posté le 23-11-2014 à 22:42:53

Fêtes fin d'année, chap.N°1 - Naissance des Dieux

 

Les fêtes de fin & début d’année

Noël, 1er jour de l’année

 

Nous sommes un peu plus de la mi-novembre et dans cinq semaines c’est celle du jour de Noël où dans le monde païen les parents vont faire croire à ce mythe de « Père Noël ».

Y-a-t-il du mal à cela ?

Est-ce contraire à l’enseignement de Jésus le Nazôréen et aux lois de son Père EL-SHADDAÏ ?

La frontière entre le religieux et le paganisme est très mince !

El-SHADDAÏ a très bien fait les choses particulièrement l’humain qu’il façonna de ses mains à sa ressemblance, son reflet, son image, ce qui signifie que quand nous regardons un humain nous voyons l’image de notre « Dieu » qui a mille facettes, et même s’il y a sept milliard d’humains, il y a sept milliard de visage différent car le clonage n’existe pas dans tout l’Univers. Mais être à son image cela signifie que tout notre corps, homme ou femme soit sa ressemblance avec une tête, un cou, un tronc, des membres, mais encore la vue, l’ouïe, le langage, mais encore et pour moi le plus important un cerveau avec tout ce que l’on peut faire, réfléchir, raisonner, penser, tout cela c’est « l’Esprit » et comme Lui nous avons un « Esprit »

Alors servons-nous utilement de cet « Esprit » pour inventer, modeler, raisonner, et aussi spirituellement adorer, glorifier, sanctifier celui qui nous a créés.

 

Chapitre N° 1

 

Naissance des Dieux

 

Dans cinq, six semaines, la plus grande fête religieuse de la fin de l’année suivit, sept jours après, soit une semaine, du dernier jour de l’année écoulée et du premier jour de l’année à venir.

Comment sur la Terre l’humain en est-il venu à festoyer pendant une dizaine de jours la fin et le début d’une année ?

Comment  un jour de cette fin d’année l’humain en a fait une fête religieuse si importante ?

Comment huit jours après, ce jour devrait avoir une importance religieuse, alors que les Prélats comme le reste des humains ont fêté, la veille, la fin d’une année et le commencement de l’autre dans les ripailles, la boisson et le sexe ?

Pendant ces quelques chapitres je vais essayé de vous conter l’historicité de ces jours de fêtes païennes et religieuses la frontière entre les deux étant très floue, et pour moi une seule chose compte, vous prévenir de l’idolâtrie afin que vous ne commettiez pas ces actions abjectes aux yeux du seul et unique Dieu de tout l’Univers et de toutes choses vivantes, celui que je nomme EL-SHADDAÏ, qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes », comme Abraham le nommait.

A l’ère antédiluvienne, époque ou les humains côtoyaient les dinosaures, les sauriens et mesuraient entre deux mètres cinquante et quatre mètres pour les plus grands, la fête sur le Solstice d’hiver n’existait pas puisque les saisons n’étaient pas marquées la Terre était une grande serre, les variantes de température entre les pôles et l’équateur étant, disons faible, une vingtaine de degré maximum.

Comme souvent je l’écris, cela n’engage que moi, par une logique, un raisonnement je suis convaincu que Noé et toute sa famille représentaient une centaine d’humains. En effet la Bible canonique ne parle que de trois fils, mais avant ces fils combien eut-il de filles ? Ces filles prirent mari et eurent des enfants mâles et femelles qui à leur tour se marièrent. N’oublions pas que la Bible nous dit que quand vint le Déluge Noé avait six siècles de vie. Les humains antédiluviens mesuraient entre deux mètres cinquante pour les plus petits et quatre mètres pour les plus grands. Hans Joachim Zillmer paléontologue-géologue de réputation mondiale de l’Académie de New-York écrit :

« Dans ces conditions, la grande taille des êtres vivants avant le déluge serait explicable. Non seulement les dinosaures étaient très grands, mais les hommes eux aussi atteignaient une taille de deux mètres et demi à quatre mètres. C'est ce que prouvent les traces de pieds pétrifiées mesurant jusqu'à 50 cm de long, que l'on trouve dans le monde entier. Les pétrifications dans les sites de découverte les plus divers dans le monde entier prouvent qu'il y avait autrefois des fougères, des prêles et d'autres plantes géantes. Il semble simplement qu'à l'époque, tout était plus grand qu'aujourd'hui. »

Ce groupe d’humains, hommes, femmes, enfants furent témoins de l’effondrement de la voute céleste et pour la première fois ils allaient admirer le ciel de nuit avec ses milliers d’étoiles et aussi la lune comme jamais ils ne l’avaient vu auparavant.

De jour ils furent certainement émerveillés du bleu du ciel, mais éblouis par les rayons du soleil et de sa chaleur qui devaient leur brûler la peau. Puis pour la première fois ils virent le ciel s’assombrir avec les nuages et reçurent les premières gouttes de pluie. Vint sans aucun doute par la suite la crainte des orages avec le bruit du tonnerre et des éclairs, de toutes ces nouveautés ils durent s’y habituer.

Souvenons-nous de l’histoire, quatre année après que l’Arche se posa sur le Mont Loubar de la chaine montagneuse Ararat en Anatolie, quand Noé et tous les humains récoltèrent la première vendange, firent leur premier vin et au temps de la dégustation ils firent la fête et s’enivrèrent, car, par le soleil les fruits étaient beaucoup plus alcoolisés que ceux antédiluviens.

Ci-dessus, n’engageant que mon raisonnement et ma réflexion j’écrivis qu’ils furent une petite centaine d’humains à avoir traversé le passage du Déluge, car en plus de la construction de l’Arche ou vue sa grandeur il fallait être plusieurs hommes pour élaguer les troncs d’arbres, puis les transporter de la forêt au lieu de travail, les ajuster, les monter et les fixer fermement avec des clous.

Noé et les siens connaissaient l’écriture puisque celle-ci lui fut retransmise par son grand-père Hénoch. Il faut penser aussi que les humains sont entrés dans l’Arche avec les connaissances qu’ils avaient acquit comme les remèdes, les alliages des métaux, la recherche des minerais, voilà pourquoi mon raisonnement est logique et plus que plausible.

Autre chose en plus, Noé était le « Patriarche » celui que tout le monde respectait car à la sortie de l’Arche pour la première fois les humains purent voir l’Alliance avec leur « Dieu », car il n’existait qu’un seul et unique « Dieu », et les humains n’avaient qu’une seule langue, et ce « Dieu », EL-SHADDAÏ, leur donna des Lois qu’ils reçurent et apprirent par l’intermédiaire de Noé qui faisait fonction de « Grand-Prêtre. »

« Mais restons-en d'abord aux nouvelles conditions climatiques et météorologiques nées avec le déluge. On lit dans la Genèse IX : 13-15, « Je place mon arc dans les nuées ; il sera le signe de mon alliance entre moi et la terre. Si je regroupe des nuée au-dessus de la terre et si mon arc apparaît dans les nuées, alors je songe à l’alliance . . . entre moi et vous . . . et l’eau ne redeviendra jamais le déluge qui a anéanti tous les êtres de chair ». C'est uniquement avec le déluge qu'un arc-en-ciel  a été pour la première fois visible, et on rapporte l'apparition de nuages qui n'existaient pas avant le déluge. La description de la Bible est très précise ! Et pour rendre ce fait clair et net, EL-SHADDAÏ promet à son serviteur Noé Genèse VIII : 22,  « Aussi longtemps que durera la terre, semailles et moissons, froidure et chaleur, été et hiver, jour et nuit ne cesseront pas. » »

Ces Lois seront jusqu’à Abraham les Lois Noachides auxquelles seront ajoutées les lois sur la circoncision, qui dureront jusqu’à Moïse au pied du Mont Sinaï où les Lois Noachides seront déclarées vétustes, remplacé par la « Pentateuque ».

Les décennies et les siècles passèrent et l’humain reprit ses mauvaises habitudes. Noé venaient de mourir à l’âge de neuf cent cinquante ans, trois cent cinquante ans après le Déluge.

Le partage de la Terre avait été fait du vivant de Noé entre ses trois fils Sem, Cham et Japhet selon la Bible canonique de l’Ancien Testament, et comme la misogynie est importante dans les récits bibliques, personne n’écrit sur les filles de Noé. Suite à la malédiction de son père, Cham serait descendu le premier du plateau du Mont Loubar où l’Arche c’était posé pour construire des villes dans les plaines fertiles du Tigre et de l’Euphrate jusqu’à leur estuaire. Voyant que son frère vivait bien Japhet à son tour descendit, lui et toute sa famille, Sem descendra plus tard après la mort de leur père Noé. Tous construisirent des villes et les humains parlaient une seule langue et vénéraient un seul Dieu.

Sous la conduite de Nembroth ou Nemrod, grand chasseur devant EL-SHADDAÏ, tous les chefs de clans se réunirent et d’un commun accord décidèrent de construire une « Tour » qui monterait jusque dans les cieux afin de ne plus périr dans un Déluge, oubliant l’Alliance qu’EL-SHADDAÏ avait faite à l’ère de Noé, tout de suite après le Déluge, avec ce dernier et les humains en inscrivant dans la nuée un « Arc-en-Ciel ».

Et le Seigneur EL-SHADDAÏ dit : « Voici ils sont un seul peuple et ils ont une seule langue pour tous. Ce qu’ils ont commencé à faire la terre ne le supportera pas et le ciel ne pourra tolérer sa vue. C’est pourquoi, voici que je vais séparer leurs langues, changer leurs aspects, pour que chacun ne reconnaisse plus son frère, que chacun d’entre eux ne comprenne plus son prochain et je les disperserai sur la surface de la Terre. Je mets les pierres en garde à leur sujet. Ils se construiront des demeures avec les tiges de la paille et ils se creuseront des cavernes et comme des bêtes des champs ils habiteront là. » -- Livre des Antiquités bibliques BÉI X : 3, p 1252 ---

A la tour de Babel l’aspect et le langage des humains changea, mais en suivant une logique. Tout le clan de Cham eût le changement dans la couleur noire avec les langages et investit tout le Continent Africain, qui prophétiquement fut représenté par Hénoch par un taureau noir. Japhet et tout son clan, représenté dans la prophétie d’Hénoch par un taureau blanc, reçu la couleur de peau dans les blancs avec ses dialectes et idiomes et investirent tout le Continent Européen, quant à Sem représenté prophétiquement par Hénoch par un taureau rouge reçu pour lui et son clan l’aspect de la couleur cuivré qui va du rouge au jaune vif  avec toutes les langues qui vont  et comme territoire l’Asie Mineur, l’Inde et toute l’Asie. Le Continent des Amériques fut peuplé par la souche sémitique par voie maritime ou les courants fort vous emmènent des côtes marocaines aux côtes brésiliennes, mexicaines, de Floride en à peine un mois lunaire, avec un simple radeau et une petite voile de deux mètres sur un ou deux mètres.

Depuis la « Dispersion » des humains sur la Terre, leur changement d’aspect et de langage, bien des transformations eurent lieu. En effet la longévité diminuait, ainsi que la corpulence. L’humain n’est plus herbivore, il est tout, carnivore et c’est une obligation, mais aussi herbivore et frugivore, voilà pourquoi il était nécessaire qu’il découvre des nouvelles plantes pour soigner blessures et maladies.

Nous sommes bientôt à l’ère d’Abraham, les humains de vivent plus que deux cent quarante ans et moins, leur masse musculaire aussi ainsi que le squelette changent selon le Continent ce phénomène venant principalement de la nourriture de base, riz pour l’Inde, l’Asie, millet plus fruit pour l’Afrique, pain pour l’Asie Mineure, le pourtour méditerranéen, l’Europe.

Les humains ont formé des peuples au niveau linguistique, c’est-à-dire des humains parlant le même langage se sont rassemblés, puis se sont fait la guerre pour gagner du territoire, c’est ainsi que les humains formèrent des nations forçant le conquit à parler la langue du vainqueur. Les humains croyaient en une multitude de « Dieux et Déesses », car il en fallait un pour la guerre, un ou une autre pour la fécondité, un autre pour la protection des « mauvais Esprits », un autre pour les récoltes qui n’était pas le même selon ce que l’humain cultivait, un autre pour la famille et un grand Dieu qui était au-dessus de tous ces « Dieux ».

Pour les humains l’année était divisée en quatre saisons immuables et deux solstices celui de l’hiver et celui de l’été. Alors je vais écrire sur celui qui nous intéresse pour l’instant celui de l’hiver.

Dans l’antiquité, nos ancêtres, dans toute l’Europe ainsi que dans le Moyen-Orient fêtaient ce Solstice de l’Hiver. C’était une période froide et sombre, les Ténèbres arrivaient à leur summum sur la Terre, la nuit étant plus longue que le jour, et comme cette année la nuit la plus longue sera celle du 22 Décembre 2014 qui durera 15 heures environ. Depuis déjà un mois les armes sont rangées, c’est la trêve hivernale, les hommes ne pense plus à la guerre.

Pour le monde paysan il en était de même, les moissons terminées, le foin et le regain entassés dans les granges, les outils rangés, les bêtes rentrées à l’étable.

Toute l’Europe, le Proche et Moyen Orient, la péninsule Arabique et l’Afrique du Nord fêtaient le Solstice d’Hiver à la même période, avec un tampon de huit jours environ. Mais tous fêtaient ce phénomène astronomique qui était la fin de la course annuelle du soleil et le commencement d’un nouveau cycle. À ce symbole de la renaissance du soleil était accolée la naissance d’un ou plusieurs Dieux qui portaient des noms différents selon la région ou le pays tout en étant le même.

Si l’on fêtait le soleil, pour la même époque on fêtait aussi la lune. 

-2600, -2400 de l’EC., à l’ère d’Abraham,  celui-ci montait avec son père et tout le clan familial de la ville d’Ur à côté de Babylone, vers la ville de Harran situé presque à la source de l’Euphrate, pour fêter le Dieu Lune Sîn, dieu Babylonien, Assyrien, Sumérien, Akkadien qui se nommait aussi Anna(r) ou Zu-en.

Dans beaucoup de pays La Lune était mâle et le Soleil femelle. Le Seigneur Lune était le grand objet de culte des pays sémitiques, et ce Seigneur Lune était né un  24 décembre, ce qui montre clairement que la naissance qu'ils célébraient n'avait aucun rapport nécessaire avec le cours du soleil.

Nous lisons dans la « Philosophie Sabéenne » de Stanley :

« Le vingt quatrième jour du dixième mois, c'est-à-dire décembre, selon le calendrier Arabe, ceux-ci célébraient le jour de la naissance du Seigneur, c'est-à-dire, la Lune ».

Espérant que cette lecture fut instructive et intéressante pour votre raisonnement personnel, et qu’elle vous permet de vous approcher de ce Dieu unique que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, portez-vous bien !

Salutations cordiales à tous !

Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » mais plus souvent « GRANDELOUPO »

 


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posté le 16-11-2014 à 01:48:07

Déchéance d'une ...Chap. N° 12 - L'invention de la Trinité

 

Trimurti - Brahma, Civa, Vishnu

 

Première Religion Mondiale

 

le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

Cela ne doit pas faire oublier que durant l’Antiquité tardive, l’Église n’est pas un ensemble homogène. Chaque cité a ses rites, ses saints, sa langue liturgique, reflet de la diversité de l’Empire.

A partir de maintenant l’Évêché de Rome et de Constantinople vont prendre de plus en plus d’importance sur les pouvoirs politiques.

