » avec lui !

Se sont bien tes paroles :

---«  Je te donne la certitude, Jérémie, que si tu te maries, tu vas devant le Maire avec Valérie pour l’épouser, un enfant te seras offert. 

----« A. « QUIDAM » », comment en es-tu si sûr ?

----Car je suis certain, que celui qui est au-dessus de notre tête, si tu fais ce que je te dis et que tu as confiance en Lui, te donnera cet enfant car je le lui aie demandé, pour toi, et il est impossible qu’Il n’ait pas entendu mes prières. »

Je t’ai bien écouté, Moi qui tourne le dos à la Terre ! ….

N’as-tu pas douté de moi ?…..

 Quand cet homme est venu te dire qu’il ne pouvait pas avoir les papiers de Valérie car elle était née dans un autre Pays ? …

Tu as bien douté ? …..

Ils se sont mariés, je leur ai offert cette enfant, pour Toi, qui portera le nom de Louanne, et je peux te dire qu’il faudra l’intervention d’un humain que je chérie, à ta ressemblance caractérielle, que je te ferai connaître, et tu le reconnaîtras, car ce couple a le cœur mauvais et ils essaieront de marquer cette enfant du signe des « Idolâtres ».

Je t’ai offert une VIE, tu en es bien conscient ! …

 Tu es conscient aussi de toutes les « Connaissances » que je t’ai enseignées par les songes !

 

Maintenant, « A. « QUIDAM » », écoute-moi attentivement, Oracle d’EL-SHADDAΠ! …

---- Il existe un temps pour toutes choses

Un temps pour le temps, …

Un temps pour la pluie, un pour le soleil, …

Un temps pour le jour, un pour la nuit, …

Un temps pour aimer, un pour haïr,

Un temps pour manger, boire, danser, rire, un pour digérer, pleurer, dormir, …

Un temps pour travailler, un pour se reposer, …

Un temps pour la paix, un pour la guerre, …

Un temps pour semer, un pour moissonner, …

Un temps pour la jeunesse, un pour la vieillesse, …

Un temps pour parler, un pour se taire et écouter, …

Un temps pour construire, un pour démolir, …

Un temps pour dessiner, un pour fabriquer, façonner, modeler, sculpter, …

Un temps pour me prier Moi EL-SHADDAÏ, un autre pour SAMMAËL, …

Un temps pour ma « COLÈRE » contre la Terre ! …..

Un temps pour enregistrer toute l’iniquité et l’abomination des humains de la Terre !

Alors, Moi EL-SHADDAÏ ton Dieu, jamais je ne t’ai oublié, jamais Nous t’avons oublié, même à ce jour !

J’ai les yeux grands ouverts sur Toi et toute la « MULTITUDE » qui est comme Toi !

Nous écoutons vos prières, vos demandes et vous avez toute notre protection avec l’Armée des Veilleurs et des anges de mon FILS BIEN-AIMÉ.

Non ! 

Je n’ai point tourné le dos à la Terre !

 Ni à Toi ! 

Au contraire !

Tu sais que je suis un DIEU jaloux, car toutes choses matérielles, immatérielles ne sont visibles et vivantes que par ma propre volonté, je suis aussi un Dieu de Colère.

Ce que j’ai façonné de mes mains le plus merveilleux, le plus complexe, le plus splendide de toute ma création est l’humain, être de matière à mon image, à leur ressemblance, à notre reflet, car comme Moi je l’ai fait « créateur », « inventif », avec une mémoire, une réflexion, mais aussi avec tous les sens, tous les sentiments.

C’est à cause de cela que j’aime l’Humain, que j’ai une attention particulière pour LUI, bonté, miséricorde, amour, compassion, patience ……

Je l’ai conçu parfait, comme tous les Visibles des cieux, je lui ai même offert l’ESPRIT, pour qu’il soit vraiment mon image comme-ci je me regardais dans une glace, avec cette liberté d’Esprit, et Lui quand à-t-il fait ?

Toi, Vous, les HUMAINS, vous me faites réprimande !

 C’est l’Humain, qui, volontairement par vanité, orgueil, convoitise, librement a choisi sa voie ! 

Aujourd’hui les humains disent que je suis un Dieu machiavélique, mais au départ, c’est l’humain qui a désobéi, connaissant en plus la sentence !

Tiens, pour te dire à combien vous me ressemblez ! 

