Chapitre N° 10
Un homme du nom de Jésus de Nazareth naît en l’an 7 ou 5 av. notre ère sous Hérode le Grand. Son histoire laisse beaucoup de mystère, car lui-même n’a jamais rien écrit, si ce n’est le nom de son Père avec son doigt dans le sable et une courte phrase. Tout ce qui fut écrit sur lui, le fut une vingtaine d’année après sa mort par crucifixion.
Il fut alors nommé Jésus-Christ, christos signifiant « Messie » ou « Oint d’un Être Suprême », mais en réalité le mot « Christ » fut accolé à Jésus le Nazaréen par les Pères de l’Église naissante vers la moitié du II ième siècle ( 150-180 ) en déformant l’origine du mot grec, Christ, par la représentation de la croix ( crux ) en latin, croix donnant « Christ » soit, Jésus et Croix.
De sa naissance et de son enfance très peu d’écrits canoniques. De l’âge de douze ans à son ministère de prédication itinérante nous connaissons peu de chose, en dehors qu’il s’installât à Capharnaüm près du lac de Galilée, plus connu sous le nom de la ville de Tibériade construite sous Hérode Agrippa où il a exercé le métier de son père nourricier. Certains exégètes supposent, supputent, qu’il aurait peut-être fait partie de la secte des « Esséniens ».
Pendant ce ministère il fut un très grand guérisseur, pratiquant aussi l’exorcisme.
De tous ces miracles lesquelles sont véridiques ?
Une chose est certaine, il n’y a pas de fumée sans feu. Il s’entoure de soixante-douze Disciples dans lesquels il y a douze humains de tous bords, du pécheur, collecteur d’impôts, à l’historien écrivain, qui seront ses proches auxquels il donnera le nom d’ « Apôtre. »
Il suscite engouement et ferveur, s'attirant la méfiance des autorités politiques et religieuses, avant d'être arrêté, condamné et crucifié vers l'an 30 - 33 à Jérusalem pendant la fête juive de la Pâque, sous l'administration du gouverneur romain Ponce Pilate.
Jésus était nommé de son vivant le « Nazôréen » --- [ Mt 2 : 23, Lc 18 : 37, Ac : 2 : 22 etc … en tout sept fois dans le NT. Bible de Jérusalem ( BJ ) ] ---
BJ : Matthieu 2 : 22 - 23.
« Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il craignit de s'y rendre ; averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth ; pour que s'accomplît l'oracle des prophètes : Il sera appelé Nazôréen. »
Luc : 18 : 37
« On lui annonça que c'était Jésus le Nazôréen qui passait. »
L'évangile selon Jean rapporte que la croix de son exécution était surmontée d'un titulus portant l'inscription « Jésus le Nazôréen, Roi des Juifs »
De son vivant, Jésus interdit à ses disciples de dire à quiconque qu'il était le Messie. [ Luc 9 : 20-21 et Mt 16 : 16-17 (18 et 19 rajouts de copiste) 20 ]
BJ : Matthieu 16 : 17 - 17 et 20.
« Simon-Pierre répondit :
« Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »
En réponse, Jésus lui dit :
« Tu es heureux, Simon fils de Jonas, car cette révélation t'est venue, non de la chair et du sang, mais de mon Père qui est dans les cieux.
Alors il ordonna aux disciples de ne dire à personne qu'il était le [ Messie en latin Messias ] Christ. »
Le terme réel des premiers écrits bibliques du « christianisme naissant » étaient le sens « Messie » c’est-à-dire dans la langue de Jésus en araméen « meshi’ha », en hébreu « mashia’h », et en grec « christos ou christ », mais en latin le terme « Messias », latin pauvre, employé par les ecclésiastiques, signifiant Messie, fut remplacé dans la « Vulgate » par le terme grec « Christ » qui se rapprochait de « crux », « croix ».
Nous commençons à aborder la déformation des textes originels écrits, ainsi que les textes oraux.
La diffusion du message du christianisme fut orale dans un premier temps, comme le livre des Actes le rapporte, écrite par la suite.
Le Diatessaron, littéralement « à travers quatre », est l'harmonie des quatre Évangiles canoniques écrite, vraisemblablement en syriaque, par Tatien le Syrien [ né en 110 dont la mort nous ait inconnu mais Clément d’Alexandrie (150 - 220 ) en parle comme un de ses « Maîtres » ] dans la deuxième partie du II ième siècle de J-C.
Il est connu par l'ouvrage, Commentaire de l'Évangile concordant, dont existent un texte original partiel mais aussi des traductions complètes, arménienne, arabe, et néerlandaise.
En fait, « l'Église Primitive » n'existe pas historiquement. Il n'y a pas « d'Église » au sens contemporain du terme avant l'institutionnalisation à laquelle procède Constantin le Grand après sa victoire au Pont de Milvius en 312 ou il déclare le christianisme religion d’État.
Le christianisme est d'abord constitué de communautés locales considérées comme plus ou moins hérétiques par le judaïsme à partir de la phase de Yabneh ou Yavneh, ville d’Israël.
C’est de cette ville que part le judaïsme rabbinique.
Quand elles s'organisent, il n'y a pas « l'Église » mais l'assemblée locale autour de ses anciens presbyteroi et de son episcopos.
Les différents courants connus du judaïsme judéen du Ier siècle, Sadducéens, Esséniens, Pharisiens, ont soi disparu à la chute du Temple de Jérusalem, nommé le Second Temple, autour de l'an 70, soit fusionné petit à petit avec ceux de la Diaspora surtout babylonienne d'où venait Hillel le Babylonien, considéré comme un des plus grand Sage du Second Temple, ou égyptienne où avait vécu Philon d’Alexandrie, notamment à de l'école de Yabné vers l'an 90.
Les Pères apostoliques sont des hommes anonymes ou connus qui ont écrit après la période qui a suivi immédiatement celle des apôtres. Leurs écrits « constituent le troisième ensemble de textes fondateurs du christianisme après l'Ancien Testament et le Nouveau Testament ». Ils ont été reconnus comme orthodoxes par opposition aux textes apocryphes.
Les premiers Pères de l'Eglise - après les apôtres - sont dits « apostoliques » en raison de leur proximité avec la tradition apostolique qu'ils reçurent directement des apôtres et dont ils se réclamèrent. Disciples ou auteurs proches des apôtres, leurs œuvres s'étendent de 90 à 160 ap. J.-C. et constituent les tous premiers témoignages des communautés chrétiennes après les écrits néotestamentaires. ( du NT )
Ces écrits ont une place particulière dans la littérature chrétienne primitive des deux premiers siècles. Ils se distinguent des livres du Nouveau Testament par leur caractère non canonique, même s'ils étaient parfois considérés comme canoniques durant l'antiquité chrétienne. [ Antiquités Bibliques, Livres d’Énoch, Jubilés, etc …] Contrairement aux autres écrits non canoniques des deux premiers siècles, ils restent très proches des livres néotestamentaires dont ils partagent la théologie, la langue et les origines communautaires.
L'existence des apocryphes révèle que le Nouveau Testament, tel que nous le connaissons aujourd'hui, est le fruit d'un choix parmi une multiplicité de documents témoignant de la vie et de la prédication de Jésus, ainsi que de la vie de l'Église primitive.
Ce choix a été effectué dès le IVème siècle, au concile de Nicée, on appelle ce corpus « LE CANON DES ECRITURES », en fonction de ce qui a paru alors vraisemblable, en fonction de l'ancienneté de la tradition à laquelle ces textes étaient rattachés.
Le groupe des Douze Apôtres demeure après la Résurrection. Après la trahison et la mort de Judas, les Onze qui subsistent décident de tirer un disciple au sort, Matthias, pour « devenir avec nous témoin de la résurrection ». Ils sont, avec d'autres disciples, les bénéficiaires du don de l'Esprit à la Pentecôte. ( Actes des Apôtres 2 )
Le premier sens du mot apôtre, ou du moins celui qui est le plus anciennement attesté dans le Nouveau Testament, désigne le témoin de la Résurrection de Jésus.
Tous les textes ci-dessus expliquent la mouvance des « Nazôréens » jusqu’au Christianisme primitif, qui sans Constantin Ier le Grand, qui après sa victoire au Pont de Milvius sur Maxence, a déclaré le « Christianisme » religion de l’Empire, aurait été étouffé dans l’œuf.
Le premier « Canon Biblique » fut décrété par lui au Concile de Nicée en 325 de J-C. avec l’aide de son ami Eusèbe de Césarée.
A bientôt pour les prochains « Écrits » qui seront sur l’histoire de cette religion « Chrétienne » et de ses fidèles.
Portez-vous bien !