De très grandes dissensions dogmatiques vont opposer Rome qui est l’Occident et Constantinople qui est l’Orient. Le premier deviendra l’Église Catholique de Rome, l’autre l’Église Orthodoxe de Constantinople. Les deux communautés prendront les armes les uns contre les autres. Alliance contre nature, trahison, et autres arriveront à la séparation définitive au grand schisme d’Orient en 1054.

 

Chapitre N° 12

 

L’invention de la Trinité

 

Jamais l’Orient ne reconnaîtra la Papauté de Rome.

C’est la querelle du « Filioque » à propos de la Trinité.

La querelle porte précisément sur la « procession » du Saint-Esprit, c'est-à-dire le rapport entre le Saint-Esprit d'une part, le Père et le Fils Jésus-Christ d'autre part.

À partir du VIIIème siècle, la liturgie latine a ajouté la formule initiale, qui devient :

« Il -- le Saint-Esprit -- procède du Père et du Fils », en latin Filioque ( ex Patre Filioque procedit ).

L'introduction du Filioque dans le Credo occidental fut proposée par Charlemagne lors du Concile d'Aix-la-Chapelle de 809, reprenant une proposition plus ancienne qui avait déjà eu cours dans l'Espagne wisigothique.

Cet ajout fut retenu malgré l'opposition du pape Léon III à cette démarche césaro-papiste du nouvel empereur d'Occident, Charlemagne, qui, avec ses théologiens, souhaitait « rivaliser d'orthodoxie avec l'Orient »[]. Cet ajout fut inséré définitivement dans le Credo romain au XIème siècle.

Cet écart par rapport à la formule œcuménique se fit unilatéralement, sans l'avis des autres Églises, qui le considérèrent comme le signe d'une volonté de rupture dans les rapports difficiles avec l'Église latine.

La querelle autour de cette nouvelle formulation reflète deux conceptions différentes du dogme de la Trinité.

Pour les orthodoxes, l'Esprit est issu du Père par le Fils, c'est le Père qui est premier par rapport au Saint-Esprit.

Pour les catholiques, le Filioque exprime en outre la communion consubstantielle entre le Père et le Fils : filioquisme.

Je viens de vous écrire la déchéance du christianisme, qui au cours des siècles se détériorera encore beaucoup plus jusqu’à l’acceptation de l’homosexualité, pédophilie, fornication, adultère, etc, il vous suffit de lire les chroniques journalistiques pour vous apercevoir que j’ai raison.

La preuve est faite que le christianisme est bien la religion du Prince de ce Monde que vous chrétiens nommez « Satan » qui est un diminutif de SAMMAËL.

Je suis un menteur !

Malheureusement pour la chrétienté, ce n’est pas le cas !

Vous, mes semblables, vous venez de me lire et quel est la constatation première qui vient à l’esprit de raisonnement et de réflexion ?

Cette religion ce débat dans un dogmatisme « Trinitaire » qui n’a pas lieu d’exister, puisque ce dogme est une pure invention d’humains qui étaient loin de recevoir le « Souffle d’Intelligence » d’EL-SHADDAÏ, comme les Apôtres. Leur inspiration venait plus sûrement du Maître de la Terre et de ses environs, je nomme SAMMAËL, votre SATAN.

Tout au long de ces lignes d’écriture vous avez constatez que l’Enseignement de Jésus le Nazaréen, des Apôtres et Disciples de celui-ci, puis des disciples des Disciples, petit-à-petit étaient transformés insidieusement par des humains à la recherche de pouvoir, notoriété et richesses.

Ils commencèrent à vénérer des ossements, vêtements des Apôtres et premiers Disciples de Jésus le Nazaréen.

Ils continuèrent avec les premiers Évêques érudits et théologiens en les sanctifiants, les déclarants « SAINT » et non « SAIN », propre sans tache, en édifiant des statues, peintures, tableaux, sarcophages à leur effigie.

C’est le commencement de l’idolâtrie chrétienne !

Ces Évêques écrivains de haute noblesse firent admettre leurs idées par dissuasion, les rendant sentencieuses et doctrinaires, telle que le dogme de la « Trinité », la « Messe », les fêtes comme Noël, Assomption, Pentecôte, Toussaint, et les grandes inventions comme le Purgatoire, le Confessionnal, le Chemin de Croix, etc.

Tout ce que je viens d’écrire ci-dessus est véridique !

Aucun chrétien ne peut et ne pourra me traiter de menteur !

Pour un seul fait, rien n’est biblique, absolument rien, pas un mot pas un seul n’est écrit dans la Bible et plus particulièrement le Nouveau Testament !

Voilà pourquoi vous êtes idolâtre et que vous vivez dans l’iniquité, acceptant adultère, homosexuel, et autres orgies. Un petit tour au confessionnal, trois prières toute faite et je recommence.

Parenthèse

Dans ma propre famille j’ai l’exemple des chrétiens ainsi que parmi mes très bonnes relations.

Ma fille qui est critiquée par sa belle-famille les a « collé au mur » dernièrement. En effet il y a une dissension entre ses beaux-parents qui ont plus de soixante ans, les deux sont sur le point de se séparer.

Je cite ma fille :

« Beau Papa vous me décriez parce que je ne veux pas faire baptiser mes enfants vous ne manquez pas de culot. Vous allez à la Messe tous les Dimanche, vous lisez des livres de prières et vous mentez à Belle-Maman et à vos enfants, vous la trompez, vous ne tenez jamais vos promesses ! Alors vous m’excuserez, je ne suis pas près d’entrer dans votre religion, car tous ceux qui vous côtoient et vont à la Messe se tiennent comme vous, alors j’ai la conscience un peu plus propre que vous tous ! »

Ce qui est malheureux à reconnaître et à dire c’est que les amis chrétiens qui viennent à ma table, se tiennent exactement pareil. Ils vont à l’église et ils se mentent mutuellement, se cocufiant les uns, les autres. Quand vous êtes dans le secret de la confidentialité des deux parties et que vous savez qu’ils vont à « confesse » pour recommencer deux jours après, il y a de quoi réfléchir sur cette religion et sur la conscience de ces humains.

J’entends déjà des voix de mes semblables chrétiens s’élevées, criant que cette tenue est minoritaire.

Alors je leur demande humblement d’ouvrir les yeux, car moi le « Païen », qui est à l’extérieur de la chrétienté, je confirme que ce genre de comportement est majoritaire dans la chrétienté.

Autre comportement à la sortie de la « Grand-messe » du Dimanche, il faut écouter ces gens qui viennent tout juste de finir de prier « Dieu » et écouter leur langue vociférer sur leurs semblables.

Je ferme la parenthèse.

Vous êtes bien obligé de reconnaître la véracité de ces écrits qui prouvent que le christianisme ne peut pas être la religion représentant EL-SHADDAÏ sur la Terre et que l’enseignement de son Fils Jésus le Nazaréen a été détourné par des humains vaniteux, orgueilleux, menteurs, hypocrites, etc.

Au Nom de « Jésus-Christ » des Ordres religieux tels que les Templiers, Ordre de Malt et bien d’autres, puis les Croisades, massacreront, violeront, assassineront et acquerront d’énormes richesses. Pendant les deux guerres mondiales les ecclésiastiques des deux camps bénissaient les troupes en disant : « Dieu est avec nous »

En plus de tout cela ces mêmes ecclésiastiques vont bénir un bateau, une auto, un char d’assaut, un sous-marin nucléaire, un avion de combat, alors si ces actions ne sont pas de l’idolâtrie, vous chrétiens, dites-moi ce que c’est ? …

Car, pour moi le « Païen », si, il y a bénédiction, il y a obligatoirement une prière pour la protection de « Dieu » sur de la matière et pour moi cela est un acte idolâtre.

Comme je le répète souvent, je ne fais partie d’aucune Secte ou Religion, et tout ce que j’écris, je le fais en restant un « arlésien » un « quidam » pour éviter que certains d’entre-vous ne m’élèvent à une place de « Maître » « d’Enseignant » ou tout autre titre honorifique, en oubliant le principal, c’est-à-dire EL-SHADDAÏ, l’unique « DIEU », celui que vous devez rechercher en suivant ses Lois et les Enseignements de son Fils Jésus le Nazaréen, qui n’est pas un « Dieu », qui n’est pas l’égal de son Père, car il est un autre « être » vivant  comme je vous l’ai écrit plus avant, pourtant les deux sont indissociables, le Fils obéissant, faisant la volonté de son Père et non la sienne, servant d’intermédiaire entre ce Père et l’humain, étant l’avocat de celui-ci devant son Père, car ayant été sur la Terre comme un humain, personne mieux que lui ne peut représenter l’espèce humaine devant son Géniteur et Créateur de ces races humaines.

Je reviens sur le débat la « consubstantialité » du Père et du Fils dans la religion chrétienne.

L’encyclopédie ou le dictionnaire donne comme définition : inséparable, ne faisant qu’un.

La notion de consubstantialité fut introduite par les Pères de l’Église au Concile œcuménique de Nicée en 325 sous l’autorité de Constantin le Grand et de son ami Eusèbe de Césarée.

Par ce terme, les évêques présents à ce Concile condamnaient les théories d'Arius d'après lequel, le Fils étant une créature, celui-ci ne pouvait être de la même substance que le Père.

Ce Concile fut confirmé par celui de Constantinople en 381. A ce Concile de Constantinople, fut approuvée par la majorité des évêques la « consubstantialité » du Père, du Fils et du Saint-Esprit les trois ne faisant qu’un « Dieu » ou plus exactement, les trois « Dieux » ne représentent qu’un seul et même « Dieu ». Cette « Trimurti » voilée, nommée « Sante-Trinité » fut confirmée par un « Credo » qui est toujours en vigueur aujourd’hui.

Voilà comment des humains connaissant les « Écritures », qui, sans vergogne, transgressent allègrement ces mêmes « Écritures », rejetant indirectement l’Ancien Testament ainsi que le Nouveau Testament

Je cite :

Deutéronome 4 : 35, 39

« C'est à toi qu'il a donné de voir tout cela, pour que tu saches qu’EL-SHADDAÏ --{ que Yahvé }-- est le vrai Dieu et qu'il n'y en a pas d'autre. »

« Sache-le donc aujourd'hui et médite-le dans ton cœur : c'est EL-SHADDAÏ --{ Yahvé }--  qui est Dieu, là-haut dans le ciel comme ici-bas sur la terre, lui et nul autre. »

Deutéronome 7 : 9 - 10

« Tu sauras donc qu’EL-SHADDAÏ --{ que Yahvé }-- ton Dieu est le vrai Dieu, le Dieu fidèle qui garde son alliance et son amour pour mille générations à ceux qui l'aiment et gardent ses commandements, mais qui punit en leur propre personne ceux qui le haïssent. Il fait périr sans délai celui qui le hait, et c'est en sa propre personne qu'il le punit. »

Zacharie 14 : 9

« Alors EL-SHADDAÏ --{ Yahvé }-- sera roi sur toute la Terre. En ce jour-là, EL-SHADDAÏ --{  Yahvé }-- sera unique, et son nom unique. »

NT Matthieu 4 : 10, 23 : 9

« Alors Jésus lui dit :

 « Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : C'est le Seigneur { EL-SHADDAÏ } ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. » »

« N'appelez personne votre « Père » sur la terre : car vous n'en avez qu'un, le Père céleste. »

NT Jacques 2 : 19, 4 : 12

« Toi, tu crois qu'il y a un seul Dieu ? Tu fais bien. Les démons le croient aussi, et ils tremblent. »

« Il n'y a qu'un seul Législateur et Juge, celui qui peut sauver ou perdre. Et toi, qui es-tu pour juger le prochain ? »

Si j’avais été un peu plus courageux j’aurai pu vous remplir la page de textes bibliques où les écrivains citent un « Dieu seul et unique »

Entre parenthèse, jamais un Témoin de Jéhovah ne vous citera ce verset biblique de Jacques, alors quand ils viennent sonner à votre porte et qu’ils veulent vous parler de bible, citez-leur ce verset er attendez la réaction.

Tout au long de cette Bible, qui représente l’Écriture Sacré, il n’est question que d’un « Dieu » seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ. Le Christianisme jusqu’à nouvel ordre accepte bien l’Ancien Testament comme un Livre Chrétien ainsi que le Nouveau Testament.

Vous, Chrétiens, vous êtes bien en accord avec ce que je viens d’écrire ?

Vous ne pouvez pas nier !

Alors je viens de vous prouver que la « Sainte Trinité » est une pure invention et qu’elle contredit les versets de l’Ancien et du Nouveau Testament cités ci-dessus !

Il est bon de connaître la vérité sur la plus grande religion mondiale, cette religion idolâtre qui emmène ses fidèles vers une mort sans retour.

Prenez-soins de vous, portez-vous bien !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 08-11-2014 à 10:29:00

La Toussaint Chap. N°3 - Panthéon où l'hypocrisie de ...

 

Panthéon 09-11-2014

 

Toussaint

 

Par ce troisième chapitre je termine mes écritures sur la « Toussaint » cette année. Chaque année à cette époque j’écris sur cette fête chrétienne, qui est la plus grande fête religieuse idolâtre puisque c’est la vénération, l’adoration, la glorification de la matière puisque les ouailles chrétiennes vont prier et se signer devant un morceau de pierre, de bois, de métal représentant un humain nommé « Saint ».

Comme souvent je l’écris l’humain est responsable de lui et de lui-seul car il est libre.

En effet contrairement à l’animal, bêtes et bestioles qui vivent par instinct, l’humain, lui, comme sont créateur, possède « l’intelligence ». Il connaît la différence entre le bien et le mal. Toutes ses actions il les commet volontairement car par son esprit il peut choisir.

Je ne vais pas dire, « l’Esprit-Saint » conseille de …, ce qui est mensonger puisque « l’Esprit-Saint » en tant qu’entité spirituel n’existe pas !

Maintenant votre subconscient, votre, « vous » interne, qui relie le cœur et le cerveau, c’est-à-dire comme un fil électrique qui relie la pensé, esprit, au cœur, qui bizarrement est aussi esprit, votre fond, qui va vous diriger dans un sens, dans l’autre, alors là il est question d’Esprit « Sain » c’est quelque chose qui est propre, pure, limpide, claire, sans tache, se n’est pas comme une personne comme veut nous le faire croire le christianisme, non, c’est un sentiment, une relation spirituelle entre le cœur ou loge la pensée sentimentale et le cerveau ou loge la pensé de réflexion, de raisonnement, les deux ne faisant qu’un et difficile à expliquer, mais une chose est certaine ce n’est pas « l’Esprit-Saint » qui guide, mais un Esprit Sain.

Je vous laisse entre les mains d’EL-SHADDAÏ, qui par son Esprit Sain va vous guider par votre cœur et votre pensé pour que vous trouviez le sentier qui mène à Lui.

 

Chapitre 3

 

Panthéon où l’hypocrisie de

 

Sainte-Marie-aux-Martyrs

 

La fête idolâtrique de la « Toussaint » c’est terminé voilà une huitaine de jours et la fin de mon deuxième chapitre était :

« « --Les saints inscrits au martyrologe romain sont ceux pour lesquels l'Église déclare être sûre qu'ils sont au Paradis. Ils font donc l'objet d'un culte public dit culte de dulie lequel s'oppose au culte de lâtrie qui n'est dû qu'à Dieu. »

Sur ce thème je vais revenir quelques lignes plus loin.

Revenons à des faits authentiques, confirmés par les historiens !

