Les Alliances entre un Dieu et les humains
Chapitre N° 7
Le Germe, un Reste, le Serviteur
Les prophètes furent ceux qui prédirent jusque dans les décennies des quatre derniers siècles avant l’arrivée de J-C. Le dernier de ces visionnaires à prophétiser fut Néhémie qui succéda à Zacharie et Agée et leurs augures furent de l’année -520 à -433 après eux bibliquement il y eut « les Livres des Maccabées » qui conta leur Révolte de -175 à -130 av. l’EC. Après cela les écritures bibliques ne parleront plus des prodiges d’EL-SHADDAÏ, le peuple n’existe plus, seul le Temple à encore de l’importance comme point de ralliement de la foi hébraïque. De « l’Alliance du Sinaï » ou de « l’Alliance de Moïse » il ne reste plus rien sauf toutes les Lois et Fêtes décrété par le Grand Prêtres du Temple qui est aussi le Gouverneur de la Judée et des provinces limitrophes. Comme EL-SHADDAÏ l’avait annoncé par l’intermédiaire de ses prophètes : « Vous m’avez abandonné, alors moi aussi je vous abandonne, je vous laisse dans les mains des Nations vous me chercherez, mais vous ne me trouverez pas ! ». Mais le prophètes Malachie suite à Jérémie et Ézéchiel annoncera la venue d’un nouveau Pasteur, d’un Messager qui sera comme Élie. Malachie III : 1-3, 14-17
« Voici
que je vais envoyer mon messager, pour qu'il fraye un chemin devant
moi. Et soudain il entrera dans son sanctuaire, le Seigneur que vous
cherchez ; et l'Ange de l'alliance que vous désirez, le voici
qui vient ! dit EL SHADDAÏ.
Qui soutiendra le jour de son arrivée ?
Qui restera droit quand il apparaîtra ?
Car il est comme le feu du fondeur et comme la lessive des blanchisseurs.
Il siégera comme fondeur et nettoyeur. Il purifiera les fils de Lévi et les affinera comme or et argent, et ils deviendront pour Yahvé ceux qui présentent l'offrande selon la justice. »
« Vous dites :
« C'est vanité de servir EL-SHADDAÏ, et que gagnons-nous à avoir gardé ses observances et marché dans le deuil devant EL SHADDAÏ ?
Maintenant nous en sommes à déclarer heureux les arrogants, ils prospèrent, ceux qui font le mal, ils mettent EL-SHADDAÏ à l'épreuve et ils s'en tirent ! »
Alors ceux qui craignent EL-SHADDAÏ se parlèrent l'un à l'autre. EL-SHADDAÏ prêta attention et entendit : un livre aide-mémoire fut écrit devant lui en faveur de ceux qui craignent EL SHADDAÏ et qui pensent à son Nom.
Au Jour que je prépare, ils seront mon bien propre, dit EL SHADDAÏ. J'aurai compassion d'eux comme un homme a compassion de son fils qui le sert. »
Les prophéties se sont réalisées et Jésus le Nazaréen, le Fils unique d’EL-SHADDAÏ, non créé, mais engendré, est né une seconde fois en tant que matière humaine avec tout ce que cela comporte comme risques pour son Père géniteur, et lui-même.
En effet, cet unique Enfant, afin d’accomplir la volonté de son Père accepta librement de venir sur Terre pour sauver la race humaine.
Jésus le Nazôréen allait devenir le fondateur du Nouvelle Alliance et celle-là sera indestructible et éternelle aussi bien pour l’humain fait de chair que pour ce Dieu substance, nous façonnés à son image, élaboré de par lui-même, son commencement forgé dans l’infini, sa fin par l’infini voilà pourquoi il peut dire et écrire : « Avant moi il n’existait pas de Dieu, après moi il n’y en aura jamais, je suis le seul, l’unique ! C’est moi qui a créé le commencement de toute chose et c’est moi seul qui pourra supprimer toute chose ! Sans moi il n’y a rien ! Tout vie par moi, par la force de mon « Esprit » et par ma seule « Volonté » ! Je suis moi et pas un autre ne peut être Dieu, je suis le seul, l’unique ! » Nous humains, nous sommes vraiment à son image, à son reflet sur la terre de la Terre, nous pouvons confectionner, instituer, mouler, sculpter, construire, constituer, élaborer, œuvrer, transformer, inventer, nous sommes un « Dieu » sur cette terre car nous pouvons trucider, torturer, démolir, raser, couper, exterminer, écraser, sacrifier, nous pouvons rejeter ce Dieu créateur de nous, et nous en inventer des nouveaux, car ce « Dieu » nous a confectionné comme lui, libre en tout, de par nos actions, de par nos pensées, nous possédons le « Libre-Choix », pas de torture, pas de menace, comme l’oiseau nous sommes libre, complètement « libre en tout ».
Cet Être Suprême fait toujours bien les choses. Il a choisi un humain et il a multiplié sa descendance afin d’avoir un peuple dans la région du Goshen dans le Delta du Nil en Égypte. Ce peuple est en terre étrangère, l’Égypte, la descendance d’Abraham, qui engendra Isaac, qui engendra Jacob et qui engendra les douze Tribus d’Israël, nom donné à Jacob après avoir combattu toute une nuit avec un Ange d’EL-SHADDAÏ.
Le
Peuple fut libéré de l’esclavage égyptiens, car les hébreux
sans doute grâce à leur religion étaient devenu plus nombreux que
les autochtones, alors ceux-ci les fatiguaient au travail, mais cela
continuait alors ils devinrent beaucoup plus méchants et à partir
de ce moment nous pouvons dire que les hébreux étaient devenus des
esclaves. Leur Dieu les délivra de cette servitude en début d’année
quatorze jours après la nouvelle lune de l’Équinoxe de Printemps,
mais aussi le jour où les Nations célébraient la fête de Pâque,
une fête pastorale à laquelle est venu s’ajouter une fête
agricole des sédentaires « le Pain
sans Levain » en
hébreu le « Pain Azyme ».
Je ne vais pas réécrire ce que je vous ai déjà bien expliqué, je
pense. Après cette libération ce Dieu fit une « Alliance »
sur les contreforts des montagnes volcaniques, à l’époque,
du Sinaï, et une partie de ces montagnes était, par ce Dieu,
considérée comme « Sainte »,
la « Montagne
de l’Horeb », et c’est là qu’il fit
« l’Alliance de Moïse »
ou « l’Alliance du Sinaï »
qui était une « Alliance
de Lois » que le Peuple approuva pleinement et
voici ce que j’avais posé au chapitre V : « Cette
alliance qu’EL-SHADDAÏ conclut par l’intermédiaire de Moïse,
est une Alliance de principe, de respect mutuel, une Alliance par le
sang, Exode XXIV : 8,
« Moïse,
ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit : « Ceci
est le sang de l'Alliance qu’EL-SHADDAÏ a conclue avec vous
moyennant toutes ces clauses. » »,
ce qui est la suite du verset
7,
écrit juste avant où le Peuple promet qu’il suivra toutes les
clauses de cette alliance, verset
3, « Moïse
vint rapporter au peuple toutes les paroles d’EL-SHADDAÏ et toutes
les lois, et tout
le peuple répondit d'une seule voix
; ils dirent : « Toutes
les paroles qu’EL-SHADDAÏ
a
prononcées,
nous
les mettrons en pratique.
» »,
et cette Alliance sera conclue par l’aspersion du sang. »
Cette « Alliance »
était un pacte entre
des humains et leur Dieu, un contrat que chaque partie devait
respecter, les humains devaient mettre en pratique toutes les lois
qu’EL-SHADDAÏ écrivit avec son doigt recto-verso sur les deux
Tables de pierre nommé les « Dix
Paroles ».
Ces humains, reconnaissable par la circoncision, faisait partie du Peuple que cet Être Suprême avait choisi parmi toutes les Nations, ce « Peuple » qui était la descendance d’un seul homme, quatre-cent-trente ans après, suite à une famine était venu comme exilé à soixante-dix tout compté, femmes, enfants, vieillards, en Égypte, et le Grand Chambellan de l’époque, Joseph leur donna le pays de Goshen, ils sont six-cents mille homme de pied, sans les femmes, enfants, vieillards, à sortir du Pays d’Égypte et à suivre Moïse et son frère Aaron, et c’est ce Peuple qui a vu tous les prodiges que pouvaient faire son Dieu, qui en premier, « a donné un coup de couteau dans le contrat de mariages », rompant l’association, en façonnant un « Veau d’Or » le prenant comme emblème de leur nouveau Dieu dansant, chantant, priant et glorifiant ce nouveau Dieu travaillé par des mains humaines.
Cette
dépravation idolâtre de masse avait cessé de cette époque jusqu’à
la mort de Salomon. Après le décès de ce roi son fils Roboam, Roi
du Royaume de Juda et de la petite Tribus de Benjamin, tout comme
Jéroboam Roi des Dix tribus d’Israël firent ce qui est mal aux
yeux d’EL-SHADDAÏ, particulièrement l’idolâtrie. Le Royaume
d’Israël était devenu comme les Nations qui l’entouraient et
l’Être Suprême malgré son indulgence ne put supporter ce peuple
qu’il avait porté à bout de bras, mais qui restait sourd à tous
conseils, maltraitant les prophètes de son Dieu, alors ce Dieu se
servit des Assyriens pour punir se peuple en l’an -721 de l’EC.,
qui verra la destruction de Samarie Capitale d’Israël, avec la
disparition définitive des « Dix
Tribus » et la
dispersion dans tout l’Assyrie de la population hébraïque
particulièrement la noblesse. Un peu plus de deux siècles et demi
après en l’an -587 de l’EC., c’est le Temple de
Jérusalem et la ville qui seront complètement détruit par les
Babyloniens sous la royauté de Nabuchodonosor II et la population
déporté à Babylone, se sera la seconde Diaspora.
C’est à partir de cette date -586 de l’EC. que les prophètes annonceront une « Nouvelle Alliance », pour remplacer cette « Alliance du Sinaï » qui fut profanée, altérée, bafouée, dédaignée, outragée, trahie, humiliée, car « l’Alliance de Moïse » était une alliance de Lois, mais cette « Nouvelle Alliance » devrait être une « Alliance de Cœur et d’Esprit », Jérémie XXXII : 38-41, « Alors ils seront mon peuple et moi, je serai leur Dieu Je leur donnerai un seul cœur et une seule manière d'agir, de façon qu'ils me craignent toujours, pour leur bien et celui de leurs enfants après eux. Je conclurai avec eux une alliance éternelle : je ne cesserai pas de les suivre pour leur faire du bien et je mettrai ma crainte en leur cœur pour qu'ils ne s'écartent plus de moi. Je trouverai ma joie à leur faire du bien et je les planterai solidement en ce pays, de tout mon cœur et de toute mon âme. », ces versets ne sont qu’une confirmation de ce que je viens d’écrire, mais en plus cette « Alliance » sera « éternelle », donc indestructible, et aucune des deux parties ne pourra mystifier, abuser, leurrer, tromper cet accord qui viendra directement du cœur et de l’esprit, de ces deux parties, les humains et un Dieu, seul, unique, là pas de trahison !
Ces prophètes Isaïe, Osée, Amos et Michée ont prophétisé à la même époque des années, -781- à -687 pendant l’ère de la disparition des « Dix Tribus d’Israël » en -721 quand la capital Samarie capitula. Et les prophètes comme Jérémie, Ézéchiel prophétisèrent sur la « Nouvelle Alliance » ainsi que ces derniers petits prophètes, peut être petit par leur écrit, mais grand par le cœur, car leur prophétie était du genre apocalyptique qui devait avoir lieu à leur époque mais qui était juxtaposé dans le temps comme les Livres d’Esdras, Néhémie, Zacharie et Malachie.
Isaïe
et Osée qui ont prophétisé sur la même période soit
quatre-vingt-quatorze ans, le plus grand sur un
« Serviteur »
et l’autre sur un mariage, une épouse. Le premier annonce
la venue d’un « Serviteur »
de cet Être suprême, le deuxième compare la relation du « Peuple »
avec son « Dieu »
comme un mari avec son épouse et l’infidélité de celle-ci
comparée à de la prostitution. Isaïe XLII : 1-4,
« Voici mon serviteur que je soutiens,
mon élu en qui mon âme se complaît. J'ai mis sur lui mon esprit,
il présentera aux nations le droit. Il ne crie pas, il n'élève pas
le ton, il ne fait pas entendre sa voix dans la rue, il ne brise pas
le roseau froissé, il n'éteint pas la mèche qui faiblit,
fidèlement, il présente le droit, il ne faiblira ni ne cédera
jusqu'à ce qu'il établisse le droit sur la terre, et les îles
attendent son enseignement. ». « Il »
représente un parfait « Serviteur »,
alors qui sait « Il » ?,
d’EL-SHADDAÏ, rassembleur du « Nouveau
Peuple » et lumière
des Nations, qui prêche la vraie foi, qui expie par sa mort les
péchés du « Peuple »
et est glorifié par EL-SHADDAÏ, versets 5-7,
« Ainsi parle EL-SHADDAÏ qui a créé les cieux et les a
déployés, qui a affermi la terre et ce qu'elle produit, qui a donné
le souffle au peuple qui l'habite, et l'esprit à ceux qui la
parcourent. « Moi, Yahvé, je t'ai appelé dans la justice, je t'ai
saisi par la main, et je t'ai modelé, j'ai fait de toi l'alliance du
peuple, la lumière des nations, pour ouvrir les yeux des aveugles,
pour extraire du cachot le prisonnier, et de la prison ceux qui
habitent les ténèbres. » L’identification du
« Serviteur »
est très discutée par les exégètes et ces passages sont
parmi les plus étudiés de l’Ancien Testament, et personne ne
s’accorde sur l’origine ou sur la signification. On y a souvent
vu une figure de la communauté d’Israël avec d’autres passages
effectifs du « Serviteur »,
ce qui s’est avéré faux.
Dans le Livre d’Isaïe où le titre de « Serviteur » est donné à un humain, ce peut être Isaïe lui-même. Ce « Serviteur » me fait penser à Hénoch, Patriarche antédiluvien qui fut surnommé « Le Scribe de Justice » par EL-SHADDAÏ, mais il y a eut Abraham qui durant toute sa vie à chercher ce Dieu seul et unique en vivant dans un milieu idolâtre et une fois qui l’eut trouvé il lui resta fidèle tout le reste de sa vie, fidèle pour la circoncision à quatre-vingt-dix-neuf ans, fidèle en sacrifiant son unique fils Isaac, et c’est lui qui appela ce Dieu seul et unique « EL-SHADDAÏ », et de toute manière une interprétation qui se limiterait au passé ou au présent ne rend pas suffisamment compte des textes. Le « Serviteur » est le médiateur du salut à venir et cela justifie l’interprétation messianique de Jésus le Nazôréen. En premier si nous considérons Jésus le Nazôréen comme le « Serviteur », le texte de Isaïe XLII : 1-4 le présente comme un prophète objet d’une mission et d’une prédestination divine, animé par l’Esprit de son Père, le souffle d’Intelligence, pour enseigner toute la terre de la Terre, avec discrétion et fermeté, malgré les oppositions, mais sa mission dépasse celle des autres prophètes, puisqu’il est lui-même alliance et lumière et qu’il accompli une œuvre de libération, comme Moïse en Égypte, et de salut.
L’Être
Suprême ouvre l’Esprit à son « Serviteur »
souffle que ce dernier à déjà reçu à sa naissance dans
les Cieux, comme pour les chefs charismatiques de l’ancien temps à
l’ère des Juges, des premiers Rois tel que Saül et à David où
EL-SHADDAÏ en profite pour rappeler qu’il est le
seul et unique Dieu Isaïe
XLII : 8, « Je suis Yahvé,
tel est mon nom ! Ma gloire, je ne la donnerai pas à un autre,
ni mon honneur aux idoles. »,
« Nom »
donné à Moïse en remplacement « d’El-Shaddaï »,
mais ce nom de YAHVÉ, YHWH,
est qu’un nom approximatif du véritable nom qui fut supprimé de
tous les écrits par les Rabbins, les « Grand
Prêtre » anciens car
le nom de l’Être Suprême était soi-disant trop « saint »
pour être prononcé par le peuple.
Israël et le Royaume de Juda servent de témoin à EL-SHADDAÏ, de son existence et de ses prodiges, tout comme les Nations qui subissent les manifestations de ce Dieu, en bien, en mal, car ce dernier se sert d’eux pour faire connaître son « Nom », prouver sa « Force » et sa « Puissance » et leur faire comprendre qu’il existe qu’un seul « Dieu », Lui et pas un autre et que tous leurs « Dieux » façonnés de mains d’hommes sont comme des brindilles au feu, Isaïe XLIII : 10-11, « C'est vous qui êtes mes témoins, oracle d’EL-SHADDAÏ, vous êtes le serviteur que je me suis choisi, afin que vous le sachiez, que vous croyiez en moi et que vous compreniez que c'est moi : avant moi aucun dieu n'a été formé et après moi il n'y en aura pas. Moi, c'est moi EL-SHADDAÏ, et en dehors de moi il n'y a pas de sauveur »
Sur la terre de la Terre Isaïe annonce un « Second Exode » un « Nouvel Exode » plus grand et plus terrible que le premier. Mais avant cela son Serviteur a reçu le « Souffle d’Intelligence » dans les Cieux par le « Souffle de Vie », sur la Terre à sa naissance il reçoit le « Souffle de Vie » comme tout ce qui respire sur la terre de la Terre, de la terre elle-même, que l’herbe des champs, les arbres des forêts, des animaux qui y vivent, des bêtes et bestioles, de tout ce qui vole, de tout ce qui nage en un mot tout ce qui reçoit un « Souffle de Vie » et quand ce « Serviteur » se fait baptiser par Jean le Baptiste, Matthieu III : 17, « Et voici qu'une voix venue des cieux disait : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, qui a toute ma faveur. » Isaïe représente ce « Serviteur » en plusieurs étapes. Il sait qu’EL-SHADDAÏ exige la justice et que l’être humain n’est que péché, mais en plus ce Dieu aime la sincérité dans les relations sociales, mais aussi dans le culte qu’on lui rend. Il veut que l’on soit fidèle en tout lieu, en tout temps et que l’on se confie à lui seul et pas d’autres Dieux façonnés de mains humaines, c’est l’unique chance de salut.
Il
sait que l’épreuve sera sévère, mais il espère qu’un
« Reste »
sera épargné, dont le Messie, le Roi. Isaïe est le plus
grand des prophètes messianiques. Le Messie qu’il annonce est un
descendant de David, qui fera régner sur la Terre la paix, la
justice, et répandra la connaissance d’EL-SHADDAÏ, son Père :
Is. II :1-5 ;
VII :10-17 ;
IX : 1-6 ; XI :1-9 ; XXVIII : 16-17. La
Bible dit d’Isaïe : « Un
tel germe religieux a profondément marqué son époque et a fait
école. Le Livre qui porte son Nom, comme le « Rouleau
de Cuivre » est
le résultat d’un long travail de composition dont il est
impossible de restituer toutes les étapes ».