Salutations cordiales à Tous
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » dit « GRANDELOUPO »
La traduction est réalisée collectivement par sept groupes de douze traducteurs en soixante-douze jours, chiffre miraculeux puisqu’il correspond au nombre de traducteurs. Ils se retirèrent dans l’île de Pharos et là ils « prophétisèrent ». Ils traduisirent la Loi tous avec les mêmes mots et tournures, comme sous la dictée d’un souffleur invisible.
On en fait la lecture.
Les traducteurs et les délégués du « politeuma » déclarent :
« Il est bon que cette œuvre reste comme elle est, sans la moindre retouche. »
Admiration et exclamation générale.
Le roi se joint à la liesse.
La Loi « vient de Dieu [ EL-SHADDAÏ ] » déclare Démétrios. Ils sont, non pas des traducteurs, mais « des hiérophantes et des prophètes. » »Voilà comment est née la « Septante -- LXX »
Le Christianisme
Avant de continuer, je vais vous poser quelques faits historiques, qui pour moi ont une certaine importance pour la véracité de certains écrits bibliques de l’Ancien Testament.
Aristobule, juif grec, affirme que la traduction complète de la Loi a eu lieu à l’initiative de Démétrios de Phalère sous le roi Ptolémée Philadelphe. Par contre des traductions partielles de la Loi ou de l’AT existaient dès le début du V ième siècle avant notre ère.
Aristobule estime que Pythagore ( 580 - 497 av. J-C. ) et Platon ( 428 - 346 av. J-C. ) doivent le meilleur de leurs doctrines à ces traductions partielles. En effet Pythagore côtoya des chaldéens ( hébreux ) en Égypte et en Babylonie où il aurait eu connaissance de la Loi et des écrits prophétiques. Platon lui aussi fit un séjour en Égypte et était un adepte des études pythagoriciennes. C’est sans aucun doute au cour de ce voyage et de ces études qu’il eût connaissance de certains écrits partiels de la Loi hébraïque.
Ce qui est étonnant, c’est la connaissance des « Pères Apostoliques » de la « Lettre d’Aristée » notamment Jérôme et Irénée. D’autres aussi connaissent les 70 - 72 traducteurs qui sont séparés dans l’île de Pharos chaque groupe occupant un « petit logement » comme Clément d’Alexandrie, Tertullien, Cyrille de Jérusalem, Augustin, Michel Psellos. Épiphane de Salamine, Justinien et Bar Hebraeus proposent une autre explication.
L’auteur de la Baraïta, rabbi Yehudah ben Elaï, a vu, vers 110 de notre ère, le site du Phare, ainsi que les logements des traducteurs qui étaient des petites maisonnettes. Il paraît donc sûr que, au II ième siècle, il y avait, au Phare d’Alexandrie, une sorte de monument historique mis en rapport avec les traducteurs.
Autre fait, Philon d’Alexandrie, philosophe juif hellénisé, -- [ Il symbolise le judaïsme d’Alexandrie, étape vers le christianisme, dans la mesure où celui-ci est à la fois issu du judaïsme et de l'hellénisme. Pour les chrétiens, Philon est juif. Mais pour les juifs orthodoxes, lui et sa communauté d'Alexandrie sont les prototypes des "juifs assimilés". Selon Claude Tresmontant, philosophe, helléniste et hébraïsant, ainsi qu'un exégète français, né en 1925 et mort en 1997, Philon d'Alexandrie aurait aussi influencé les premières communautés chrétiennes. ] -- ajoute que, à son époque, une fête et une panégyrie sont célébrées chaque année dans l’île de Pharos pour vénérer le lieu de la traduction et rendre grâce à Dieu [ EL-SHADDAÏ ] de son bienfait.
A cette fête assistent Juifs et non-Juifs. Elle s’achève par un festin et une nuit passée dans les baraquements construits dans l’île.
Ceci nous donne la certitude que, au IIième siècle av J-C., il y avait, au Phare d’Alexandrie sur l’île de Pharos, une sorte de monument historique mis en rapport avec les tracteurs. ( voir bibliographie, « Pourquoi la Torah … » de D. Barthélemy )Un autre fait très étonnant, qui confirmera ce que je vous écrirais, dans un des rouleaux de la Loi hébraïque, les noms du divin étaient écrits en or.Quand la chose vint au-devant des « sages », ils décidèrent que le rouleau devait être caché, c’est-à-dire conservé à l’écart et ne pas être utilisé pour la lecture.
Un rouleau de cuivre fut découvert dans une des grottes de Qumram sur lequel était inscrit les noms du divin qui comporte, fait étrange, soixante-douze lettres.
Ce rouleau fut aussitôt « caché » par les rabbins.
En plus le terme « synagogue », mot grec qui signifie « communauté, rassemblement », est attesté en Palestine à l’époque ptolémaïque, mais il n’apparaît qu’au Ier siècle de notre ère chez les auteurs juifs d’Alexandrie.
Les papyrus juifs mentionnent une dizaine de synagogue réparti à travers l’Égypte, dont une est attestée peu après 245 av. J-C. à Schedia, au sud-est d’Alexandrie, dans une inscription qui offre le plus ancien emploi connu du mot « Ioudaîoi », qui signifie « Juifs », et une autre à la même époque à Crocodilopolis dans le Fayoum.
Les textes du Talmud décrivent la grande synagogue d’Alexandrie comme une superbe basilique.
Le judaïsme de l'époque du Second Temple est parcouru par de multiples courants religieux qui peuvent se combattre violemment, dont la division est souvent considérée comme une des causes de la chute du Second Temple. Les Juifs partagent la terre d'Israël avec les Grecs et une frange du monde juif, souvent liée au pouvoir, tend à hélléniser le culte. Le judaïsme hellénistique, très influent à Alexandrie, était aussi celui des derniers Hasmonéens.
On parle aussi des Hassidéens, des hommes pieux qui ont été parmi les premiers à se rallier à Judas Maccabée pour libérer le Temple. Le monde juif de cette époque est partagé entre Sadducéens et Pharisiens. Les Sadducéens affirment la primauté du Pentateuque, de ses lois, aux dépens des enseignements ultérieurs de toute mystique. Les Pharisiens prennent en compte la Torah mais aussi les autres livres de la Bible et les enseignements des sages.De nombreuses autres sectes existent, qui attendent l'arrivée éminente du Messie, comme les Esséniens.
Au I er siècle, apparaissent de nouvelles sectes juives, les zélotes, partisans de la lutte à outrance contre les Romains, les baptistes, autour de Jean le Baptiste puis les disciples de Jésus
En marge du judaïsme, il faut rappeler l'existence, jusqu'à ce jour, des Samaritains, qui ne reconnaissent que le Pentateuque et adorent l'Éternel, non à Jérusalem, mais sur le mont Garizim, aujourd'hui près de Naplouse.
Le dernier roi et grand-prêtre hasmonéen Antigone II est décapité en 37 av. J-C.
Hérode Ier le Grand, s'empare de Jérusalem et il est proclamé roi par le Sénat romain.
Hérode est issu d'un peuple récemment converti au judaïsme. C'est un fin général qui reconquiert tout le domaine des Hasmonéens. Il établit une certaine prospérité dans son royaume et ménage Pharisiens et Esséniens. C'est aussi un grand bâtisseur qui reconstruit le second Temple, des forteresses impressionnantes, Massada et Hérodion où, chaque fois, il fait construire une synagogue. Il crée le port et la ville de Césarée, ainsi que d’autres villes.La peur d'être assassiné le conduit à faire tuer la plupart des membres de sa famille proche et il laisse l'image d'un roi cruel.
Il meurt en 4 av. J-C. et ses fils survivants n'arrivent pas à maintenir son royaume.En 6 de J-C., Archélaos est exilé par les Romains en Gaule et la Judée devient province romaine, dans les frontières du royaume d'Hérode.
Comme toute province romaine, la Judée devient alors administrée par des procurateurs romains qui exercent tous les pouvoirs et font et défont les grands-prêtres, en ait-il ainsi pour Ponce Pilate.
La mort de Tibère permet à Hérode Agrippa Ier, descendant d'Hérode le Grand et des Hasmonéens, de retrouver le trône en tant que tétrarque. Il gouverne la Galilée, la Samarie, la Judée, l'Idumée et l'empereur Claude le fait même roi.
Son règne fut un bref moment de renaissance pour le judaïsme. Il rend son autorité au Sanhédrin. Il meurt en 44 de J-C.
Rome reprend le contrôle de la Judée et le pouvoir revient aux procurateurs.
Un homme du nom de Jésus de Nazareth naît en l’an 7 ou 5 av. notre ère sous Hérode le Grand. Son histoire laisse beaucoup de mystère, car lui-même n’a jamais rien écrit, si ce n’est le nom de son Père avec son doigt dans le sable et une courte phrase. Tout ce qui fut écrit sur lui, le fut une vingtaine d’année après sa mort par crucifixion.