Voici d'abord l'histoire de la consécration du Panthéon de Rome Temple des « Dieux » romains

 Les Romains devenus maîtres de tout le Bassin Méditerranéen, de l’Europe Occidental et d’une partie de l’Asie, avaient construit un Temple énorme dans Rome, au milieu duquel ils avaient placé leur idole Sol Invictus, Dieu de la lumière, Mithra et tout à l'entour étaient les idoles de toutes les provinces conquises la face tournée vers l'idole des Romains dont la naissance était fêté le 25 décembre. L’apogée de ce Dieu, Sol Invictus, dont la mythologie suit le culte de Mithra, fut sous le règne de l’Empereur Aurélien, 270-275, qui lui assure une place officiel dans le Panthéon du Champ de Mars, avec un collège de Prêtres, les « Pontifices Solis »

 Mais bientôt ce Temple ne suffit plus aux Romains, qui construisirent pour chaque Dieu un Temple particulier. Comme tous les Dieux ne pouvaient pas avoir un Temple à eux dans la ville, les Romains, pour mieux étaler leur foi, construisirent en l'honneur de tous les Dieux un Temple plus admirable encore que tous les autres, qu’ils nommèrent « Panthéon ».

Pour tromper le peuple, les prêtres des petits temples contèrent que la déesse Cybèle, qui était la mère de tous les dieux, leur était apparue. Cette déesse leur aurait dit que, si Rome voulait remporter la victoire sur toutes les nations, on eût à élever, à tous les dieux, ses fils, un Temple magnifique. Ce Temple fut donc construit sur une base circulaire, pour symboliser l'éternité des dieux.

Le Panthéon de Rome fut un édifice religieux antique situé sur le Champ de Mars, construit en l’an 27 avant J-C. au début du règne d’Auguste, l’an 63 av. J-C. et l’an14 après J-C., sur l'ordre d'Agrippa. Endommagé par plusieurs incendies, le Temple fut entièrement reconstruit en l’an 123-125 d’EC sous Hadrien 76-138 règne de 117 à 138. Le plan du nouvel édifice est exceptionnel, sans précédent dans l’architecture romaine.

Pour vous expliquer l’importance de ce Temple voici ce qu’un écrivain Français contemporain dit :

« « J’étais remonté pour la structure même de l’édifice aux temps primitifs et fabuleux de Rome, aux temples ronds de l’Étrurie antique. J’avais voulu que ce sanctuaire de tous les Dieux reproduisît la forme du globe terrestre et de la sphère stellaire, du globe où se renferment toutes les semences du feu éternel, de la sphère creuse qui contient tout. C’était aussi la forme de ces huttes ancestrales où la fumée des plus anciens foyers humains s’échappait par un orifice situé au faîte. La coupole, construite d’une lave dure et légère, qui semblait participer encore au mouvement ascendant des flammes, communiquait avec le ciel par un grand trou alternativement noir et bleu. Ce temple ouvert et secret était conçu comme un cadran solaire. Les heures tournaient en rond sur ces caissons soigneusement polis par les artisans grecs ; le disque du jour y resterait suspendu comme un bouclier d’or ; la pluie formerait sur le pavement une flaque pure ; la prière s’échapperait comme une fumée vers ce vide où nous mettons les dieux. » » --- Marguerite Yourcenar dans les Mémoires d’Hadrien ---

Suite aux persécutions contre les païens sous Théodose 1er, 347-395, règne de 379 à 395, le Panthéon fut fermé et tomba à l’abandon.

Le temple abritait de nombreuses statues, dont celles d’Arès, qui est la planète Mars, père de Romulus, celle d’Aphrodite, qui est la planète Venus, divinité ancestrale de la gens Iulia une gens est un groupe familial patrilinéaire portant le même nom descendant par les mâles d’un ancêtre commun, donc ici la descendance est les Iulii vieille famille de la Rome antique dont la descendance serait le Troyen Iule, ainsi que celle du divin Jules César. L’entrée était gardée de part et d’autre par les statues d’Auguste et d’Agrippa, tous deux consuls en 27 av. J.-C., ce qui respectait, en apparence, la parité républicaine des pouvoirs et confirmait l’ascension d’Agrippa comme héritier potentiel d’Auguste.

L’Empire Romain de désagrège.

Je ne peux vous écrire comment le christianisme a pris une telle ampleur, car cela serait trop long, mais bientôt je vous expliquerais comment cette religion en est arrivé à gouverner le monde.

 Je vais encore me faire des ennemis, mais contre les faits historiques, il n’y a pas grand-chose à faire !

 Si !

Accepter la vérité !

Théodose empereur Romain chrétien, pendant les persécutions contre les « païens » à la fin du IVème siècle, fit fermer tous les Temples des Dieux Romains y compris le Panthéon, mais ceux-ci restèrent propriété de l’Empire.

L’évêché de Rome au Vème siècle déclare ceci :

« La sainteté exprime l'état de communion avec Dieu, dans l'Église, par le baptême. »

Étaient réputés « Saints » et vénérés comme tels tous les humains baptisés devenus martyrs et décédés par les persécutions en sus des apôtres.

D'autres Saints, comme certains ascètes --- humains ayant formé des ordres religieux ou monastique tel que François d’Assise, Dominique, Benoit, Augustin, Basile ---, seront vénérés plus tard. Ainsi, dès les premiers temps du christianisme, tous les fidèles sont appelés à la sainteté et peuvent être dignes de vénération posthume, aussi bien hommes que femmes, les philosophes comme les simples d’esprit, quelle que soit leur condition sociale, esclave ou aristocrate ce qui est une nouveauté radicale[]. De plus, ce n’est pas, jusqu’à l’invention de la procédure de canonisation au XIIIème siècle, la hiérarchie qui décide de la sainteté, mais la vox populi.

Au VIème siècle les Byzantins reprirent le contrôle de Rome. Le Panthéon, autrefois monument public, était resté propriété impériale.

Or, sous le règne de l'empereur Flavius Phocas Auguste – 547- 610 – empereur byzantin de 602 à 610 --, reconnu officiellement, en 607, par un Édit, la primauté universelle de l’Évêque de Rome, interdisant au patriarche de Constantinople de porter le titre de « Patriarche œcuménique ».

Vous, Lectrices et Lecteurs, vous constaterez que le terme « Pape » n’existe pas encore en lisant ce qui est écrit ci-dessus. Ceci est l’histoire réelle de notre civilisation que nous ne pouvons démentir.

Évêque de Rome de 607 à 608 Boniface III, reçu comme cadeau de l'empereur Flavius Phocas  l’ancien Panthéon de Rome.

Boniface IV, Évêque de Rome de 608 à 615, successeur de Boniface III, transformât ce temple romain, le Panthéon, dédié aux Dieux de l’Empire Romain.

Mais avant de continuer voici ce qu’écrit un anonyme romain, je le cite :

« Aux yeux d’un ancien Romain, s’il eût paru étrange d’admettre les pratiquants dans la cella (– le sanctuaire --), au lieu de célébrer le culte à ciel ouvert devant le temple, l’ensevelissement de dépouilles humaines dans le temple était un sacrilège. Toute inhumation était bannie, non seulement dans l’aire du temple, mais aussi dans l’espace sacré le « pomerium » de Rome.-- le pomerium de Rome est la limite de cette ville tracé par Romulus à la fondation de la  cité en 753 av. J-C. --- L’installation des reliques dans le Panthéon est un signe parmi d’autres de la disparition de ce tabou plus que millénaire. »

Boniface IV fait enlever toutes les idoles de ce temple, les remplaçant par des « Saints », et consacra ce Panthéon comme une église chrétienne à la Vierge Marie et aux martyrs lui donnant le nom de « Sainte-Marie aux Martyrs », titre qu’elle porte encore aujourd’hui. Il fit transférer des restes anonymes prélevés dans les catacombes et installer un autel sur ces reliques.

Le 13 mai 610, ce fut la consécration de cette église « sanctuaire des Martyrs », par Boniface IV, celui-ci décrétant que tous les restes des corps des « Saints » martyrs qui étaient amenés dans ce sanctuaire, seraient honorés ce jour, pour mémoire.

 Dès lors la fête de la Toussaint fut fêtée le 13 mai.

Là, mes semblables, vous constatez la détérioration de ce que l’on nomme maintenant depuis Constantin le Grand, le « Christianisme ». Religion d’Empire où l’Empereur est le « Pontifex-Maximus » c’est-à-dire le « Pape » de cette religion qui un jour siège à Rome, un autre jour à Constantinople.

Flavius Phocas Auguste, plus connu sous le nom de Phocas, Empereur Romain Byzantin son siège se situant à Constantinople, successeur de Maurice auquel il fera trancher la tête ainsi qu’à toute sa famille, épargnant les femmes, dans un climat politique difficile, comme déjà écrit, donnera la primauté à l’Évêché de Rome ce qui lui vaudra les foudres des Évêques grecques partisan du « Symbole de Chalcédoine ». Sournoisement l’Évêché de Rome reçoit en cadeau, pour le pardon de Phocas de la décapitation de Maurice et des siens, le Panthéon de Rome qui sera rebaptisé « Sainte-Marie-aux-Martyrs ».

L’Évêque de Rome Boniface IV, successeur de Boniface III, lui-même successeur de Grégoire 1er, 590-604, au comble de l’hypocrisie, fera enlever toutes les statues de pierre représentant les dieux romains, par des statues représentant des humains nommés « Saint ».

Les ouailles viendront maintenant dans ce Panthéon, euh !, pardonnez-moi dans cette « Église Sainte-Marie-aux-Martyrs » se signer et faire des offrandes devant la statues de Saint …. euh !, veuillez encore m’excuser ce n’est pas des offrandes, c’est des cierges et de la monnaie sonnante.

 « --Les saints inscrits au martyrologe romain sont ceux pour lesquels l'Église déclare être sûre qu'ils sont au Paradis. Ils font donc l'objet d'un culte public dit culte de dulie lequel s'oppose au culte de lâtrie qui n'est dû qu'à Dieu.

Comment des humains aussi imparfaits peuvent-ils déclarés de telle certitude, puisqu’ils ne sont pas « Dieu », EL-SHADDAÏ ?    

Dans le cas de Marie, mère de Jésus le Nazaréen, une exception est admise, qui se nomme hyperdulie

Le culte de dulie est, pour l'Église, le culte réservé aux « Saints », aux « Anges » par opposition au culte de lâtrie, réservé à Dieu, et au culte d'hyperdulie, réservé à la Vierge Marie

La lâtrie est un terme utilisé dans la théologie chrétienne, et plus particulièrement catholique, pour signifier l'adoration, forme la plus haute de l'adoration, due exclusivement à la Sainte Trinité. »

Vous remarquerez qu’il est écrit « Sainte Trinité », alors que plus haut il est écrit « réservé à Dieu ».

Tout ce que j’écris, sont des textes  de l’Encyclopédie Catholique Romaine.

Et ceci est écrit de telle sorte que l’Être Suprême, que la chrétienté nomme « DIEU », soit, comment dirai-je, incorporé à la Sainte Trinité qui représente trois « Dieux », le Père, le Fils, l’Esprit-Saint, contredisant l’unicité de celui que je nomme EL-SHADDAÏ, plutôt que ce nom vulgaire de « DIEU »

« Le culte d'hyperdulie qui signifie servitude ou serviteur, est le culte rendu à la Vierge Marie, supérieur au simple culte rendu aux Saints et aux Anges. Ce terme est à distinguer de celui d'adoration ou latrie qui ne convient que pour Dieu.

Pour les théologiens catholiques, la différence entre le culte de dulie et de latrie n'est pas une différence de degré, mais de nature : il y a autant de différence entre les deux, qu'entre Dieu et sa créature. Il doit aussi y avoir des degrés dans le culte de dulie : le culte du Saint lui-même est plus important que le culte d'une relique, par exemple. C'est ce qu'on appelle la dulie absolue et la dulie relative.

Le culte de dulie revêt deux formes :

La vénération : témoignage du respect dû à un Saint.

L'invocation : demande d'intercession en vue d'obtenir un avantage particulier.-- » 

Je tiens bien à vous faire remarquer qu’il n’y a rien de biblique, mais le plus grave pour vous, « Chrétien », c’est que ces textes font force de Lois dans le christianisme. De plus ces Lois chrétiennes confirment bien l’IDOLÂTRIE de cette religion puisque, il est bien écrit que « le culte du « Saints » est plus important que le culte d’une relique »

En écrivant ces textes pour vous, j’ai le cœur et l’esprit triste, car plus de trois milliards de mes semblables vont à l’errement ou à une mort spirituelle certaine. Pourquoi sont-ils sur la Terre alors qu’il ne restera plus rien d’eux ? 

Et vous mes semblables qui me lisez, allez-vous enfin ouvrir les yeux et les oreilles de votre cœur ?

La vérité des textes ci-dessus est tellement évidente, alors, allez-vous continuer volontairement à suivre ce chemin de votre perte spirituelle ?

Ces écrits ci-dessus sont des Lois du Vatican, écrits par ces Cardinaux et Évêques et confirmé par le PAPE qui se dit représentant « Dieu » sur la Terre alors qu’EL-SHADDAÏ a horreur de l’idolâtrie. --- voir tous les textes bibliques ---

Vous constaterez que ce Temple, le Panthéon fut vidé de toutes les idoles de la religion païenne romaine, mais que celles-ci furent remplacées par des statues représentant des martyrs déclarés « Saint ».

Dites-moi où est la différence entre une statue représentant le Dieu Mithra, nommé « idole » et une ronde-bosse qui incarne un humain décédé mais que l’on appelle « Saint » ? …

Il n’y a aucune différence car d’un côté ou d’un autre vous priez de la matière, donc c’est de l’idolâtrie, seul le terme change, mais quel terme ! …! …!  L’une est une « idole » l’autre est un « Saint » alors que toutes les deux sont statues et destructibles.

J’appelle ceci de l’hypocrisie !

Mais il y en a beaucoup parmi vous chrétiens, qui vont me prouver que ce n’est pas la même chose ! …

Je suis peut-être un « Païen », mais sûrement pas un niais, et pour moi peu importe la figurine, de la pierre reste de la pierre ! …

Je reprends l’historicité de la « Toussaint »

Début du VIIème siècle la primauté de l’Évêque de Rome a été reconnu par l’Église Orthodoxe d’Orient dont l’évêché est à Constantinople, mais on parle toujours des byzantins.

Les successeurs de Boniface IV se suivent et l’Église continue à se détérioré.

VIIIème siècle. Les factions chrétiennes se font la guerre spirituelle entre l’Orient et l’Occident. Les Évêques font leur loi dans leur territoire et les dogmes naissent à la vitesse des jours. L’évêché de Rome, dû sans doute à sa position impériale, dicte ses Lois sur les autres évêchés. L’Évêque de Rome Grégoire II en 727 condamne l’iconoclaste – c’est l’adoration des images et reliques des « saints » --

Son successeur, Grégoire III préside un Concile au Vatican où 193 évêques participent. Ils condamnent l'attitude de l'empereur à l'égard des icônes et des images qu'il ordonne de détruire. L'une des plus importantes résolutions du Concile consiste à excommunier ceux qui défigurent l'icône du Christ, de la Vierge Marie, des Apôtres et des Saints.

Si cela n’est pas de l’hypocrisie, qu’est-ce-que c’est ! Deux poids deux mesures !

La chrétienté primitive a disparue. Le terme « église » qui signifiait « Assemblée » ait remplacé par « L’ÉGLISE » puis par « Église de ROME ».

 Suite à une guerre contre les Lombards et Ravenne, ceux-ci ayant été vaincu par Pépin le Bref en 752, Roi des Francs, leur territoire fut offert à l’Évêque de Rome, Étienne II, qui prit le titre de « Pontife » c’est à dire « PAPE » et tous ces territoires furent nommés « États Pontificaux ».