Les Hébreux, Judéens, Israélites, Juifs, tous ces noms pour désigner un seul peuple reconnaissable dans sa chair devant toutes les Nations et tous les Pays, par la circoncision, qui devait avoir lieu le huitième jour après la naissance de l’enfant mâle. A l’ère de Moïse les Hébreux était fière de leur civilisation, de leur religion, de leur mode de vie sociétale, mais quelques siècles plus tard ils voulurent être gouverné comme les Nations qui les entouraient avec un « Roi », ce fut le commencement du déclin, et leurs filles épousèrent des fils des Nations et les fils hébreux épousèrent des filles des Nations et par amour, souvent ils embrassèrent les « Dieux » de leur épouse ou de leur mari, et l’idolâtrie entra dans le cœur et ces humains et aussi par l’Esprit de conviction, car l’Esprit, la pensée, le raisonnement l’intelligence est comme le vent invisible, non répartie égalitairement entre chacun et il y a aussi cette relation invisible, intouchable, cœur-esprit, que l’on nomme sentiments.
Comme je vous l’explique les recherches sont ardue et difficiles pour exemple le livre d’Isaïe qui parle d’un « Serviteur » qu’il nomme « Germe » en début de Livre et d’un « Reste » qui représente son époque, l’avenir proche et lointain, ère de Jésus le Nazôréen, mais aussi l’époque des dernières générations, la venue d’un Roi sur toute la Terre et une épuration de la race humaine, alors seulement après les humains vivront sur une Terre paradisiaque avec ce « Roi » gouverneur de la planète Terre où le péché n’existera plus « Ils seront mon Peuple, je serai leur Dieu », ces paroles d’EL-SHADDAÏ, là, ont un sens !
A bientôt !
Portez-vous bien ! Prenez soin de vous et de votre maisonnée !
Salutations Cordiales à Tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Les Alliances entre un Dieu et les humains
Chapitre N° 6
Fin du « Peuple » Hébreux,
se sont des Judéens
Jérémie comme Ézéchiel suscite une « Nouvelle Alliance » avec de « Nouveaux Pasteurs » car l’Alliance du Sinaï fut bafouée, vilipendée, violée, mais elle resta en vigueur, pour les hébreux qui refusèrent le Messie, jusqu’à la destruction totale du Temple de Jérusalem qui fut rasé en l’an 70 par Titus, comme les prophètes l’avait annoncé. Il ne restait plus rien de la terre d’Israël puisque le pays comme tel fut rayé de la carte des Nations à partir de l’an 70 et pendant plus de trois ans les hébreux errèrent sans point de prière, là bien des civilisations auraient disparues, mais les « Hébreux » et leur Dieu ont résisté à tout cela, pourquoi ? ….
De
la « Terre Promise », en Palestine, le pays du nom
d’Israël fut rayé des cartes géographiques jusqu’en l’an
1948 où cette région du Moyen-Orient était sous Protectorat
Anglais et en accord avec tous les alliés, après le terrible
génocide contre les hébreux, plus de six millions de mort dans les
camps de concentration, tous ayant tellement honte d’avoir laissé
faire, qu’ils offrirent aux « Juifs » les territoires
des dix tribus d’Israël, plus le royaume de Juda et Benjamin
chassant les Arabes de Palestine en Cisjordanie et en Jordanie. Les
colons hébreux affluèrent vers ce Pays, Israël, de la Terre
entière.
J’ai cherché pour comprendre si cette date de 1948 correspondait à une annonce prophétique et je n’ai absolument rien trouvé. Jésus le Nazôréen avait prévenu pour la destruction du Temple, mais en même temps il annonçait, comme les prophètes, sa reconstruction. Cette reconstruction allait être terrestre ou plus exactement une construction céleste ? Alors cherchons ! …
L’Alliance du Sinaï pour ces humains qui venaient de l’esclavage était une très bonne « Alliance », car elle leur donnait des Lois qui au début était peut-être dur à respecter, car dans cette Constitution il fallait respecter son ennemi, pratiquer la justice avec l’esclave ou la servante, aider la veuve et veiller à ce que l’orphelin ne manque de rien
Jérémie
comme Ézéchiel prophétiquement pré-dessine la « Nouvelle
Alliance » qui aura
lieu longtemps après leur mort. Les hébreux de l’époque de
Jérémie comme de leurs ascendants sont dans la réflexion et le
raisonnement très paganisé pour la généralité, Jérémie
XLIV : 16-18, « En ce qui
concerne la parole que tu nous a adressée au nom d’EL-SHADDAÏ,
nous ne voulons pas t'écouter; mais nous continuerons à faire tout
ce que nous avons promis offrir de l'encens à la Reine du Ciel et
lui verser des libations, comme nous le faisions, nous et nos pères,
nos rois et nos princes, dans les villes de Juda et les rues de
Jérusalem : alors nous avions du pain à satiété, nous étions
heureux et nous ne voyions point de malheur. Mais depuis que nous
avons cessé d'offrir de l'encens à la Reine du Ciel et de lui
verser des libations, nous avons manqué de tout et avons péri par
l'épée et la famine. », le Temple n’est guère
plus qu’un objet magique, une sorte de fétiche, la représentation
des divinités avait beaucoup plus d’importance visuellement car
ils voyaient l’image de leurs Dieux, Jérémie VII : 8-12
« Mais voici que vous vous fiez à des
paroles mensongères, à ce qui est vain. Quoi ! Voler, tuer,
commettre l'adultère, se parjurer, encenser Baal, suivre des dieux
étrangers que vous ne connaissez pas, puis venir se présenter
devant moi en ce Temple qui porte mon nom, et dire : « Nous
voilà en sûreté ! » pour continuer toutes ces
abominations ! A vos yeux, est-ce un repaire de brigands, ce
Temple qui porte mon nom ? Moi, en tout cas, je vois clair,
oracle d’EL-SHADDAÏ ! Allez donc au lieu qui fut le mien, à
Silo : autrefois j'y fis habiter mon Nom ; regardez ce que j'en
ai fait, à cause de la perversité de mon peuple Israël. »,
beaucoup s’imaginent qu’EL-SHADDAÏ devra sauver Jérusalem pour
empêcher la profanation de son sanctuaire. Cet Être Suprême arrive
au bout de sa patience avec ce peuple indécrottable, choisi par Lui,
ce peuple à la nuque raide qu’il avait déjà jugé sur les
contreforts de sa « Montagne
Sainte », cette « Montagne
d’Horeb dans le Sinaï »
car avait-il dit « Si je me
trouvais au milieu de toi je t’exterminerai »,
mais comme à chaque fois il existe un « Reste »,
et à cause de ce « Reste »
pour le protéger et le sauvegarder, ce Dieu seul et unique
est dans l’obligation de ne pas tout faire exterminer.
Les humains ont besoin d’une représentation de leur Dieu pour les hébreux et de leurs Dieux pour les Nations. Pour les Israélites aucune représentation quel qu’elle soit n’était possible car l’image de leur Dieu est la leur ou celle de leurs semblables. Voilà pourquoi la représentation théiste était pour eux « l’Arche d’Alliance », les nations avaient des images de leurs Dieux moitié-homme, moitié-bête, et des totems avec des reproductions hideuses de leurs Dieux partie intégrante de leur culture, tout comme « l’Arche d’Alliance du Sinaï » pour les juifs. Pendant la période de quarante ans d’errance dans le désert le peuple complet c’est transformé car tous ceux qui sortir d’Égypte, à cause du « Veau d’Or », ne virent pas la « Terre Promise », même Moïse qui est l’Ami d’EL-SHADDAÏ, verra l’étendue de la « Terre Promise », mais n’y entrera pas suite à son manque de confiance envers son Dieu. A la mort de Moïse, c’est Josué qui guidera les hébreux. EL-SHADDAÏ prendra ces enfants par la main pendant environ trois siècles et à la mort de Salomon le Pays sera fractionné en deux partie les dix tribus qui formeront Israël avec comme capital Samarie et les deux tribus, Benjamin et Juda qui formeront le Royaume de Juda avec Jérusalem et son Temple comme capital. Nous sommes en l’an -931 de l’EC. La Bible contera la vie de ces deux royaumes I Rois et II Rois, par la chronologie de ces rois et leur règne jusqu’à leur disparition comme les dix tribus, en l’an -721de l’EC, et leur destruction comme Jérusalem en l’an -587 de l’EC ajouté à cela la déportation en masse dans tous les pays du Bassin Méditerranéen, début de la « Diaspora » en l’an -721 qui fut la première déportation, puis celle de -587-586 de l’EC qui fut la seconde déportation des hébreux. Comment tout cela est-il arrivé ?
De Josué qui conquit « la Terre Promise » à la fin du règne de Salomon Israël était une monarchie fédérée et leur lien religieux étaient « l’Arche d’Alliance » puis après « le Temple » quand EL-SHADDAÏ l’investit I Rois VIII : 10 « Or quand les prêtres sortirent du sanctuaire, la nuée remplit le Temple d’EL-SHADDAÏ et les prêtres ne purent pas continuer leur fonction, à cause de la nuée : la gloire d’EL-SHADDAÏ remplissait le Temple d’EL-SHADDAÏ ! Alors Salomon dit :
«
EL-SHADDAÏ a décidé d'habiter la nuée obscure. Oui, je t'ai
construit une demeure princière, une résidence où tu habites à
jamais. » »
Mais ce Temple magnifique n’a trouvé d’importance que du vivant de Salomon. Après il devint un sujet de jalousie et de guerres fratricides, puis avec le temps dans l’esprit paganisé de la plupart des hébreux, Jérémie XLIV : 16-18, « En ce qui concerne la parole que tu nous a adressée au nom de Yahvé, nous ne voulons pas t'écouter, mais nous continuerons à faire tout ce que nous avons promis offrir de l'encens à la Reine du Ciel et lui verser des libations, comme nous le faisions, nous et nos pères, nos rois et nos princes, dans les villes de Juda et les rues de Jérusalem : alors nous avions du pain à satiété, nous étions heureux et nous ne voyions point de malheur. Mais depuis que nous avons cessé d'offrir de l'encens à la Reine du Ciel et de lui verser des libations, nous avons manqué de tout et avons péri par l'épée et la famine. », le Temple n’est guère plus qu’un objet magique, une sorte de fétiche, et beaucoup pense qu’EL-SHADDAÏ devra sauver la ville pour empêcher la profanation de son sanctuaire. Une telle façon de penser ne peut mener qu’à la catastrophe. Le prophète Jérémie sait qu’il prêche dans le désert, mais il prévient quand même ceux de sa race, ces hébreux au cœur dur et à la nuque raide comme l’Être Suprême les avait jugés, mais il espérait, et il y avait toujours ce petit « Reste », Jérémie IV : 4, « Circoncisez-vous pour EL-SHADDAÏ, ôtez le prépuce de votre cœur, gens de Juda et habitants de Jérusalem, sinon ma colère jaillira comme un feu, elle brûlera, sans personne pour l’éteindre, à cause de la méchanceté de vos actions. » Ce Dieu voulait que son peuple le reconnaisse comme le véritable Dieu et il devait faire un effort vers lui en respectant ses lois particulièrement l’idolâtrie que ce Dieu avait en abomination. Ce peuple à cette époque refusa un joug léger, alors il subira un joug beaucoup plus pesant.
L'alliance
que Dieu a faite avec les Hébreux, quand ils sont sortis du pays
d’Égypte, était de son côté les Lois qu'il leur a donnée au
Sinaï, avec les promesses annexées, de la part de ce Dieu, mais
aussi principalement du Peuple qui accepte toutes les Lois avec la
promesse de leur obéissance, ce qui en faisait une alliance
formelle. Pendant que les hébreux étaient un peuple faible et
ignorant des coutumes des Nations, El-Shaddaï les a pris par la main
comme des parents prennent leurs enfants, puis ce peuple ayant
grandi, il les considéra comme une épouse.
Cette alliance, ils sont censés l’avoir rompu, non pas à cause de tout défaut, ou d'échec dans leur obéissance, car en ce sens, à travers la dépravation générale et la faiblesse de la nature humaine, ils ne pouvaient que la rompre, Romains III : 19-20, « Or, nous le savons, tout ce que dit la Loi, elle le dit pour ceux qui sont sous la Loi, afin que toute bouche soit fermée, et le monde entier reconnu coupable devant Dieu, puisque personne ne sera justifié devant lui par la pratique de la Loi : la Loi ne fait que donner la connaissance du péché. Révélation de la justice de Dieu. », mais à cause de leurs péchés grossiers et obstinés souvent répétés et continués sans repentance, et plus particulièrement par leur idolâtrie, comparée à la prostitution, qui a brisé l'alliance de mariage entre Dieu et son peuple, les Hébreux, Galate III : 10-12, « Tous ceux en effet qui se réclament de la pratique de la Loi encourent une malédiction. Car il est écrit : Maudit soit quiconque ne s'attache pas à tous les préceptes écrits dans le livre de la Loi pour les pratiquer. Que d'ailleurs la Loi ne puisse justifier personne devant Dieu, c'est l'évidence, puisque le juste vivra par la foi ; or la Loi, elle, ne procède pas de la foi : mais c'est en pratiquant ces préceptes que l'homme vivra par eux »
Après la dispersion de son peuple en l’an -721, la disparition des dix tribus d’Israël, puis en l’an -587 une nouvelle dispersion de toute la noblesse israélite et du peuple, avec la destruction du Temple, cet Être Suprême eut encore une fois pitié de ce « Peuple » en permettant la reconstruction du Temple que l’on nommera « le Second Temple », mais à l’intérieur « l’Arche d’Alliance » avec les Tables de pierre écrites recto-verso du doigt de ce Dieu n’existeront plus car l’Arche disparue à une époque inconnue et les suppositions, supputations, allèrent bon-train puisque certains disent qu’il disparue à l’époque du Roi impie, Manassé, et d’autres murmurent que se serai à l’ère de Jérémie quand celui-ci fut réfugié de force en Égypte, II Maccabées II : 4-5, « Il y avait dans cet écrit qu'averti par un oracle, le prophète se fit accompagner par la tente et l'arche, lorsqu'il se rendit à la montagne où Moïse, étant monté, contempla l'héritage de Dieu. Arrivé là, Jérémie trouva une habitation en forme de grotte et il y introduisit la tente, l'arche, l'autel des parfums, puis il en obstrua l'entrée. » et où il mourut lapidé quelques années plus tard, mais ce n’est qu’une hypothèse, une présomption.
Les prophètes annoncèrent les soixante-dix ans de désolation du Temple de Jérusalem et de la ville elle-même. Certains historiens exégètes font partir cette désolation du Temple de l’an -609 de l’EC, alors qu’en réalité le Temple et la ville furent rasé en l’an -587-586 de l’EC sous la domination babylonienne de Nabuchodonosor II. Ce que la religion hébraïque nomme « Second Temple » est la reconstruction du Temple qui commença en l’an -539 de l’EC sous Cyrus II le Grand et qui se termina en l’an -517—516 de l’EC sous Darius le Perse et le gouverneur de Judée Zorobabel
Dans
ce « Second Temple »
il n’existera plus dans « le
Saint des Saints » l’Arche d’Alliance, les Ourim
et les Thoummim qui sont les pierres travaillées, enchâssées dans
le pectoral que portait le « Grand Prêtre »,
l’huile sainte, le feu sacré, les Tables de la Loi écrites
recto-verso du doigt d’EL-SHADDAÏ, le pot de manne et le bâton
d’Aaron, tout cela à complètement disparut de ce nouveau Temple.
Nous pourrions dire que « l’Alliance
du Sinaï » n’eut plus son empreinte à partir de
l’an -587 de l’EC. La reconstruction de ce Temple pour les
hébreux qui revenait de déportation après quatre mois de marche
était d’une importance primordiale, mais pour ceux qui restèrent
sur place ce Temple n’était pas leur priorité. Ce « Temple »
par lui-même était la représentation visible de leur Dieu.
Quelles étaient les hébreux qui revenir de la déportation Perse ?
Ce ne sont pas les nobles, les riches, ceux qui vivaient heureux et
faisaient des affaires, ceux-là restèrent en Perse ! Les
humbles, les petites gens, voilà les hébreux qui retournèrent au
pays !
Les hébreux commencèrent à reconstruire le « Temple » sous Zorobabel et le « Temple » fut terminé définitivement dans l’année -516 av. J-C. cela faisait les soixante-dix ans de désolation annoncé par les prophètes. Le « Temple » devenait maintenant pour la religion hébraïque un objet, une référence plus importante que le « Premier Temple, le Temple de Salomon ». Au IVème siècle av. J-C. le Grand Prêtre du Temple devient aussi Gouverneur de la Judée, et la langue hébraïque d’Abraham disparaît au profit de l’Araméen. Au IIIème siècle la Palestine est sous gouvernance Grecque et elle deviendra hellénistique. Beaucoup d’hébreux quitte la Palestine pour aller s’installer en Mer Noire et en Mer Égée. La Judée c’est vidé de sa population qui devient minoritaire, alors beaucoup de Grecs viennent s’installer et la région s’hellénise avec sa langue et ses coutumes. Avec cette hellénisation le terme « Hébreux » ou « Israélites » disparaît remplacé par celui de « Judéens » qui donnera ce nom de « Juif » en français. Depuis l’an -334 av. l’EC, comme écrit ci-dessus, c’est le Grand Prêtre qui fait aussi fonction de Gouverneur de la Judée et des régions limitrophes, avec Jérusalem et son Temple comme pèlerinage mais aussi comme Palais Princier et à partir de cette date la Palestine sera toujours en guerre sous la domination des Empires qui se succèdent sans compter les guerres internes du pouvoir, la révolte des « Maccabées » en est un exemple
C’est
aussi vers cette époque sous Ptolémée II dans les décennies
-300 de l’EC que la « Septante » aurait été
écrite dans l’île de Pharos où est érigé le phare d’Alexandrie
avec l’aval du gouverneur de Judée Éléazar.
La « Révolte des Maccabées », -175—140 marque la fin de l’aide d’EL-SHADDAÏ pour son peuple qui l’a abandonné. C’est la dernière fois que l’on écrit sur les prodiges du Dieu des hébreux. Tout à été dit et écrit, le peuple hébreux est maintenant hellénisé, il n’y aura plus de prophète jusqu’à Jean le Baptiste, puis Jésus le Nazôréen, annoncé par plus d’une dizaine de prophète
La « Nouvelle Alliance », la « Nouvelle Jérusalem », un « Nouveau Prêtre » qui ne serait pas gouverneur mais Roi dans les Cieux et sans doute sur la Terre, mais cela est encore prophétique, maintenant c’est le fond de l’humain, lui seul décide, il a tous les éléments
Pour vous je continue les recherches, mais maintenant s’ouvre une « Nouvelle Alliance », et celle-là est éternelle, indestructible, alors dans quelques jours je vous poserai tout cela, le temps de recherches, de comprendre, la vérité avant tout la vraie !
Portez-vous bien ! Prenez soin de votre épouse, de votre maisonnée de tous ceuc qui vous sont chers !
Salutations cordiales !