Il fut alors nommé Jésus-Christ, christos signifiant « Messie » ou « Oint d’un Être Suprême », mais en réalité le mot « Christ » fut accolé à Jésus le Nazaréen par les Pères de l’Église naissante vers la moitié du II ième siècle ( 150-180 ) en déformant l’origine du mot grec, Christ, par la représentation de la croix ( crux ) en latin, croix donnant « Christ » soit, Jésus et Croix.
Pour la suite il faudra attendre quelques jours.
Portez-vous bien et prenez soin de vous !
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »
Les festivités sont à leur fin.
Comme dans l’Europe Antique nous avons fêté les Saturnales avec la fête du Sapin et le Solstice de l’hiver.Une nouvelle année commence
Alors en bon « Païen » je vous souhaite à tous de trouver votre bonheur et votre paradis interne en prenant soins de votre santé car c’est le plus grand trésor qui existe sur cette Terre.
Maintenant je vais écrire sur ces « Fêtes »
Il y a bien longtemps que la religion de tous les chrétiens a perdu la valeur pieuse de cette fête.
Même le plus haut « Dirigeant » de cette religion a failli à son devoir cette année. Si, il était vraiment le représentant de « Dieu » sur la Terre, comme il l’affirme, alors pourquoi n’a-t-il pu faire son office à minuit ?
Son « DIEU » l’aurait-il abandonné ? …
Ce « DIEU » en abandonnant son représentant, ne rejette-t-il pas tous les fidèles de cette religion chrétienne ?
Pour moi, le « Païen », il me semble que je suis dans la vérité ! …
Tout se perd ! Même cette Messe de Minuit !
Quel drôle de « DIEU » vous avez, vous « Chrétiens » ! …
Mais, j’y pense, cette religion ne serait-elle pas une religion humaine ? ...
Cette fête de la « Nativité » n’est-ce pas une invention humaine ?
Il me semble que OUI ! …
Jésus le Nazaréen --( Jésus-Christ pour les chrétiens ) -- a-t’il demandé à ses Apôtres et Disciples de fêter sa naissance ?
NON !
Car si cela avait été le cas nous aurions la date exacte de sa naissance, et non une approximation sur le mois, septembre, octobre, au plus tard milieu novembre, et l’année -7,-5 avant l’Ere Commune ( EC) ou J-C.
Les Romains d’avant J-C. et après avaient leur religion principale qui était le « mithraïsme ». Culte de Mithra -- « Sol Invinctus » -- Dieu Invaincu.
Au IVème siècle cette religion était égale au christianisme.Les romains fêtaient la naissance de leur Dieu « Mithra » le 25 Décembre. Mais cette naissance était mélangée avec les « Saturnales » fête qui durait du 17 Décembre aux « Calendes » de Janvier quand commençait la nouvelle année.
La fête « Natalis Invicti » le 25 Décembre avait une très grande importance pour les Romains puisque la naissance de ce « Dieu Mithra », dieu de la lumière, symbolisait la pureté, chasteté, ainsi que le combattant des « Forces obscures du Mal ».Ce jour les romains sacrifiaient de jeunes Taureaux.
Les Saturnales étaient aussi l’occasion de s’offrir des présents pendant cette longue fête.En 354 l’Évêque de Rome, ( Pape pour vous chrétiens ), LIBÈRE -- évêque 352-366 --, décrète que la naissance de votre Jésus-Christ serait le 25 Décembre. En faisant cela il détourne la fête païenne des « Saturnales » et la naissance de leur dieu Mithra en une fête « Chrétienne ».
Quelques siècles plus tard, Jean Bernardone --- François d’Assise ---,en 1223 invente la « Crèche », par un office religieux nocturne dans une grotte de Greccio en Italie, avec des personnes et des animaux vivants, particulièrement l’âne et le bœuf. Cet usage se fera tous les ans le 25 Décembre dans la communauté franciscaine, et, avec le temps sera décrété fête officielle de la « Nativité » au Concile de Trente.
Pour cette féerie du « Père Noël » nous devons cela à la grande maison « Coca-Cola » qui au départ était vert. Puis comme dans les régions de l’est de l’Europe, France comprise, on fêtait Saint Nicolas avec sa légende de cadeaux pour les enfants gentils et du « Père Fouettard » pour les méchants, cette firme, pour vendre son produit le mis en rouge comme St Nicolas.
Mais, nous devons remercier Tino Rossi avec sa chanson « Petit Papa Noël » qui fit faire un « Boum » à cette fête.
Fait étrange, cette fête reprend ses origines païennes, celles de l’antiquité, car qui aujourd’hui parle de religion ? …
Peu de gamins vous parleront de la naissance du « Petit Jésus », mais le « Père Noël » … !
Alors je vais me tenir comme un « Païen » et vous offrir les « Présents » de mon cœur et de mon esprit.
En cette année 2010 beaucoup de bonheur, de joie, soyez heureux.
Prenez bien soins de vous et portez-vous bien tout le long de cette année.
Cordialement pour Tous
Sig : JP.G dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »
Le Christianisme
Avant que je ne vous écrive sur cette religion, voyons ses origines.
Le peuple hébreu avec sa religion à plus de quatre mille ans. Des dissensions après le Roi Salomon apparaissent au sein de ce peuple qui est formé de douze tribus.
Le premier livre de la Bible hébraïque ou de l'Ancien Testament, la Genèse, se termine avec l'installation en Égypte des Hébreux, où plus exactement, des 12 fils de Jacob nommé Israël, fondateurs des 12 tribus. Les douze fils sont:
Réouven en français Ruben, Shiméone français Siméon, Lévi tribu des Prêtres dédié au service du Temple de Jérusalem, Yéouda français Juda tribu dont provient la dynastie du Roi David, Issa’har français Issacar, Zévouloune français Zabulon, Dan, Nephthali, Gad, Aser, Yossef français Joseph dont deux tribus sont issues, qui sont ses fils, Menaché français Manassé et Éphraïm, la plus petite Biniamine français Benjamin.
Ceci représente les douze tribus d’Israël qui sont les fils de Jacob mais Lévi n’a pas de territoire et Joseph est remplacé par ses deux fils.
Après la mort de Salomon le pays se scinde en deux avec le royaume d’Israël qui comporte dix tribus et ont comme capitale Samarie et le Royaume de Juda qui comprend la tribu de Juda et celle de Benjamin avec comme capitale Jérusalem En 722-721 av. J-C. Israël est attaqué par les Assyriens conduit par Salmanazar puis par Sargon II qui détruit la capitale Samarie mettant fin au royaume d’Israël. Une partie de la population se réfugie dans le royaume de Juda, et l’autre est emmenée en exil.
En 597 av.J-C le roi babylonien Nabuchodonosor fait le siège de Jérusalem car le roi Joiakim du royaume de Judas refusa de payer le tribu. La ville fut prise et les notables lettrés furent déportés avec le fils du roi Joiakim à Babylone.
En 586 av.J-C Jérusalem est de nouveau assiégée par Nabuchodonosor II et un grand nombre de ses habitants est déportés en Babylonie. La ville est brûlée, le roi Sédécias fut mutilé et ses fils tués. ( livre du prophète Zacharie )
Quatre ans plus tard la Palestine se révolte et beaucoup de judéens se réfugient en Égypte dont le prophète Jérémie.
Soixante-dix ans après ces évènements les hébreux sont libérés de Babylonie, mais ce sont les pauvres qui rentrent au pays, les autres ayant fait fortune restent à Babylone. Toutes ces déportations sont à l’origine de la « Diaspora. »Les deux Livres des Rois accuseront par la suite la population de Samarie d'être composée de colons venus de Babylonie ou de Syrie et convertis à une religion hébraïco-païenne.
532 à 332 av. J-C. domination Perse sur la Judée, puis de 332 à 142 av. J-C. domination Grecque.
Seuls les grands-prêtres représentent une autorité juive. Ils exercent une sorte d'autorité civile et leur autorité religieuse, reconnue jusqu'à Alexandrie, demeure incontestée sous le règne des Lagides.
C’est pendant cette époque que furent reliés une grande partie des Livres Hébreux nommée Ancien Testament. Ces livres seront traduit en grec et l’ensemble sera appelé la Bible des Septantes.
Pour comprendre la Bible et la « Naissance du Christianisme », je suis obligé d’écrire l’histoire du peuple hébreu avec ses Lois religieuses ainsi que la traduction de ces Lois en grec.
Je cite les faits historiques.