Le premier « PAPE » réel de l’histoire des « papes » venait de naître. De plus l’ÉGLISE devenait officiellement « ÉTAT » dont le siège était à Rome. L’évêché de Rome portera le nom de « Saint Siège »

Maintenant je peux l’écrire, le Pape Grégoire IV en 830, ordonne que la fête de la Toussaint soit célébrée dans le monde entier.

L’église catholique de Rome avait fait du « Panthéon » une église dédiée à Sainte-Marie des Martyrs. Ainsi, au culte des divinités romaines se substitue le culte des « Saints Catholiques ». La célébration de cette « Église » était un 13 mai.

En 835, Grégoire IV déplaça cette date anniversaire du 13 mai, au 1er novembre pour des raisons pratiques afin que les fidèles fussent plus nombreux à cette commémoration. En effet les vendanges et les moissons étant terminées, les pèlerins pouvaient plus facilement se déplacer et se nourrir.

Alors ce jour fut la date anniversaire de la consécration de cette église, mais aussi de tous les « Saints » qui étaient à l’intérieur de celle-ci.

Aujourd’hui cette célébration groupe non seulement tous les Saints canonisés, c’est-à-dire ceux dont l’Église assure, en engageant son autorité, qu’ils sont dans « la Gloire de Dieu », mais aussi tous ceux qui, en fait et les plus nombreux, sont dans la béa­titude divine.

Ainsi ce temple qui avait été construit pour toutes les idoles, se trouve aujourd'hui consacré à tous les « Saints ».

Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.

Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales à « Tous » !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 01-11-2014 à 01:47:57

La Toussaint Chap. N° 2 - Évêque de Rome Grégoire IV

 

 

Tous les Saints  01-11-2014

 

 

Fête de la Toussaint

 

Nous sommes le jour de la fête chrétienne de la Toussaint, suivi le 2 Novembre de la fête des morts. Voilà une fête qui indirectement fait l’adoration la vénération la glorification du Roi de ce monde je parle de SAMMAËL,  celui que vous considérez comme le Prince du « Mal ».

« Toussaint » jour d’abomination pour EL-SHADDAÏ, jour d’iniquité ou les humains vont prier pour des statues de pierre représentant hommes et femmes disparus.

La « Toussaint » la plus grande fête de l’idolâtrie !

Alors vous mes semblables évitez ce jour d’entrer dans vos Temples où l’idolâtrie règne en maître et ne suivez pas ce guide imposteur, votre Curé, Abbé, Évêque mais ce dernier ira officier dans un Temple de luxe comme la cathédrale.

Le lendemain vous chrétien vous devez fêter vos morts. Le plus grand jour de l’hypocrisie pour EL-SHADDAÏ, car les humains hypocritement vont aller nettoyer la tombe de leur disparu et qui restera en friche tout le restant de l’année.

Quel jour de l’hypocrisie !

Aujourd’hui 1er Novembre fête catholique chrétienne, fête de la « Grande Prostituée » qui fait boire à ses ouailles sa coupe pleine d’abominations.

Suis-je un menteur ?

Sûrement pas, car la vérité est là !...

 

Chapitre 2


Évêque de Rome Grégoire IV

 

Histoire des premiers humains de la mouvance de Jésus le Nazaréen, les « Nazôréens », « Nazaréens », « Galiléen »

Néron en 64 de l’EC, n’a jamais employé le terme « Chrétien » puisque celui-ci n’existait pas encore. Cet Empereur Romain persécuta les « Nazôréens », « Nazaréens », les adeptes de « Jésus de Nazareth », les « Messianistes », les « Galiléens » quitte à me répéter, mais jamais des « Chrétiens »

Les Nazôréens ou Nazaréens, en grec Nazôraios, sont une secte décrite en premier lieu au IVème siècle par l'hérésiologue chrétien Épiphane de Salamine. Épiphane, dans son Panarion, avait distingué ces « Nazôréens », qu'il considérait comme des hérétiques, du titre de « Nazôréen » donné par la communauté juive à Jésus et aux premiers disciples de ce dernier.

Walter de Gruyter écrit à Berlin dans<cite> La critique sociale et religieuse du christianisme des origines au concile de Nicée (45-325)</cite>, 2007, 548 p.

 « Eusèbe de Césarée, Jérôme et Épiphane, ont tous les trois compris le titre de « Nazôréen » donné à Jésus et aux premiers disciples en relation avec Nazareth »

Le mot « Nazôréens » est le terme couramment utilisé dans les écrits juifs antiques (– notzrim en hébreu ou nasara en araméen –, ou judéo-chrétiens, nazôraios, en grec, comme dans les évangiles –) pour désigner tous les disciples ou tous les groupes de disciples, au moins jusqu’au IIIème siècle. Il en est de même dans la littérature arabe et musulmane ancienne, dans des textes arméniens et dans le Coran.

Jésus le Nazaréen est décédé en l’an 33 de l’EC, --(Ère Commune = EC) sans doute dans sa quarantième année, le nombre 40 ayant une grande portée symbolique dans les écritures bibliques, par la torture romaine de la crucifixion. Trois jours  et trois nuits après, son Père géniteur ou biologique le ressuscitera de l’Hadès, le rendant  vainqueur sur la mort comme un « Grand Guerrier », et restera encore sur Terre quarante jours, encore le nombre quarante, pendant lesquels il sera vue par plus de cinq cent cinquante humains, et il continuera à enseigner personnellement ses Apôtres. Après son ascension dans les Cieux,  et la « Pentecôte », les Apôtres et Disciples auront du mal à se séparer.

N’oublions pas que cette petite communauté vivait ensemble tous les jours depuis trois ans environ. C’est Jésus le Nazaréen qui, involontairement, dirigeait ce groupe disparate d’humains, au nombre de soixante-douze, qui le suivait avec femme et enfants.

Tout ce que je viens d’écrire ci-dessus ne vient pas de mon imagination personnelle, mais sont des faits relatés historiquement. Toujours dans la réalité historique, les douze Apôtres étaient des hébreux pures souches, comme nous dirions en français, ces Apôtres étaient des juifs, par contre dans le reste des Disciples de Jésus le Nazaréen, certains étaient de source helléniste comme Étienne, Philippe, Prochore, Timon ou les évangélistes Luc et Marc.  

Les quarante jours ce sont écoulés et il est temps pour Jésus le Nazaréen de quitter ce monde terrestre pour rejoindre son Père, laissant les Apôtres dans leur retraite avec leur peur de l’inconnu, car ils doivent attendre le don d’EL-SHADDAÏ qui leur sera donné dans quelques jours.

Dans la peur des représailles des autorités religieuses juives, ils c’étaient barricadés dans une grande bâtisse, se sentant orphelin, car ils savaient que maintenant ils ne verraient plus Jésus le Nazaréen sur la Terre.

En attendant ce jour de la Pentecôte, ils en profitèrent pour remplacer Judas Iscariote par Matthias après un choix et un vote fait entre ce dernier et Joseph fils d’Alphée surnommé Barnabé en français, Barsabbas ou Barnabbas nommé aussi Justus, frère de Matthieu, de Jacques dit le Petit, le Juste, le Mineur,  et de Jude nommé aussi Thaddée, tous trois Apôtres de Jésus le Nazaréen.

Acte des Apôtres I : 21-26

« Il faut donc que, de ces hommes qui nous ont accompagnés tout le temps que le Seigneur Jésus a vécu au milieu de nous, en commençant au baptême de Jean jusqu'au jour où il nous fut enlevé, il y en ait un qui devienne avec nous témoin de sa résurrection. »

On en présenta deux, Joseph dit Barsabbas, surnommé Justus, et Matthias.

Alors ils firent cette prière :

« Toi, Seigneur, qui connais le cœur de tous les hommes, montre-nous lequel de ces deux tu as choisi pour occuper, dans le ministère de l'apostolat, la place qu'a délaissée Judas pour s'en aller à sa place à lui. »

Alors on tira au sort et le sort tomba sur Matthias, qui fut mis au nombre des douze apôtres. »

La Mouvance de Jésus le Nazaréen représente maintenant dix pourcent du monde religieux et stagne. Les Apôtres et premiers Disciples de Jésus le Nazôréen sont décédés. Les dirigeants des « Assemblées » sont nommés « Évêque, Presbytre où encore Anciens », se sont les « Pasteurs, les Bergers » de cette petite mouvance qui selon la région, la province est persécuté par la soldatesque romaine. L’emblème de reconnaissance est le poisson et pas une croix. Pendant les trois premiers siècles, il est certain, que les humains qui prenaient la religion de Jésus le Nazôréen ne se signaient pas par ce geste idolâtre du « Signe de la Croix ».

250 ans que Jésus le Nazôréen est décédé, les Apôtres, Disciples, Pères Apostoliques de mêmes, ces derniers sont appelés « Pères de l’Église ».

Des humains commencent à structurer cette « Mouvance des Nazôréens » sous forme pyramidale, car l’on peut se faire un « Nom » avec des richesses « sur le dos des pauvres ».

L’Évêque, le Presbytre ou l’Ancien est le chef incontesté de cette « Mouvance de Jésus » dans la Ville où il officie, c’est-à-dire qu’il reçoit chez lui ou dans un endroit assez grand pour que les humains, en général des hébreux, viennent écouter l’enseignement de vie de Jésus le Nazôréen et c’est chez lui que l’on baptise les nouveaux venus. Aux prémices cet humain enseignait la Torah, plus l’enseignement de Jésus le Nazôréen retransmis par les Apôtres, Disciples et Disciples de Disciples et Apôtres. Pendant les quatre premiers siècles jusqu’en l’an 330 plus de deux mille Lettres et Épîtres circulaient dans tout le Bassin Méditerranéen et pays limitrophes.

En effet, en l’an 325 Constantin le Grand Empereur Romain depuis l’an 312 suite à sa victoire sur Maxence sur la route principale qui venait à Rome, la « via Flamina », au Pont de Milvius, pont qui enjambait le Tibre, grand fleuve large et tumultueux, endroit ou Maxence avait réuni ses troupes, ayant attaché des dizaines de barque entre elles pour faire traverser ses légions avec tout la logistique militaire de l’époque, pensant la victoire certaine puisqu’il allait se battre dix contre un.

L’histoire conte que Constantin se savait part avance perdu. Dans le ciel il regarde les nuages d’altitude qui forme un chrisme, les premières lettres du nom de Jésus le Nazôréen. Regardant le ciel il promet que si, il a la victoire il se fait baptiser chrétien. Il fait dessiner en rouge sang le chrisme qu’il a vu dans le ciel sur tous les boucliers.

Il part au combat avec ses hommes à dix contre un, ils se battent comme des lions, comme si ils ne craignaient pas la mort, de véritables furies et au bout de six heures de combats romains contre romains Maxence recule, il est acculé contre le pont, ses troupes montent sur les barques, certains ont peur devant cette fougue où rien ne les arrêtes et coupent les amarres. Les barques partent à la dérivent entraînant Maxence dans la  mort quand elles se retournent dans les eaux fougueuses du fleuve. Après plus de dix heures de combat sans merci la victoire est assuré pour Constantin le Grand qui tiendra sa promesse faisant du christianisme la religion d’Empire, et de l’empire et il devient le chef incontesté de cette religion, il est le « Pontifex Maximus » c’est-à-dire le « Pape », nous sommes en Octobre de l’an 312.

Ce sont des faits réels et historiques.

Nous sommes dans les années 250 – 300 de l’Ere Commune. – (EC)

Les enseignements de Jésus de Nazareth sont bien loin. L’enseignement des humains commence à faire office de paroles sacrées.

La fête de la « Toussaint » n’existe pas encore.

L’évêque des prémices, c’est-à-dire l’enseignant, le gardien, le surveillant du « troupeau » n’existe plus, maintenant c’est l’ÉVÊQUE, le Chef, le Noble, le Roi, celui qui s’enrichie avec l’argent des pauvres. Le « Diacre » n’est plus le serviteur de ses semblables, c’est le serviteur de l’Évêque.

On parle maintenant de l’Évêque de Rome, Jérusalem, Éphèse, Constantinople, Laodicée, Antioche, Corinthe, etc, le Pape n’existe pas, mais l’Évêque Intendant, celui qui fut choisi par tous les autres Évêques des Églises de Rome et de sa banlieue, commence à prendre une certaine importance. Comme écrit ci-dessus au départ il fut choisi par la communauté de Rome pour rassembler toutes les « églises », puis c’est élargi avec les villes avoisinantes, puis les provinces, pour devenir l’Évêque représentant l’Occident.

L’histoire est certaine le « PAPE » chrétien n’existe pas avant le milieu du huitième siècle. Le « Pape » de la chrétienté est le « Pontifex Maximus » c’est-à-dire l’Empereur de l’empire Romain.

La chrétienté démarre avec un énorme mensonge, l’Apôtre Pierre étant le troisième ou quatrième Évêque de cette ville et encore à l’ère de Pierre l’Évêque unique de Rome n’existe pas, car à Rome, il y a plusieurs « Assemblées », voilà pourquoi Pierre et le Disciple Saül de Tarse dit Paul se retrouvèrent à Rome dans les mêmes années tous deux étant Évêque d’une Église dans cette ville.

Tous ces Évêques sont déclarés « Saints » à leur mort.

Depuis les Apôtres André, Thomas, Barthélémy, et les Disciples Étienne, Saül de Tarse communément appelé Paul, Luc l’évangéliste ou Marc, puis les Pères Apostoliques, ces humains qui ont connu Jean celui que Jésus le Nazaréen aimait le plus, au point qu’il lui confiât sa mère quand il était crucifié sur cette croix engin de torture romaine, comme Papias, Ignace d’Antioche de Syrie, Polycarpe, Hermas le Pasteur, et tant d’autres, les enseignements et paroles de Jésus le Nazaréen ont bien changé, elle ne compte plus, c’est l’enseignement de ces Évêques, le Presbytre et l’Ancien ont disparu, qui fait force de Loi religieuse.

Au Concile de Nicée en l’an 325, sous la direction de Constantin le Grand et de son ami Eusèbe de Césarée, que le « Canon Biblique » sera formé.

Pendant les premières années de l’Église dite maintenant chrétienne, en effet nous sommes maintenant milieu du troisième, début du quatrième siècle, les fidèles observaient des anniversaires spéciaux pour les martyrs qui avaient été exécutés pour leurs croyances. Bientôt il n’y eut plus assez de jours dans l’année pour désigner des jours civils spéciaux pour chaque martyr individuel, alors les chrétiens observèrent un jour de fête en l’honneur de tous les martyrs.

 Au cinquième siècle, les diocèses voisins commencèrent à échanger leurs fêtes, à transférer des reliques, à les diviser et à se réunir pour célébrer en commun les fêtes.

« Fréquemment, des groupes de martyrs, ce sont les humains qui étaient réunis pendant les persécutions et qui subissaient leur sort sans se rebeller, pardonnant leurs persécuteurs,  souffrirent le même jour ce qui naturellement mena à une commémoration commune… Le nombre de martyrs devint si grand qu’un jour séparé ne put être assigné à chacun. Toutefois, l’Église croyant que chaque martyr devait être vénéré désigna un jour commun pour tous » (Encyclopédie catholique).

Alors, l’Église chrétienne sous l’Évêque de Rome Grégoire IV décida, avec l’appui du gouvernement de Flavius Honorius, de « blanchir » la fête romaine de Feralia du 21 février, fête des morts, et celle de Lémuria du 9 au 13 mai fête des Lémures, qui sont des spectres malfaisants.