Sig : J-P. G. « GRANDELOUPO »
Les Alliances entre un Dieu et les humains
Chapitre N° 5
Un Peuple qui ridiculise une Alliance
EL-SHADDAÏ fait une Alliance éternelle avec Abraham, Genèse XVII :1, « Lorsqu'Abram eut atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, Yahvé lui apparut et lui dit : Je suis EL-SHADDAÏ, marche en ma présence et sois parfait. », verset 7, « J'établirai mon alliance entre moi et toi, et ta race après toi, de génération en génération, une alliance perpétuelle, pour être ton Dieu et celui de ta race après toi. », versets 10-11, « Et voici mon alliance qui sera observée entre moi et vous, c'est-à-dire ta race après toi : que tous vos mâles soient circoncis. Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous. », verset 21, « Mais mon alliance, je l'établirai avec Isaac, que va t'enfanter Sara, l'an prochain à cette saison. », et ce Dieu conclut cette « Alliance » avec Isaac le fils d’Abraham. Les humains vivaient encore vieux à cette époque puisqu’Abraham vécut cent-soixante-quinze ans et Isaac cent-quatre-vingt ans. Jacob l’un des fils d’Isaac, se battit toute une nuit avec l’Ange d’EL-SHADDAÏ et ce dernier au petit matin frappa la hanche de Jacob qui se démit, Genèse XXXII : 28, « L’Ange reprit : On ne t'appellera plus Jacob, mais Israël, car tu as été fort contre EL-SHADDAÏ et contre tous les hommes et tu l'as emporté. » et depuis ce jour la descendance de Jacob, qui vécut cent-quarante-sept ans, se nomme les « Israélites ». Joseph, l’un des douze fils de Jacob, qui formèrent les douze tribus d’Israël, fut vendu par ses frères à des caravaniers qui allaient en Égypte. C’est dans ce pays gouverné par les Hyksôs, que Joseph devint « Grand Chambellan » de Pharaon. En Palestine comme dans la Mésopotamie et les Pays limitrophes, il y eu une grande disette pendant sept ans comme Joseph l’avait prédit. Ce fut pendant cette famine que toute la famille de Jacob, au nombre de soixante-dix humains, vint s’installer dans la région de Goshèn en Égypte, Israël avait cent-trente ans, Genèse XLVIII : 3-4, « Puis Jacob dit à Joseph : EL-SHADDAÏ m'est apparu à Luz, au pays de Canaan, il m'a béni et m'a dit : « Je te rendrai fécond et je te multiplierai, je te ferai devenir une assemblée de peuples et je donnerai ce pays en possession perpétuelle à tes descendants après toi. » », ceci se passa quand Jacob était près de s’endormir définitivement
Quatre-cent-trente
ans passèrent et la descendance d’Abraham, Isaac et Jacob
devinrent un peuple d’Israélites dans la région de Goshèn en
Égypte plus nombreux que les autochtones d’où leur servitude.
Comme EL-SHADDAÏ l’avait promis à Abraham les Israélites
devinrent son « Peuple », son
bien propre alors il fit voir à ses humains sa puissance et sa force
par des multiples prodiges. Ses humains, les hébreux ou israélite
croyaient en un seul et unique Dieu, le Dieu de leur père qu’ils
nommaient comme Abraham EL-SHADDAÏ et suivaient les Lois que ce Dieu
avait donné à leur ancêtre car tous étaient de cette lignée.
Les hébreux étaient devenus esclaves en pays d’Égypte, terre d’accueil de leur ascendant Jacob appelé Israël. Ils ne vivaient pas en autarcie, mais suivaient les Lois du pays d’Égypte ainsi que leurs propres Lois internes, laïques et religieuses comme la circoncision, donc ils étaient ouverts sur les Nations et savaient que celles-ci érigeaient des statuts, totems, à l’effigie de leurs Dieux. N’oublions pas que les humains de l’époque étaient très respectueux de la religion et des Dieux de leurs ennemis.
Cet Être Suprême choisit un humain venant de son peuple, mais ayant été élevé par la fille du Pharaon de l’époque, donc comme un égyptien de l’aristocratie avec connaissance et science, mais aussi en théologie religieuse. De plus cet humain, Moïse tua un égyptien qui lui value le bannissement du pays et envoyé dans le désert où théoriquement il aurait dû décéder.
EL-SHADDAÏ
se servit de cet humain pour se faire connaître de son « Peuple »,
mais aussi des
Nations limitrophes à l’Égypte, voilà pourquoi à chaque plaie
il endurcissait le cœur de Pharaon un peu plus, mais en même temps
il mettait le cœur des humains formant son Peuple à l’épreuve.
Genèse XLVI :
3-4, « Dieu
reprit : Je
suis EL-SHADDAÏ,
le Dieu de ton père. N'aie pas peur de descendre en Égypte, car
là-bas je ferai de toi une grande nation. C'est moi qui descendrai
avec toi en Égypte, c'est moi aussi qui t'en ferai remonter, et
Joseph te fermera les yeux. »
Je reviens un
peu en arrière, ils étaient en tout soixante-dix humains, Genèse
XLVI : 27,
« Les
fils de Joseph qui lui naquirent en Égypte étaient au nombre de
deux. Total des personnes de la famille de Jacob qui vinrent en
Égypte : soixante-dix. »
quand ils entrèrent
en Égypte et que le Pharaon de l’époque permis que la famille de
Joseph avec leurs gens s’installe en région de Goshèn. Genèse
XLVII : 28, « Jacob
vécut dix-sept ans au pays d'Égypte et la durée de la vie de Jacob
fut de cent quarante-sept ans. » Jacob
avait cent-trente ans. Certaines versions grecques ajoutent cinq
descendants d’Éphraïm et de Manassé d’où le total de
soixante-quinze humains au lieu de soixante-dix personnes Actes
VII : 14, « Joseph
envoya chercher alors son père Jacob et toute sa parenté, qui
comptait soixante-quinze personnes. »
Le temps de vie des humains diminuait rapidement et Joseph avait
cent-dix ans quand il s’assoupit.
Les humains qui forment le Peuple de l’Être Suprême en Égypte sont les descendants de la famille de Jacob, soixante-dix humains, hommes et femmes en comptant les deux enfants mâles de Joseph, Éphraïm et Manassé, que l’on appelait les « Israélites », mais aussi les « Hébreux » qui signifiait « Ceux qui passent » car ces humains étaient des nomades, qui devinrent sédentaires en Égypte. Ils étaient conseillés aux hébreux de trouver femme parmi la communauté hébraïque. Jacob eut deux épouses et deux concubines qui lui donnèrent douze fils qui sont les « Pères » des « Tribus » d’Israël. Joseph trouva son épouse parmi la noblesse égyptienne. Il était courant qu’un humain trouva son épouse chez les enfants de son oncle et cela ne faisait pas comme aujourd’hui des trisomiques vingt-et-un ce qui nous prouve que le sang n’était pas dégénéré comme en ce vingt-et-unième siècle. Entrèrent en Égypte Jacob ses deux femmes et deux concubines, ses onze fils avec leurs femmes et concubines pour certains et leurs enfants, filles et garçons, plus Joseph et ses deux fils. Certains des petits-enfants de Jacob prirent pour femme une égyptienne, pour époux un égyptien mais homme ou femme il devait se plier et apprendre les Lois et coutumes hébraïques et se mélange de la race et des coutumes firent que les humains hébreux n’étaient plus aussi purs qu’à l’ère d’Abraham car un quart de la population était mélangé et les égyptiens étaient des pluri-théistes, et dans leur culte l’adoration des idoles avait une grande importance.
L’Être Suprême fait subir neuf plaies au peuple égyptien de Pharaon, car volontairement il a affermi le cœur de ce dernier, mais ne l’a-t-il pas fait pour sonder le cœur des humains qui formaient son « Peuple » ? Je me le demande ! Même en vous écrivant ! Il l’a aussi fait pour que ce « Peuple » considère Moïse comme leur chef et qu’aucune rébellion contre ce dernier ne sera permis. Moïse est, comme le sera Jésus le Nazôréen quelques douze siècles plus tard, le rapporteur des paroles d’EL-SHADDAÏ, mais aussi l’assesseur, le médiateur entre ce Peuple et son Dieu, tandis-que Jésus le Nazôréen lui est l’intermédiaire entre des humains de toutes nations, de tous langages, de tous aspects, et son Père qui est leur Dieu et qui tous ensembles, quand après le « Jour de la Colère d’EL-SHADDAÏ » seront enfin réunis, formeront le « Nouveau Peuple » et une « Nouvelle Alliance » indestructible et éternelle entre ce Dieu, EL-SHADDAÏ et les humains, et Jésus le Nazôréen, son propre Fils vivra au milieu d’eux, et avec eux, jusqu’à « la Fin des Temps », soit éternellement, car la mort aura quitté définitivement la race humaine.
Moïse
deviendra le guide de ce « Peuple »,
que cet Être Suprême aura délivré de la servitude
égyptienne le jour d’une fête pastorale de printemps qui se
célébrait quatorze jours après la « Nouvelle
Lune, la Lune de l’Équinoxe »
de printemps, et la fête durait de la veille de la Pleine
Lune à une Lune après cette Pleine Lune soit trois jours où il y
avait en premier cette fête pastorale de la Pâque et la fête du
Dieu « Lune Sîn » que l’on exaltait, glorifiait le
jour et la nuit de la « Pleine-Lune ».
Le Dieu « Lune Sîn »
était mâle et de Dieu « Soleil »,
femelle.
Les humains des Nations, particulièrement la Mésopotamie, pendant trois jours quand la lune était bien visible dans le ciel, des flambeaux en main, les humains faisaient des processions dans les champs puis là, on mangeait des galettes rondes qui faisait penser à la lune, et l’on invoquait le Dieu « Lune Sîn » pour qu’il éloignât les mauvais « Esprits » afin que la terre soit bonne et donne une bonne récolte. Pendant trois jours, mais surtout trois nuits, les humains imploraient le Dieu Lune et ses demi-Dieux représentés sur des totems avec des visages hideux où le sexe et le vin coulaient à flot et la dernière nuit les humains faisaient flamber les totems, dans des immenses feux, car ils croyaient que tous ces « Esprits mauvais » partaient avec les flammes.
La
première fois que Moïse monta vers le sommet des monts volcaniques
de la montagne du Sinaï, il était dirigé par EL-SHADDAÏ, puisqu’à
un moment donné ce Dieu donna l’ordre à Moïse de se déchausser
car la partie vers lequel il montait était un lieu sacré. Au
« Buisson Ardent » Moïse eu foi en ce Dieu qui lui
demandait de retourner en Égypte comme guide de son « Peuple »
alors qu’il avait été banni de ce pays.
Moïse était le « Porte-Parole » de l’Être Suprême. En effet c’est à partir de ce moment que les Israélites ne nommeront plus leur Dieu EL-SHADDAÏ comme Abraham, mais un nom qui nous est inconnu aujourd’hui, les hébreux le nomment « YAVHÉ » nom aléatoire de YHWH, qui signifie « Je suis celui qui suis ou celui qui est ». Cet Être Suprême fait sortir son « Peuple » de la servitude égyptienne après dix plaies en lui faisant traverser la Mer Rouge à pied sec. Une colonne qui devait s’étendre sur des kilomètres, composé de six cent mille hommes de pied avec femmes, enfants, vieillards, avec leurs troupeaux de caprins, ovins, bovins, équidés, camélidés, volailles essayez d’imaginer cette colonne disparate ?
Quand Moïse arrêtait cette colonne placé par tribus, chacune avec son étendard le camp devait s’étendre sur des centaines de mètre.
Moïse guida ces humains pendant quarante ans dans les montagnes volcaniques et désertiques du Sinaï, mais en dehors d’être leur guide il eut aussi la fonction de « Grand-Prêtre », sans s’habiller des apparats comme était obliger de faire Aaron s’il voulait entrer dans le « Saint des Saints » de la Tente du Rendez-vous.
Il
entrait dans la tente du « Rendez-vous »,
une colonne de nuée se mettait devant l’entrée pour en
interdire l’accès à quiconque, et ce Dieu conversait avec Moïse
face à face, Exode XXXIII : 9, « Chaque
fois que Moïse entrait dans la Tente, la colonne de nuée
descendait, se tenait à l'entrée de la Tente et Il parlait avec
Moïse. », verset
11, « EL-SHADDAÏ parlait à
Moïse face à face, comme un homme parle à son ami, puis il
rentrait au camp, mais son serviteur Josué, fils de Nûn, un jeune
homme, ne quittait pas l'intérieur de la Tente. »,
Moïse recevait de ce Dieu les lois pour son « Peuple »,
mais il n’y a pas que cela. Moïse est monté sur la
montagne du Sinaï qui devait être un mont volcanique assez élevé
et des nuages bas devait recouvrir cette montagne dont le sommet est
à 2285m mais le point le plus haut aujourd’hui est le Mont Sainte
Catherine à 2642m, donc il serait logique de penser que Moïse monta
vers 1600-1800m dans la nué que forme les nuages.
Il y resta deux fois quarante jours, la deuxième fois est une certitude, mais la première fois plus de trente jours cela est certain alors que dit la Bible, Exode XXXII : 7-8, « Yahvé dit alors à Moïse : « Allons ! descends, car ton peuple que tu as fait monter du pays d'Égypte s'est perverti. Ils n'ont pas tardé à s'écarter de la voie que je leur avais prescrite. Ils se sont fabriqué un veau en métal fondu, et se sont prosternés devant lui. Ils lui ont offert des sacrifices et ils ont dit : Voici ton Dieu, Israël, qui t'a fait monter du pays d'Égypte. » » et ce Dieu s’enflamme de colère contre ce peuple qu’il vient de libérer de la servitude égyptienne, mais Moïse demande à EL-SHADDAÏ la mansuétude, verset 11, « Moïse s'efforça d'apaiser EL-SHADDAÏ son Dieu et dit : « Pourquoi, Yahvé, ta colère s'enflammerait-elle contre ton peuple que tu as fait sortir d'Égypte par ta grande force et ta main puissante ? » » Parenthèse, je réitère par mesure d’égalité je change le nom de « YAHVÉ » par celui « d’EL-SHADDAÏ », mais par moment je le laisse quand je considère que le nom de ce Dieu à de l’importance dans le sens de la phrase.
Cette parenthèse terminée, je reviens à Moïse qui la première fois qu’il monta vers son Dieu ne resta pas quarante jours complet versets 15-16, « Moïse se retourna et descendit de la montagne avec, en main, les deux tables du Témoignage, tables écrites des deux côtés, écrites sur l'une et l'autre face. Les tables étaient l'œuvre d’EL-SHADDAÏ et l'écriture était celle d’EL-SHADDAÏ, gravée sur les tables. » Moïse aussi quand il arriva au camp des hébreux s’emporta contre ce peuple avec colère qu’il en vient à faire l’inadmissible, versets 19-20, « Et voici qu'en approchant du camp il aperçut le veau et des chœurs de danse. Moïse s'enflamma de colère ; il jeta de sa main les tables et les brisa au pied de la montagne. Il prit le veau qu'ils avaient fabriqué, le brûla au feu, le moulut en poudre fine, et en saupoudra la surface de l'eau qu'il fit boire aux Israélites. »
Nous ne devons pas oublier que quelques semaines avant ce peuple avait fait serment qu’il écouterait et mettrait en pratique tout ce que ce Dieu dira, Exode XXIV : 7, « Il prit le livre de l'Alliance et il en fit la lecture au peuple qui déclara : « Tout ce que Yahvé a dit, nous le ferons et nous y obéirons. » Suite à ces paroles nous comprenons mieux les paroles terrible d’EL-SHADDAÏ par rapport à « son Peuple » qu’il a fait sortir de l’esclavage égyptien, Exode XXXIII : 3, « Monte vers une terre qui ruisselle de lait et de miel, mais je ne monterai pas au milieu de toi, de peur que je ne t'extermine en chemin car tu es un peuple à la nuque raide. » et le verset 5 est encore pire, « Alors EL-SHADDAÏ dit à Moïse : « Dis aux Israélites : Vous êtes un peuple à la nuque raide, si je montais au milieu de toi, ne fût-ce qu'un moment, je t'exterminerais. Et maintenant, dépouille-toi de tes parures, que je sache comment te traiter. » » Cette alliance qu’EL-SHADDAÏ conclut par l’intermédiaire de Moïse, est une Alliance de principe, de respect mutuel, une Alliance par le sang, Exode XXIV : 8, « Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit : « Ceci est le sang de l'Alliance qu’EL-SHADDAÏ a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. » », ce qui est la suite du verset 7, écrit juste avant où le Peuple promet qu’il suivra toutes les clauses de cette alliance, verset 3, « Moïse vint rapporter au peuple toutes les paroles d’EL-SHADDAÏ et toutes les lois, et tout le peuple répondit d'une seule voix ; ils dirent : « Toutes les paroles qu’EL-SHADDAÏ a prononcées, nous les mettrons en pratique. » », et cette Alliance sera conclue par l’aspersion du sang.
Cette
Alliance fut bafouée, outragée, ridiculisée, un nombre de fois
impensable car ce Peuple qui a vu la puissance et les prodiges de son
« Dieu », choisi par lui, puisqu’il avait fait une
promesse au Père de ce Peuple, c’est vu ironisé, raillé,
mortifié par les Nations, voilà pourquoi les prophètes comme
Jérémie et Ézéchiel écrivirent sur une « Nouvelle
Alliance » qui devait arrivée dans les générations
à venir C’est sous Jérémie quand en l’an -587 de l’E.C.
que Jérusalem tomba et que l’Arche d’Alliance disparue de la
surface de la terre car absolument personne ne retrouva une trace de
cette œuvre artistique qui dégageait une force phénoménale. Sa
disparition reste même encore aujourd’hui une énigme beaucoup
disent que Jérémie l’aurait emmené en Égypte avec lui et
l’aurait caché. Oui mais où ? Le mystère demeure !
Cette « Alliance Nouvelle » de Jérémie XXXI : 31-34, annonce une Alliance très différente de cette Alliance du Sinaï, tout comme Ézéchiel XXXVI : 25-27, « Je répandrai sur vous une eau pure et vous serez purifiés de toutes vos souillures et de toutes vos ordures je vous purifierai. Et je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau, j'ôterai de votre chair le cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai mon esprit en vous et je ferai que vous marchiez selon mes lois et que vous observiez et pratiquiez mes coutumes. » Ce texte prophétique annonce la « Nouvelle Alliance » mais avant cela Jérémie comme Ézéchiel annonce qu’il faudra épurer les « Pasteurs » et annonce qu’il y aura un « Prince » qui aura la fonction du « Pasteur » suprême celui qui triera les bonnes des mauvaises brebis.
Je vais arrêter pour le moment car les recherches sont dures et ardues, et je sais que dans ces pages d’écriture il y a quelques répétitions, mais pour la compréhension difficile de faire autrement. La suite dans les jours avenirs, je cherche la vérité uniquement la vérité et plus j’approfondis et plus je m’aperçois que je suis dans le vrai, alors nous humains nous sommes responsable de nous et avec sincérité je crois en ce Dieu seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham. Vous mes semblables vous avez un cœur, un esprit, alors si vous croyez en quelque chose de supérieur à vous pensez à ce Dieu sans visage, ou plus exactement à sept milliards de visage car quand vous croisé votre semblable c’est le visage la ressemblance de ce Dieu seul et unique. Quant à vous qui vous dites chrétiens, catholiques, protestants, orthodoxes, vous êtes en pleine idolâtrie, puisque vous vous signez devant un morceau de bois, pierre, métal, crucifix et croix de bois.
Portez-vous bien ! Prenez soin de vous !
Salutations cordiales à tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Les Alliances entre un Dieu et les humains
Chapitre N° 4
Nouvelle Alliance ?