En 332 avant notre ère, Alexandre le Grand conquiert l’Égypte, alors soumise à la domination perse. En 331 av. J-C. il fonde la ville d’Alexandrie. Il meurt en 323, un de ses généraux, Ptolémaios, fils de Lagos, reçoit la satrapie ( gouvernance ) d’Égypte, mais en 306 il se proclame Roi sous le nom de « Ptolémée I Sôter. » Il fonde la dynastie des Lagides, le musée et la Grande Bibliothèque d’Alexandrie qui sera brûlée par les Romains en 47 av. J-C. détruisant un nombre incalculable de rouleaux et de papyrus de toute l’histoire des peuples méditerranéens. [ Les historiens estiment la perte d’environ un million de documents, mais une chose est sur, dans la lettre d’Aristée, qui est un speudépigraphe, il ait parlé de plus de cinq cent mille documents et nous sommes au milieu du II ième siècle avant J-C. ]
De 320 à 198 avant notre ère, la Palestine ou Judée est soumise à la domination des Ptolémées.
Dès le III ième siècle, les juifs d’Égypte ont composé, en grec, des ouvrages littéraires appartenant à la littérature sacrée comme les Septantes ( LXX ) ou à l’histoire.
Ce que l’on appelle aujourd’hui la Bible des « Septantes », « LXX », est la totalité de l’Ancien Testament (AT) traduit en grec qui comprend l’ensemble des livres de la Bible hébraïque, mais encore, d’une part, diverses additions de livres, Esther, Psaumes, Jérémie, Daniel, et, d’autre part, les livres « Deutérocanoniques » ou « apocryphes ».
On désigne par ce terme les livres qui ont été, par la suite, reçus dans le Canon de l’Église et qui, ou bien n’existaient qu’en grec, Sagesse, 2 Maccabées chapitre 2, 19 jusqu’à la fin, 3 et 4 Maccabées, ou bien sont la traduction grecque de livres hébreux ou araméens que le Canon juif n’a pas retenu, tel que, I Esdras, 1 Maccabées, 2 Maccabées chapitre 1 :1-2, 18, Siracide, Judith, Tobit, Psaumes de Salomon. Dans l’Antiquité, la « Septante » désigne deux réalités distinctes. A partir du II ième siècle de notre ère, il s’agit de l’AT en entier. Justin de Naplouse -( 100 ou 114 -- 162 ou 168 )- l’attribue aux 70 ou 72 traducteurs ( je reviendrais sur eux un peu plus loin ) avec le Psaume 81, ainsi que le livre d’Isaïe « Dialogue avec Tryphon 124 :3, puis 137 :3 », Origène ( 185 - 253 ), notamment dans ses « Hexaples », ou Eusèbe de Césarée ( 265 - 340 ) dans « Préparation évangélique VII, 1, 6. »En revanche, dans la tradition juive hellénophone, voir lettre d’Aristée que cite Flavius Josèphe dans la Guerre des Juifs, la « Septante », ce sont les cinq livres de la Torah, de la loi hébraïque.
Le terme de « Septante » a donc un sens étroit, l’originel, celui qui correspond à la Loi, la Torah, et un autre large, représentant l’Ancien Testament en entier.
Il nous reste un témoignage, peut-être le plus ancien, qui est la lettre d’Aristée, un speudépigraphe, du milieu du II ième siècle av. J-C -- dont vous trouverez une copie écrit en anglais, mais avec le traducteur google vous l’avez en français, sur Internet si comme moi vous cherchez un peu, -- connu d’Aristobule, juif grec, qui vivait à Alexandrie sous Ptolémée V Épiphane et Ptolémée VI Philométor et qui composa une Exégèse des livres de Moïse, où il soutenait que les philosophes grecs avaient connu ces livres et y avaient souvent puisé.
Voici un petit résumé de cette lettre :
« La Lettre qu’Aristée adresse à son frère Philocrate fait le récit de la mission dont il a été chargé par le roi Ptolémée II Philadelphe ( 309 - 246 av. J-C.) auprès du grand prêtre des juifs.
La scène se déroule en premier à Alexandrie.
« Le responsable de la Bibliothèque Royale, Démétrios de Phalère ( 350 - 282 av. J-C.), propose au roi de faire traduire les Lois des Juifs pour en doter ensuite son établissement. Ptolémée II donne son accord. Il libère par décret tous les esclaves juifs du royaume. Démétrios présente un rapport sur la question des livres juifs à faire traduire. Il suggère au roi que l’on écrive au grand prêtre de Jérusalem pour lui demander l’envoi d’hommes qualifiés, six par tribu, afin d’obtenir une traduction exacte et digne de l’État et des intentions royales.
Ptolémée fait préparer des cadeaux destinés au Temple ; une lettre les accompagne.
La réponse d’Éléazar est affirmative. Elle contient la liste des 72 traducteurs, « maîtres dans les lettres judaïques, mais aussi adonnés à la culture hellénique », qu’il enverra avec la Loi.
Les traducteurs arrivèrent à Alexandrie.
Le Pharaon Ptolémée II est là.
Il se prosterne sept fois devant les rouleaux de la Loi écrits en lettre d’or :
« Merci à vous mes amis, plus encore à celui qui vous a envoyés et par-dessus tout au Dieu [EL-SHADDAÏ ] dont voilà les oracles. »
Suit un banquet qui durera sept jours pendant lequel les 72 traducteurs répondent aux 72 questions que le roi pose, une à chacun. Ils répondirent par des apophtegmes remplis de force.
Le roi admire chaque réponse.
La traduction est réalisée collectivement par sept groupes de douze traducteurs en soixante-douze jours, chiffre miraculeux puisqu’il correspond au nombre de traducteurs. Ils se retirèrent dans l’île de Pharos et là ils « prophétisèrent ». Ils traduisirent la Loi tous avec les mêmes mots et tournures, comme sous la dictée d’un souffleur invisible.
On en fait la lecture.
Les traducteurs et les délégués du « politeuma » déclarent :
« Il est bon que cette œuvre reste comme elle est, sans la moindre retouche. »
Admiration et exclamation générale.
Le roi se joint à la liesse.
La Loi « vient de Dieu [ EL-SHADDAÏ ] » déclare Démétrios. Ils sont, non pas des traducteurs, mais « des hiérophantes et des prophètes. » »Voilà comment est née la « Septante -- LXX »
La suite dans les prochaines écritures :
En attendant, prenez soin de vous et portez-vous bien !
Salutations cordiales
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »
les Sectes :
Témoins de JéhovahLes Sectes sont les verrues des Religions
La majorité des Sectes ont pour origine le christianisme. Au Moyen-Âge la chrétienté appelait cela des « Ordres Monastiques » comme les Franciscain, Dominicain, Jésuite, Carmélite, etc …, puis les Templiers, Ordres de Maltes, ainsi de suite.
Dans d’autres religions les sectes sont appelées des « Factions » comme chez les Musulmans.
Tout être humain est capable de créer une « Sectes ». Pour cela il suffit de trouver un « NOM » puis un thème un peu mystique, beaucoup de psychologie et de discours enjôleurs, quelques fidèles « rabatteurs », être à la limite de l’escroquerie, avoir dans son directoire un bon avocat véreux et comme l’on dit en terme populaire : « l’affaire est dans le sac »
Beaucoup de « Sectes » viennent surtout du protestantisme.
Cette religion faisant partie intégrante de la « Chrétienté » et étant divisée en plusieurs factions : Luthérien, Calviniste, Baptiste, Adventiste, Témoin de Jéhovah, Scientologue, Évangéliste, …
Je vais donc prendre pour exemple une des Sectes les plus importantes, ce considérant comme une religion
Il y a les « Scientologues » et les « Témoins de Jéhovah ».
Je vais écrire sur cette dernière, mais entre les deux c’est « Blanc bonnet et bonnet Blanc »
J’ai fait une recherche sur la fondation des « Témoins de Jéhovah », et cette étude a confirmé ma position première.
Ce ne peut-être la véritable religion, beaucoup trop d’erreurs ! …
Beaucoup trop de divisions ! …
Beaucoup trop de mensonges ! …..
Je confirme que les « Témoins de Jéhovah » sont une Secte ! …
A cause de ceci : cela est écrit chez vous les TJ, et il vous sera difficile de le nier :
« Exclusivité du salut.
À partir de 1925, le mouvement s'est radicalisé en expliquant que désormais tout individu appartient soit à l'organisation de Jéhovah (les fidèles de la Société Watchtower), soit à celle de Satan. »
Si cela n’est pas sectaire, qu’est-ce que c’est ?
Faits historiques de l’histoire des TÉMOINS de JÉHOVAH
L'histoire des Témoins de Jéhovah a commencé dans les années 1870 lorsque Charles Taze Russell a commencé à diriger un groupe d'étude de la Bible à Pittsburgh en Pennsylvanie. Il est le fondateur des « Étudiants de la Bible internationaux », ou IBSA, ainsi que de la « Watchtower Bible and Tract Society » en français « la Société Watchtower ».