 Fatigué de réprimander les Romains pour leurs réjouissances bien arrosées soi-disant pour honorer les morts et leur spectre, et souhaitant plus de convertis, l’Évêque de Rome Boniface IV en 609 apr. J.-C., déclara que Feralia ainsi que Lémuria serait une fête chrétienne. Au lieu d’honorer tous les morts, et des spectres, ils devaient maintenant honorer seulement les « Saints » décédés. Au lieu des réjouissances et de l’alcool, ce serait maintenant un jour de prières et de méditation. Au lieu de l’appeler Feralia et Lémuria, il changea le nom en « Toussaint ». Puis il changea le jour de sa célébration du 21 février au 13 mai. Boniface IV consacra, le 13 mai 610, le Panthéon à Rome à la Sainte Vierge et à tous les martyrs, date anniversaire de la dédicace de cette église. (Encyclopédie catholique).

Pendant ce temps, les Celtes continuaient à observer la fête de leur Dieu Samain le 1er novembre  sous une forme ou une autre. L’Église catholique s’en aperçut, et l’Évêque de Rome  Grégoire IV ordonne que cette fête, la Toussaint, soit célébrée dans le monde entier. Pour certains, c’est à l’occasion de cette décision, prise en 835, que la fête de la Toussaint est fixé au 1er Novembre. Sur le conseil de Grégoire IV, l’empereur Louis le Pieux institua la fête de tous les saints sur tout le territoire de l’empire carolingien dont la majorité était de culture religieuse Celte.

Le jour prit le nom du Jour de tous les Saints.

Voilà comment une fête païenne Celte du 1er novembre devint une solennité chrétienne dans tout l’Empire romain et carolingien.

Là, il y a quand même matière à réflexion !

Pour vous « Chrétien », je vais faire un peu de science religieuse, mais cette science est la vôtre, celle de votre religion ---- et qui confirme tout ce que j’écris sur votre idolâtrie.

Mais combien parmi-vous sont dans l’ignorance ?

Alors, j’écris afin que vous dessilliez votre esprit !

Vous êtes responsable de vous !

Le jour de votre « Grand Sommeil », après un long voyage, pour vous rendre directement au Tribunal Céleste, vous ne pourrez pas dire : « Je ne savais pas ! »

« « --Les saints inscrits au martyrologe romain sont ceux pour lesquels l'Église déclare être sûre qu'ils sont au Paradis. Ils font donc l'objet d'un culte public dit culte de dulie lequel s'oppose au culte de lâtrie qui n'est dû qu'à Dieu.

Comment des humains aussi imparfaits peuvent-ils déclarés de telle certitude, puisqu’ils ne sont pas « Dieu », EL-SHADDAÏ ?

Je vous laisse passer ce jour de la « Toussaint » et le lendemain 2 Novembre fête des morts, mais ce jour est estompé par la « TOUSSAINT » qui pour moi est la « Grande Fête de l’Idolâtrie » qui fait la joie de SAMMAËL, Roi de  la Terre et de ses environs, Prince du mal, ennemi d’EL-SHADDAÏ.

Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.

Portez-vous bien !

Cordiales salutations à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 27-10-2014 à 09:55:09

La Toussaint Chap. N° 1 - Samhain Dieu Celte des morts

 

Celtes au combat

 

Fête de la Toussaint

 

Nous approchons bientôt de la fête chrétienne de la Toussaint, suivi le 2 Novembre de la fête des morts. Voilà une fête qui indirectement fait l’adoration la vénération la glorification du Roi de ce monde je parle de SAMMAËL,  celui que vous considérez comme le Prince du « Mal ».

« Toussaint » jour d’abomination pour EL-SHADDAÏ, jour d’iniquité ou les humains vont prier pour des statues de pierre représentant hommes et femmes disparus.

La « Toussaint » la plus grande fête de l’idolâtrie !

Alors vous mes semblables évitez ce jour d’entrer dans vos Temples où l’idolâtrie règne en maître et ne suivez pas ce guide imposteur, votre Curé, Abbé, Évêque mais ce dernier ira officier dans un Temple de luxe comme la cathédrale.

Le lendemain vous chrétien vous devez fêter vos morts. Le plus grand jour de l’hypocrisie pour EL-SHADDAÏ, car les humains hypocritement vont aller nettoyer la tombe de leur disparu et qui restera en friche tout le restant de l’année.

Quel jour de l’hypocrisie !

Vous mes semblables ne leur ressemblez pas ! Laissez vos morts en paix, il ne sont que poussière et si vous allez sur la tombe du souvenir choisissez un autre jour, une autre semaine, un autre mois, car la plus belle tombe et celle du cœur, personne ne le voit personne ne le sait sauf celui qui nous a offert le « Souffle de Vie ».

Il y aura plusieurs chapitres mais cette année je vais faire cours

 

Chapitre N° 1

 

SAMHAIN Dieu Celte des morts

 

Comme chaque année en cette du mois d’Octobre, un mois d’Automne passé et nous avons des températures supérieur à celles du mois de Juillet avec depuis le 22 Septembre un petit 22-24 degré C° et une fête Scandinave pays du nord de l’Europe exportée aux USA par les colons en 1750-1800, je parle de la fête d’Halloween.

Vous Lectrices et Lecteurs qui, depuis plusieurs années me lisez, vous savez que j’aime parler de ce Dieu seul et unique, mais aussi que j’aime bien étayer mes écrits par des preuves historiques, je ne vais pas enfreindre cette règle. Par la moitié des scientifiques spécialisés en archéologie et en géologie, par des preuves irréfutables sur le Continent Australien, Américain à Pales-River et au Brésil, mais aussi l’Européen particulièrement la Sibérie, sans compter l’Asiatique avec le Caucase et les steppes de Mongolie intérieure avec un squelette de Saurien à Xilin-Gol, où pour l’un c’est des pieds de Dinosaure et d’humains côte à côte à Glen-Rose, pour l’autre de la verdure bloquée dans la mâchoire d’un Mammouth, puis une végétation comme le bananier qui n’a pas lieu d’être avec un squelette de Mammouth, et l’autre toujours un squelette de Tigre à dents de sabre, etc, etc.

Charles Berlitz  :

« Dans le Pays de Galle et le Devonshire, et dans nombre de régions du sud de l’Angleterre, on trouve sur des collines des charniers entiers emplis dos broyés d’hyènes, d’hippopotames, d’éléphants, d’ours polaires et d autres animaux connus. Dans les fissures rocheuses du Mont Genay en France se trouvent des ossements de rhinocéros, d’éléphants, de lions et d’aurochs »

Selon les scientifiques ces squelettes d’animaux auraient des millions d’années, alors qu’en réalité prouvé par les couches de limons successives, ils auraient moins de dix mille ans et un peu plus de cinq mille ans. Ces docteurs et experts comme John Mackay, Cécile Daugherry confirme qu’il y a bien eût Déluge planétaire à une époque donnée, il y a six à cinq mille ans et, qu’entre cette date et celle de l’Ère Commune (EC) ou Jésus-Christ (J-C.) il y eut d’autre grand « Déluge » dans différente région du Globe suite à des éruptions volcaniques.

Noé après le « Déluge » avait partagé la Terre entre ses trois fils à Japhet qui était blanc l’Europe, à Sem qui était cuivré toute l’Asie, et Cham qui était noir L’Afrique.

Bien après la mort de Noé peut-être dix siècles les humains voulurent construire une tour qui atteindrait les nuées pour qu’ils ne périssent plus par un Déluge. Voyant cela EL-SHADDAÏ les stoppa après quarante trois ans de construction en changeant leur aspect et les confondant dans leur langage. Les humains ne reconnaissaient plus leur propre frère et ne le comprenaient plus alors chacun se dispersât sur la Terre selon son langage, selon son aspect. Livre des Antiquités Bibliques, La tour de Babel : VII : 2-5, « // EL-SHADDAÏ dit : « Voici qu’ils sont un seul peuple et qu’ils ont une seule langue pour tous. Testament de Nephtali VIII : 3, -- Ce qu’ils ont commencé à faire, la terre ne le supportera pas et le ciel ne pourra tolérer sa vue. Il arrivera, si on ne les empêche pas immédiatement, qu’ils deviendront audacieux en tout ce qu’ils auront décidé de faire. C’est pourquoi, voici que je vais séparer leurs langues et leur aspect et je les disperserai dans tous les pays pour que chacun ne connaisse plus son frère et que chacun d’entre eux ne comprenne plus la langue de son prochain. Je mets les pierres en garde à leur sujet. Ils se construiront des demeures avec les tiges de la paille et ils se creuseront des cavernes et comme les bêtes des champs, ils habiteront là. Et il en sera ainsi en tout temps, je les considérerai comme une goutte d’eau et je les comparerai à un crachat.Voir II Baruch LXXXII : 5, -- Quant aux peuples qui habitent la Terre, quand ils commencèrent à bâtir la tour, EL-SHADDAÏ sépara leurs langues et changea leur aspect. Chacun ne connut plus son frère, et chacun ne comprenait plus la langue de son prochain. (IIIème Bible-BÉI-Antiquités bibliques p. 1251-1252) Les blancs, du légèrement bronzé au blanc, selon son langage, les cuivrés, qui allaient de la couleur jaune au rouge, selon son langage, et les noirs, toutes les couleurs du noir, selon son langage, tous se dispersèrent les noirs tout le Continent Afrique, les blancs tout le Continent Europe, les cuivrés tout le Continent Asie. Quelques humains des trois couleurs traversèrent la Grande Mer pour aller peupler le Continent des Amériques et d’autres prirent la route de l’Extrême-Orient par le Détroit de Béring pour peupler les Amériques.

Je viens de vous expliquer le peuplement de la Terre voilà pourquoi dans toutes les Amériques les humains étaient adorateur d’un seul Dieu. Tous les amérindiens ne priaient que le « Grand-Esprit », et dans le Continent « Amérique du Sud »  les autochtones comme les Olmèques, Toltèques, Zapotèques, Mixtèques, Aztèques et Mayas mais aussi du coté Pacifique avec les civilisations Andines :Incas, Moches, Chibchas, Cañaris, au niveau spirituel n’adoraient qu’un seul « Dieu », ce dernier étant servi par une multitude de « sous-dieu » un peu comme la religion chrétienne avec ses « Saints », quoique, sûrement plus propre, car ils ne vénèrent qu’un seul « DIEU », alors que le christianisme adore trois Dieux, Dieu Père, Dieu Fils, Dieu Saint-Esprit qu’il prie séparément, mais aussi globalement en la personne de « DIEU » qui est seul représentant les trois.

Pour confirmer ce que j’écris, il est prouver que les Amériques furent peuplé par des sémitiques, en effet des squelettes de  type europoïde furent découvert, l’homme de Kennewick dans l’État de Washington  en 1996, la Femme de Peñon près de Mexico, la caverne de Lovelock en 1911, puis en 1931 où des restes humains de type europoïde furent découvert âgés de 5000 ans et 7000 ans, des crâne à Lucia au Brésil, près du site de Clovis au Nouveau Mexique l’homme de Folsom, et au Canada région Québécoise en plus des marques européennes, des restes de maison Iroquoise façonnée avec des rondins, 6000 ans environ.

Bien avant Christophe Colomb, Éric le Rouge,  au Xème siècle découvrit l’Island, puis le Groenland et Terre-Neuve. Son fils continua l’avancement jusqu’à l’embouchure du Saint Laurent qu’il remonta pour former une Colonnie.

La présence viking est prouvée par l’archéologie et qui aurait peut-être formé le peuple d’Inuits et Iroquois.

Maintenant que j’ai écrit sur l’histoire supposé du monde, il faut bien faire confiance à nos anciens qui découvrir les Amériques bien avant Christoph Colomb, je vais revenir vers nos moutons qui sont la « Toussaint » et la fête du jour des morts.

Halloween fête scandinave, mais surtout d’origine Celte, se fête le 31 Octobre. La culture « Celte » apparaît vers le VIIIème siècle avant la naissance de Jésus le Nazôréen. Personnellement je suis convaincu que la culture Celte avec sa langue le gaëlique est une résultante de la tour de Babel quand les humains furent dispersés sur toute la surface de la Terre selon leur aspect et leurs langues. Ceux que l’on nommera les galiciens sont ces humains qui suivirent les cotes des mers, mais aussi les grandes plaines et plateaux, de l’Anatolie point de départ où ils reviendront des millénaires après, en Galatie, traversant le Bosphore, séparant la Mer Noire de la Mer de Marmara, Mer Méditerranée, suivant la route de Sofia, Belgrade, Zagreb, Trieste, Milan, col du Mont Cenis, Grenoble, Nîmes, Béziers, Toulouse, Bordeaux, Bayonne, Bilbao, La Corogne en Galice. Ce peuple en Galice ce format une langue grammaticale, et l’humain étant un nomade une partie de ces humains remontèrent à Bordeaux puis vers le Nord donnant leur nom les « Gales » qui devinrent les Gaules. Leur langue était le Celte et ces Celtes s’installèrent en Petite Bretagne, puis traversèrent la Mer du Nord et la Manche et s’établirent dans cette grande ile qui deviendra la Grande Bretagne, l’Écosse et le Pays de Galles, avec une autre grande ile à coté de celle-ci je parle de l’Irlande puis le Nord de l’Europe juste avant les pays Scandinaves jusqu’au Danube, tous étaient de langue Celte.

La culture spirituelle de tous ces peuples étaient le druidisme. Ils croyaient en un Dieu le Samhain qui s’écrit aussi Samhan, Samain.

La mythologie celtique est pauvre en document ce qui fait que les connaissances sont lacunaires et les seules sources que les historiens et exégètes possèdent sont indirectes, les vestiges archéologiques, les témoignages de ceux qui les ont côtoyés comme les Grecs et les Romains, Jules César avec ses écrits sur « la guerre des Gaules », et les littératures médiévales galloise et irlandaise. Comme les autres peuples de l’antiquité, les Celtes avaient une culture religieuse polythéiste dans laquelle officiait le classe sacerdotal druidisme. Cette religion s’est progressivement dissoute dans la culture de l’Empire Romain des dix décennies avant l’Ère Commune (EC.), à l’exception de l’Irlande et de l’Écosse où la civilisation celtique résista jusqu’à l’arrivé au Vème, VIème siècle du christianisme qui évangélisa ces deux Nations en faisant des concessions sur leurs fêtes païennes, les christianisant.

Il faut reconnaître que les Prêtres druidismes, privilégiaient l’oral sur l’écriture car peu d’humains savaient lire ce qui devint pour eux une perte du témoignage, les paroles s’envolent seuls les écrits restent d’où des informations données au compte goutte. La civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe pendant plusieurs siècles.

Dans la mythologie celtique le « Samhain » est la fête religieuse qui célèbre le début de la saison « Sombre » de l’année celtique qui en opposé avait une saison « Claire ». Le Samhain est une fête de transition, le passage d’une année à l’autre, et d’ouverture vers « l’Autre Monde », celui des dieux. Elle est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais car, de par sa définition, elle est propice aux événements magiques et mythiques. Son importance chez les Celtes est indéniable, incontestable puisque nous la retrouvons en Gaule sous les trois nuits de Samain durant le mois de Somonios, notre mois de Novembre, sur le calendrier de Coligny.

Le mot « Halloween » est un mot typiquement anglais son étymologie ayant aucun rapport avec la langue celtique même le gaélique. En effet en langue  anglaise « Hallows » qui est une  forme archaïque de « Holy » qui signifie « saint » et de « even » qui signifie « soir » Ce « even » est devenue « evening », puis « e’en » pour finir par « een » Ce qui en français devenait le « soir de tous les saints » devenant « Toussaint »

La fête de « Samain » était une fête importante dans le milieu celte puisque c’était une fête de nouvelle année qui commençait toujours par la saison « Sombre ».La fête durait sept jours trois jours avant, le jour pour Samhain, trois jours après, les trois premiers jours marquaient la fermeture des jours « Claires » puisqu’il n y avait plus de récolte, puis venait le jour de la nouvelle année, le premier Novembre, et les trois premiers jours « Sombres » qui représentait l’arriver du froid

Les celtes avaient peu de Dieux et selon la province ils changeaient de nom. Cela ne les a pas empêché d’avoir une mythologie élaborée. Contrairement à la pensée générale, si les celtes privilégiaient l’orale, ils connaissaient l’écriture comme l’alphabet étrusque ou grec, et  ils ont quand même inventé un système particulier de notation qui est l’écriture oghamique

L’immortalité de l’âme était une des croyances des Celtes, ce qui explique, peut-être, les témoignages sur leur vaillance et leur intrépidité au combat, puisque la peur de la mort était absente.