Dans cette « Nouvelle Alliance » « l’Esprit d’EL-SHADDAÏ » qui est un souffle, un vent, quelque chose que l’on ressent mais que l’on ne voit pas, intouchable, impalpable, qui crée et anime les êtres, les dotant d’un pouvoir surhumain, « l’Esprit d’EL-SHADDAÏ » donné spécialement aux prophètes I Samuel XVI : 13, « Samuel prit la corne d'huile et l'oignit au milieu de ses frères. L'esprit d’EL-SHADDAÏ fondit sur David à partir de ce jour-là et dans la suite. Quant à Samuel, il se mit en route et partit pour Rama. » Les Temps messianiques seront caractérisés par une effusion extraordinaire de « l’Esprit Divin », Zacharie IV : 6, « Alors il me répondit en ces termes : « Voici la parole d’EL-SHADDAÏ touchant Zorobabel : Ce n'est pas par la puissance, ni par la force, mais par mon Esprit » - dit Yahvé Sabaot. », atteignant tous les hommes pour leur communiquer des charismes spéciaux. Mais plus mystérieusement « l’Esprit » sera pour chacun, le principe d’un renouvellement intérieur qui le rendra apte à observer fidèlement la Loi divine, Ézéchiel XI : 19-20, « Je leur donnerai un seul cœur et je mettrai en eux un esprit nouveau : j'extirperai de leur chair le cœur de pierre et je leur donnerai un cœur de chair, afin qu'ils marchent selon mes lois, qu'ils observent mes coutumes et qu'ils les mettent en pratique. Alors ils seront mon peuple et moi je serai leur Dieu. », il sera le principe de la « Nouvelle Alliance », comme une eau féconde, il fera germer le fruit de justice et de sainteté qui garantiront aux humains la faveur et la protection d’EL-SHADDAÏ. Cette effusion de « l’Esprit » s’effectuera par l’intermédiaire de Jésus le Nazôréen qui en sera le premier bénéficiaire en vue d’accomplir son œuvre de salut. Isaïe XI : 1-4, « Un rejeton sortira de la souche de Jessé, un surgeon poussera de ses racines. Sur lui reposera l'Esprit d’EL-SHADDAÏ, esprit de sagesse et d'intelligence, esprit de conseil et de force, esprit de connaissance et de crainte d’EL-SHADDAÏ : son inspiration est dans la crainte d’EL-SHADDAÏ. Il jugera mais non sur l'apparence. Il se prononcera mais non sur le ouï-dire. Il jugera les faibles avec justice, il rendra une sentence équitable pour les humbles du pays. Il frappera le pays de la férule de sa bouche, et du souffle de ses lèvres fera mourir le méchant. », confirmation dans Matthieu III : 16-17, « Ayant été baptisé, Jésus aussitôt remonta de l'eau ; et voici que les cieux s'ouvrirent : il vit l'Esprit d’EL-SHADDAÏ descendre comme une colombe et venir sur lui. Et voici qu'une voix venue des cieux disait : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, qui a toute ma faveur. » »
La
première alliance se caractérise par un culte bien codifié,
célébré par un peuple ayant une identité ethnique sur un
territoire bien délimité. Son sort terrestre est déterminé
par sa fidélité, ou son infidélité, à la Loi de son Dieu.
De même que la chute d’Adam, sanctionné par son expulsion de
jardin d’Eden, lui fit découvrir un monde qu’il ignorait
jusque-là, l’infidélité d’Israël, qui a pour conséquence la
nullité de l’alliance du Sinaï, s’accompagnera d’une
traversée du désert de plus de deux mille ans et aujourd’hui en
2018 nous sommes toujours dans ce chenal, cette transition.
En quoi cette « Nouvelle Alliance » sera-t-elle différente de celle du Sinaï ?
La relation entre « l’Ancienne Alliance » où « Alliance du Sinaï », qui reconnut à Israël un statut privilégié aux yeux d’EL-SHADDAÏ et régit son existence jusqu’à la venue et l’œuvre expiatoire de Jésus le Nazôréen, et « la Nouvelle Alliance » inaugurée par le Seigneur peu avant sa crucifixion, base de la vie de son Église, ( Le terme « Église » signifie ici comme à l’époque de Jésus une « Assemblée » c’est-à-dire une réunion d’une vingtaine humain voir un peu moins à l’époque pour palabrer sur un thème donné, ici religieux) fait l’objet d’un débat séculaire entre théologiens chrétiens.
Il convient d’insister d’abord sur la continuité entre les deux « Alliances ». Un même Dieu est à l’œuvre dans deux phases de son plan de rédemption. L’Ancien Testament met, il est vrai, l’accent sur sa justice sévère, mais on y trouve aussi des affirmations remarquables de sa bonté avec l’ordre d’aimer non seulement son prochain, Lévitique XIX :18, « Tu ne te vengeras pas et tu ne garderas pas de rancune envers les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis EL-SHADDAÏ. » mais aussi son ennemi, Proverbes XXV : 21-22, « Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s'il a soif, donne-lui à boire, c'est amasser des charbons sur sa tête et EL-SHADDAÏ te le revaudra. » Le Nouveau Testament privilégie l’amour d’EL-SHADDAÏ sans oublier sa justice Apocalypse VI : 10, « Ils crièrent d'une voix puissante : « Jusques à quand, Maître saint et vrai, tarderas-tu à faire justice, à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre ? » Les deux alliances ont pour finalité de venir à bout du problème de la déchéance morale gravité universelle de toute l’humanité afin que le fautif puisse paraître devant le Dieu dont « les yeux sont trop purs pour voir le mal », Habaquq I : 13, « Tes yeux sont trop purs pour voir le mal, tu ne peux regarder l'oppression. Pourquoi regardes-tu les gens perfides, gardes-tu le silence quand l'impie engloutit un plus juste que lui ? ».
Comme
expression de la saine volonté d’EL-SHADDAÏ,
la Loi restera à jamais l'essence du contrat entre Lui et l'homme ;
elle ne sera ni changée, ni abolie Matthieu
V : 17-19
«
N'allez pas croire que je
sois venu abolir
la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais
accomplir.
Car
je vous le dis, en vérité : avant que ne passent le ciel et la
terre, pas
un i,
pas
un point sur l'i,
ne passera de la Loi, que tout ne soit réalisé.
Celui
donc qui violera l'un de ces moindres préceptes, et enseignera aux
autres à faire de même, sera tenu pour le moindre dans le Royaume
des Cieux ; au contraire, celui qui les exécutera et les enseignera,
celui-là sera tenu pour grand dans le Royaume des Cieux. »
Seulement,
au lieu d'être imposée à l'homme par une volonté étrangère et
comme une obligation extérieure, elle s'emparera de son cœur et
deviendra l'expression de la volonté personnelle de chaque humain,
le cœur étant le siège de la pensée en relation étroite avec
l’Esprit cérébrale siège du raisonnement, de la réflexion et de
l’intelligence, non égalitaire selon les thèmes et les
sentiments, car l’Esprit est comme le vent, invisible et l’on
connaît
sa force par l’agitation des feuilles, la courbure de la cime et
des branches de l’arbre, ainsi que le mouvement de vague de l’herbe
des près, tout comme la pureté de l’Esprit par l’action et ce
qui sort de la bouche par la parole et celle-ci doit-être saine,
pure, limpide car elle détermine avec sagesse la qualité de
l’Esprit dont elle est propriétaire et qu’elle dévoile.
La
« Nouvelle Alliance » fut
annoncé par Jérémie XXXI :
31-34, Ézéchiel XXXVI : 26-27,
où l’humain pensera différemment. En effet les hébreux se
croyaient une race supérieure aux nations car protégée
involontairement des maladies et épidémies par les Lois d’hygiène
que ces humains devaient respecter. Il y eut en premier les Lois
Noachides qu’EL-SHADDAÏ donna aux humains à la sortie de l’Arche
et ces Lois de la vie courante étaient laïques comme religieuses.
Puis les Lois Abrahamiques avec la circoncision qui était une Loi
religieuse et qui en même temps protégeait les hébreux des
maladies vénérienne et autres car cette circoncision devenait
hygiénique. Puis il y a eu toutes les Lois de Moïse qui comme
d’habitude étaient autant religieuses que laïques, comme les
« Dix Paroles » écrites par le doigt d’EL-SHADDAÏ
recto-verso sur les « Tables de pierre » qui étaient
rangées sous le propitiatoire dans « l’Arche
d’Alliance », mais
il y avait aussi des Lois sur les esclaves, les ennemis, le vol
d’animaux, coup et blessure, le viol, etc, exemple Exode
XXII : 17-27, XXXIII : 4-6 et
les chapitres suivant : 22 :19,
« Quiconque
s'accouple avec une bête sera mis à mort »,
22 : 21,
« Tu
ne molesteras pas l'étranger ni ne l'opprimeras, car vous-mêmes
avez été étrangers dans le pays d'Égypte. »,
23 :
5,
« Si
tu vois l'âne de celui qui te déteste tomber sous sa charge, cesse
de te tenir à l'écart ; avec lui tu lui viendras en aide. »
Et il y a beaucoup de Lois que les hébreux devaient respecter
laïques et aussi religieuses.
Ces Lois surtout religieuses étaient la « LOI », laïque et politique. Quatre à deux siècles avant la venue de Jésus le Nazôréen, les Nations reprochaient aux hébreux de « se reproduire comme les lapins », simplement que tout ceci était dû grâce à leur Lois religieuses certes, mais aussi laïque et la mortalité enfantine était moindre chez les hébreux que chez les nations qui les côtoyaient !
Isaïe aussi prophétisa sur la venue de Jésus le Nazôréen et sur cette « Nouvelle Alliance », Jérémie VII : 14, « C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : Voici, la jeune femme est enceinte, elle va enfanter un fils et elle lui donnera le nom d'Emmanuel. », Épître aux Romains XV : 12, « Et Isaïe dit à son tour : « Il paraîtra, le rejeton de Jessé, celui qui se dresse pour commander aux nations. En lui les nations mettront leur espérance. » »
Pourquoi cette « Alliance du Sinaï » fut-elle si souvent bafouée ?
Comme les recherches sont assez longue pour trouver la vérité et comprendre le sacrifice de Jésus le Nazôréen et la signification exacte tout comme celle du baptême que Jean le Baptiste pratiquait dans le Jourdain.
Alors je continuerai les explications écrites après celle-ci dans sept à huit jours le temps des recherches
Portez-vous bien ey prenez soin de vous !
Salutations cordiales à tous !
Sig : J-P .G. dit « GRANDELOUPO »
Les Alliances entre un Dieu et les humains
Chapitre N° 3
Alliance du Sinaï transgressée,
Nouvelle Alliance
La nouveauté de l’Alliance porte sur trois points, en premier à l’initiative divine du pardon du péché, Ézéchiel XXXVI : 25, « Je répandrai sur vous une eau pure et vous serez purifiés de toutes vos souillures et de toutes vos ordures je vous purifierai. », en second la responsabilité et la rétribution personnelle, et en troisième l’intériorisation de la religion, la Loi cessant d’être appliquée de façon extérieur pour devenir une inspiration affectant le « cœur » de l’homme, Jérémie XXIV : 7, « Je leur donnerai un cœur pour connaître que je suis EL-SHADDAÏ. Ils seront mon peuple et moi je serai leur Dieu, car ils reviendront à moi de tout leur cœur. », sous l’influence de l’Esprit d’EL-SHADDAÏ qui donne à l’homme un « cœur nouveau », Ézéchiel XXXVI : 26-27, « Et je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau, j'ôterai de votre chair le cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai mon esprit en vous et je ferai que vous marchiez selon mes lois et que vous observiez et pratiquiez mes coutumes. », capable de connaître l’Être Suprême. Pour le Nouveau Testament cette « Alliance Nouvelle » et éternelle proclamée par le prophète Ézéchiel et aussi par les derniers chapitres d’Isaïe, LIX : 21, « Et moi, voici mon alliance avec eux, dit EL-SHADDAÏ : mon esprit qui est sur toi et mes paroles que j'ai mises dans ta bouche ne s'éloigneront pas de ta bouche, ni de la bouche de ta descendance, ni de la bouche de la descendance de ta descendance, dit EL-SHADDAÏ, dès maintenant et à jamais. », vécue dans le Psaume LI, ce dernier étant un chant de David demandant le pardon d’EL-SHADDAÏ après avoir envoyé Hurie le Hittite à la mort afin d’épouser sa femme, Bersabée, David ayant au fond du cœur un profond remord, sincère, et la magnanimité de cet Être Suprême qui juge les humains au plus profond de leur cœur, sera inauguré par le sacrifice de Jésus le Nazôréen et des Apôtres en annonceront l’accomplissement. (le terme « Seigneur » porte ici la signification grecque comme dans beaucoup de texte du Nouveau Testament. Les Rabbins Hébreux avait interdit de prononcer le nom Divin, et pour certains traducteurs le Terme « Dieu » pour nommer un « Dieu », les dérangeaient beaucoup et écrire le tétragramme supprimait le sens de la phrase, alors ils remplacèrent ce mot « Dieu et YHWH » par « Seigneur ». Si le terme « Seigneur » est employé pour Jésus le Nazôréen je laisserai l’expression, dans le cas contraire comme pour le nom de Dieu « Dieu » sera remplacé par EL-SHADDAÏ, ceci était juste une mise au point.) Hébreux VIII : 6-13, « Mais à présent, le Christ a obtenu un ministère d'autant plus élevé que meilleure est « l'Alliance » dont il est le médiateur, et fondée sur de meilleures promesses. Car si cette première « Alliance » avait été irréprochable, il n'y aurait pas eu lieu de lui en substituer une seconde. C'est en effet en les blâmant qu’EL-SHADDAÏ déclare :
« Voici
que des jours viennent, dit le EL-SHADDAÏ, et je conclurai avec la
maison d'Israël et la maison de Juda une « Alliance
Nouvelle », non pas
comme l'Alliance
que je fis avec leurs pères, au jour
où je pris leur main pour les tirer du pays d'Égypte.
Puisqu'eux-mêmes ne sont pas demeurés dans mon « Alliance »,
moi aussi je les ai négligés, dit
le EL-SHADDAÏ. Voici « l'Alliance »
que je contracterai avec la maison d'Israël, après ces jours-là,
dit le EL-SHADDAÏ : « Je
mettrai mes lois dans leur pensée, je les graverai dans leur cœur,
et je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. Personne n'aura plus
à instruire son concitoyen, ni personne son frère, en disant : «
Connais EL-SHADDAÏ ! », puisque
tous me connaîtront, du petit jusqu'au grand. Car je pardonnerai
leurs torts, et de leurs péchés je n'aurai plus souvenance. »
En disant : « Alliance
Nouvelle », il rend
vieille la première. Or ce
qui est vieilli
et vétuste
est près
de disparaître. »
Par ces versets il a été établi que Jésus le Nazôréen, prêtre
éternel et parfait est supérieur en sa propre personne aux prêtres
lévitiques, pécheurs, mortels, et imparfaits.
Melchisédech est un prêtre du « Dieu Très-Haut », Roi de Salem et possédant une grande Sagesse, mais d’après la Bible nous ne connaissons pas sa naissance et encore moins son élévation, son départ vivant de la Terre comme Hénoch dont le corps ne goûta pas les affres de la mort. Maintenant d’après la littérature apocryphe c’est tout autre chose, alors je vais parler de ces écrits.
Nous sommes à l’ère antédiluvienne, la race humaine commence à se dégénérer, et l’épouse de Nêr, frère ainé de Noé est stérile, d’un âge avancé, dans les années de la vieillesse.
Nêr et Noah sont les fils de Lamek, fils de Mathusalem, fils d’Hénoch, fils de Yéred et ainsi de suite jusqu’à Adam. Mathusalem le père de Lamech vivait avec les Lois d’EL-SHADDAÏ, mais Lamech le père de Nêr et de Noé suivait l’iniquité des humains de la Terre. Mathusalem sentant la fin proche réuni les humains et leur dit : « Voici Nêr, il sera devant vous, à partir d'aujourd'hui, le guide des princes. » Et le peuple répondit à Mathusalem : « Qu'il le soit pour nous, et que la parole du Seigneur s'accomplisse, comme il te l'a dit ! » Et pendant ce temps Mathusalem s’endormit du sommeil d’où l’on ne revient pas.
Ils amenèrent le mouton, le taureau, la tourterelle et la colombe et ils les lièrent à la tête de l'autel et Nêr le prêtre prit le couteau du sacrificateur et il les sacrifia à la face du Seigneur, et le peuple se réjouit tout le jour. Ils glorifièrent le Seigneur, le Dieu sauveur de Nêr, puis chacun retourna à sa maison. A partir de ce jour ce fut la paix et l'ordre sur toute la terre dans les jours de Nêr, pendant deux cent deux ans.
La femme de Nêr, Sophonim, était stérile et n'avait pas donné d'enfant à Nêr. Sophonim était au temps de la vieillesse et au jour de la mort, et elle conçut dans son ventre. Or Nêr le prêtre n'avait pas dormi avec elle depuis le jour où le Seigneur l'avait placé à la face du peuple. Sophonim cacha sa grossesse au peuple et à son époux Nêr. Ce dernier l’appela à lui, et elle était à l’époque de l’accouchement. « Et, la voyant, Nêr eut grande honte d'elle, et il lui dit: « Pourquoi as-tu fait cela, femme, et m'as-tu fait honte devant tout le peuple ? Et maintenant, écarte-toi de moi, va où tu as conçu la honte de ton ventre, pour que je ne souille pas mes mains sur toi et que je ne pèche pas devant le Seigneur ! » Et Sophonim répondit à son mari et lui dit: « Voici, mon Seigneur, le temps de ma vieillesse, et il n'y a pas eu en moi d'ardeur de jeunesse et je ne sais pas comment a été conçue l'indécence de mon ventre. » Mais il ne la crut pas. « L'archange Gabriel apparut à Nêr et lui dit : « Ne pense pas que ta femme Sophonim soit morte à cause d'une faute. Cet enfant qui est né d'elle est un fruit juste, et que je recevrai au paradis, pour que tu ne sois pas le père d'un don d’EL-SHADDAÏ. » »
Dans ces écrits traduit en grec le terme « Seigneur » remplace « Dieu » pour le christianisme et « YHWH ou Yahvé » pour le judaïsme et les écrits hébraïques
Nêr
se hâta d’aller annoncer tout cela à son frère, Noé, et entre
temps Sophonim succomba, quand ils arrivèrent, ils trouvèrent
l’épouse de Nêr morte. Ils la vêtir en noire puis de nuit ils
creusèrent une tombe. Entre temps l’enfant sortit du ventre de
Sophonim et prit de suite la forme d’un jeune-homme. Nêr et Noé
vinrent prendre Sophonim pour la mettre en terre ils virent l’enfant
assis à côté de sa mère décédé.