En 1877, Russell a fait paraître la brochure consacrée au retour du Christ, et avec Barbour il a publié conjointement le livre (Les Trois Mondes), un ouvrage traitant principalement du rétablissement des prophéties basées sur la chronologie biblique.
Toutefois, dans le numéro d'août 1878 du Hérald of the morning, Barbour a écrit un article dans lequel il a affirmé que la mort du Christ n'avait pas de valeur substitutive. Estimant que cela revenait à nier la doctrine de la rançon, Russell a ensuite publié des articles dans ce magazine qui défendaient cet enseignement.
En réponse à ce désaccord persistant, il s'est finalement dissocié d'avec Barbour en juillet 1879 et a rapidement commencé à éditer son propre magazine, (Le Phare de la Tour de Sion et Messager de la Présence de Christ), aujourd'hui connu sous le nom de La Tour de Garde, et dont le premier numéro a été tiré à six mille exemplaires. Il a maintenu l'enseignement de Barbour selon lequel le « temps de la fin » avait commencé en 1799 et le Christ était revenu invisiblement en 1874.
L'année 1878 est alors devenue la date du couronnement du Christ comme roi dans les cieux, de la résurrection des oints, et du jugement de Dieu de la chrétienté, et 1914 a été annoncée comme date de fin d'une période de moisson qui aboutirait à Har-Maguédôn
A la mort de Russell, cette Société connue un schisme important en 1917, alors que Joseph Franklin Rutherford débutait sa présidence du mouvement.
Les « Étudiants de la Bible » resté fidèle à Russell formèrent en 1920 le « Mouvement missionnaire intérieur laïque » { MMIL } qui existe toujours aujourd’hui.
Le « MMIL » est officiel en France depuis 1926.
Contrairement aux « Témoins de Jéhovah » c’est un mouvement à caractère confessionnel formé de volontaires à but non lucratif, non constitué en Société, dans lequel de nombreux chrétiens, principalement des laïques de toutes positions sociales, venant de diverses dénominations ou non, coopèrent volontairement.
Les assemblées de ces chrétiens, toutes entièrement autonomes comme du temps des Apôtres, sont disséminées à travers le monde
Le but du M.M.I.L. est de prêcher l'Évangile --- les « grands sujets de joie »---répandre et d'en encourager d'autres à répandre la connaissance de la Bible, particulièrement en ce qui concerne notre époque et ses bouleversements actuels dans tous les domaines et activités de la société. Il s'efforce de susciter et de développer un plus grand intérêt à l'étude individuelle et en groupe de la Bible, selon des vues non sectaires, dans des lieux de rassemblements, des foyers, etc. Ses efforts tendent également à mieux faire connaître et démontrer les valeurs morales et éthiques universelles du Livre par excellence : la Bible.
Pour mener à bien ses desseins, le M.M.I.L. édite et répand,--- selon tous les moyens permis par la LOI --- - grâce à l'activité de colporteurs occasionnels, d'évangélistes et autres travailleurs chrétiens, par courrier, etc., de grandes quantités d'ouvrages basés sur la Bible, la raison et les faits, ainsi que des journaux (spécialement « l'Étendard de la Bible »), et des feuillets gratuits en diverses langues.
Il n'est jamais demandé d'argent pour leurs services, bien que les participations volontaires soient acceptées.
N’ayez crainte je n’adhère pas non plus à cette secte, car comme les TJ et les Chrétiens il y a autant de mensonges, d’hypocrisie et la gouvernance de cette secte s’en met aussi plein les poches.
Mais si j’étais dans l’obligation de choisir je prendrais ce mouvement qui est le plus propre des trois si je puis m’exprimer ainsi.
En 1931 les « Étudiants de la Bible » restés fidèles à la Société Watchtower et à son Président Joseph Franklin Rutherfort prirent le nom de
« Témoins de Jéhovah »
pour se différencier des « Étudiants de la Bible » restés fidèles à l’enseignement de Russell.
En effet le Président Rutherford, qui avait annoncé 1925 comme la date d'Har-Maguédôn, modifia en profondeur les doctrines et le fonctionnement de l’organisation de la Société Watchtower.
Parenthèse
Fait historique mais, bien sûr, comme d’habitude nié et étouffé ….
Joseph Franklin Rutherford était avocat et Juge avant de connaître Russell et les « Étudiants de la Bible ».
Il était réputé pour être un politicien actif.
Baptisé en 1906, il monte le conseil juridique de la Société Watchtower.
En réponse à un différent important, Russell en 1915, lui demande de quitter la Société, sans l’exclure.
JF. R. reprend son activité d’avocat à Monrovia près de Los Angeles pour une grande chaîne de magasin.JF.R.en 1916 est le président de l’assemblée à Los Angeles.
Après la mort de Russell, par un astucieux stratagème, grâce à sa connaissance des Lois, Joseph Franklin Rutherford prend les pleins pouvoirs de la Société Watchtower ; nous sommes en 1917.
Joseph Franklin Rutherford est connu pour être un ivrogne notoire.
Il chassa les Témoins qui avaient dénoncé ses agissements d’ivrogne brutal. L’un d’eux Olin Moyle le mis au tribunal et remporta son procès en 1940.
En 1926, il se fait prendre en flagrant délit dans un lieu ou dansent des femmes nues en compagnie d’une inconnue.
En 1937, en pleine prohibition, JF.R. se fait livrer au Bèthel des caisses de Whisky, Brandy et autres alcools pour des milliers de dollars de l’Époque par la firme Walter F. Salter, une filiale du Canada.Rutherford faisait ce qu’il voulait avec l’argent de la Société comme un Caïd maffieux.
Aujourd’hui cette même Société, dont le siège est à Brooklyn, province de New York, vie grâce à des actions et des obligations boursières pour une partie principale d’une usine d’armement et de fabrication d’avions de chasse, et de l’autre pour la plus grande firme mondiale de boissons pétillantes.
Cet homme était connu aussi pour son racisme ; il a écrit dans un livre « Vie et Santé » de 1932 à la page 45 :« Les Indes et la Chine sont peuplées d’une race ignorante et dégénérée »
Fin du Comité de rédaction.---- Le Comité de rédaction a été congédié en 1931 par Rutherford qui l'avait déjà remplacé à partir de 1925.
Attente du retour des patriarches.
---- En 1929, une grande villa d'une dizaine de pièce appelée Beth-Sarim fut construite grâce aux offrandes des fidèles, mais surtout par la firme de cette boisson pétillante, dont le fils, William Heath, du vice président de l’époque était secrétaire de Rutherford, en Californie afin d'accueillir les patriarches de l'Ancien Testament ; cette attente ne s'étant pas réalisée, Rutherford y vécut, avant que la Société Watchtower ne décide de la vendre après la mort de ce dernier en 1942.
Après sa mort, Nathan Homer Knorr a assuré la présidence de la Société Watchtower, organisation qui supervise les activités des Témoins de Jéhovah.
Encore un fait officiel : « Les Témoins de Jéhovah ont utilisé la traduction du spirite Greber pour défendre leur propre traduction de la Bible,----Traduction du Monde Nouveau ---- bien qu'étant parfois soupçonnés d'être au courant des pratiques occultes du médium. »
Autre chose pour répondre à « Logic » ainsi qu’à « Philippe » et bien d’autres
Par votre courriel vous m’expliquez que la « Traduction du Monde Nouveau » est la seule se rapprochant le plus des Écritures hébraïques. Là encore, j’en doute !
Comment se fait-il que certains de vos fidèles, critiquent ouvertement votre « Traduction du Monde Nouveau » ? …
Pourtant, ils ont raisons !
Officiel, sans aucune tendance religieuse, puisque laïque :
---« Untitled Document »---
« …L’histoire merveilleuse de la transmission de la Bible, de sa rédaction à nos jours …..
Certains textes, dont l'exemple le plus net est sans doute fourni par l'ouvrage intitulé « Traduction du Monde Nouveau », reproduisent le texte biblique en en déformant certains passages dans un sens qui va à l'appui des doctrines personnelles des traducteurs.