Avec tes enfants, vos enfants, vous ne mettez pas une interdiction pour savoir si vous pouvez avoir confiance ? 

Vous les prévenez bien, même plusieurs fois !

 Et pourtant …… !

 Comme les premiers humains …….

« Libre de leur choix » ! 

Alors comme Moi, « A. « QUIDAM » » tu es machiavélique avec tes enfants ? … »----

 

Dans quelques jours la suite de cette « Rébellion »

En attendant prenez soin de vous et portez-vous bien !

Sig : JP.G.  dit  « GRAND-LOUP »  ou  « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 15-08-2016 à 10:11:51

Rébellion du Quidam, chap. N° 2

Je vais écrite ce deuxième chapitre sur la « Rébellion de ce Quidam », mais je pense que l’humain est responsable d’une grande partie de ses malheurs. En France, dans mon pays, plus de quatre-vingt pourcents d’électricité est fournie par les centrales nucléaires. C’est l’énergie qui pollue le moins, oui mais les déchets qu’en faisons-nous ? Si nous étions un peu sérieux ces fûts bétonnés contenant les déchets nucléaires nous les stockerions dans nos anciennes mines de charbon et par mesure de précaution nous enverrions du béton sous pression comme pour les tunnels surtout que ces galeries sont très profondes. Pourquoi nous ne le faisons pas ? A cause de l’argent, il vaut mieux polluer les océans !

Ceci est un exemple du manque de discernement des humains !

 

Dernière phrase du Chapitre précédent

 

Regrette-tu d’avoir inventé, façonné l’Homme, l’Humain ?

Comme un forgeron ayant façonné, sculpté un objet d’art, après quelque temps cet ouvrage ne lui plaisant plus, le fait fondre dans le feu de sa forge, afin qu’il ne reste plus rien ! …

Si tu te repends de la création de l’humain, que tu n’as plus d’amour pour « Lui », alors supprime-le !

Qu’il ne reste rien de « Lui » sur la Terre, même pas une poussière ! 

Après tout, nous sommes ton œuvre ! 

 Ta ressemblance ! 

Ton modèle !

 Voir peut-être ton jouet … ou plus exactement votre jouet, à Toi !… EL-SHADDAÏ et à SAMMAËL ! ….

Que sommes-nous dans vos mains ?

 Comme nous, avec les fourmis entre nos doigts !

Serait-se ce « DÉFI » avec SAMMAËL qui t’empêche de Tous nous éliminer ?

Si j’ai bonne mémoire, tu as déjà voulu supprimer entièrement la race humaine, avec un Déluge, et on ne sait par quelle réaction dans ta colère contre l’humain, tu as visité la Terre pour t’apercevoir que tous n’étaient pas « pourris ».

Et c’est là, que tu décrétas de sauver la famille, je dirai plus exactement la « Tribu » de NOÉ.

Encore ce « DÉFI » ? …. ?

Si vraiment tu aimes cette « PLANÈTE BLEUE » avec toute ta création vivante, de l’Humain à la plus minuscule bestiole, fait quelque chose !

 

 

 

La rébellion du

 

« QUIDAM »

 

Deuxième Chapitre

 

[Parenthèse sur la Rébellion du Quidam

Ce que je vais écrire ci-dessous est prouvé scientifiquement et vous mes semblables vous savez que la science et la religion ne font pas bon ménage.

Je suis obligé de marier la religion et la science pour mon raisonnement.

Les deux premiers humains furent déposés sur la Terre parfait. La différence qu’il y a avec les incorporels est grande car ils furent façonnés sur un ordre Divin mélangeant les poussières cosmiques, les gaz et le feu.

--- « EL-SHADDAÏ ordonna : « Que les poussières cosmiques, les gaz et le feu se rassemblent pour faire un être à notre ressemblance »

Sammaël le premier Ange sortit à leur ressemblance en tout possédant les cinq sens, la vue, l’ouïe, l’odeur et la respiration, le langage et l’Esprit afin qu’il soit libre comme son Concepteur. Ce Dieu seul et unique trouva Sammaël à sa convenance alors il ordonna que le cosmos formât des myriades de myriades, de là sortirent des Anges proches de cet Être Suprême, tel que Gabriel le porte-paroles de ce Dieu et l’annonciateur, mais aussi préposé au Paradis, dragons et Chérubins, Ouriel pour le monde et le Tartare, l’Hadès, Michel pour les justes, fidèles, guetteurs et sentinelles, ainsi que Général des Armées Célestes, Raphaël pour l’esprit des humains, Ragouël gestionnaire des étoiles, Vevriel l’enseignant d’Hénoch, Ramiël, Sariël, etc …, avec les milices de milices pour former l’Armée des Cieux. » ---