« Noé et Nêr s'effrayèrent fort : car l'enfant était achevé de corps, il parlait par sa bouche et bénissait le Seigneur. Noé et Nêr l'examinèrent, et ils dirent : « Ceci est du Seigneur, mon frère. » Et voici, le sceau du sacerdoce était sur sa poitrine, et glorieux d'aspect. Et Noé dit à Nêr : « Frère, voici que le Seigneur renouvelle le tabernacle de la sanctification après nous. » Et Nêr et Noé se hâtèrent de laver l'enfant, et ils le vêtirent des vêtements du sacerdoce. Et Nêr lui donna les pains consacrés, et il mangea. Et ils lui donnèrent le nom de Melchisédech. »
« Ils prirent le corps de Sophonim, l’habillèrent de vêtements étincelants et l’enterrèrent devant tout le peuple avec Melchisédech. Puis ils cachèrent l’enfant, car le peuple devenait méchant, et ils craignirent pour sa vie. « Nêr s'affligeait bien plus au sujet de l'enfant, et disait : « Que ferai-je de lui ? » Le Seigneur entendit Nêr, il lui apparut la nuit dans une vision, et il lui dit : « Pour l'enfant ne t'afflige pas, Nêr, parce que j'enverrai dans peu de temps mon archi-stratège Michel, et il prendra l'enfant et le placera dans le paradis de l'Éden. Il ne périra pas avec ceux qui doivent périr, et moi, je l'ai montré, et il sera mon prêtre des prêtres, à jamais Melchisédech et je le sanctifierai, et je le changerai en un grand peuple qui me sanctifiera. » Et Nêr, se levant de son songe, bénit le Seigneur qui s'était manifesté à lui, et dit : « Béni le Seigneur, le Dieu de nos pères, qui n'a pas donné le blâme à mon sacerdoce dans le sacerdoce de mes pères, parce que ta Parole a créé un grand prêtre dans la matrice de Sophonim, ma femme. Car je n'avais pas de descendance, et cet enfant me tiendra lieu de descendance, et il deviendra comme mon fils, et tu le compteras au nombre de tes serviteurs, et Melchisédech sera la tête des prêtres dans une autre race, dans un peuple que sert ton pouvoir monarchique, Seigneur. » Et il advient, quand l'enfant eut achevé quarante jours dans la demeure de Nêr, que le Seigneur dit à Michel : « Descends sur la terre auprès de Nêr le prêtre, et prends l'enfant Melchisédech qui est avec lui et place-le en garde dans le paradis de l'Éden ! » »
J’ai tenu à vous faire connaître la littérature apocryphe, mais ces écritures prophétiques sont une symétrie ou une juxta-position avec la naissance miraculeuse de Jésus le Nazôréen les quarante jours sur terre de Melchisédech représentent les quarante ans de vie de Jésus le Nazôréen sur la terre. Le Paradis de l’Eden où l’Ange Michel pose Melchisédech représente le jardin reconquit par Jésus le Nazôréen puisqu’il est ressuscité par son Père donc il retrouve le Jardin de l’Eden où fut déposé Adam parfait, sans péché. Et comme Melchisédech, Jésus le Nazôréen est à la tête des prêtres et question Melchisédech n’est-il pas Jésus le Nazôréen ?
Le
ministère de Jésus le Nazôréen en tant que « Grand Prêtre »
est supérieur au grand prêtre du Temple qui tous les jours devaient
faire un sacrifice pour son propre péché, lui Jésus était investi
comme Melchisédech dans un sanctuaire céleste donc propre, limpide,
clair comme l’eau de source donc parfait. N’oublions pas que la
Tente du Rendez-Vous n’était
que la copie conforme qu’EL-SHADDAÏ avait
fait voir à Moïse quand ce dernier était sur la montagne
volcanique du Sinaï, Exode XXV : 40, « Regarde
et exécute selon le modèle qui t'est montré sur la montagne. »
{ex : XXV :
9 ; XXVI : 30 ; XXVII : 8 ; nbr VIII :
4.} Et
sur cette « Montagne »
toute la « Tente
Céleste » avec
les ustensiles, les chandeliers, tout sans exception fut montré à
Moïse pendant les quarante jours et quarante nuits qu’il passa sur
cette Montagne Saine et Sainte sans boire, sans manger, et sans
dormir, ce qui est impossible pour un être humain, sauf avec une
aide divine.
Jésus le Nazôréen est le médiateur, Hébreux VIII : 6-7, « Mais à présent, Jésus le Nazôréen a obtenu un ministère d'autant plus élevé que meilleure est l'alliance dont il est le médiateur, et fondée sur de meilleures promesses. Car si cette première alliance avait été irréprochable, il n'y aurait pas eu lieu de lui en substituer une seconde. » d’une alliance meilleure, lire les versets 6-13, confirmation dans cette Épître aux Hébreux IX : 15-17, « Voilà pourquoi il est médiateur d'une nouvelle alliance, afin que, sa mort ayant eu lieu pour racheter les transgressions de la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel promis. Car là où il y a testament, il est nécessaire que la mort du testateur soit constatée. Un testament, en effet, n'est valide qu'à la suite du décès, puisqu'il n'entre jamais en vigueur tant que vit le testateur. »
Le
terme « Médiateur »
ainsi appliqué à Jésus le Nazôréen a une valeur quasi-technique
Hébreux IX : 15 ; XII : 24 ; XIII :
20-21, « Que
le Dieu
de la paix, qui a ramené de chez les morts celui qui est devenu par
le sang d'une alliance éternelle le grand Pasteur
des brebis, notre Seigneur Jésus le Nazôréen, vous rende aptes à
accomplir sa volonté en toute sorte de bien, produisant en nous ce
qui lui
est
agréable par Jésus le Nazaréen, à qui soit la gloire pour les
siècles des siècles ! Amen. »,
Jésus le Nazôréen devient le grand Pasteur, donc comme
Melchisédech le « Grand Prêtre » aussi, tout en restant
pleinement
homme, mais possédant la plénitude de la divinité,
Jésus le Nazaréen est l’intermédiaire unique entre EL-SHADDAÏ
et l’humanité qu’il unit et réconcilie, il est le négociateur
de la grâce et au Ciel il continue à intercéder pour les fidèles,
Épître aux Hébreux VII : 25-28,
« D'où il suit qu'il est
capable de sauver de façon
définitive ceux qui par lui
s'avancent vers EL-SHADDAÏ,
étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. Oui, tel est
précisément le grand prêtre qu'il nous fallait, saint, innocent,
immaculé, séparé désormais des pécheurs, élevé plus haut que
les cieux, qui ne soit pas journellement dans
la nécessité, comme les
grands prêtres, d'offrir des
victimes d'abord pour ses
propres péchés, ensuite
pour ceux du peuple, car ceci
il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même.
La Loi, en effet, établit comme grands prêtres des hommes sujets à
la faiblesse ; mais la parole du serment - postérieur à la Loi -
établit le Fils rendu parfait
pour l'éternité. »
Jésus le Nazôréen est de descendance divine deux fois,
aux Cieux puisqu’il fut engendré par la volonté de l’Être
Suprême, conçut dans ses entrailles en passant par tous les stades
ventriculaire de la conception, puis de l’enfantement jusqu’à
son âge de raison, puis une seconde fois quand EL-SHADDAÏ
introduisit le spermatozoïde dans l’ovule de Marie qui avait été
lavé à l’âge de trois ans du péché adamique afin que son corps
soit parfait afin que la conception de l’enfant soit parfaite, pour
que l’enfant naisse parfait sans la tare adamique. Ce n’est pas
pour cela qu’il soit un « Dieu »
qui supprimerai l’unicité d’EL-SHADDAÏ.
Isaïe XLIV : 24, « Ainsi
parle Yahvé, ton rédempteur, celui qui t'a modelé dès le sein
maternel, c'est moi, Yahvé, qui ai fait toutes choses, qui seul ai
déployé les cieux, affermi la terre, sans personne avec moi. »
Zacharie XIV : 9, « Alors
EL-SHADDAÏ
sera roi sur toute la terre ; en ce jour-là, EL-SHADDAÏ
sera unique, et son Nom unique. » Ces versets
prouvent l’unicité de l’Être Suprême et que lui seul est un
« Dieu », est « Dieu ».
Trois mois après la libération de l’esclavagisme égyptien, sur les contreforts de la chaine de Montagnes Volcaniques du Sinaï les hébreux firent halte. C’est là que leur Dieu qui venait de les libérer de leur servitude égyptienne parla à son Peuple et qu’ils conclurent une Alliance, un pacte, Exode XXIV : 6-8, « Moïse prit la moitié du sang et la mit dans des bassins, et l'autre moitié du sang, il la répandit sur l'autel. Il prit le livre de l'Alliance et il en fit la lecture au peuple qui déclara : « Tout ce que Yahvé a dit, nous le ferons et nous y obéirons. » Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit : « Ceci est le sang de l'Alliance que Yahvé a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. »
Dans le chapitre IX : 1-14 de l’Épître aux Hébreux, Jésus le Nazôréen pénètre dans le sanctuaire céleste. Dans la Tente du désert un voile séparait le Saint du « Saint des Saints », Exode XXVI : 33, « Tu mettras le rideau sous les agrafes, tu introduiras là, derrière le rideau, l'arche du Témoignage, et le rideau marquera pour vous la séparation entre le Saint et le Saint des Saints. », seul le « Grand Prêtre » pénètre dans le « Saint des Saints » et une seule fois par an, au jour des « Expiations » le septième mois biblique celui de « Tishri » qui est le premier mois civil du calendrier hébraïque Lévitique XVI : 29-30, « Cela sera pour vous une loi perpétuelle. Au septième mois, le dixième jour du mois, vous jeûnerez, et ne ferez aucun travail, pas plus le citoyen que l'étranger qui réside parmi vous. C'est en effet en ce jour que l'on fera sur vous le rite d'expiation pour vous purifier. Vous serez purs devant EL-SHADDAÏ de tous vos péchés. ». La première « Tente du Rendez-Vous », le Saint au sens spatial représente l’obstacle à l’accès au sanctuaire donc de façon symbolique à la présence d’EL-SHADDAÏ ; au sens temporel « la Tente du Rendez-Vous » représente tout le régime culturel de l’Ancien Testament et le Temple dans son ensemble. Le cérémonial a une signification spirituelle ; dans l’ancienne « Alliance » le peuple n’a pas accès à EL-SHADDAÏ. Dans la « Nouvelle Alliance », Jésus le Nazôréen sera la voie pour aller au « Père ».
Le
cérémonial religieux israélite de l’Expiation est remplacé par
l’offrande unique, Épître aux Hébreux VII : 26-27,
« Oui,
tel est précisément le grand
prêtre
qu'il nous fallait, saint, innocent, immaculé, séparé désormais
des pécheurs, élevé plus haut que les cieux, qui ne soit pas
journellement dans la
nécessité, comme les grands prêtres,
d'offrir des victimes d'abord pour ses
propres péchés,
ensuite pour ceux du peuple, car
ceci il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même. »,
du
sang de Jésus le Nazôréen, Épître
aux Romains III : 21-26,
«
Mais maintenant, sans la Loi, la
justice d’EL-SHADDAÏ s'est manifestée, attestée par la Loi et
les Prophètes, justice d’EL-SHADDAÏ par la foi en Jésus le
Nazaréen, à l'adresse de tous ceux qui croient - car il n'y a pas
de différence : tous ont péché et sont privés de la gloire
d’EL-SHADDAÏ - et ils sont justifiés par la faveur de sa grâce
en vertu de la rédemption accomplie dans Jésus le Nazôréen :
EL-SHADDAÏ l'a exposé,
instrument de propitiation par son propre sang moyennant la foi
; il voulait montrer sa justice, du fait qu'il avait passé
condamnation sur les péchés commis jadis au temps de la
patience d’EL-SHADDAÏ ; il
voulait montrer sa justice au
temps présent, afin d'être
juste et de justifier celui qui se réclame de la foi en Jésus le
Nazôréen. », qui rouvre aux hommes l’accès à
EL-SHADDAÏ, La
signification profonde de l’aspersion du sang sacrificiel à
l’intérieur du « Saint
des Saints »
réside
dans le symbolisme biblique du sang entant que siège de la vie. Il
s’agit de renouveler l’union vitale entre EL-SHADDAÏ
et
son peuple, Épître
aux Hébreux IX : 19-20,
« Effectivement,
lorsque Moïse eut promulgué au peuple entier chaque prescription
selon la teneur de la Loi, il prit le sang des jeunes taureaux et des
boucs, avec de l'eau, de la laine écarlate et de l'hysope, et il
aspergea le livre lui-même et tout le peuple en disant : Ceci est le
sang de l'alliance qu’EL-SHADDAÏ
a prescrite pour vous. »,
et
de réaffirmer sa souveraineté sur Israël
L’Épître aux Hébreux IX : 15-21, « Voilà pourquoi il est médiateur d'une nouvelle alliance, afin que, sa mort ayant eu lieu pour racheter les transgressions de la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel promis. Car là où il y a testament, il est nécessaire que la mort du testateur soit constatée. Un testament, en effet, n'est valide qu'à la suite du décès, puisqu'il n'entre jamais en vigueur tant que vit le testateur. De là vient que même la première alliance n'a pas été inaugurée sans effusion de sang. Effectivement, lorsque Moïse eut promulgué au peuple entier chaque prescription selon la teneur de la Loi, il prit le sang des jeunes taureaux et des boucs, avec de l'eau, de la laine écarlate et de l'hysope, et il aspergea le livre lui-même et tout le peuple en disant : Ceci est le sang de l'alliance qu’EL-SHADDAÏ a prescrite pour vous. Puis, de la même manière, il aspergea de sang la Tente et tous les objets du culte. », scelle la « Nouvelle Alliance » de Jésus le Nazaréen par son sang. Cette section biblique est parallèle à Hébreux VIII : 6-13, posé en début de chapitre, et démontre la nécessité de la mort de Jésus le Nazôréen pour sa médiation. Le mot grec « diathèkè » traduisait dans la Bible grecque le mot « berït », « Alliance », alors qu’il avait couramment le sens de testament, Épître aux Galates III : 17, « Or voici ma pensée : un testament déjà établi par EL-SHADDAÏ en bonne et due forme, la Loi venue après quatre cent trente ans ne va pas l'infirmer, et ainsi rendre vaine la promesse. » Tout le passage joue sur cette double valeur du mot. « L’Alliance », verset 15 et 18 à 20, posé ci-dessus, exige la mort du « testateur », versets 16-17. De plus la conclusion d’une alliance exige une effusion de sang. Jésus le Nazôréen devait donc mourir pour fonder « l’Alliance Nouvelle », Matthieu XXVI : 28, « car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. »
Dans
ce troisième chapitre je viens d’écrire sur deux « Alliances »,
« l’Alliance du
Sinaï », alliance
faite sur les contreforts de la chaine de Montagnes volcaniques du
Sinaï à l’ère de Moïse, entre un Dieu seul et unique qui
revendique avec force cette unicité et un peuple qui est la
descendance d’un humain qui s’est formé en « Terre
Étrangère », c’est-à-dire en Égypte où ce
« Peuple » devenait plus nombreux que les
autochtones, d’où leur mise en esclavage, en servitude afin qu’ils
deviennent moins fertile, donc moins nombreux. Ce Dieu se fit
connaître des Nations en libérant « son Peuple »
le jour d’une fête printanière que l’on nommait « Pâque »,
fête pastorale et agricole, sédentaire, de l’asservissement
égyptien, mais surtout de la traversée de la mer rouge les pieds au
sec de ce peuple hébreu avec ses troupeaux immenses de bovins,
ovins, caprins, camélidés, équidés, volailles et autres, plus
selon la Bible, six-cents mille hommes de pieds, cette colonne
bigarrée étendue sur des kilomètres, avec à la tête de chaque
tribus l’étendard, l’emblème de celle-ci, les unes derrières
les autres. La seconde « Alliance »
est cette « Alliance
Prophétique » de Jérémie et Ézéchiel que je
vous ai écrit en début de chapitre et à la fin du deuxième
chapitre. Cette « Alliance »
sera une alliance « de Cœur
et d’Esprit » dont
Jésus le Nazôréen est le « Médiateur ».
Comment vous expliquez ce que je ressens ? La « Nouvelle Alliance » est une « Alliance Éternelle » et indestructible ! Comme souvent écrit ce n’est plus EL-SHADDAÏ qui choisit son « Peuple », mais se sont des humains de toutes Nations, de tous langages, de toute couleur de peau qui individuellement le choisiront comme leur Dieu, ils l’éliront pour leur Dieu, lui que moi je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham le nommait ainsi que les humains bien avant Moïse, mais vous vous pouvez le nommer autrement pour vu que vous ne soyez pas idolâtre, le seul et unique Dieu, car Jésus le Nazôréen n’est pas un « Dieu », il n’est pas « Dieu », s’est notre Roi sur la Terre et pour le moment notre médiateur, assesseur devant son Père, « son Dieu » et « notre Dieu » Jean XX :17. Nous « Enfant » de l’Être Suprême nous avons une « Nouvelle Alliance » avec Lui, celle de notre cœur, de notre esprit, car le cœur siège de la pensée, des sentiments, est toujours en relation avec notre boite crânienne où loge la matière grise dans laquelle il y a notre esprit, notre raisonnement, notre réflexion, mais qui est en relation avec notre cœur voilà pourquoi celui-ci nous serre de temps en temps et cette « Alliance » est éternelle, indestructible, voilà pourquoi EL-SHADDAÏ a dit : Jérémie XXXII : 38-41, « Alors ils seront mon peuple et moi, je serai leur Dieu. Je leur donnerai un seul cœur et une seule manière d'agir, de façon qu'ils me craignent toujours, pour leur bien et celui de leurs enfants après eux. Je conclurai avec eux une alliance éternelle : je ne cesserai pas de les suivre pour leur faire du bien et je mettrai ma crainte en leur cœur pour qu'ils ne s'écartent plus de moi. Je trouverai ma joie à leur faire du bien et je les planterai solidement en ce pays, de tout mon cœur et de toute mon âme. », aussi Ézéchiel au chapitre XXXVI : 25-28, « Je répandrai sur vous une eau pure et vous serez purifiés ; de toutes vos souillures et de toutes vos ordures je vous purifierai. Et je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau, j'ôterai de votre chair le cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai mon esprit en vous et je ferai que vous marchiez selon mes lois et que vous observiez et pratiquiez mes coutumes. Vous habiterez le pays que j'ai donné à vos pères. Vous serez mon peuple et moi je serai votre Dieu. »
Portez-vous bien et prenez soin de votre maisonnée !
Salutations cordiales à Tous
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Les Alliances entre un Dieu et les humains
Chapitre N° 2
Les Alliances Éternelles
Le Samedi 31 Mars entre les deux soirs c’était la Pâque pour EL-SHADDAÏ, et nous « Enfants » de ce « Dieu » seul et unique nous avons célébré la Pâque comme il nous le demandait, simplement avec humilité. Comme promis je vais essayer de vous conter l’histoire de la Pâque, mais surtout l’histoire de « l’Alliance » qui existe entre un « Dieu Jaloux » seul, unique qui revendique fermement cette unicité et l’humain que, Lui, a créé à son image, son reflet, leurs ressemblances parmi lequel il a choisi un « Peuple » la descendance d’un humain avec lequel il a fait « Alliance » marqué au fer rouge, dans sa chair par la circoncision.
Mais
avant cela il avait fait une « Alliance
Éternelle » entre
l’humanité toute entière et lui à l’ère de Noé juste après
le « Déluge »,
quand les eaux se sont retirées et que Noah et tous ceux qui
avaient traversé ce cataclysme planétaire touchèrent la terre
ferme, la promesse que plus jamais, toute vie qui respire sur la
terre de la Terre ne serai détruite par un « Déluge »
à cause de l’homme. Pour se souvenir de cette promesse, de
cette « Alliance »,
EL-SHADDAÏ
étendit dans la nuée un « Arc-en-Ciel »
et quand il verrait cette Arc, comme l’humain, il se
souviendrai de « l’Alliance »
qu’il avait fait avec ce dernier et toute la Terre.