Ils croyaient que Samhain, le dieu des morts, rassemblait les âmes de ceux qui étaient morts pendant la dernière année et décidait quelle forme ils prendraient l’année suivante.

Ces âmes pouvaient aussi bien avoir un corps humain ou être condamnées à vivre dans des animaux, les âmes ou les esprits les plus méchants prenant la forme de chats. En espérant tromper Samhain et lui faire donner des sentences plus légères, les adorateurs celtes essayaient de le soudoyer en offrant des prières et des cadeaux.

L’Encyclopédie Britannique dit ce qui suit:

« Samhain, fin de l’été celte, une des fêtes du calendrier les plus importantes et les plus sinistres de l’année celte. Lors de Samhain, célébrée le 1er novembre, on croyait que le monde des dieux était rendu visible aux yeux de l’humanité et que ces dieux jouaient des tours à leurs adorateurs humains. Il s’agissait d’un temps plein de danger, rempli de frayeur et d’événements surnaturels. La période était remplie d’offrandes et de sacrifices de toutes sortes. On les croyait essentiels, car sans eux, les Celtes pensaient qu’ils ne pourraient surmonter les périls de la saison et résister aux actions des dieux. Samhain fut un important précurseur de l’Halloween. »

« La nuit du 31 octobre, la veille du Nouvel An, les Celtes, après avoir fait les récoltes et les avoir engrangées en prévision de l’hiver, commençait leur fête. D’abord, ils éteignaient les feux de cuisine dans leurs maisons. Puis les druides, prêtres celtes, qui signifie, « Savant, Savoir, Sagesse », se rencontraient au sommet des collines dans les profondes forêts de chênes, ils considéraient cet arbre comme sacré, et ils préparaient d’énormes feux sacrés afin d’effrayer les mauvais esprits et honorer leur dieu soleil. Ensuite, les gens brûlaient de leur récolte et de leurs animaux en sacrifice à leurs dieux tout en dansant autour alors que la « saison du soleil » les quittait et que la « saison de la noirceur » faisait son apparition. Les Celtes portaient des costumes faits de peaux et de têtes d’animaux, et se prédisaient l’avenir. Le matin suivant, ils rallumaient leurs feux de cuisine à partir des feux sacrés pour se dégager des esprits méchants et être protégés pendant la saison hivernale. »

Le nom de Samhain signifie « réunion », c’est une fête obligatoire de toute la société celtique qui donne lieu à des assemblées et des banquets rituels ; son caractère païen la place sous l’autorité de la classe sacerdotale des druides.

Le 31 Octobre dans notre époque moderne est la fête de l’Halloween, veille de la « Toussaint » fête religieuse, et dernier jour de l’année Celte qui équivaut à notre Saint Sylvestre, le 1er Novembre étant le premier jour de l’année Celte jour de célébration du Dieu Samhain, sachant que « Halloween » signifie « soir de tous les Saints » et comme déjà écrit, il existe aucune relation avec la croyance celtique, même gaélique.

En dépit de son nom d'origine chrétienne et anglaise, la grande majorité des sources présentent Halloween comme un héritage de la fête païenne de Samhain – Samain – qui était célébrée au début de l’automne par les celtes et constituait pour eux une fête de fin d’année et de « Nouvel An ». En gaélique, l’Halloween est ainsi connue jusqu’à nos jours sous le nom de « Oïche Shamhna » fête très populaire en Bretagne, Irlande, Pays de Galles et Écosse on l’on trouve de nombreux témoignages historiques de son existence. Jack-O’-Lantern est elle-même issue d’une légende irlandaise.

Tout ce que je viens d’écrire est l’histoire religieuse du paganisme alors qu’en est-il de cette religion mondiale, le christianisme ? En avant propos, j’ai survolé l’essentiel pour que déjà, avec votre conscience vous réfléchissiez à la dure réalité de mes écrits.

Que la « Toussaint » soit la plus grande fête idolâtre du christianisme est une vérité, et cela est évident puisque c’est l’adoration des « Statues » fixée fermement sur des « basses-rondes » le long des murs ou des colonnes du « Temple Chrétien » église, chapelle, cathédrale, en reconnaissant que parmi le monde chrétien seul les Protestants rejettent tout ce qui est représentation de saints.

Cette lecture finie nous laisse toujours dans une recherche de vérité, et par les écrits canoniques difficiles pour un humain réfléchi de trouver la vérité. Alors demandons à EL-SHADDAÏ qu’il nous éclaire en esprit, afin que nous trouvions la vérité et surtout sa voie, qui nous mène vers lui, ce Dieu seul et unique.

Portez-vous bien, prenez soin de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 19-10-2014 à 01:25:58

Déchéance d'une ...Chap. N° 11 - Constance II, Théodose 1er

 

Théodose Ier

 

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

Constantin le Grand est personnellement très porté sur le faste, l'ostentation et désire donner à la fonction impériale, par le cérémonial, le costume et l'apparat une dimension suprahumaine. Eusèbe de Césarée affirme dans sa « Vie de Constantin » que l'empereur siège sur son trône dans une attitude hiératique et figée, ses yeux levés vers le ciel.

Toujours par Eusèbe de Césarée, quand Constantin le Grand partira en campagne contre les Perses, considérant cela comme une croisade, des évêques devront l’accompagner pour participer dans son Conseil

Suite à cette lecture, vous comprenez maintenant le faste qui existe dans la chrétienté qu’elle soit orthodoxe ou catholique.

Cette religion qui devrait faire acte de pauvreté étale sa richesse lors des grandes cérémonies religieuses comme Pâques ou Noël.

 

Chapitre N° 11

 

Constance II, Théodose

 

Tout ceci vient de l’ère de Constantin le Grand.

Suite à ce faste des transformations importantes vont régir cette « Église Chrétienne »

Beaucoup de dissensions naissent au sein de la communauté religieuse chacun voulant imposer son dogme pour avoir l’autorité sur toute la communauté chrétienne. Vous deveniez le chef incontesté et incontestable sur la religion mais aussi sur la politique avec les honneurs et la richesse.

Jésus le Nazaréen n’existe plus, c’est juste un « Nom » qui rapporte gloire et fortune.

Je continue l’écriture, Constantin est décédé et pour le moment c’est encore le Concile de Nicée qui fait foi avec son « Symbole des Apôtres »

Le troisième fils de Constantin, du nom de Constance II, prendra le pouvoir après le massacre de ses neveux et de ses demi-frères.

Déjà à cette époque, le christianisme n’était pas encore vraiment structuré, les responsables religieux de cette religion n’étaient pas à une magouille, voir mensonges et faux témoignages près

En voici une preuve :

 Le consentement sinon la responsabilité de Constance II dans le massacre des neveux et des demi-frères de Constantin est plus que vraisemblable.

L'évêque Eusèbe de Nicomédie, partisan de Constance II, produisit opportunément un testament de Constantin, qui accusait ses demi-frères de l'avoir empoisonné, et qui incita la Garde impériale à le venger.

Constance II passe pour le premier empereur byzantin.

Il affirme tenir son pouvoir du Dieu des chrétiens et exerce un pouvoir absolu et tyrannique qui se manifeste par des attitudes hiératiques et justifie toutes les cruautés.

Lorsque Constance monte sur le trône, les circonstances ont changé, de sorte qu'il trouve face à lui un clergé chrétien organisé quoique divisé, et habitué depuis des décennies à bénéficier de la faveur impériale.

Il vit entouré d'une cour peuplée d'eunuques dirigée par le grand chambellan Eusèbe, lieu de toutes les intrigues.

Le Conseil du prince devient consistoire : les participants doivent rester debout en présence de sa majesté impériale.

Constance, qui se considère comme « l'Évêque des évêques » entend donc bien contraindre, par la force de son autorité, les prélats récalcitrants, ariens comme nicéens, à professer cette idée controversée de la supériorité et de l'antériorité du Père

Il sent que sa tâche parfois le dépasse.

N'ayant pas de fils, il se voit contraint de nommer des Césars parmi ses cousins rescapés du massacre familial de 337 pour le seconder. Il s'en sait détester et ne se résigne à les désigner que lorsque des conséquences extrêmes l'y contraignent.

En 351, Constance II nomme César en Orient son cousin Gallus pour lutter contre Magnence.

En 354, mécontent de la manière de gouverner de Gallus, il le fait exécuter.

En 355, il envoie le demi-frère de Gallus, Julien, le représenter en Gaule, avec le titre de César, pendant que lui-même réside à Milan, inquiet du danger alaman.

En 356, il publie un édit de persécution contre les païens :

 « Nous décrétons la peine capitale contre ceux qui sont convaincus d'adorer les idoles. »

En 357, il vient visiter Rome, qu'il ne connaît pas, puis conduit une offensive contre les Sarmates et enfin contre les Perses.

En 360, à Lutèce, les troupes de Gaule proclament Julien Auguste, c'est-à-dire empereur à part entière.

Constance II doit se porter contre lui, quand, en 361, en cours de route, il tombe malade et décède rapidement, après avoir reçu, comme son père, le baptême d'un prêtre arien, léguant le trône à son compétiteur.

Le sens du baptême, que Jean le Baptiste instaura et que Jésus le Nazôréen confirma, n’a plus sa valeur spirituel des premiers jours, mais devient, par peur de la mort et de la vie de l’au-delà, un sacrement de passage pour avoir une meilleure « vie dans la mort ». En effet beaucoup d’humains de ce IVème siècle et des suivants se feront baptiser juste avant de mourir.

Le célèbre prélat nicéen Hilaire de Poitiers, lui aussi un temps exilé en Orient, en vient même à comparer l'empereur ayant trahi le credo de Nicée à l'Antéchrist en personne.

 L'animosité de l'évêque est telle qu'il maintient un style agressif à l'encontre du Prince même après l'usurpation de Julien et la révélation de l'apostasie du nouveau souverain. Un signe que les haines entre chrétiens, nées des controverses sur la nature de la Trinité, se révèlent parfois plus vives que les tensions latentes entre chrétiens et gentils et que l’Église au sortir du règne de Constance demeure plus désunie que jamais.

Je continue les faits historiques du début de l’ère chrétienne afin de vous prouver que cette religion, la chrétienté, est une religion faite par les humains et que les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, Dieu pour la chrétienté, ainsi que les « Enseignements » de Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour la chrétienté, n’ont plus aucune valeur et que seul compte les Lois et Enseignements écrit par les humains. []

À l'exception de Valens, les successeurs de Constantin le Grand, soucieux de paix civile, observent une stricte neutralité religieuse entre les ariens et les nicéens. La défaite d’Andrinople face aux Wisigoths ariens permet aux catholiques orthodoxes de passer à l’offensive. Ambroise de Milan, voulant défendre le Credo de Nicée contre les ariens qualifie l’hérésie de double trahison, envers l’Église et envers l’Empire.

Gratien-- Empereur de 367-383

 Le 19 janvier 379, Gratien proclame Auguste l’hispanique Théodose Ier, fils du grand général Théodose l'Ancien, qui réprime le soulèvement de Firmus en 375, exécuté à Carthage en 376, probablement sur l’ordre de Gratien. Théodose reçoit l’Orient.

En 380, Gratien et Théodose arrêtent les Goths en Épire et Dalmatie.

Les empereurs Théodose, pour l’Empire d'Orient et Gratien, pour l’Empire d'Occident, tous deux chrétiens, élèvent le christianisme au rang de seule religion officielle et obligatoire par l’Édit du 28 février 380, dit l'Édit de Thessalonique.

 L’empereur Gratien cesse alors de porter le titre de Pontifex Maximus, souverain pontife, du culte romain.

 Ce titre, Pontifex Maximus, est donné de nouveau à l’évêque de Rome des siècles plus tard.

De 388 à 391, Théodose demeura en Occident, presque toujours à Milan.

 En 390, voulant mettre fin aux mœurs qui avaient jusqu'alors prévalu dans le monde antique, et imposer la morale ascétique préconisée par les chrétiens les plus radicaux, il publia une loi qui punissait de mort les homosexuels, et fit réprimer dans le sang par les troupes barbares une émeute à Thessalonique.

La répression fit sept mille à dix mille morts, selon les sources, ce qui valut à Théodose d’être excommunié par l’évêque Ambroise de Milan. Les victimes des massacres furent ici majoritairement des Romains et les massacreurs d’anciens barbares, populations au sein desquelles l’armée recrutait.

En 381, il transporte sa capitale de Trèves à Milan, auprès de l’évêque Ambroise.

À noter qu'en 381, en son honneur, la bourgade de Cularo fut renommée Gratianopolis ---devenue Grenoble ---- après avoir été dotée d'un évêché par Gratien.

En 382 il combat le paganisme et se montre très bienveillant envers l’Évêque Damas Ier. Il supprime notamment les immunités dont jouissent les prêtres et les vestales et il est le premier empereur à refuser de porter le titre de « Pontifex Maximus. » »

Gratien finit par s’orienter vers une condamnation de l’arianisme sous l’influence conjuguée de son collègue Théodose[] et d’Ambroise, il promulgue des lois antihérétiques[]. Il convoque un concile à Aquilée, en 381, dirigé par Ambroise.

Les païens, les hérétiques et les Juifs deviennent des citoyens de seconde zone, grevés d’incapacités juridiques et administratives[].

 Dans une loi, Théodose précise :

« Nous leur enlevons la faculté même de vivre selon le droit romain. »[].

Cependant, le Judaïsme est la seule religion non-chrétienne à demeurer licite en 380.[]

Sur le vieux fond de judéo phobie gréco-romain[] se greffe un antijudaïsme proprement chrétien, accusant les Juifs d’être déicides et d’avoir rejeté le message évangélique.

 Cela n’empêche pas Théodose de vouloir imposer à l’évêque de Callinicum en Mésopotamie de reconstruire à ses frais, la synagogue que ses fidèles ont détruite, à la grande indignation d’Ambroise de Milan.

Le christianisme primitif est oublié et les vieux démons humains ont repris vigueurs.

 Ce sont les Évêques qui commandent.

En 451, le concile de Constantinople définit Dieu comme un être unique, en trois personnes éternelles, le Père, le Fils et le Saint Esprit.

L’affirmation du dogme de la Trinité. Jésus-Christ est défini comme 

« Fils unique de Dieu, engendré du Père, lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu, engendré, non créé, de la même substance que le Père[] »

Comme vous pouvez le constater se sont bien les humains qui ont fait le christianisme tel qu’il est aujourd’hui, rien à voir avec les « Enseignements de Jésus le Nazaréen et des Lois perpétuelles de son Père EL-SHADDAÏ. »

Je n’invente rien dans mes écrits, les historiens sont là pour dévoiler une certaine vérité car il y a la neutralité historique des faits avec des dates.

Jésus le Nazaréen et ses « Enseignements » ne font plus autorité, mais c’est le pouvoir politico-religieux qui prime.

Le christianisme primitif n’existe plus.

Maintenant le christianisme c’est l’État et les Évêques qui en sont propriétaires. Tout ce qu’ils diront et feront au nom du christianisme « fait force de Loi ».