Les « Écrits » marquent à leur ressemblance donc j’en déduis au Père, ce Dieu seul et unique et à son fils qu’il a engendré puisque ce Dieu est androgyne, donc il façonna son fils à l’intérieur de lui-même, voilà pourquoi il est le seul à connaître le secret de la reproduction ventriculaire en plus de l’ovipare car toute vie commence par un œuf, voilà pourquoi avec certitude je peux crier que ce Dieu, EL-SHADDAÏ est seul et unique et que son fils engendré n’est pas un « Dieu ».

Les deux premiers humains, contrairement à toutes ces myriades Angéliques du bien et du mal, furent façonnés par les mains d’EL-SHADDAÏ qui développa cet humain à sa ressemblance, à leur reflet, Père et Fils, mais aussi Angélique.

L’Homme en premier reçu le « Souffle d’EL-SHADDAÏ » qui est le « Souffle de Vie » puisque ce Dieu insuffla un souffle dans les narines de l’Homme et ce dernier devint une âme vivante.

La suite de cette parenthèse dans le troisième chapitre.]

 

 

----« … « Attends ! ---« A. « QUIDAM » »---

Si, il existe un « DÉFI », c’est bien à cause de l’Homme, car, si celui-ci avait respecté ma LOI, la seule interdiction, aujourd’hui le « DÉFI » n’existerait plus,

 SAMMAËL et les SIENS seraient depuis longtemps jetés dans le NÉANT.

Quand j’ai façonné l’Homme ----l’Humain---- je l’ai modelé exactement comme tous les incorporels à leur ressemblance, leur reflet, avec la perfection en tout, pas autrement, mais c’est l’Humain lui-même de sa propre volonté qui s’est donné une tare en entraînant sa propre imperfection et la « MORT ».

Ils connaissaient, en parfaite conscience, la sentence de leur désobéissance, comme les Anges, Veilleurs et toutes les myriades d’Incorporels connaissent aussi la sentence, si, ils venaient à désobéir à une LOI.

Cette tare, l’imperfection, étant génétique, plus il y a de reproduction plus la tare grandit. Si tu fabriques une chose avec une imperfection, et que tu te sers de cette chose pour qu’elle se reproduise cette imperfection ira grandissante et à un moment elle sera tellement imparfaite qu’elle ne ressemblera même plus à la chose d’origine.

Alors il faudra arrêter sa fabrication et remédier à cette imperfection pour qu’elle retourne à son origine… »…. »---

 

 

 

Pardonne ma ténacité, mais aujourd’hui ce n’est pas le problème ! …

 Le problème c’est TOI ! EL-SHADDAÏ avec nous ! …

En effet, que fais-tu pour nous les humains ?

Je reconnais que la Terre et sa Galaxie font partie du Royaume de SAMMAËL.

 Cela ne t’a pas gêné pour intervenir sur la Terre, déjà avec Énoch, puis Noé, le « Déluge », Abram, Moïse, tes Prophètes, sur le déroulement des batailles, sur les naissances, la mort, le matériel et l’immatériel, et en dernier avec ton FILS UNIQUE, ce « FILS de l’Homme », JÉSUS le NAZARÉEN, alors tu vois bien que pendant un certain temps tu regardais la Terre, mais depuis la venue de ton FILS, tu nous à bien oublié !

Tourne ta Face vers la Terre et ouvre grand les yeux !

Regarde ce que font les Humains de cette merveilleuse « PLANÈTE BLEUE » !

Regarde comment SAMMAËL et les SIENS dirigent la Terre par l’intermédiaire des Humains !

Ces humains, dont je fais partie, par la pollution détruisent tout doucement ton œuvre, à cause de leur avidité pour l’or et l’argent

Ils abattent le poumon de la Terre, ces grandes forêts tropicales, ils polluent les mers et les océans, les fleuves et les rivières, ils jouent aux apprentis sorciers avec la génétique des plantes, traficotent avec les molécules de tel animal, de telle graine, et même celles des humains, sans savoir ou ils vont, connaissant la constitution de certaines graines et étant dans l’impossibilité de les fabriquer ! …

 Toi, Seigneur EL-SHADDAÏ que fais-tu ? …

Rien ! ….