Après Moïse, Josué, les débuts des Juges le peuple d’Israël vécu heureux, car il c’était installé ou coulait le lait et le miel et tant qu’ils restèrent fidèles aux lois de leur « Dieu Yahvé » l’agriculture était florissante ainsi que l’élevage. Les hébreux vivaient de troc et l’argent ne circulait pas beaucoup, mais tous vivaient correctement c’était une société égalitaire donc les très riches comme les très pauvres n’existaient pas pour ainsi dire.
La ruine des hébreux commença quand ils commencèrent à se façonner des « dieux » comme les Nations qui les entouraient, et à les vénérer, les adorer alors pendant des décennies il y a eu ce jeu de « yoyo » entre leur « Dieu Yahvé », que je nomme comme Abraham « EL-SHADDAÏ », tu me sois fidèles pendant un « Temps », et pendant l’autre, je vais prier les « Dieux » de matière et je suis dans la misère.
Puis il y eut David grand « Roi » devant EL-SHADDAÏ pendant quarante ans, puis Salomon son fils qui régna aussi pendant quarante ans, mais tout deux trahirent la confiance de ce « Dieu » seul et unique, David en faisant tuer un homme, Hurie le Hittite parce qu’il désirait sa femme, mais il se repentit devant EL SHADDAÏ son Dieu et ne le déçut plus tout le reste de sa vie et Salomon parce qu’il se mit à adorer d’autres « dieux », le premier ne put construire le Temple, quand au second EL SHADDAÏ à sa mort divisa son royaume en deux, dix Tribus d’un côté qui gardera le nom « d’Israël », de l’autre deux tribus celle de Juda et le petit territoire de Benjamin, que l’on nommera le Royaume de Juda et qui gardera la ville de Jérusalem avec son Temple, d’un côté Jéroboam règne sur Israël -931—910 de l’EC., soit vingt-et-un ans et de l’autre Roboam règne sur le Royaume de Juda -931—913 de l’EC., soit dix-huit ans.
En
l’an 724 la capitale d’Israël, Samarie, est assiégée par les
Assyriens, II Roi XVII : 5-6, « Le
roi d'Assyrie envahit tout le pays et vint assiéger Samarie, pendant
trois ans.
En
la neuvième année d'Osée, le roi d'Assyrie prit Samarie et déporta
les Israélites en Assyrie. Il les établit à Halah et sur le Habor,
fleuve de Gozân, et dans les villes des Mèdes. »
Le siège de Samarie, capitale d’Israël, avait été mis en -724
de l’EC.,
par Salmanasar. La ville ne fut prise qu’au début du règne de son
successeur, Sargon, sans doute au début de -721
la onzième année du règne d’Osée -732--724
- -721
(rien
avoir avec le prophète) -,
pendant trois ans, emprisonné. Les israélites furent déportés à
l’extrême Nord de la Mésopotamie près d’Harân ou le père
d’Abraham, Térah, fut ensevelie. Les villes Mèdes à l’est de
la Mésopotamie sont celles où les déportés israélites
remplacèrent les indigènes que Téglath-Phalasar avait déplacé
A partir de -721 de J-C., nous n’entendrons plus parler des « Dix Tribus » d’Israël qui furent déportés dans tout le Moyen-Orient. Se seront les hébreux de la « Diaspora »
Tout ce que je viens d’écrire rapidement est l’histoire de ces hébreux que les nations ont essayé de faire disparaître, mais à cause de leur « Dieu » qui est aussi le nôtre puisqu’il existe qu’un seul et unique « Dieu », jamais les nations ont pu dissoudre cette civilisation
Je reviens maintenant aux Alliances qui ont existé entre un « Dieu » et les humains. Ci-dessus je viens d’écrire sur deux « Alliances » celle avec l’humanité tout entière l’Arc-en-Ciel, puis avec un humain et sa descendance par la circoncision qui est comme une marque au fer rouge, puis il y a eu Moïse et une avant dernière « Alliance » qui a été bafouée, ridiculisée, méprisée, outragée, mystifiée, sans vergogne, sans scrupule, devant ce « Dieu » seul et unique qui a même envoyé son propre fils et pour finir ils l’ont tuer hypocritement par la main des romains, par leur torture de la crucifixion et c’est ces mêmes Romains qui en l’an 70 de notre ère ont rasé le temple et déporter définitivement rayant Israël de la carte du monde pendant mille huit-cent-soixante-dix-huit ans, qui représente peut être la date de la circoncision d’Abraham à la mort de Jésus le Nazôréen, mais cela n’engage que moi, que mes réflexions et comme je suis loin d’être parfait alors je peux faire erreur.
Une
certitude ce peuple, cette civilisation devrait être rayé du monde
et pourtant les hébreux sont toujours là donc il y a bien un
mystère sur ce peuple, quelque chose d’étrange, mais les hébreux,
aujourd’hui en
l’an 2018,
ne sont plus le peuple de leur « Dieu
Yahvé »
cela
est une conviction, une vérité, car un « Nouveau
Peuple »
c’est
levé et nous en sommes aux prémices, en annonce du « Jour de
la Colère d’EL-SHADDAÏ » grande et redoutable, Néhémie
I :5,
« Et
je dis :
«
Ah! EL-SHADDAÏ, Dieu du ciel, toi, le Dieu grand et redoutable qui
garde l'Alliance et la grâce à ceux qui t'aiment et observent ses
commandements, »
Daniel
IX : 4,
« Je
suppliai Yahvé mon Dieu, faisant confession « Ah! mon
Seigneur, EL-SHADDAÏ grand et redoutable, qui gardes l'Alliance et
la grâce pour ceux qui t'aiment et observent tes commandements. »
Mais
avant de parler « du Jour de
Colère » de « son
Jour », de ce Dieu seul et unique revenons à ce
qui s’est passé. Les hébreux sont sortis du pays d’Égypte cela
fait trois mois et ils viennent de s’arrêter sur le contrefort de
la montagne du Sinaï et voilà plus de trente jours que Moïse est
partie vers les sommets de cette montagne qui crache du feu et qui
gronde. Ils demandent à Aaron de leur construire un Dieu susceptible
de remplacer le Dieu de Moïse dans lequel ils ne croient plus. Alors
Aaron s’exécute et construit un veau assemblé, modelé, ciselé
et recouvert d’une fine couche d’or qui en même pas cinq jours
devient l’emblème de
leur nouveau « Dieu »
et ils chantent et dansent autour de cette image susceptible
de remplacer EL-SHADDAÏ. Cet Être Suprême prévient Moïse, qui
arrête tout, prend les « Tables de
Pierre » écrites du doigt de ce Dieu, et
redescend rapidement de la montagne et arrivé à destination il voit
ce peuple chanter, boire, danser, manger, de façon obscène devant
ce veau d’or qu’ils vénèrent comme un Dieu. Mettez-vous à la
place de cet homme qui en temps normal a du mal à s’exprimer et
qui voit ces humains trahir leur parole donnée cinquante jours
plutôt sur cette même montagne. IL crie et même très fort au
point de passer pardessus les chants et la musique et une partie du
peuple le voit, puis une autre et le silence se fait, mais Moïse par
sa colère bégaie et n’arrive pas à sortir un mot alors il casse
violemment les « Tables de Pierre »,
les « Tables de la Loi »
en les jetant contre les roches qui sont à terre. Puis il
renverse ce veau d’or à terre, en récupère l’or, le fait
fondre, puis le fait broyer en fine poudre, mélange cette poudre à
l’eau et la fait boire à tous les Israélites qui ont participé à
cette mascarade. Exode XXXII : 27-30, « Il
leur dit : « Ainsi parle
EL-SHADDAÏ, le Dieu d'Israël : ceignez chacun votre épée sur
votre hanche, allez et venez dans le camp, de porte en porte, et tuez
qui son frère, qui son ami, qui son proche. »
Les fils de Lévi firent ce que Moïse avait dit, et du peuple, il
tomba ce jour-là environ trois mille hommes. Moïse dit : «
Vous vous êtes aujourd'hui conféré l'investiture pour EL-SHADDAÏ,
qui au prix de son fils, qui au prix de son frère, de sorte qu'il
vous donne aujourd'hui la bénédiction ». Le
lendemain, Moïse dit au peuple : «
Vous avez commis, vous, un grand péché. Je m'en vais maintenant
monter vers EL-SHADDAÏ. Peut-être pourrai-je expier votre péché
! » Les humains errèrent pendant quarante ans dans
le désert car de tous ceux qui venaient d’Égypte suite à
l’affaire du Veau d’or, pas un ne devait voir la Terre Promise
sauf Josué fils de Nûn,
et EL-SHADDAÏ
eut des paroles très dures contre son « Peuple »
qu’il avait retiré de la servitude égyptienne, Exode XXXIII :
3, 5, « Monte
vers une terre qui ruisselle de lait et de miel, mais je ne monterai
pas au milieu de toi, de
peur que je ne t'extermine
en chemin car tu es un
peuple à la nuque raide.
», « Alors EL-SHADDAÏ dit à Moïse : « Dis aux Israélites
: Vous êtes un
peuple à la nuque raide,
si je montais au
milieu
de toi,
ne fût-ce qu'un moment, je
t'exterminerais.
Et maintenant, dépouille-toi de tes parures, que je sache comment te
traiter. »
Moïse ne remontera pas tout de suite sur la montagne de l’Être Suprême. En effet il lui faut retrouver le même style de pierre car Moïse doit les retailler à l’identique car les Tables étaient écrites recto-verso d’où l’obligation de se déplacer et ce Dieu ferai voir à Moïse l’endroit pour retailler les pierres.
Quand EL-SHADDAÏ trouva l’endroit où Moïse pourrai retaillées les Tables de pierre à l’identique la colonne humaine stoppa toujours sur les contreforts de la Montagne Sainte. Là, Moïse monta une première fois sur la montagne et demanda à voir la grâce de son Dieu EL-SHADDAÏ, Exode XXXIII : 18-23 « Il lui dit : « Fais-moi de grâce, voir ta gloire. » Et il dit : « Je ferai passer devant toi toute ma beauté et je prononcerai devant toi le nom d’EL-SHADDAÏ. Je fais grâce à qui je fais grâce et j'ai pitié de qui j'ai pitié. » « Mais, dit-il, tu ne peux pas voir ma face, car l'homme ne peut me voir et vivre. » EL-SHADDAÏ dit encore : « Voici une place près de moi ; tu te tiendras sur le rocher. Quand passera ma gloire, je te mettrai dans la fente du rocher et je te couvrirai de ma main jusqu'à ce que je sois passé. Puis j'écarterai ma main et tu verras mon dos ; mais ma face, on ne peut la voir. » Puis il redescendit et donna les consignes pour que l’on commence à façonner « l’Arche d’Alliance », puis il remonta Exode XXXIV : 27-28, « Yahvé dit à Moïse : « Mets par écrit ces paroles car selon ces clauses, j'ai conclu mon alliance avec toi et avec Israël. » Moïse demeura là, avec Yahvé, quarante jours et quarante nuits. Il ne mangea ni ne but, et il écrivit sur les tables les paroles de l'alliance, les Dix Paroles. » Les « Dix Paroles » sont bien entendu ce que l’on nomme les « Dix Commandements », mais quand Moïse redescendit cette fois-ci sont visage rayonnait car pendant quarante jours et quarante nuits il avait parlé avec EL SHADDAÏ, mais il avait aussi beaucoup écrit, et beaucoup appris sur l’humanité jusqu’au jour de la résurrection des humains et du « Jour de la Colère » de son Dieu, tout cela, il lui a fait voir comme à Hénoch.
Comme je vous l’ai expliqué je ne connais pas comme certains la Bible par cœur, et je suis incapable de vous réciter un verset de tel livre qu’il soit du Nouveau Testament, comme de l’Ancien, mais j’essaie de la comprendre, de savoir ce qu’elle conte et le sens prophétique de certains passages. Un exemple flagrant avec Jérémie, le chapitre XXXI : 31-34
« Voici venir des jours oracle de EL-SHADDAÏ où je conclurai avec la maison d'Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle.
Non pas comme l'alliance que j'ai conclue avec leurs pères, le jour où je les pris par la main pour les faire sortir du pays d'Egypte mon alliance qu'eux-mêmes ont rompue bien que je fusse leur Maître, oracle d’EL-SHADDAÏ !
Mais
voici l'alliance que je conclurai avec la maison d'Israël après ces
jours-là, oracle d’EL-SHADDAÏ. Je mettrai ma Loi au fond de leur
être et je l'écrirai sur leur cœur. Alors je serai leur Dieu et
eux seront mon peuple.
Ils n'auront plus à instruire chacun son prochain, chacun son frère, en disant : « Ayez la connaissance d’EL-SHADDAÏ ! » Car tous me connaîtront, des plus petits jusqu'aux plus grands oracle d’EL-SHADDAÏ parce que je vais pardonner leur crime et ne plus me souvenir de leur péché. »
En
tout premier comme dans le chapitre précédent je vous ai écrit sur
l’Alliance du Sinaï, cette Alliance qui était déposée dans une
« Arche » qui
portera son Nom dans laquelle était déposée les « Tables
de pierre sur laquelle était écrit avec le doigt d’EL-SHADDAÏ
les Dix Paroles de la Loi » ainsi qu’une
mesure de manne et le bâton d’Aaron. Entre
l’an -640 - -587 av. l’EC ou J-C. Jérémie
prophétisât sur le Royaume de Juda et sur les hébreux en captivité
à Babylone et c’est sans doute vers -610 - -606 qu’il
conjecturât sur la « Nouvelle
Alliance » cette
« Alliance »
« d’Esprit et de Cœur »
dont les versets 31-34 sont le sommet spirituel du Livre de
Jérémie. Après l’échec de « l’Antique
Alliance », cette
alliance qui fut transgressée régulièrement, Ézéchiel XVI :
59-60, « Car
ainsi parle le Seigneur EL SHADDAÏ. J'agirai envers toi comme tu as
agi, toi qui as méprisé le serment jusqu'à
violer une alliance.
Mais moi, je me souviendrai de mon
alliance avec toi
au temps de ta jeunesse et j'établirai en ta faveur une
alliance éternelle. »,
mais qui sous
Moïse dans le Sinaï et avec Josué son successeur fut respecté,
après l’aventure du
« Veau
d’Or » trois
mois après être sorti du Pays d’Égypte, qui déclencha les
paroles terribles d’EL
SHADDAÏ
écrites dans l’Exode
XXXIII versets
3 et 5, posés ci-dessus
et la tentative avortée du Roi Josias pour restaurer « l’Alliance »,
le dessein d’EL SHADDAÏ apparaissant sous un jour nouveau. Après
une catastrophe qui ne laissera subsister qu’un « Reste »,
Isaïe IV : 2-3,
« Ce
jour-là, le germe d’EL-SHADDAÏ deviendra parure et gloire, le
fruit de la terre deviendra fierté et ornement pour les survivants
d'Israël. Le reste laissé à Sion, ce qui survit à Jérusalem,
sera appelé saint, tout ce qui est inscrit pour la vie à
Jérusalem. »,
une Alliance
éternelle indestructible sera à nouveau conclue comme cela eut lieu
aux jours de Noah. A l’ère de Noé il existait sur la Terre qu’un
seul langage, qu’une seule couleur de peau, et qu’un seul et
unique Dieu. Tant que Noé resta vivant, les humains restèrent
fidèles à EL-SHADDAÏ.
Isaïe LIV : 9-10,
« Ce
sera pour moi comme au temps de Noé, quand j'ai juré que les eaux
de Noé ne se répandraient plus sur la terre. Je jure de même de ne
plus m'irriter contre toi, de ne plus te menacer. Car les montagnes
peuvent s'écarter et les collines chanceler, mon amour ne s'écartera
pas de toi, mon alliance de paix ne chancellera pas, dit EL-SHADDAÏ
qui te console. »
Quelques petites
décennies après le décès de Noah, les humains commencèrent à se
chercher de nouveaux « Dieux » ce qui déplut à cet Être
Suprême. Les anciennes prophéties demeurent, fidélité des hommes
à la Loi, présence divine qui assure aux hommes la paix et la
prospérité matérielle, et cet idéal s’exprimant par la
formule : « Je
serai votre Dieu, et vous serez mon peuple »
Zacharie
VIII : 8, « Je
les ramènerai pour qu'ils habitent au milieu de Jérusalem. Ils
seront mon peuple et moi je serai leur Dieu, dans la fidélité et la
justice. »
Cette suite de la Pâque que je vous avais promis n’est pas sur la Pâque, mais pour le moment beaucoup plus sur les « Alliances » qui ont eu lieu entre un Dieu substance, créé de par lui-même, mais pour cela il fallait être matière pour avoir un esprit, cette matière grise siège de cet Esprit avec le Cœur, donc il est matière, nous, créé par Lui à son image, son reflet, et c’est avec Lui qu’il y a « Alliance » entre sa « Création » et son « Dieu »
Portez-vous bien !
Je continue la suite de ces écritures, prenez-soin de-vous de votre maisonnée !
Espérant et souhaitant que vous ayez accompli cette Pâque,
Salutations Cordiales à Tous !
Sig : J-P.G. dit « GRANDELOUPO »
Les Alliances entre un Dieu et les humains
Chapitre N° 1
Les dérives de la Pâques Chrétienne
Abraham dix-neuf, dix-huit siècles avant Jésus le Nazôréen, les humains, toutes corporations confondues fêtaient après la période sombre du Solstice d’hiver où la nuit était le double du jour, le renouveau de la Lumière et du soleil à l’Équinoxe du printemps à la première pleine lune les agriculteurs avec le reste des céréales faisaient un pain qui ne fermentait pas, un « Pain sans Levain » qui sera appelé le « Pain Azyme » par les hébreux, et les éleveurs sacrifiaient un animal du cheptel en général un jeune mâle âgé d’un an, un premier-né aux « Dieux » et avec le sang ils badigeonnaient les montants de la porte d’entrer des tentes et des maisons pour les sédentaires afin de chasser les mauvais esprits et avoir une bonne année de production. A cette époque l’argent ne circulait pas beaucoup, les humains vivant de troc et d’entraide.
Il
ne faut pas oublier qu’à la sortie de l’Arche EL-SHADDAÏ
institua des lois avec Noah pour éviter l’anarchie. C’est au
moment où ce Dieu seul et unique passa une Alliance avec la race
humaine en effet par l’Arc-en-Ciel posé dans le nuée l’Être
Suprême passait une « Alliance
Éternelle »
entre
l’humain et Lui comme quoi jamais plus il détruirait toute vie sur
la Terre à cause de l’Homme, Genèse
VIII : 21-22,
« EL-SHADDAÏ
respira l'agréable odeur et il se dit en lui-même : Je ne maudirai
plus jamais la terre à cause de l'homme, parce que les desseins du
cœur de l'homme sont mauvais dès son enfance; plus jamais je ne
frapperai tous les vivants comme j'ai fait. Tant que durera la terre,
semailles et moisson, froidure et chaleur, été et hiver, jour et
nuit ne cesseront plus. »
« L’odeur
apaisante », cet anthropomorphisme passera dans le langage
technique du rituel religieux. Le cœur est l’intérieur de l’homme
distingue de ce qui se voit et surtout de la « chair ».