En dehors de cela, les différences entre les versions portent essentiellement sur le choix des mots. »
La « Traduction du Monde Nouveau » est basé sur le « Codex Léningradensis » de l’an 1008 de Rudolf Kittel qui est la plus ancienne copie des textes massorétiques de la Bible Hébraïque ----{ ce codex servi de base à la « Biblia Hébraïca en 1937 et à la Biblia Hébraïca Stuttgartensia en 1977 }----alors que l’on peut avoir l’intégralité de tous les Livres Bibliques avec le « Codex Sinaïticus » 350 ap. J.C. soit le IV ième siècle, ainsi que le « Codex Alexandrinus » le premier conservé au « British Muséum », le second à la « British Library de Londres »
Le « Codex Vaticanus » conservé au Vatican, comme il se doit, ces trois Codex sont des Manuscrits de la même époque entre 180--350 ap. J.C., en vélin, écrit en écriture grecque onciale, connus et traduit par les « Pères Apostoliques » tel que Eusèbe de Césarée, Origène, Tertullien, Épiphane …….Reconnu plus crédible que le codex Léningradensis à cause des altérations : rajout, retranchement, transformation de la compréhension des textes dus aux nombres incalculables de copies …, plus de 600 ans.
De plus vous écrivez que, vous seul « Témoins de Jéhovah », connaissez la vérité, et que vous seul les « Témoins de Jéhovah » serez sauvés ! ….
Si cela ce n’est pas de la vanité et de l’orgueil qu’est-ce que c’est ? …
Pour être « sauvé » comme vous dites, il faudrait aussi que vous mettiez en pratique ce onzième commandement de Jésus le Nazaréen
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même »
Mais aussi :
« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---
Au départ, en 1870, vous deviez faire vœux de pauvreté, alors comment se fait-il que tous vos Dirigeants et Enseignants sont des humains aux situations très aisées ? ? ? ……
Pourquoi cette opacité sur le fonctionnement et les richesses de la « Société Watchtower » ? ….
Puisque vous êtes les meilleurs comment se fait-il que vous soyez condamné en France pour non-respect des Lois du Travail ? ….
Je vais vous faire plaisir, pour une « Religion » soi-disant meilleurs que les autres, que de magouilles ! …..Que de secrets ! …. Comme une Secte ! ….
Vous ressemblez étrangement à cet « Écrit » vieux de plus 5000 ans, plus authentique que les « Livres Canoniques de la Bible » :
-----« Dans les dernières « Générations », ces « DERNIERS TEMPS », bien après le « Cataclysme des eaux », la méchanceté sera générale et absolue [….]. Alors régneront des hommes pestilentiels et impies qui se prétendront « JUSTE ». Et ceux-ci exciteront la colère de leur cœur, eux qui seront des hommes trompeurs, contents d’eux-mêmes, simulés en tout ce qui les concerne, et à toute heure du jour épris de banquets et avides du gosier [….] Mangeurs des biens des pauvres, disant agir ainsi à cause de la justice, alors qu’ils bannissent ceux qui se plaignent ; trompeurs qui se cachent pour ne pas être reconnus, impies, accomplis dans le crime et l’iniquité du lever au coucher du soleil.
Ils diront :
« Nous aurons des festins et surabondance dans le manger et le boire, et nous nous prendrons pour des « PRINCES ». » Et, alors qu’ils ont en mains et en Esprit des choses impures, leur bouche dira de « GRANDES CHOSES », allant jusqu’à dire :
« Ne me touche pas pour ne pas me souiller dans la situation qui est la mienne ! .. » »-----(III Bible Écrits Intertestamentaires p.1007 VII : 1 - 10 )
Autre chose, écrire comme vous l’avez fait, m’expliquant à moi « PAÏEN », que c’est Jésus-Christ qui a tout créé sous les ordres de son Père, là, vous m’avez pris pour un imbécile ! …
Jésus le Nazaréen, votre Jésus-Christ n’a fait aucune création, ne connaissant pas le mystère de le « VIE et de L’ENFANTEMENT » que seul EL-SHADDAÏ connaît.
Voici le texte d’Ésaïe ( ou Isaïe ) qui confirme ce que j’écris : Ésaïe 44 : 24 - 25
« Ainsi parle Yahvé, ton rédempteur, celui qui t'a modelé dès le sein maternel, c'est moi, Yahvé, qui ai fait toutes choses, qui seul ai déployé les cieux, affermi la terre, sans personne avec moi; qui réduis à néant les signes des augures et fais délirer les devins, qui fais reculer les sages et tourne leur science en folie. »
Mais aussi le Nouveau Testament, à moins que dans votre Bible « Traduction du Monde Nouveau » ces versets n’existent pas ! --Jn 6 : 44 - 45
« Nul ne peut venir à moi si le Père qui m'a envoyé ne l'attire ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour
…//.Quiconque s'est mis à l'écoute du Père et à son école vient à moi. »
Vous constaterez que Jésus met son Père en premier confirmant ce qu’il dit dans Jean 5 :19 - 20, 41, 44.
Par vos références Bibliques de la « Traduction du Monde Nouveau », je ne vais pas réitérer ce qui est écrit ci-dessus, mal à propos, vous me prouvez votre fanatisme, comme les Islamistes, votre endoctrinement dans cette « SECTE » qui, pourtant à des références historiques instructives comme ce livre de « Babylone la Grande » édité chez vous,----{ que j’ai en ma possession, ce qui m’évite d’écrire des idioties }---- mais je serai vraiment étonné si vous l’aviez lu car votre réflexion serait tout autre.
Contrairement à vous, je suis peut-être un « PAÏEN » mais moi je cherche la vérité, avec des faits réels et authentiques, donc je vous convie à continuer à lire ce que j’écris car, peut-être que !, mais cela dépend de vous et de votre conscience, libre à vous de vous mentir, ou ayant peur de la vérité, ne plus venir sur ce site pour lire les « TEXTES » de l’Inconnu, l’Étranger ! …
Je suis gentil, car sur les faits Politiques, Juridiques, boursiers, pédophiles ……etc, avec les « Témoins de Jéhovah » je pourrais en écrire des pages, simplement en ouvrant la page des faits « Divers » et ceci dans tous les Pays.
Les Témoins de Jéhovah jouent les « JUGES » à notre égard, mais ils devraient mettre cet enseignement en pratique :
« Il est plus facile de voir la paille dans l’œil du prochain, que de voir la poutre qui est figée dans le sien » ---de mémoire
Vous avez le « LIBRE CHOIX », celui de la Conscience ! ….
Je n’ai pas écrit tout ceci par haine contre vous et contre les vôtres, loin de moi cette idée, mais j’ai horreur du fanatisme, car il embue l’esprit de pensé et de circonspection de l’humain.
Je continue :
Plus tard, 1975 a été annoncé comme la date possible pour Har-Maguédôn.Depuis 1976, la direction du mouvement est assurée par un corps régissant appelé Collège Central.
Je viens de vous écrire la naissance d’une « Secte » car cette Secte n’a rien à envier à la religion Chrétienne, car là aussi tout est caché.
Un fait est certain et bien établi ! …
A la fin du XIX siècle, en Amérique, dans le milieu protestant, un grand nombre de « Sectes » prirent naissance.
A la même époque est né aussi la faction protestante des « Adventistes »,secte parallèle des TJ. officialisée en 1888 sous le nom « Adventiste du Septième Jour », Eux aussi sont certains de tenir la vérité avec leur enseignement humain et leurs dogmes.
Indirectement je reviendrai sur ce méandre des sectes.En attendant prenez soin de vous et portez-vous bien ! …
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »
NOÉ, puis Naissance du Peuple Hébreux après la Tour de BABEL
Les enfants de Noé se regroupèrent par famille, puis formèrent des clans, des tribus, et enfin des peuples qui parlaient la même langue. Ils se construisirent des Villes, puis des armes, inventèrent des Dieux et sculptèrent des idoles. Ils commencèrent à ce faire la guerre, le frère tuant son frère et le sang commença à couler.
Nemrod ---{ Nembroth }--- réunit les chefs de guerre des peuples et ensembles ils décidèrent de construire une immense tour qui toucherait les cieux au-delà des nuages. Ce faisant les guerres fratricides s’arrêtèrent et tous se mirent au labeur hommes, femmes, enfants, vieillards …
Certains écrits parlent d’un Abram vivant à cette époque, mais est-ce le même homme que celui de la Bible ? ……
Voyons la généalogie ! …
Généalogie d’Abram nommé plus tard « Abraham » :
SEM fils de Noé engendra : Élam ---{ langue ou langage Élamite } ---- , Assur ---{ nom d’une des principales villes de Mésopotamie } ----, Arfaxa, Luzi, Aram ----{ langue ou langage Araméen } --
Arfaxa engendra Sala, qui engendra Hébert, qui engendra Falech et Iectam grand chef de guerre avec Nembroth { Nemrod de la Bible. }
----[ une parenthèse : « Au Commencement chapitre N° 4 » --- Le sang des humains avait une composition encore saine, la génétique de la tare n’étant pas comme aujourd’hui, car plus les humains se reproduisaient et plus la tare se multipliait. --- Voici un autre exemple -- Falech eut des fils. Ils prirent aussi pour eux des femmes parmi les filles de Iectam, ils engendrèrent des fils et des filles …//…Faites la même chose aujourd’hui et nous avons que des « mongols » …]
Je reprends :
Falech engendra Ragau, qui épousa la fille de Ruth, Melcha et elle lui engendra Seruch. Quand elle enfanta celui-ci elle déclara :
« De celui-ci naîtra, à la quatrième génération, celui qui placera sa demeure dans les hauteurs. Il sera appelé parfait et sans tache. Il sera le père des nations, son alliance ne sera jamais brisée et sa descendance se multipliera pour toujours. »
Seruch engendra Nachor, qui engendra Thara { Térakh de la Bible }. Thara épousa la nommée Édna, fille d’Abram, fille de la sœur de son père. Elle enfanta un fils et Thara l’appela Abram, du nom du père de sa mère, car celui-ci était mort avant que sa fille n’ait conçu un fils.