À partir du IVe siècle, un personnage nouveau se détache de l’évêque, le prêtre. Il obtient peu à peu le droit de baptiser, de prêcher et d’enseigner. Alors que les cités d’Occident se vident de leur population à cause des difficultés de ravitaillement et de l’insécurité, une nouvelle cellule religieuse rurale se développe au VIe siècle, la paroisse dans laquelle il officie.

Au-dessus des évêques se trouve l’évêque métropolitain qui siège dans le chef-lieu.

 En 381, apparaissent des « primats » qui regroupent sous leur autorité plusieurs provinces. En Occident, Rome et Carthage, en Orient, Constantinople, Alexandrie et Antioche. Au cours du IVe siècle, le siège de Rome commence à établir sa primauté sur l’ensemble de l’Empire.

La primatie, du latin prima sedes episcoporum, est la dignité d'un « primat », évêque qui possède une suprématie, au moins honorifique, sur tous les évêques et archevêques d'une région. Le terme désigne aussi l'étendue du ressort de la juridiction ecclésiastique du primat, et le siège de cette juridiction.

Une province ecclésiastique est une circonscription administrative de l'Église catholique qui a pour origine l'organisation administrative de l'ancien Empire romain. Dans l'Empire romain tardif la province était une subdivision d'un diocèse.

Cela ne doit pas faire oublier que durant l’Antiquité tardive, l’Église n’est pas un ensemble homogène. Chaque cité a ses rites, ses saints, sa langue liturgique, reflet de la diversité de l’Empire.

A partir de maintenant l’Évêché de Rome et de Constantinople vont prendre de plus en plus d’importance sur les pouvoirs politiques.

De très grandes dissensions dogmatiques vont opposer Rome qui est l’Occident et Constantinople qui est l’Orient. Le premier deviendra l’Église Catholique de Rome, l’autre l’Église Orthodoxe de Constantinople. Les deux communautés prendront les armes les uns contre les autres. Alliance contre nature, trahison, et autres arriveront à la séparation définitive au grand schisme d’Orient en 1054.

Ce qui est écrit ci-dessus est malheureusement le reflet de la dépravation humaine. Alors réfléchissons et recherchons le véritable Dieu !

Portez-vous bien, prenant soins de vous ainsi que de votre maisonnée !

Salutations cordiales à tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 09-10-2014 à 10:22:36

Déchéance d'une ...Chap. N° 12 - Constantin le Grand

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

EL-SHADDAÏ étant androgyne, il a conçu son Fils avec un ADN pour moitié la partie mâle, pour moitié la partie femelle. Il s’ensuit que Jésus le Nazaréen est un autre Être car non androgyne, mais avec un ADN personnel qui est un mélange des deux à égalité avec les chromosomes mâles plus fort puisqu’il est « Homme ». Ceci est son image et son corps substance non translucide dans l’univers invisible à l’humain.

Son corps humain par contre est composé en ADN pour moitié par l’ADN de son Père EL-SHADDAÏ et pour moitié par l’ADN de sa mère terrestre Marie.

Ceci en fait un Être exceptionnel et unique car pour une partie il est substance et pour l’autre il est terrestre.

J’aurai été curieux de connaître son ADN personnel sur la Terre ainsi que la conception chimique du corps.

 

Chapitre N° 10

 

Constantin le Grand

 

Arius et tous les autres Penseurs théologiens ont été influencés par les religions païennes grecques, latines, et autres du Bassin Méditerranéen de l’époque. Il était très courant pour un homme de la « Noblesse » d’adopter un autre humain mâle eusse-t-il plus d’une vingtaine d’année et de le déclarer son propre « fils » en lui donnant son « Nom et ses Titres ».

« L'adoption en droit romain était une pratique relativement courante, en particulier chez les sénateurs. Postérieure à la loi des Douze Tables vers -450 de J-C, elle visait alors à trouver un héritier ainsi qu’à établir des alliances entre familles, en transférant l'autorité du pater familias sur un enfant à un autre pater. 

Sous l'Empire, 27 - 395 d’EC., l'adoption était le moyen le plus commun d'accession non-violente au trône, une tradition qui commença avec Tibère, deuxième empereur romain.

Voici un exemple, après une période d'exil volontaire dans l'île de Rhodes, Tibère retourne à Rome en 4 ap. J.-C. où il est adopté par Auguste César et devient le dernier des successeurs potentiels de l'empereur, se nommant dorénavant Tibèrius Julius César. »

Les Évêques théologiens du milieu du IIIème et début du IVème siècle en adoptant ce système pour les « Écrits » pouvaient certifier que Jésus le Nazaréen était un « Fils » choisi parmi la multitude, donc créé, puis adopté, comme l’Esprit Saint qui était considéré comme une personne vivante.

Le donatisme n’a rien de théologique comme l’arianisme et les autres.

Le donatisme désigne une doctrine chrétienne schismatique puis hérétique qui prit son essor dans le diocèse d'Afrique du Nord qui était sous domination romaine au IVème siècle. Il tire son nom de Donatus évêque de Cases-Noires en Numidie, territoire qui s’étendait de la Lybie actuelle jusqu’au Maroc

Ce courant trouve sa genèse dans un climat de persécutions. Dès les années 295-299, ces provinces africaines comptent des martyrs. Mais la répression prend une forme systématique lors de la grande persécution de Dioclétien, 303-305, au début du IVe siècle.

Cette persécution restera marquée dans les esprits jusqu’au VIème siècle.

Le principal point d’achoppement des donatistes avec l’Église officielle concernait le refus de validité des sacrements délivrés par les évêques qui avaient failli lors de ces persécutions. Cette position fut condamnée en 313 au concile de Rome.

En dehors des querelles de personnes il n’y a rien à écrire de réellement intéressant qui nous guiderait vers le chemin d’EL-SHADDAÏ.

Par contre, vous aurez constaté que ma réflexion personnelle penche vers la thèse d’Arius uniquement sur le fait que le Père Créateur EL-SHADDAÏ et son Fils engendré Jésus le Nazaréen sont deux êtres différents, ce dernier étant un enfant obéissant, écoute et fait la volonté de son Père géniteur, exactement comme nos enfants quand ils sont élevés correctement.

Constantin le Grand

Cet homme, Constantin Ier dit le Grand, devint chrétien après la bataille au Pont de Milvius sur la via Flaminia qu’il remporta en 312 de l’EC.

Il a l’art d’associer la politique à la religion pour devenir le maître incontesté des deux.

Nous pouvons certifier que sans lui la chrétienté n’aurait jamais existé.

Les chrétiens ne constituent alors qu'une faible minorité des sujets de Constantin,[] répartis très inégalement à travers l'Empire, essentiellement en Orient et en Afrique du Nord.

Constantin est un empereur païen, un monothéiste qui honore Sol Invictus mais qui s'intéresse depuis longtemps au christianisme puisqu'il finira par adopter comme religion personnelle en 312.

La progressive conversion de Constantin au christianisme s'accompagne d'une politique impériale favorable aux chrétiens mais le paganisme n'est jamais persécuté. Constantin abandonne progressivement le monnayage au type de « Soleil » et fait fréquemment représenter sur ses monnaies des symboles chrétiens.

Il reconnaît les tribunaux épiscopaux et fait du dimanche, en 321 de l’EC., un jour férié obligatoire, à l'exception des travaux des champs. L'Empereur accorde également des dons en argent et en terrains à l'Église, soutenant la construction de grandes basiliques.

En parlant du « Dimanche » Théophile d’Antioche écrit ceci dans sa lettre à Autolycus.

Je cite.

« Ces écrivains ont parlé du septième jour, jour célèbres chez tous les peuples ; mais la plupart ignorent ce que signifie ce septième jour, appelé « Sabbat », chez les Hébreux, et « hebdomas », chez les Grecs. Cette dernière dénomination s’est conservée chez tous les peuples sans qu’ils en sachent la cause. »

Constantin le Grand fait beaucoup pour le christianisme.

Afin de favoriser les chrétiens, il abroge les lois d'Auguste sur le célibat, impose le repos dominical en 321.

En 333 il autorise l'affranchissement des esclaves par déclaration dans les églises.

En 325 il interdit que l'on sépare les familles lors des ventes, autorise l'Église à recevoir des legs et accorde le droit aux plaideurs de choisir entre le tribunal civil et la médiation de l'évêque.

 De plus, en 326 il promulgue des lois contre la prostitution des servantes d'auberges, contre les enlèvements, et sur l'humanisation des prisons.

Enfin de nombreuses lois sont créées afin de lutter contre les relations extra-maritales.

Nous lui devons le sacrement du mariage chrétien avec les cérémonies religieuses qui accompagne cet acte

Ainsi, en 329, une loi punit l'adultère d'une femme avec son esclave.

 En 331, une autre restreint le droit au divorce.

En 336, une loi pénalise les naissances illégitimes.

A lire tous les bienfaits cités ci-dessus, nous pourrions dire comme les chrétiens et comme son ami Eusèbe de Césarée que cet Empereur est un « Saint »

La christianisation du pouvoir impérial est lente car Constantin est obligé de tenir compte du poids des traditions, surtout chez les élites.

Voulant mettre fin à la querelle qui divise les chrétiens à propos du rapport entre le Fils et le Père, Constantin convoque et préside, sous l'impulsion de son conseiller Ossius de Cordoue - l'un des rares théologiens chrétiens occidentaux de l'époque —  et de son ami Eusèbe de Césarée lui aussi théologien chrétien oriental, le Concile œcuménique le 20 mai 325 dans la ville de Nicée, en Bithynie.

La plupart des 250 ou 300 évêques présents signent un « symbole » -- c’est un accord -- comportant le Credo encore en usage aujourd'hui dans toutes les Églises chrétiennes.

Constantin préside les séances bien qu'il ne soit pas encore baptisé, impose la formule dogmatique finalement adoptée par les pressions constantes qu'il exerce sur les membres de l'Assemblée et se charge d'appliquer les décisions du concile de Nicée en faisant chasser de leurs sièges les évêques « ariens »

A ce Concile furent choisis les livres bibliques qui formeront le « Canon ».

Constantin le Grand avec son ami Eusèbe de Césarée firent ce choix des Livres, Lettres, Épitres, Évangiles arbitrairement, déclarant tous les autres comme apocryphes comme le Codex Sinaïticus, dans lequel étaient incorporés les Livres d’Hénoch, les Jubilés,  les lettres d’Ignace d’Antioche, de Polycarpe, d’Hermas le Pasteur, etc

Ainsi se met en place, dès le règne de Constantin, ce qu'il est convenu d'appeler un régime césaro-papiste, c'est-à-dire un régime comme l'a montré l'historien Gilbert Dagron, dans lequel les pouvoirs politiques et religieux, bien que séparés, ne sont pas dissociables car le détenteur du pouvoir politique, qui se prétend désigné par Dieu, participe de la nature épiscopale et exerce son autorité sur l'Église.

Les évêques tentent dès le règne de Constantin et encore davantage sous ses successeurs de préserver l'Église contre les empiètements du pouvoir impérial, en particulier dans le domaine du dogme, et, d'autre part, de marquer que, comme chrétien, l'empereur doit être soumis aux mêmes obligations morales et spirituelles que les autres fidèles.

Voilà ce qu’écrivait l’Évêque de Rome Gélase 1er à l’empereur byzantin Anastase Ier --règne de 491 à 518--

« Deux pouvoirs, auguste empereur, règnent sur le monde : le pouvoir sacré des évêques et le pouvoir des rois. Le pouvoir des évêques l'emporte d'autant plus sur celui des rois que les évêques auront à répondre au tribunal de Dieu de tous les hommes, fussent-ils rois. Votre pieuse majesté ne pourra donc qu'en conclure que personne, en aucun temps, sous aucun prétexte humain, ne pourra jamais se dresser contre la fonction absolument unique de cet homme que le précepte du Christ lui-même a placé à la tête de tous et que la Sainte Église reconnaît comme son chef. »

Déjà en 491 les Évêques se prenaient pour les représentants de l’Être Suprême et de son Fils Jésus-Christ, Jésus le Nazaréen pour moi, car ils jugeaient, avec comme preuve, quelques versets détournés de leur sens, écrit dans la Bible, qu’ils étaient à cette place d’Évêque par la volonté de « Dieu », puisqu’ils considéraient Jésus-Christ comme un Dieu, égal de son Père. L’orgueil et la vanité ne les dérangeaient pas beaucoup, oubliant les paroles de Jésus le Nazaréen sur l’humilité.

Le monothéisme devient le fondement idéologique de la monarchie constantinienne, ses idées politiques étant inspirées de principes unitaires, il n'existe qu'un seul Dieu, il ne doit y avoir qu'un seul monarque qui gouverne selon la volonté divine.

Son principal théoricien, Eusèbe de Césarée, affirme, dans le Discours des Tricennales, que le royaume terrestre de Constantin est à l'image du royaume de Dieu et que l'empereur est entouré de ses Césars comme Dieu l'est de ses anges.

Eusèbe de Césarée écrivait ceci sur Constantin le Grand dans son livre : Harangue à la louange de l’Empereur Constantin.

« C'est de sa main que nôtre Empereur très-chéri de Dieu, a reçu la souveraine puissance, pour gouverner son État, comme Dieu gouverne le monde. Le Fils unique de Dieu règne avant tous les temps, et régnera après tous les temps avec son Père. Notre Empereur qui est aimé par Jésus-Christ, règne depuis plusieurs années par un écoulement, et une participation de l'autorité divine. Le Sauveur attire au service de son Père, le monde qu'il gouverne comme son royaume, et l'Empereur soumet ses sujets à l'obéissance de Jésus-Christ. Le Sauveur commun de tous les hommes chasse par sa vertu divine, comme un bon Pasteur, les puissances rebelles qui volent dans l'air et qui tendent des pièges à son troupeau. Le Prince ( ici l’empereur Constantin ) qu'il protège, défait avec son secours les ennemis de la vérité, les réduit à son obéissance, et les condamne au châtiment qu'ils méritent.

// Notre Empereur très-chéri de Dieu jouit dès cette vie de cette espérance. II est paré des vertus qui sont comme des ruisseaux qui coulent de cette source inépuisable. Il a la raison, la sagesse, et la bonté par la participation de la raison éternelle, de la sagesse incréée, de la bonté infinie. Il est juste, tempérant, et vaillant par la justice, par la tempérance, et par la vaillance que Dieu lui a communiquée. Il mérite avec justice le titre d'Empereur puisqu'il imite autant qu'il peut le maître des Empereurs, et qu'il tâche de gouverner son État avec une justice qui ait quelque rapport à celle avec laquelle Dieu gouverne l'Univers.

// Avouons-donc qu'il n'y a point d'autre Empereur que le nôtre, puisqu'il n'y en a point qui soit libre comme lui, qui méprise les plaisirs, et se prive même de ceux qui sont innocents, et légitimes. Il est maître de sa colère et de son courage. Il est vainqueur non seulement des ennemis étrangers dont il a dompté l'orgueil, mais des domestiques, et de ses propres mouvements dont il a réprimé la violence, il imite Dieu comme son modèle, et le représente comme un miroir. Il représente la tempérance, la justice, la valeur, la pièce, la sagesse dont Dieu lui a donné et le commandement, et l'exemple. Il porte seul la robe de pourpre pour marque de son autorité, et mérite seul d'avoir cette autorité parce qu'il implore jour et nuit le secours du Père céleste, et qu'il brule du désir de parvenir à son Royaume. »

Je vous ai posé ces quelques lignes pour que vous réfléchissiez sur tous les apparats de vos dirigeants Pape, Cardinal, Évêque, Pope et l’origine de ces fastes, mais aussi dans quel esprit les Livres Canoniques furent choisis. A lire les lignes d’Eusèbe de Césarée, nous comprenons rapidement que l’ « Inspiration Divine » n’existe pas, mais que l’éloge et la splendeur d’un humain qui se compare au DIEU de la chrétienté est primordial.