Il est le siège des facultés et de la personnalité d’où
naissent pensées et sentiments, paroles, décisions, action.
EL-SHADDAÏ le connaît
à fond quelles que soient les apparences. Le cœur est le centre de
la conscience religieuse et de la vie morale, Ézéchiel
XXXVI : 26,
« Et
je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit
nouveau, j'ôterai de votre chair le cœur de pierre et je vous
donnerai un cœur de chair. »,
c’est
dans son cœur que l’homme cherche EL-SHADDAÏ, Psaume
CXIX : 10,
« De
tout mon cœur c'est toi que je cherche, ne m'écarte pas de tes
commandements. »,
qu’il l’écoute, Deutéronome
XXX : 14,
« Car
la parole est tout près de toi, elle est dans ta bouche et dans ton
cœur pour que tu la mettes en pratique. »,
qu’il le sert, qu’il le loue, qui l’aime, Deutéronome
VI : 5,
« Tu
aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et
de tout ton pouvoir. »
Le cœur simple, droit, pur, est celui qui ne divisent aucune réserve
ou arrière-pensée, aucun faux-semblant à l’égard d’EL-SHADDAÏ
ou des hommes. Je viens d’écrire sur le cœur, mais ce passage
décrit aussi un tournant décisif dans la conduite d’EL SHADDAÏ
envers l’humain ; cet Être Suprême qui avait maudit la Terre
à cause de la désobéissance de l’homme et de la femme, s’engage
maintenant à ne plus détruire la terre de la Terre par un
« Déluge ».
Et si le péché de l’homme était la raison du châtiment
exemplaire, maintenant cela explique pourquoi EL-SHADDAÏ s’investit
à ne plus jamais maudire la terre, et il y a une transition pour que
la malédiction du sol se change en bénédiction pour Abraham et, en
lui, pour sa descendance et pour tous les clans de la Terre. Les Lois
du monde sont rétablies pour toujours, car EL-SHADDAÏ sait que le
cœur de l’homme reste mauvais, mais il a respecté le « Défit »
consentit dans les Cieux avec Sammaël sa création, mais l’homme
reste sa plus belle création et comme aux origines ce dernier reste
maître sur tout ce qui vit sur la Terre, mais ce n'est plus un règne
pacifique et docile les animaux lutteront contre l’homme, et les
hommes contre les hommes, la paix paradisiaque ne refleurira qu’après
le « Jour
de Colère d’EL-SHADDAÏ »
à l’ère des dernières
générations,
au « Dernier
Temps. »,
Isaïe
XI : 5-8,
« La justice sera la ceinture de ses reins, et la fidélité la
ceinture de ses hanches. Le loup habitera avec l'agneau, la panthère
se couchera avec le chevreau. Le veau, le lionceau et la bête grasse
iront ensemble, conduits par un petit garçon. La vache et l'ourse
paîtront, ensemble se coucheront leurs petits. Le lion comme le bœuf
mangera de la paille. Le nourrisson jouera sur le repaire de l'aspic,
sur le trou de la vipère le jeune enfant mettra la main. »
La Pâque est aussi une histoire d’Alliance, mais les origines de la Pâque(s) d’aujourd’hui, d’où remonte t’elle exactement alors j’ai cherché un peu et en lisant ci-dessous vous serez comme moi étonné avec un tas de questions qui viennent à l’esprit. L’esprit de raisonnement, de réflexion, d’intelligence, car l’esprit est invisible, intouchable, impalpable, vous le reconnaissez par la parole de votre vis -à-vis, votre semblable, ou par ce qu’il écrit sur une feuille de papier, tout cela afin de vous faire comprendre que « l’esprit Saint » n’est pas un « Esprit SAIN » obligatoirement et que l’esprit ne peut être matériel.
Ci-dessous des textes du livre de Alexander Histops, « Les Deux Babylone »
La fête dont nous parle l'histoire de l'Église sous le nom d'Easter (Pâques) aux IIIème et IVème siècles, était une fête toute différente de celle qu'on observe aujourd'hui dans l'Église Romaine, et à cette époque, elle n'était connue par aucun nom se rapprochant d'Easter. (Le mot Easter est particulier aux Iles Britanniques.) On l'appelait Pascha, ou Pâques, et bien qu'elle ne fût pas une institution apostolique (Socrate de Constantinople, (380-450), historien ecclésiastique de l'antiquité, après un long récit des diverses manières dont Pâques était observée de son temps, au Ve siècle se résume ainsi : Nous en avons déjà assez écrit, nous semble-t-il, pour prouver que la fête de Pâques commença partout à être célébrée bien plus par habitude que par suite d'un commandement de Christ ou des apôtres (Hist. ecclés., liv. V, ch. 22). Chacun sait que le nom de Easter, (Pâques), employé dans la traduction de Actes XII : 4, ne se rapporte à aucune fête chrétienne, mais à la « pâque » juive. C'est un des passages de la version anglaise où les traducteurs montrent une tendance injustifiable), elle était observée de fort bonne heure par bien des chrétiens déclarés en souvenir de la mort et de la résurrection du Christ. Cette fête s'accordait à l'origine avec l'époque de la Pâque juive où le Christ fut sacrifié ; vers la fin du IIe siècle, du temps de Tertullien, on croyait que c'était le 23 mars. (Gieseler, vol. I, p. 55.)
. Le mot grec qui a été traduit par « Pâque(s) » est « pascha » qui provient du mot hébreu pessa’h. Il n’existe aucun mot grec pour le mot « Pâque » et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâque — jamais Pâques ! C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec.
Cette
fête n'était nullement une fête idolâtre, et n'était précédée
d'aucun carême.
« Il faut savoir, dit le moine Johannes Cassianus de Marseille, écrivant au Vème siècle et comparant l'Église primitive avec celle de son époque, que l'observation des 40 jours n'existait pas, aussi longtemps que la pureté de cette église demeura intacte. » (Première Conférence de l’Abbé Théonas, chap. 30. )
« D'où venait donc cette observation ? »
Les 40 jours de jeûne du carême étaient directement empruntés aux adorateurs de la déesse Babylonienne.
Les païens du Mexique célébraient la même coutume. Humboldt, en effet, (Humboldt, Recherches Mexicaines, vol. I, p. 404.), nous donne les détails suivants sur les usages des Mexicains : « Trois jours après l'équinoxe du printemps commençait un jeûne solennel de 40 jours en l'honneur du soleil. » — II en était de même en Égypte comme on peut le voir en consultant Wilkinson. (Wilkinson, Antiquités Égyptiennes, vol. I, p. 278.). -Ce jeûne égyptien de 40 jours, nous dit Landseer dans ses recherches Sabéennes, était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis ou Osiris, le grand dieu médiateur, (Landseer, Recherches Sabéennes, vol. I, p. 112.). Le rapt de Proserpine paraît avoir été célébré de la même manière, car Julius Firmicus nous apprend que pendant 40 jours on se lamentait sur Proserpine, (De Errore, p. 70.), et Arnobe nous dit que le jeûne observé par les païens, et appelé Castus, ou la fête sacrée, passait chez les chrétiens de son temps, pour avoir été à l'origine une imitation du long jeûne de Gérés, alors que pendant bien des jours elle refusa toute nourriture, à cause de sa profonde douleur c'est-à-dire à cause de la perte de sa fille Proserpine,( ARNOBIUS, Adversus Gentes, liv. V, p. 403. Voyez aussi ce qui précède dans le même livre à propos de Proserpine.) qui lui fut enlevée par Pluton, dieu de l'enfer.
Je cite toujours des extraits des Deux Babylone en ajoutant des références de confirmation.
« Chez
les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire
indispensable de la grande fête annuelle célébrée en
souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz,
par des larmes, puis par des réjouissances. Dans bien des pays cette
mort était célébrée beaucoup plus tard que la fête chrétienne.
En Palestine et en Assyrie, c'était au mois de juin, aussi disait-on de ce mois:
« C'est le mois de Tammuz. »
En Égypte, vers le milieu de mai.
Afin de gagner les païens à un christianisme nominal, Rome poursuivant sa tactique habituelle, s'arrangea pour fondre ensemble les fêtes païennes et les fêtes chrétiennes, et par un ajustement compliqué mais habile de son calendrier, elle n'eut pas de peine en général à faire que le christianisme et le paganisme ne se donnassent la main sur cette question comme sur beaucoup d'autres.
Celui qui servit à faire cet amalgame fut Denys-le-Petit vers l’an 525, ap. J-C, auquel nous devons aussi, comme l'ont démontré des chronologistes modernes, d'avoir reculé de sept années au-delà de sa véritable date, la date de l'ère chrétienne, ou de la naissance du Christ lui-même.
Le fit-il par ignorance ou volontairement ? On peut le discuter, mais il est hors de doute que la naissance du Seigneur Jésus fut placée quelques années plus tard qu'elle n'a eu réellement lieu. ( Gieseler, vol. I, p. 51. Gieseler cite comme autorité, à propos de ses déclarations, Humberger, De epochœ Christianœ ortu et auctore (in Martini, Thesaur. Dissertat; Jani, Historia Aerœ Dionysianœ, Viteb. 1715 et Ideler, Chronologie). C'est aussi la déclaration faite dans presque toutes les chronologies anglaises. Ce changement dans le calendrier à propos de Pâques eut les plus désastreuses conséquences.
II fit entrer dans l'Église la plus grossière corruption et la superstition la plus vile au sujet de l'abstinence du carême. Lisez seulement les atrocités commémorées pendant le jeûne sacré, ou le carême païen tel qu'il est décrit par Arnobe ou Clément d'Alexandrie, (Clément d'Alexandrie, Protrepticos, p. 13.), et certainement vous rougirez pour le christianisme de ceux qui dans la pleine connaissance de ces abominations, « sont allés demander du secours à l'Égypte » pour secouer la dévotion languissante de l'Église dégénérée, et n'ont pas trouvé de meilleur moyen pour la réveiller, que d'emprunter à une source si dépravée les absurdités et les abominations que les premiers écrivains chrétiens avaient livrées au mépris. C'était un mauvais signe que des chrétiens pussent songer à introduire l'abstinence païenne du carême, cela prouvait la profondeur de leur dégradation, et c'était aussi la cause d'un grand mal ; cela menait inévitablement à une dégradation encore plus profonde. À l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carême avec les orgies du carnaval qui le précédaient; et même lorsqu'on crut qu'il était nécessaire de jeûner avant la Pâque chrétienne, ce fut insensiblement qu'on se conforma au rite païen. On ne voit pas trop combien de temps durait le jeûne dans l'Église Romaine avant le concile de Nicée en 325 sous Constantin le Grand. Mais ce qu'on sait d'une manière certaine, c'est que bien longtemps après ce Concile, il ne durait pas plus de trois semaines
Gieseler,
parlant de l'Église d'Orient au premier siècle, à propos des
coutumes pascales, dit:
« Dans
cette fête (Pâques,
en souvenir de la mort de Christ),
les chrétiens d'Orient mangent du pain sans levain,
probablement comme les Juifs, pendant huit jours. Il n'y a point
de trace d'une fête annuelle en souvenir d'une résurrection,
célébrée tous les dimanches (Église
catholique, sect. 53, p. 178, note 35).
Quant à l'Église d'occident à une période plus rapprochée
(époque de Constantin) on se livrait pendant 15 jours à des
exercices religieux sur la fête de Pâques, bien que la période du
jeûne ne soit pas bien indiquée » (Origines
Ecclés.
vol. IX, p. 94): Les
solennités de Pâques ont lieu les semaines avant et après le
dimanche de Pâques : la semaine de la Passion et celle de la
Résurrection. Les anciens parlent de Pâques, de la Passion et de la
Résurrection comme d'une solennité de 15 jours. La loi de l'empire
ordonnait 15 jours de fête, et les commandait à toute l'Église.
Scaliger cite une loi de Constantin ordonnant deux semaines de fête
pour Pâques, et la suspension de toutes les affaires légales
(Bingham,
IX, p. 95).
Voici ce que dit Socrate écrivant sur ce sujet, vers 450 après J.-C. : « Ceux qui habitent la grande cité de Rome jeûnent avant Pâques pendant trois semaines excepté le samedi et le jour du Seigneur » (Socrate, Hist. ecclés, liv. V, ch. 22, p. 234.) Mais à la fin lorsque le culte d'Astarté gagna la prépondérance, on prit des mesures pour faire observer le jeûne Chaldéen de six semaines ou 40 jours dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par un concile tenu à Aurélia à l'époque de Hormisdas évêque de Rome, vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennellement observé avant Pâques. (Dr. Meredith Hanmers, Chronographie, jointe à sa traduction d'Eusèbe, p. 592. Londres, 1636.) Ce fut certainement avec l'intention de faire exécuter ce décret que le calendrier fut peu d'années après modifié par Denys. Mais il ne pouvait pas être observé d'un seul coup. Vers la fin du VIe siècle, la première tentative décisive fut faite pour faire respecter le nouveau calendrier.
(Cumnianus,
cité par l'archevêque Ussher, Sylloge, p. 34.)
Ceux
qui observent Noël et Pâques mais abhorrent l'idolâtrie païenne
et papale, peuvent voir la malice de ces explications. Un moment
de réflexion suffira pour bannir ce sentiment. Certains faits,
utilisés par des écrivains infidèles et sociniens célèbres
en Angleterre et sur le continent, détruisent les principes de la
foi chez les jeunes et les ignorants. Il faut exposer la vérité
dans sa pureté primitive pour qu'elle les fortifie puissamment
contre les séductions de la papauté. Si un païen a pu dire:
« j'aime Platon, j'aime Socrate, mais j'aime encore mieux la
vérité », un chrétien ne montrera pas moins de grandeur
d'âme. Ne faut-il pas rechercher toute occasion de purger
l'établissement national dans les Indes de ces coutumes répandues
hors de la coupe d'or de Babylone !
La différence, quant à l'époque, de la Pâque chrétienne telle qu'elle était observée en Bretagne par les chrétiens indigènes, et de la Pâque païenne imposée à Rome lorsqu'on l'établit, était d'un mois entier ; et ce ne fut que par violence et effusion de sang qu'on put à la fin remplacer par la fête de la déesse anglo-saxonne ou chaldéenne celle qu'on observait en l'honneur de Christ.
Voilà l'histoire des Pâques.
Les
galettes chaudes marquées d'une croix le Vendredi Saint, et les œufs
coloriés de Pâques, figuraient dans les rites chaldéens,
exactement comme aujourd'hui. Les galettes connues aussi par leur
même nom de buns étaient en usage dans le culte de la reine des
cieux, la déesse Easter, aux jours même de Cécrops, fondateur
d'Athènes, c'est-à-dire vers 1500 avant l'ère chrétienne. « Une
espèce de pain sacré, dit Bryant, (Mythologie,
vol. I, p. 373.), qu'on
avait l'habitude d'offrir aux dieux, était d'une haute antiquité et
s'appelait boun. » Diogène
Laerce, parlant de cette offrande faite par Empédocle, décrit les
différents éléments dont elle était composée, et ajoute: II
offrit un des gâteaux sacrés appelés boun, qui étaient faits de
fleur de farine et de miel (Laertius,
p. 227. B.) Le
prophète Jérémie fait remarquer ce genre d'offrandes quand il
dit : « Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient
le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux
à la reine des cieux »
(Jérémie VII, 18. De ce même mot dont se sert le prophète, semble venir le mot « bun ». Le mot hébreu, avec les points voyelles, se prononçait « Khavan » d'où, en grec, parfois Kapanos, (Photius, Lexicon Sylloge, P. I, p. 130), et d'autres fois, Khabôn (Néandre, dans Kitto, Encyclopédie Biblique, vol. I, p. 237). Le premier montre comment Khvan, prononcé en une syllabe, peut devenir en latin « panis » (pain) et le second, comment de la même manière Khvôn peut devenir Bon ou Bun. Il ne faut pas perdre de vue que le mot anglais ordinaire « Loaf » a suivi la même voie de transformation. En Anglo-Saxon, c'était « Hlaf ».)
Aujourd'hui à la fête d'Astarté, on n'offre pas des gâteaux chauds en forme de croix, on les mange, mais cela ne laisse aucun doute sur leur origine. L'origine des œufs de Pâques est tout à fait aussi claire. Les anciens Druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. (DAVIES, Les Druides, p. 208.)
On
peut distinctement suivre la trace de l'usage de ces œufs depuis
l'Égypte jusqu'aux bords de l'Euphrate Or, l'Église Romaine adopta
cet œuf mystique d'Astarté et le consacra comme un symbole de la
résurrection du Christ. Une formule de prière fut même désignée
pour être faite à ce sujet par le
pape Paul V,
(1550-1621
Pape de 1605 à sa mort en 1621) qui
faisait ainsi prier
à Pâques
ses superstitieux partisans
: « Bénis,
ô Dieu, nous t'en supplions, cette création qui est la tienne ces
œufs qui sont l'œuvre de tes mains afin qu'ils deviennent une
nourriture fortifiante pour tes serviteurs, qui les mangent en
souvenir de notre Seigneur Jésus-Christ »
(Le
Gardien écossais,
avril 1844.)
Que reste-t-il à dire après cette lecture, pas grand-chose sauf d’être fortifié dans la voie d’un seul et unique Dieu que je nomme EL-SHADDAÏ et à marquer au fer rouge dans son cœur ces paroles de Jésus le Nazôréen ressuscité, Jean XX : 17, « Jésus lui dit : « Ne me touche pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va trouver mes frères et dis-leur : je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »
Après une telle vérité où il n’y a plus rien à dire,
Portez-vous bien et prenez soin de vous !
Salutations cordiales à Tous
Sig : J-P.G. dit « GRANDELOUPO »
Fêtes Chrétiennes les Pâques
Fête d’EL SHADDAÏ la Pâque
Chapitre N°4
31 Mars entre les deux soirs
c’est la Pâque d’EL-SHADDAÏ
La fête de la Pâque est la plus importante pour EL-SHADDAÏ car, en dehors de la première alliance qu’il avait faite avec Abraham confirmé avec le fils de ce dernier du nom d’Isaac, elle est perpétuelle.
A cette première alliance il y avait le choix de son Peuple avec une manière certaine de le reconnaître, mais il n’y avait pas de Pâque.
Avec
Moïse la Pâque et l’Alliance deviennent beaucoup plus importante.
En effet puisque c’est le Dieu unique, EL-SHADDAÏ qui délivre
« Son Peuple » de l’esclavage Égyptien. Il ne faut pas
oublier que ce « Peuple » est devenu un peuple au pays
d’Égypte après, quatre cents ans avant, une grande disette en
Palestine à l’époque de Joseph et de son père Jacob. C’est la
descendance de Jacob, soixante-dix humains, qui fit ce « Peuple »
en Égypte.
C’est dans ce pays d’Égypte que la Pâque fut instituée par EL-SHADDAÏ le quatorzième jour du premier mois de l’année, le mois de Nissan, nom babylonien ou Abib nom hébreu, le soir, il fallait manger la viande rôtie d’un petit bétail dont on n’aura pas brisé les os, que l’on aura saigné, et avec le sang on aura badigeonné les linteaux de la porte pour la reconnaissance et la protection, accompagné d’un pain sans levain.
Puis dans le Sinaï il y eu cette continuité de « l’Alliance » avec le « Peuple et EL-SHADDAÏ » où Moïse aspergea le peuple avec le sang d’un jeune taureau sans tache.