La descendance d’Abram nommé Abraham.
Abraham épousa Saïra { Sara de la Bible } qui engendra Isaac. Avec sa servante égyptienne Agar, il eut un fils, Ismaël, qui engendra douze fils avec une femme égyptienne.
A la mort de Saraï, Abraham quelque temps après prit Kétourah pour femme et elle lui enfanta Zimran, Yokshan, Medan, Madian, Ishbak et Shouah.
Après cette explication, je suis presque certain que le « Abram » à la construction de la Tour de Babel n’est pas celui de la Bible.
Une preuve flagrante : Iectam, benjamin de son frère Falech, était avec Nemrod réputé pour être un chef de guerre autoritaire et c’est avec celui-ci qu’il força la population à construire la fameuse Tour. La construction de cet édifice dura quarante-trois ans avant que ne cessa son élévation due à un phénomène surnaturel où le langage et l’aspect des humains changea. C’est au même moment que le langage antédiluvien énokien --- appelé aussi adamique -- { vieux hébreux } -- disparu et qu’il fut remplacé par une multitude de dialectes qui devinrent des langues avec le temps, comme l’akkadien, sumérien, l’élamite, hittite, ougarite, etc …
Donc la légende d’Abraham dans la fournaise provient sans aucun doute d’une réflexion mystique misdrashique sur la ville de Ur en Chaldée proche de Babylone --{ le nom de cette ville vient certainement de la construction de la tour de Babel } Cette légende aura une grande influence sur la littérature juive des « misdrashim » et des « targunim »
De plus beaucoup de parents appelaient leur progéniture mâle du nom du grand-père ou de l’arrière-grand-père. Il y a Abram mais aussi Nachor. ---Seruch engendra Nachor ---
Thara { le Térakh de la Bible } engendra Abram { Abraham }, Nachor, et Aran qui engendra Loth. Depuis longtemps, même avant le Déluge, les enfants mâles restaient avec leur père et allaient prendre femmes dans les autres familles.
Ces familles représentaient des clans, et les clans s’associaient pour former des tribus. La tribu de Thara était importante et faisait partie de ceux que l’on nommait à l’époque des « Apirou ».Ce sont des tribus nomades de plusieurs ethnies qui auraient comme descendance le Patriarche Héber. (comme l’on dit dans le langage populaire : à prendre au conditionnel )
Cette tribu de Thara ---Térakh de la Bible --- vivait à Ur près de Babylone. Ils remontèrent dans le Haut Euphrate pour s’installer aux environs de la ville de Harran grand centre de caravaniers ou l’on adorait comme à Ur le Dieu-Lune « Sîn » La ville de Harran pourrait être aujourd’hui Sanliurfa ou Viranséhir en Turquie à la frontière de la Syrie
Au cours d’une de ses sorties solitaires avec son troupeau de bétail dans cette région montagneuse, Abram ---Abraham --- aurait eu par l’Esprit, un contact avec le « Dieu au-dessus de la Montagne », qu’il nomma EL-SHADDAÏ.
Ce Dieu, le « Fondateur » de la race humaine, lui incrusta dans l’esprit l’ancien langage énokien ou adamique ainsi que son écriture.
Même aujourd’hui ne dit-on pas que l’écriture « Hébraïque » est une écriture « sacrée » particulièrement celle des « Rouleaux » ? … Se serait suite à ce langage que la tribu de Thara aurait reçu le nom d’Hébreux --- { ceux qui passent } ---. De cette langue découle sans doute l’araméen qui est un patois de l’hébreu littéraire, sauf erreur de ma part.
Ces nomades longèrent la « Grande Mer » en prenant la direction de l’Égypte. Après une longue marche de plusieurs années il s’installèrent au pays de Canaan qui est la Palestine aujourd’hui.
EL-SHADDAÏ lui fit voir sa puissance, sa jalousie, lui l’Unique et seul véritable Dieu, rapport aux autres « dieux » de matière, et « IL » lui enseigna ses LOIS.
Le « monothéiste » était né
Pour l’humanité avant la construction de la Tour de Babel, il n’existait qu’un seul « Dieu », c’est pour l’atteindre qu’ils ont construit cet édifice.
Vous constaterez que les humains ont toujours mis un « Dieu Suprême », au-dessus des autres « dieu », créateur du ciel, de la Terre, de la végétation et des animaux, et de l’humain.Ex. : Brahman { hindou }, Ahura Mazdâ { empire Perse }, Al-Ilah { les Arabes bédouin }, El-Shaddaï { Abram et sa descendance } les indiens « Peau-Rouge » avec leur « Grand-Esprit », etc …
Puis ce peuple « Ceux qui Passent », les Hébreux, suite à une famine allèrent s’installer en Égypte.
Après plus de IV siècle dans ce pays, ils partirent et errèrent dans les montagnes du Sinaï pendant quarante année avec comme guide un certain MOÏSE, qui était lui aussi un fidèle serviteur de ce « Dieu » du nom d’EL-SHADDAÏ, comme Abraham. Ce Moïse, sur cette montagne du Sinaï, reçu le véritable Nom du DIEU Unique de l’Univers et celui-ci était inscrit en sceau sur le turban des Prêtres, car il comprenait soixante-douze lettres ce qui permettait au peuple de le lire.
Aujourd’hui les Hébreux le nomme « Yahvé » et l’écrivent « YHWH » mais qui est un nom très loin du nom réel de leur « Dieu » EL-SHADDAÏ.
Le terme « Jéhovah » est encore un nom encore plus éloigné que le nom « Yahvé ».
De cette religion hébraïque d’écoule le « Christianisme » et la religion « Musulmane » qui est un mélange des deux plus un peu d’hindouisme.
Le « Mystère » de cette race, les « HÉBREUX » avec sa langue reste entier.
Combien de peuples et de langages ont disparus ? …
Pourtant, combien de Pays ont essayé de les exterminer ? …
Ils sont toujours là ! …
Personne n’a pu les anéantir !Oui, il faut bien reconnaître ce « Mystère » !
C’est fini pour les Hébreux, mais j’aurai pu écrire un livre sur eux.
Les jours prochain nous verrons le « Christianisme », alors en attendant prenez soins de vous et portez vous bien.
Salutations cordiales !
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »
Peuple dont ont ignore la formation exacte, mais si l’on fait attention aux écrits Sumériens, Assyriens, Babyloniens, ce peuple avait déjà une existence sans doute sous un autre nom. Une chose est sur, les humains formant ce peuple sont des descendants de la grande famille de Noé rescapés du Déluge qui était dans l’Arche.
Faisons un voyage dans le temps antédiluvien, avec une réflexion sensée, mettant de coté les dogmes religieux, et restant le plus près possible de la logique, ce qui nous permettra d’arriver à une vérité plausible.
La végétation, les animaux, les humains avaient une masse plus importante avant le Déluge. Les arbres en moyenne, mesuraient de cent cinquante à deux cents mètres de hauteur, et leur circonférence était énorme, beaucoup plus importante que nos baobabs, vingt mètres de circonférence, et nos séquoias, cent quarante, cent cinquante mètres de hauteur, d’une durée de vie de plus de deux mille ans, témoins et vestige de cette ère antédiluvienne, mais qui ont aussi subit ce rétrécissement, ---{ quantité en eau moindre, l’effet de serre ayant disparu } --- comme tout ce qui poussait et vivait sur la Terre, dû aux « Ultra Violets » du soleil.
Pour la construction de l’Arche, vu la grandeur des arbres, pour les abattre, puis les élaguer, après les tailler, et enfin les porter pour les amener sur le chantier, à quatre hommes, impossible ! ……
Absolument impossible ! ……
Ce ne peut être autrement, ils étaient au minimum une centaine d’hommes pour construire cette caisse flottante.