Vanité, orgueil, voilà ce qui sort du début de ce christianisme d’Empire. Comme je l’écris souvent les Enseignements de Jésus le Nazaréen sont dans les oubliettes et c’est l’autorité humaine avec ces dictas qui fait office de vérité.

Constantin montre son désir d'assurer à tout prix, par la conciliation ou la condamnation, l'unité de l'Église qu'il considère dès ce moment comme un rouage de l'État et l'un des principaux soutiens du pouvoir, et devient, ce faisant le véritable « président de l'Église » et portera le titre de « Pontifex Maximus. »

Premier empereur à la croix, le règne de ce dernier coïncide par ailleurs avec la fin des grandes persécutions, ce qui lui permet d'être considéré, par nombre de chrétiens, comme un sauveur, un envoyé de Dieu pour défendre son Église et permettre son triomphe.

Il ne faut pas oublié qu’il est Empereur, mais qu’il est avant tout un homme de guerre, très autoritaire.

Il porte d'abord la couronne de lauriers puis adopte régulièrement à partir de 326-327 le diadème orné de pierres précieuses.

Il est personnellement très porté sur le faste et l'ostentation et désire donner à la fonction impériale, par le cérémonial, le costume et l'apparat une dimension suprahumaine. Eusèbe de Césarée affirme dans sa « Vie de Constantin » que l'empereur siège sur son trône dans une attitude hiératique et figée, ses yeux levés vers le ciel.

Toujours par Eusèbe de Césarée, quand Constantin le Grand partira en campagne contre les Perses, considérant cela comme une croisade, des évêques devront l’accompagner pour participer dans son Conseil

Suite à cette lecture, vous comprenez maintenant le faste qui existe dans la chrétienté qu’elle soit orthodoxe ou catholique.

Cette religion qui devrait faire acte de pauvreté étale sa richesse lors des grandes cérémonies religieuses comme Pâques ou Noël.

Réfléchissez à ces Textes !

A bientôt pour d’autres écrits !

Portez-vous bien et prenez soin de vous !

Sig : JP.G. dit « GRAN-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


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posté le 29-09-2014 à 02:50:22

Déchéance d'une ...Chap. N° 9 - Naissances dogmatiques du Christianisme

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

Jésus le Nazaréen ne suivant que les volontés de son Père. Ces textes en aucun cas ne renient la Royauté de Jésus le Nazaréen dans les Cieux comme sur la Terre.

Être Roi n’est pas être « Dieu » !

Mais en plus, tous ces écrits suivent les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, ainsi que tous les enseignements de Jésus le Nazaréen.

J’aurai bien l’occasion de vous poser encore quelques textes de ces écrits évincés du Canon biblique par des humains imparfaits.

Ces écrits ci-dessus sont des textes écrits par ceux que l’on nomme les « Pères Apostoliques »

Après ces humains, suivent les « Pères de l’Église ».

La déformation des écrits originels commencent.

 

 

Chapitre N° 9

 

Les naissances dogmatiques du Christianisme

 

Certains des Évêques d’Orient et d’Occident commencent à structurer cet ensemble disparate d’assemblées appelées « églises » dont le nom deviendra paroisse. Ils profitent de leur noblesse ou plus exactement de leur rang social pour installer une hiérarchie et imposer leurs idées. De ce phénomène va naître un nombre incroyable de courant de pensée sur l’interprétation des paroles et enseignements de Jésus le Nazôréen qui est maintenant nommé « Jésus-Christ ».

Le subordinatianisme est le principe du Dieu Un de la Septante, le Fils, Jésus, est subordonné au Père car il a été engendré par le Père alors que le Père est, lui, substance c’est-à-dire qu’il s’est fait lui-même.

Le monarchianisme est une tendance théologique du christianisme ancien sur le Logos, notamment issues de Justin de Naplouse. Le Logos éternel sortant du Père est Dieu lui-même révélé en Jésus-Christ et non une seconde personne divine préexistante.

Ah ! Ce « Logos » !

L’humain, surtout les « Pasteurs Chrétiens, Papes et Autres », ont une imagination fertile, ils sont les champions de l’illogisme ! Être Père et Fils en même temps, il faut le faire, car cela est une impossibilité même si c’est un « Dieu ». Pour être « fils », il faut un père obligatoirement et cela fait deux personnes ou deux êtres, l’un est engendré ou adopté par l’autre.

C’est avec ce style de pensé et d’affirmation que tout humain, un peu sensé, s’aperçoit de « la déchéance de la Chrétienté ».

Quand vous lisez les écrits d’un cardinal Ratzinger, aujourd’hui Pape « Benoit XVI », vous comprenez vite que cette religion est une religion en déchéance

Je cite :

« Le christianisme doit toujours se souvenir qu'il est la religion du Logos. C'est la foi en le « Creator Spiritus », le Saint-Esprit par qui procède tout ce qui existe. C'est aujourd'hui ce qui fait sa force philosophique en ce que soit le monde provient de l'irrationnel, et la raison n'est alors qu'un « sous-produit ».

 La raison créative seule, qui se manifeste dans le Dieu crucifié comme amour, peut nous montrer le chemin dans la réalité.

 Nous, chrétiens, devons être extrêmement attentifs, dans le dialogue si nécessaire entre les « gens du monde » et les catholiques, à demeurer fidèles à cette ligne fondamentale : vivre une foi qui vient du Logos, de la raison créative. »

Pour la confusion il n’y a pas mieux. Là, le « Logos » est « Saint-Esprit » et celui qui raisonne est un « sous-produit », j’en déduis donc que je suis un « sous-produit ».

Confirmation que Jésus-Christ est considéré comme un « Dieu », le « Dieu crucifié ». Donc EL-SHADDAÏ n’est plus le « Dieu » unique puisque Jésus-Christ est aussi un « Dieu ».

 Je déduis qu’il existe une multitude de Dieux et Satan en fait partie et est aussi le Dieu des Chrétiens à égalité avec leur Dieu Père, Saint-Esprit, Jésus-Christ, car je suis un « sous-produit » avec une logique.

Il ne faut pas oublié que le terme « logos » remplaçait le mot « Verbe » ou « Parole » dans la traduction grecque de l’Évangile de Jean.

Ce que l’on peut certifier c’est que le « Verbe » « Parole » et « Logos » sont synonymes l’un de l’autre. Certaines choses furent créées ou faite par la « Parole » ou le « Verbe » ou le « Logos » si vous aimez mieux d’EL-SHADDAÏ. Exemple quand il délimita l’Univers par la Lumière d’un côté, et les Ténèbres de l’autre il le fit par la « parole », c’est-à-dire par le langage ou le verbe. Quand EL-SHADDAÏ continua sont œuvre de création par la parole, le verbe  ou le logos il était seul, son Fils Jésus le Nazôréen n’était pas encore né, en un mot il n’existait pas, c’était le « Néant ».

Genèse I : 6-12  EL-SHADDAÏ remplace le terme vulgaire de « DIEU »

« EL-SHADDAÏ dit : Qu'il y ait un firmament au milieu des eaux et qu'il sépare les eaux d'avec les eaux et il en fut ainsi.

EL-SHADDAÏ fit le firmament, qui sépara les eaux qui sont sous le firmament d'avec les eaux qui sont au-dessus du firmament, et EL-SHADDAÏ appela le firmament ciel. Il y eut un soir et il y eut un matin : deuxième jour.

EL-SHADDAÏ dit : Que les eaux qui sont sous le ciel s'amassent en une seule masse et qu'apparaisse le continent et il en fut ainsi.

EL-SHADDAÏ appela le continent terre et la masse des eaux mers, et EL-SHADDAÏ vit que cela était bon.

EL-SHADDAÏ dit : Que la terre verdisse de verdure : des herbes portant semence et des arbres fruitiers donnant sur la terre selon leur espèce des fruits contenant leur semence et il en fut ainsi.

La terre produisit de la verdure : des herbes portant semence selon leur espèce, des arbres donnant selon leur espèce des fruits contenant leur semence, et EL-SHADDAÏ  vit que cela était bon. »

Je vous ferai constater qu’EL-SHADDAÏ dit, mais il fait aussi comme en I :7 ou le verset commence par « EL-SHADDAÏ fit le firmament »

L’explication écrite ci-dessus est dans le livre d’Hénoch

II Hénoch XXVII : 1 et XXVIII : 1-3  – p1190 -- « C’est EL-SHADDAÏ qui explique le commencement à Hénoch. »

« Entourant l’éther de lumière, je l’épaissis et l’étendis au-dessus des ténèbres, et des eaux j’affermis de grandes pierres, et j’ordonnais aux brouillards de l’abîme de se sécher sur la terre ferme, et je nommai abîme ce qui retomba. Je rassemblai la mer en un seul lieu et la liai d’un joug ; j’établis entre la terre et la mer une limite éternelle, et elle ne sera pas rompue par les eaux. Je fixai le firmament et en posai le fondement au- dessus des eaux. »

Par la suite ce Dieu unique explique la création des incorporels que nous nommons « Anges et Démons »

Vous remarquerez que comme dans la Genèse il prend le pronom personnel « je » et non « nous » comme après quand il dit « faisons »

L’explication du « Logos » étant terminé, moi le « sous- produit » de « Païen » je continue ou plus exactement je reprends le thème de l’écriture 

Le terme judéo-chrétien désigne en premier lieu les premiers chrétiens, et plus spécifiquement ceux d'origine juive qui continuaient à observer les prescriptions de la Loi mosaïque après leur conversion au christianisme.

Le judéo-nazôréisme, nazaréisme est une doctrine chrétienne et les Nazôréens furent une des premières appellations que prirent les chrétiens sur la base du titre de Nazaréen ou Nazôréen donné à Jésus.

« Ainsi s'accomplit ce que le Seigneur avait dit par les prophètes : Il sera appelé Nazôréen. » Matthieu II : 23 

Actes des Apôtres II : 22

 « Hommes d'Israël, écoutez ces paroles. Jésus le Nazôréen, cet homme qu’EL-SHADDAÏ a accrédité auprès de vous par les miracles, prodiges et signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, ainsi que vous le savez vous-mêmes, cet homme qui avait été livré selon le dessein bien arrêté et la prescience d’EL-SHADDAÏ, vous l'avez pris et fait mourir en le clouant à la croix par la main des impies, mais EL-SHADDAÏ l'a ressuscité, le délivrant des affres de l'Hadès. »

Actes des Apôtres III : 6

« Mais Pierre dit : « De l'argent et de l'or, je n'en ai pas, mais ce que j'ai, je te le donne : au nom de Jésus Christ le Nazôréen, marche ! »

Le montanisme est un mouvement chrétien hétérodoxe du IIe siècle fondé par le prophète Montanus en Phrygie,

Le docétisme désigne un ensemble de pensées christologiques du début du christianisme. Les théologiens docètes interprètent littéralement le verset de l’évangile selon Jean où il est écrit []que « la Parole se fit chair ». A cause de ces courants de pensée les « chrétiens » seront considérés comme des cannibales et persécutés.

Comme mouvement de pensés il y avait le priscillianisme, le pélagianisme, le nestorianisme, le monophysisme qui amèneront tous des dogmes au christianisme et qui, quelques décennies après, seront autant de doctrines condamnées comme des hérésies par les premiers conciles œcuméniques.

A tous ceux cités ci-dessus il faut ajouter le Gnosticisme, Sabellianisme, Homéisme, Anoméisme, Homoiousisme, Ébionisme et Elkhasaïsme, Cérinthiens, Symmachiens et Esséniens.

Et les deux plus importants courants de discorde du début du christianisme, l’Arianisme et le Donatisme.

L’arianisme est un courant de pensée des débuts du christianisme, dû au théologien alexandrin, de langue grecque, Arius né en Cyrénaïque, aujourd’hui la Lybie, dans la région des cinq cités (256-336) , de l'École théologique d'Antioche. L'arianisme défend la position selon laquelle la divinité du Très-Haut est supérieure à celle de son Fils fait homme.

Au IVème siècle l'arianisme joue un rôle important dans le développement du dogme de la « Trinité chrétienne » et conduit à sa formulation. À l'époque, il n'existe pas encore de représentation obligatoire de la relation entre le Père EL-SHADDAÏ et le Fils Jésus le Nazôréen.

 Les ariens adoptent le point de vue selon lequel le Fils n'est pas de la même substance que Dieu le Père, lequel est incréé, intemporel. Si le Fils témoigne d’EL-SHADDAÏ Dieu, son Père, il n'est pas EL-SHADDAÏ. Si le Fils a une position divine, elle est de moindre importance que celle du Père. Pour Arius, le Père seul est éternel, le Fils et l'Esprit ont été créés.

Arius, considère que Jésus est un homme dans lequel s'incarne la Parole d’EL-SHADDAÏ, suivant le prologue de l'évangile de Jean. Ses théories se propagent d'autant mieux dans tous les ports d'Orient que, Arius les met en musique et en vers dans une métrique correspondant aux ballades populaires.

En résumer, pour la majorité des chrétiens de l’époque, EL-SHADDAÏ est incorporel et ne peut faire partie de l'univers matériel. Arius commence, en 312, à professer la thèse suivante, issue de la théologie de son maître Licinius qui la tient d'Origène.

Le Fils est inférieur au Père car il a été créé, sa perfection morale et personnelle ont conduit EL-SHADDAÏ à l’adopter. C’est ainsi que, Arius comprend « Fils de Dieu »

Pour Arius, ce Fils créé et adopté est l’intermédiaire entre EL-SHADDAÏ et les hommes, mais aussi, si la perfection divine est hors de portée des humains, celle du Fils peut être atteinte.

Comme vous venez de le lire, tous ces courants de pensés n’ont rien de biblique, mais sont des suppositions, supputations, voir imaginations sortant de l’esprit de raisonnement de l’humain, et qui deviendront pour certaines de ces pensées, des dogmes, piliers du christianisme.

Vous constaterez aussi le manque de logique de ces humains dans leurs réflexions !

En effet, pour être « Fils » il faut avoir un « Père » et pour être « Père » il faut engendrer génétiquement. Vos « fils », comme les miens ont un ADN de cinquante pourcent de vous et d’autant de la femme conceptrice, leur mère.

EL-SHADDAÏ étant androgyne, il a conçu son Fils avec un ADN pour moitié la partie mâle, pour moitié la partie femelle. Il s’ensuit que Jésus le Nazaréen est un autre Être car non androgyne, mais avec un ADN personnel qui est un mélange des deux à égalité avec les chromosomes mâles plus fort puisqu’il est « Homme ». Ceci est son image et son corps substance non translucide dans l’univers invisible à l’humain.

Son corps humain par contre est composé en ADN pour moitié par l’ADN de son Père EL-SHADDAÏ et pour moitié par l’ADN de sa mère terrestre Marie.

Ceci en fait un Être exceptionnel et unique car pour une partie il est substance et pour l’autre il est terrestre.

J’aurai été curieux de connaître son ADN personnel sur la Terre ainsi que la conception chimique du corps.

Là, je suis convaincu que vous êtes en accord avec moi par ma logique.

La suite de ces écritures dans quelques jours.

En attendant portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée, mettant en pratique les Enseignements de Jésus le Nazaréen et les Lois de son Père EL-SHADDAÏ, étant en accord avec votre conscience au moment du repos nocturne.

Salutations cordiales pour tous !

Sig : JP.G dit « GRANDELOUPO » 
 


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