Sur cette Terre des humains se lamentent, se plaignent, t’appellent, te cherchent, te prient, te louent, t’adorent, et TOI SEIGNEURS des ESPRITS que fais-tu ? …

Les écoutes-tu ? …

Les entends-tu ? …

Les regardes-tu seulement !

La majorité des humains disent et pensent que tu n’existes pas, car Sammaël les a aveuglés par la vanité et l’orgueil

De l’assassinat de ton FILS UNIQUE, JÉSUS le BIEN-AIMÉ, par la torture sur une croix ou plutôt un « Tau », les humains en ont fait un culte d’Idoles, eux les assassins, les meurtriers !

Et TOI, le TOUT-PUISSANT que fais-tu ?

 

Jusqu’à quand, EL-SHADDAÏ resteras-tu caché ? …

Jusqu’à quand, TOI le PRINCIPE des JOURS accepteras-tu l’iniquité des humains ? …

Jusqu’à quand EL-SHADDAÏ resteras-tu là ! ….,le dos tourné à la Terre …, les oreilles bouchées …, les yeux clos …, jusqu’à quand ? … ? …

J’arrête là ma critique, car il y en a tellement !

 Et la colère me monte contre TOI EL-SHADDAÏ mon unique et véritable DIEU, la famine, les épidémies, les guerres, les cataclysmes, et cela toujours dans des pays pauvres, quelle injustice ! …

TOI, aux NOMS incommensurables, qui n’en font qu’un, pardonne ma témérité, mon orgueil, moi qui ne suis que poussière devant ta FACE, mais il me semble que tu nous as abandonnés et je suis triste de cette constatation …

   J’ai terminé EL-SHADDAÏ ma philippique, mes objurgations, mes questions !

----« « Écoute « A. « QUIDAM » » tu as mis Notre MAÎTRE, ton MAÎTRE, dans une grande colère par tes innombrables reproches, accusations, comme un procès.

 EL-SHADDAÏ va te répondre mais tu ne verras pas sa face, car tu ne peux voir sa face et vivre. Son FILS BIEN-AIMÉ, NOUS TOUS te connaissons, par ton cœur et ton Esprit.  « IL » a mis en Toi la SAGESSE car « Il » a beaucoup d’amour pour TOI.

Maintenant, écoute le Verbe d’ÉLOHIM EL-SHADDAÏ ! … » »----

«…… « …Toi, « A. « QUIDAM » » je t’ai offert la Vie par le « Souffle de Vie » comme à tous les Humains.

A ta plus tendre enfance, dans ta sixième année, je t’ai donné la richesse ; peu d’humains ont eu ce privilège, car toutes les richesses de la Terre ne peuvent atteindre la fortune que je t’ai offerte, et, TOI, contre moi, EL-SHADDAÏ ton DIEU, tu me fais un réquisitoire ? …

Que dis-je un procès ? …

De quel droit ? …

T’ai-je oublié ? …

Ne t’ai-je pas donné le pain, l’eau, le vin à satiété  …, le vêtement, le toit pour t’abriter des fantasmes du ciel tous les jours de ta vie ? …

As-tu manqué de quelque chose ? …

Même à ce jour ? …

Quelle ingratitude !

Réponds si tu le peux ? …

Il est nécessaire que je te rappelle quelques faits, car il n’existe pas plus sot et insensé l’être qui ne veut pas se souvenir !

Dés que tu es arrivé à l’âge de l’ESPRIT, ne t’ai-je pas montré les « MYSTÈRES des CIEUX » ?

Rétrospectivement, tu étais bien présent, avec mes Veilleurs et mes Anges, quand j’ai chassé des « CIEUX » SAMMAËL, que vous nommez, vous humains, Satanaël, Satan, Satanas, Diable, Belzébuth et bien d’autres NOMS encore, alors que MOI votre Concepteur, votre Créateur, vous m’appelez par un NOM général, vulgaire, car mon NOM vous l’avez rendu « tabou », que je ne nommerai même pas ici, ou par un NOM d’un Dieu à l’esprit sanguinaire et machiavélique, alors que je suis le seul, l’unique véritable DIEU de l’Univers, un DIEU d’Amour et de Sagesse.

Comme tu l’expliquais à tes amis, et comme tu continue à l’expliquer, tu étais comme un caméraman-reporter.