Par la suite, à la Pâque les prêtres badigeonnaient les montants de la porte du Temple pour la rémission du péché.
La première Pâque eu lieu en Égypte, un soir après le coucher du soleil où les Israélites avait, avant ce coucher de soleil saigné un caprin, ovin, pour les plus nombreux bovin d’un an, sans tare, ni tache, et avec le sang badigeonner les montants et les linteaux des portes de la maison où l’on officiait cette Pâque, ainsi que les portes des étables, écuries et poulaillers des animaux car cette nuit l’Ange Exterminateur d’EL SHADDAÏ allait passer au-dessus des maisons trucidant tous les premiers-nés sans aucune exception humains et animaux « passant outre » les maisons marquées par le sang. Ce fut une Pâque de cris, de douleurs et de pleurs pour les égyptiens, mais d’angoisse et de peur pour les Israélites. EL SHADDAÏ n’a pas choisi au hasard cette date pour libérer son « Peuple », c’est aussi la date du renouveau de la nature, la période sombre du solstice d’hiver est finie, par l’équinoxe du Printemps les jours s’allongent, la nature, une nouvelle se réveille, et savez vous que pendant toute sa vie de quatre-vingt ans à cent-cinquante ans et plus selon l’espèce, un arbre ne fera aucune feuille jumelle, identique ?
La
seconde année la Pâque se fit dans le calme du renouveau de la
nature, sur les contreforts des montagnes et vallées volcaniques du
Sinaï, et ce fut à ce moment, sauf erreur de ma part, qu’EL
SHADDAÏ par l’intermédiaire de Moïse conclut une alliance avec
son Peuple par aspersion du sang qui représente la vie. Et après
Moïse monta vers EL SHADDAÏ et resta quarante jours et quarante
nuit avec ce Dieu seul et unique au sommet de la montagne où il
reçut les Tables de pierre avec les « Dix
Paroles » que Moïse
recopia sur des rouleaux de parchemin comme cela se faisait à
l’époque, mais Moïse ne reçut pas que cela pendant quarante
jours et quarante nuits sans boire, sans manger, ce qui est
impossible pour un être humain alors comme Hénoch il a dû recevoir
la même nourriture ainsi que le passé et l’avenir de l’humain
d’Adam et Ève jusqu’au jour de la
colère d’EL SHADDAÏ, du
dernier ressuscité, et de la dernière mise à l’épreuve de
l’humain jusqu’au jour où ce dernier vivra éternellement sur
une terre paradisiaque avec Jésus le Nazôréen comme Roi de la
Terre et leur unique Dieu son Père EL
SHADDAÏ
Exode XXIV : 3, 6-8, « Moïse vint rapporter au peuple toutes les paroles d’EL SHADDAÏ et toutes les lois, et tout le peuple répondit d'une seule voix ; ils dirent :
« Toutes les paroles qu’EL SHADDAÏ a prononcées, nous les mettrons en pratique. » »
« Moïse prit la moitié du sang et la mit dans des bassins, et l'autre moitié du sang, il la répandit sur l'autel. Il prit le livre de l'Alliance et il en fit la lecture au peuple qui déclara :
« Tout ce qu’EL SHADDAÏ a dit, nous le ferons et nous y obéirons. »
Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit :
« Ceci est le sang de l'Alliance qu’EL SHADDAÏ a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. » »
J’ai mis en gras ce que le peuple volontairement a promis, pas de torture, pas de menace, le peuple a décidé et promis. Voilà trois mois que le « Peuple » hébreu est sortie de l’assujettissement égyptien, et il vient d’arrêter sa marche le long des contreforts des montagnes volcaniques du Sinaï qui sont fertiles. Je ne suis pas un homme à lire la Bible et à vous réciter les versets. Je lis ce Livre et j’essaye de comprendre l’histoire des humains qui ont vécu à cette époque. Donc les hébreux se sont arrêtés au pied de la montagne du Sinaï qui est une terre volcanique donc très fertile avec de l’herbe grasse et en abondance comme les forêts et la steppe. C’est dans cette région que le Dieu des hébreux, qu’ils nomment « YAHVÉ » et moi par égalité avec le christianisme je le nomme « EL SHADDAÏ » ce nom vulgaire de « DIEU » me révoltant, mais au moins ces hébreux donnent un nom à leur « Dieu », ordonnera à Moïse de construire une « Arche d’Alliance » avec une tente spécifique qui protégera l’Arche des intempéries quand toute la colonne d’humains stoppera au lieu où EL SHADDAÏ l’aura décidé, avant la construction de l’Arche d’Alliance, Exode XIII : 21, « EL-SHADDAÏ marchait avec eux, le jour dans une colonne de nuée pour leur indiquer la route, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu'ils puissent marcher de jour et de nuit. », et après la construction de cette Arche d’Alliance et de sa tente, Exode XL : 36-38, « A toutes leurs étapes, lorsque la nuée s'élevait au-dessus de la Demeure, les Israélites se mettaient en marche. Si la nuée ne s'élevait pas, ils ne se mettaient pas en marche jusqu'au jour où elle s'élevait. Car, le jour, la nuée d’EL-SHADDAÏ était sur la Demeure et, la nuit, il y avait dedans un feu, aux yeux de toute la maison d'Israël, à toutes leurs étapes. » Les hébreux bivouaquaient sur les flancs de la montagne volcanique du Sinaï. Là, Moïse montât vers le sommet de ce volcan à la rencontre de l’Être Suprême et il y restât quarante jours et quarante nuits sans boire ni manger où il reçut les « Tables de Pierre » avec les « Dix Paroles » écrites du doigt d’EL-SHADDAÏ, mais aussi où Moïse écrivit tout ce que ce Dieu seul et unique lui dictait et Moïse apprit tout ce qu’Hénoch avait écrit sur le passé de l’humain et sur son avenir jusqu’au dernier jour de cette humanité, le jour de la colère d’EL-SHADDAÏ, le jour du dernier ressuscité, puis le peu de temps de la mise à l’épreuve de l’humain, la mort définitive sans résurrection, puis les jours éternelle de l’humain sur une Terre paradisiaque.
Là,
pour moi se pose un dilemme. En effet suite à la lecture approfondie
de la Bible je me suis aperçut que certains écrits de prophètes
qui écrivaient et prophétisaient sur leur époque en réalité
rédigeaient sur l’époque de Jésus le Nazôréen, et sur la notre
nous qui approchons « de la Fin des
Temps », des
« Dernières Générations ».
Je reconnais en plus que je ne suis pas un grand fervent des textes
bibliques appris par cœur comme un « Témoins
de Jéhovah », ou
un « Évangéliste »,
je lis les textes bibliques en me reportant à « l’histoire
du Peuple Hébreu » et à l’enseignement qui reste, car à la
fin de chaque Livre arrêtez-vous de lire et réfléchissez à ce que
vous venez de lire, vous serez étonné du résultat. Pensez que des
prophètes comme Jérémie, Baruch, ont vécu à la même époque et
ont travaillé ensemble puisqu’il est prouvé que Baruch aurait
écrit pour Jérémie, mais il n’y a pas que ceux-là, puisque
Sophonie prophétisait déjà quand Jérémie a commencé à prédire
l’avenir du peuple Hébreux et de sa ville sainte Jérusalem.
Isaïe, Osée, Michée, Amos, prophétisèrent sur les dix
« Tribus du Nord »
que l’on nommait « Israël »
et la capitale était Samarie. Je
viens de vous citer quatre prophètes qui augurent chacun d’une
façon : exemple EL-SHADDAÏ par l’intermédiaire d’Osée
considère les dix Tribus d’Israël comme une épouse infidèle,
avec tous les compliments d’une épouse adultérine.
Et
là encore les écritures parlent d’un « Nouveau
Peuple » qui se
rapporte à l’après « Israël »,
(quand je parle d’Israël je parle du « Royaume des dix
Tribus » avec leur capital Samarie) donc je dois avant
chercher afin de connaître l’histoire de ce « Peuple »
qui se forma en Terre étrangère, l’Égypte, et qui fut libérer
de l’esclavage par un Dieu seul et unique, qui choisit ce « Peuple
Hébreu » parmi toutes les Nations de la Terre.
La libération de ce peuple choisit fut marqué dans une soirée d’angoisse et de peur pour certain, puis aux cours de la nuit c’est transformé en horreur, cris, pleurs, lamentations pour d’autres, ce fut la première « Pâque », le soir, la veille du départ. Au matin de cette Pâque au lever du jour six-cent mille homme de pied se mettaient en marche avec tout ce que l’on pouvait spolier aux Égyptiens, mais aussi avec les troupeaux immenses de caprins, ovins, bovins, camélidés et équidés, volailles de toute sorte, les hébreux emportant ce qu’ils prenaient aux égyptiens comme victuailles, or, argent, et les égyptiens leur donnant tout ce qu’ils voulaient même ce qu’ils ne voulaient pas tellement ils étaient désireux de les voir loin, le plus rapidement possible.
La première Pâque un an après la sortie du pays d’Égypte fut une Pâque de commémoration où EL SHADDAÏ passa une « Alliance » avec son « Peuple » et quand nous lisons les Livres qui son en rapport avec la Pâque et « l’Alliance » de cette Pâque, nous constatons que, la Pâque est éternelle de génération en génération, mais cette « Alliance du Sinaï » ne l’est pas. Nous humains nous avons associé les deux, mais pour ce Dieu seul et unique se n’est pas le cas !
L’Alliance de l’Être Suprême est une tout autre alliance sur laquelle je vous écrirai après la Pâque car il faut des explications avec des preuves car nous faisons partie des générations traversants le désert, ou de celles qui se lèvent avec l’Étendard de ce Dieu unique.
EL SHADDAÏ nous demande qu’une seule et unique chose, respecter la fête de la Pâque qui est pour nous citoyens du XXIème siècle, une fête à accomplir.
Pour
se faire en premier nous allons faire un pain sans levain, sans
levure qui sera plus une galette qu’un pain
Pour deux personnes 200g de farine mélangée avec un peu d’eau et entre 50g et 100g de beurre très mou avec un peu de sel. Vous pouvez vous servir le votre appareil pour faire les pâtes vous ajouter un œuf entier ou deux vous mélanger le tout de manière à ce que la pâte ne colle pas alors pour cela soit un ajout d’un peu de farine, soit de l’eau. Une fois que votre pâte est homogène vous l’étalez sur la table au moyen d’un rouleau à pâtisserie, si non une bouteille fait l’affaire. Préchauffer le four au maximum de sa température, thermostat 8 ou 10, à 240°- 260°C. A j’ai oublié avec une fourchette vous pouvez faire des petits dessins et vous badigeonnez le dessus de la galette avec un jaune d’œuf. A veillez entre 10 et 15 minute il faut que la pâte soit légèrement dorée car si cela est trop cuit la galette est dure.
Pour le pain bonne Pâque !
Pour la première bouchée le chef de famille rompt la galette en en offrant un morceau à chacun des convives en contant ce qu’a fait Jésus le Nazôréen pour nous.
Jésus le Nazôréen est pour nous en ce XXIème siècle « le second Moïse, » car c’est lui qui nous délivre de la servitude religieuse et cela fut annoncé par les prophètes Isaïe, surtout Jérémie et Ézéchiel, de cela je vous promets que je vous l’écrirai après la Fête de la Pâque, avec les textes bibliques, pour l’heure, comme Moïse, Jésus le Nazôréen nous a délivré de la prison religieuse dans laquelle nous étions enfermée, car les deux premiers siècles du christianisme voire le troisième siècle, furent comme l’époque de Josué qui vécut cent-dix ans, la génération suivante connu les exploits d’EL-SHADDAÏ puis une dernière et l’on arriva à une génération qui ne connu pas les exploits de ce Dieu et les hébreux commencèrent à prier « les Baals et les Astartés » Juges II : 12-14, et pendant des siècles, les hébreux priaient leur Dieu « Yahvé », celui-ci avait compassion pour eux et « Il » les délivrait de leur ennemis et leur donnait « un guide » ; quand ce dernier décédait les hébreux recommençaient à adorer les « Baals et les Astartés » alors EL-SHADDAÏ les laissait entre les mains de leur ennemi jusqu’à leur remord puis « Il » leur donnait un nouveau guide et tant que ce guide était vivant les hébreux restaient fidèles à leur Dieu « Yahvé », et quand il expirait ……. , ils récidivaient !
Oui,
en une seule fois Jésus le Nazôréen
est devenu « le Grand
Prêtre » qui le
jour de « l’Expiation »
était obligé d’offrir un sacrifice d’un bouc ou d’un jeune
taureau pour son (ses) péché à lui afin qu’il soit « SAIN »,
propre, sans tache comme l’animal qu’il immolait pour son péché,
et non « saint »
qui signifie adorer, vénérer, glorifier, puis une autre offrande
pour le peuple, mais ce jour de « l’Epiation » fut par
les grands prêtres reporté à la journée de Pâque où le Grand
Prêtre faisait « Expiation »
des péchés du peuple ce jour-là. Jésus
le Nazôréen était à
la fois l’agneau qu’on immolait et le Grand
Prêtre qui officiait donc par son sang qu’il perdit tout
le long du cortège de la prison à l’intérieur de Jérusalem
jusqu’au Golgotha où il fut crucifié représentait le sang que le
« grand prêtre »
avec son doigt aspergeait sept fois devant le rideau du « Saint
des Saints » pièce
où à l’époque était déposé l’Arche d’Alliance pièce dans
laquelle EL-SHADDAÏ et Moïse se parlaient comme deux humains face à
face Deutéronome XXXIV : 10-12, Nombre XII : 8,
Exode XXXIII : 11, « EL-SHADDAÏ
parlait à Moïse face à face, comme un homme parle à son ami, puis
il rentrait au camp, mais son serviteur Josué, fils de Nûn, un
jeune homme, ne quittait pas l'intérieur de la Tente. »,
et l’amitié qu’avait EL-SHADDAÏ pour Moïse était
grande
Quand Jésus le Nazôréen dit en prenant le verre de vin Matthieu XXVI : 27, « Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : « Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, de nouveau, dans le Royaume de mon Père. » » il parle là du sang de l’agneau ou du jeune taureau que Moïse prenait dans le bassin et en aspergeait le peuple, Exode XXIV : 6-8, « Moïse prit la moitié du sang et la mit dans des bassins, et l'autre moitié du sang, il la répandit sur l'autel. Il prit le livre de l'Alliance et il en fit la lecture au peuple qui déclara : « Tout ce qu’EL-SHADDAÏ a dit, nous le ferons et nous y obéirons. » Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit : « Ceci est le sang de l'Alliance qu’EL-SHADDAÏ a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. »
L’aspersion du sang sur le peuple était pour la rémission du péché, et la coupe de vin que boit Jésus ayant rendu grâce est exactement pour la même cause, le vin remplaçant le sang
Alors maintenant il faut que je fasse cours car Pâque pour nous Enfants d’EL-SHADDAÏ est demain Samedi 31 Mars entre les deux soirs après le coucher du soleil qui pour nous Pays de France, Belgique, Pays Bas, Allemagne, Luxembourg, Suisse, Espagne, Portugal, Italie et Royaume-Unis, sera à 20heure jusqu’à la lune noire environ 23h30mn mais nous serons en « pleine lune ».
Donc
ce Samedi nous mangerons une viande rôtie non bouillie, où aucun os
n’aura été brisé. Notre repas sera comme à notre habitude pour
les légumes, fromages et desserts. Simplement que
le chef de famille rompe le pain
sans levain en se souvenant que ce pain représente
symboliquement l’agneau, le jeune bouc ou taureau sans tache, sans
tare, et Jésus le Nazôréen en sacrifice parfait car quand il fut
sacrifié sur le « T » romain, engin de torture
romaine c’est uniquement pour sauver la race humaine de la mort. Il
est décédé sûrement dans sa quarantième année, le nombre
« quarante » étant
hautement symbolique bibliquement, et il décéda en étant resté
parfait en corps et en esprit tout le long de sa vie terrestre, même
si nous avons très peu d’écrit sur sa vie avant son ministère.
Pour sauver la race humaine de la mort il fallait l’équivalence d’Adam et Ève c’est-à-dire une perfection contre une autre perfection, donc les deux premiers humains ont volontairement transgressé une seule interdiction d’EL-SHADDAÏ, il fallait un humain qui vive parfaitement le temps messianique nécessaire pour conjurer le « Défit » que « SAMMAËL » lança à EL-SHADDAÏ comme quoi pas un seul humain ne vivrai parfait sur la Terre et que tous lui serait fidèles, mais par Jésus le Nazôréen sont défit était perdu voilà pourquoi EL-SHADDAÏ dans les trois jours soit soixante-douze heures, pas une de plus, pas une de moins, il ressuscita son propre Fils engendré au Ciel, prouvant à « SAMMAËL » que c’est Lui qui est « DIEU » et personne d’autre, mais ce même jours à la même heure plus de cinq-cents âmes furent aussi ressuscitées.
Veuillez
me pardonner, mais lisant je ne pensais pas qu’il y avait tant à
écrire sur les prophéties de la Pâque et leurs significations, et
je m’aperçois de la petitesse que je suis, car en même tant que
je vous écris, j’ai mon esprit qui vole vers celui que je
considère comme le seul et l’unique Dieu, mais il y a son Fils
engendré dans les Cieux qui est sortit des entrailles de ce Dieu que
je nomme EL-SHADDAÏ, et la logique voudrai que comme il est sorti
des entrailles d’un « Dieu »,
ce doit être un « Dieu »
Mais EL SHADDAÏ
dit : Isaïe XLVIII :
11-13
« C'est à cause de moi, de moi seul, que je vais agir, comment mon nom serait-il profané ? Je ne donnerai pas ma gloire à un autre.
Écoute-moi, Jacob, Israël que j'ai appelé, c'est moi, moi qui suis le premier et c'est moi aussi le dernier.
Ma main a fondé la terre, ma droite a tendu les cieux, moi, je les appelle et tous ensemble ils se présentent. »
Ce texte prouve qu’il existe qu’un seul et unique Dieu, celui que je vénère, celui que nous glorifions, que nous adorons, c’est EL-SHADDAÏ l’unique le seul, et son Fils Jésus le Nazôréen qui a donné sa vie pour nous, pour nous permettre de ressusciter un jour, après le « Jour de la colère d’EL-SHADDAÏ » et nous vivrons pendant un certain temps sur une Terre paradisiaque, mais avant les mille ans, mais nous aurons toujours en mémoire cette époque touristique sur la Terre et, ce qui est tout-à-fait normal il nous mettra à l’épreuve un cour moment, mais là, il n’y aura pas de résurrection, se sera la mort définitive, mais nous aurons connu les deux vies et nous serons libres de notre choix.
Jésus le Nazaréen notre Roi sera avec nous assis à notre table demain soir, et avec nous il refera les mêmes gestes par notre intermédiaire et la petite prière avant de rompe le pain et de boire le vin sera celle du cœur du chef de maison pas de prière toute faite, non les paroles de cœur c’est celle-là qui sont de l’or.
Demain soir après 20 heure moi aussi j’aurai une pensé pour vous tous
Prenez soin de vous et portez-vous bien !
Salutations cordiales à Tous
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Ps : Ce soir Jésus le Nazôréen sera avec vous et moi j’aurai une pensé pour vous « Enfant » d’EL SHADDAÏ
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