Tu m’as vu précipiter SAMMAËL, ma première création des « Incorporels », à Notre Image, vous les « Humains » à Notre Image, et à leur ressemblance, à leur reflet en matière visible, avec tous ses partisans sur la TERRE et ses environs en disant ceci :

«  Voici ton Royaume SAMMAËL, et celui de tes « Serviteurs et Anges », tes fidèles partisans pendant un « TEMPS dans les TEMPS » ! »

Simplement, tu ne connaissais pas la cause de ce bannissement.

TOI ! « A. « QUIDAM » », le cinéaste, tu ne peux oublier même si tu le voulais, comme l’on marque un animal au fer rouge pour le reconnaître, cette séquence est gravée dans ton Esprit à jamais….. » …. »----

 

Oui ! EL-SHADDAÏ, pour tous …

 

----« …. « … Ne m’interromps pas !

Par ma volonté, mon FILS et les Anges ne t’ont-ils pas expliqués certains « Mystères » antédiluviens, comme la vie de toutes les plantes, des animaux, des humains, la protection de cette Terre des ultra violets du Soleil, et tout le système climatique ? ….

Pour le « Déluge » par l’intermédiaire de mon FILS, c’est bien MOI qui t’ai enseigné son fonctionnement, avant et après avec tous les « Secrets » et TOI tu as la hardiesse de me faire des reproches !

Quelle impertinence !

Et TOI, « A. « QUIDAM », puisque tu me réprimande parce que j’aurai oublié ma création, qu’as-tu fait ? ….

Pourtant, comme beaucoup d’autres humains, tu es comme un pupille !

M’as-tu tous les jours de ta vie prié, adoré ? …

As-tu toujours suivi mes LOIS et mes Commandements ? …

Malgré les Veilleurs et les Anges qui étaient avec Toi, à l’intérieur de ton cœur et de ton Esprit, cela ne t’a pas gêné de servir SAMMAËL ?

Tu as bien fréquenté ce milieu d’humains pratiquant le « contre nature », ---  je reconnais que tu n’es pas passé à l’acte malgré les nombreuses propositions, ---  celui de la prostitution et de la pègre avec tous les péchés et mauvaises actions qui vont avec, puisque tu avais un certain nombre d’amis ? …

Combien de fois à cette époque t’ai-je envoyé mes Veilleurs et mes Anges ? …

Combien de fois les as-tu rejetés ? …

Combien de fois ai-je eu pitié de toi ? ….

Combien de fois t’ai-je pardonné ? …

Et tu te permets de me faire des remontrances !

Quelle impavidité !

Toi, tu t’es tenue avec MOI, …EL-SHADDAÏ ton Dieu, comme mon peuple il y a plus de trois mille ans.

 Un temps dans le bien, tu demandes de l’aide et tu pries le Seigneur EL-SHADDAÏ, ton Dieu, tu fais des efforts pour suivre et respecter mes LOIS et mes PRÉCEPTES, tes pensées sont tournées vers moi le Créateur de toutes choses et tu t’éloignes du « Mal », et un autre temps, beaucoup plus long, car plus facile, où tu sers SAMMAËL par tes pensées, tes actions, où volontairement tu m’oublies, tu abandonnes mes Lois pour celles de « BÉLIAR », te trouvant sans cesse des excuses pour  agir avec le « Mal » ! …

N’ai-je pas raison ? …

Toi, « A. « QUIDAM » » tu me fais des admonestations ! …

Le courage ne te manque pas !

Que peux-tu dire pour ta défense ?

Jusqu’à quand vas-tu continuer à servir deux MAÎTRES ?

Mon FILS ne t’a-t-il pas enseigné ceci :

«  Il est impossible pour un homme de monter en même temps deux chevaux ou de bander deux arcs ; il est impossible pour un serviteur de servir deux maîtres, autrement il honorera l’un et offensera l’autre.

 Personne ne boit du vin vieux et n’a aussitôt envie de boire du vin nouveau. On ne verse pas plus du vin nouveau dans de vieilles outres, de peur qu’elles n’éclatent ; le vin vieux, on ne le verse pas dans une outre neuve, de peur qu’elle ne le gâte. On ne coud pas une vielle pièce sur un vêtement neuf, parce qu’il se produirait une déchirure. »

Quand te décideras-tu à lutter contre le « PRINCE du MAL » ?

 

La suite dans quelques jours. En attendant portez-vous bien !

Salutations cordiales et amicales !

Sig. JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


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