Les mesures de cette caisse sont : {Antiquités Bibliques III, 4-5} longueur : 300 coudées, largeur : 50 coudées, hauteur : 30 coudées. Sachant qu’une coudée de cette époque mesurait en moyenne 80 centimètres, {0,80 m de l’os du coude au bout du majeur ---- mille ans après cette coudée ne fera plus que 0,50 - 0,60 environ---} Cela nous donne une caisse en mètre de, L. 240 x l. 40 x h. 24. Soit une hauteur de nos anciens immeubles au plafond de 4 m, de cinq étages.Des Écrits Bibliques qui demandent réflexion. Début du chapitre VII de la Genèse :
---Iahvé dit à NOÉ :
« Entre dans l’arche, toi et toute ta maison, car j’ai vu ……… »
Puis au verset plus loin, le n° 7 :
----NOÉ entra donc dans l’arche, et avec lui ses fils, sa femme et les femmes de ses fils, à cause des eaux du Déluge. ---
En premier il est dit : « Toute ta maison … » et plus loin seul ses fils, sa femme et les femmes de ses fils.
Nous nous apercevons là, de la misogynie des scribes. Certains Textes écrits sur Noé disent : « ….//.. Noé eut des fils et des filles …. »
Les filles de Noé prirent mari et eurent des enfants mâles et femelles, donc il est logique de retenir le premier verset : « …toute ta maison … » et cela nous confirme qu’il y avait un minimum de plus de cent humains, hommes, femmes, enfants, qui montèrent dans l’Arche.
Ces humains antédiluviens connaissaient certains métaux, en plus de la fabrication des armes de chasse, ils s’étaient façonné des outils, sinon comment auraient-ils fait pour construire cette immense caisse ?
Obligatoirement pour édifier un monument pareil, il a fallu faire des plans et des calculs, ce qui nous oblige à reconnaître qu’ils connaissaient l’écriture.
Les paléographes :
« Par quelques écrits nous savons aujourd’hui que Noé et sa descendance connaissaient l’ « ÉCRITURE ». Flavius Josèphe dans « Les Antiquités Juives » confirme ce fait et emprunte même quelques lignes du « Livre de NOÉ » ainsi que le « Livre des Remèdes », écrit par celui-ci, qui fut la source de toutes les connaissances médicales du monde de l’époque. »
Le temps passa ….
Trois cents ans après le Déluge, NOÉ voulu un recensement des familles et des tribus en ne comptant que les hommes. L’ensemble sans les femmes et les enfants était de « … //… Neuf cent quatorze mille cents. Voilà ceux qui furent passés en revue, du vivant de Noé après le cataclysme…… NOÉ vécut trois cent cinquante ans après le Déluge. Tous les jours de Noé furent de neuf cent cinquante ans et il mourut au plateau du mont Loubar au pays de la montagne ARARAT ……//…. »---Antiquités bibliques p 1247 V 5-8, Jubilés X 15-21 p 683.
Les humains continuèrent à se multiplier. Des clans, puis des tribus se formèrent. Sans entrer dans le religieux, presque toutes les bases des écritures, pour ne pas dire toutes viennent du même endroit --- { base sémitique --- signifie qui vient de Sem --- …Sem est bien l’un des fils de NOÉ et il est logique de penser que Sem et ses frères parlaient la langue de leurs parents --- et la langue de leurs parents était une sorte d’araméen ou de paléo-hébreux }--
Je n’invente rien, il suffit de lire les livres des paléographes et d’être logique avec ce qu’ils écrivent par apport à leurs découvertes, car eux ne font pas de religion, ce sont des chercheurs avant tout
Personne ne sait exactement comment se sont formés les peuples.
J’ai essayé d’éviter le religieux, mais cela est impossible car trop de Textes Bibliques de l’Ancien Testament s’avèrent aujourd’hui exacts.
Comme je l’ai écrit dans « Au Commencement … de la Tour de Babel à la Dispersion chapitre N° 8 » à la construction de la Tour de Babel il y a eu le mélange de langage et d’aspect des humains.
Voici ce rappel en copier-coller
----- Deuxième Texte ; celui-là par contre fut évincé avec empressement, pourtant connu d’Origène, Eusèbe de Césarée, Philon, le Talmud de Babylone, le TaNack, de Baruch, Esdras, Isaïe ….. Pourquoi ? ….. Sans aucun doute la réponse est là ! … ! …
-----« ….EL-SHADDAÏ dit :
« Voici qu’ils sont un seul peuple et ils ont une seule langue pour tous. Ce qu’ils ont commencé à faire, la terre ne le supportera pas et le ciel ne pourra tolérer sa vue. Il arrivera, si on ne les empêche pas immédiatement, qu’ils deviendront audacieux en tout ce qu’ils auront décidé de faire. C’est pourquoi, voici que je vais séparer leurs langues, changer leur aspect, leur visage et je les disperserai dans tous les pays pour que chacun ne connaisse plus son frère et que chacun d’entre eux ne comprenne plus la langue de son prochain. Je mets les pierres en garde à leur sujet. Ils se construiront des demeures avec les tiges de la paille et ils se creuseront des cavernes et, comme les bêtes des champs, ils habiteront là. Et il en sera ainsi devant moi en tout temps, pour que plus jamais ils ne pensent à cela. Je les considérerai comme une goutte d’eau et je les comparerai à un crachat. Pour certains, leur fin viendra dans l’eau, quant aux autres, ils seront desséchés par la soif. »
EL-SHADDAÏ descendit, et nous descendîmes avec Lui. EL-SHADDAÏ fit tout ce qui avait été dit. Il sépara leurs langues, changea leur physique, leur aspect, chacun ne reconnaissant plus son frère, ne comprenant plus la langue de son prochain. C’est ainsi que leur dessein fut brisé et qu’ils cessèrent de bâtir la Tour.
EL-SHADDAÏ les dispersa de là sur la face de toute la terre. Chacun partit selon son aspect, selon son langage. A cause de cela, on donna à ce lieu le nom de « CONFUSION » et de « RUINE » car EL-SHADDAÏ confondit leurs langages, changea leur visage et leur aspect, qu’il les dispersa sur la face de toute la Terre, et c’est là qu’il envoya un vent violent qui détruisit toute la Tour et la ville. …. »----{ III ième Bible -- Livre des Antiquités Bibliques, II et III Baruch, IV Esdras, …..etc. }
En lisant ces « Textes » nous comprenons mieux la diversité de la race humaine.
La langue d’origine des humains a disparue ---{ d’après la Bible, c’était l’hébreux , mais cette langue paléo-hébreux a disparue aujourd’hui et le peu de document qu’il nous reste nous ne pouvons les traduire car la possibilité d’erreur est trop grande. }
Voici quelque langue apparue en même temps ; langue élamite, peuple issu de Élam, premier fils de Sem, fis de Noé, parlé principalement en Parthie puis s’étendant vers l’Indus.
L’akkadien, divisé en deux dialectes celui du sud, babylonien, et celui du nord assyrien ; mais il y a aussi le sumérien, l’araméen qui viendrait du cinquième fils de Sem, Aram.
D’après certains écrits, Abram et toute sa famille, son clan, était à la construction de la Tour de Babel. Combien de centaines d’années sont passées entre le décès de Noé et la construction de la Tour de Babel,? …
Je ne vais pas écrire toutes les descendances des fils et des filles de Noé. En premier la lecture est difficile [ex : il prit pour femme la nommée Édni fille de Danel, une fille de la sœur du frère de son père ] Tout le long, la généalogie est écrite ainsi. Alors je vais résumer rapidement.
La suite prochainement et très rapidement si je le peux
Portez- vous bien ! …
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »
PS : Je vais vous poser un texte étonnant du Livre d’Énoch. A vous de le déchiffrer !
Chapitre LXXXIV
« Avant d’épouser ta mère, j’eus une vision dans mon lit.
2. Voici un taureau sortant de la terre.
3. Et ce taureau était blanc
4. Ensuite sortit une génisse, et avec elle deux jeunes veaux, dont l’un était noir et l’autre rouge.5. Le noir frappa le rouge et le poursuivait par toute la terre.
6. Dès ce moment je m’aperçus plus le veau rouge ; mais le noir survint à une extrême vieillesse, et il y avait avec lui une génisse.
7. Ensuite je vis beaucoup de taureaux nés de ce couple, qui leur ressemblaient et qui les suivaient.
8. Et la première génisse sortit de la présence du premier taureau ; et elle chercha le veau rouge, mais elle ne le trouva point.
9. Et elle poussait des gémissements lamentables, en le cherchant.
10. Et elle continua ses cris jusqu’à ce que le taureau s’approcha d’elle ; dès ce moment elle cessa de se plaindre et de gémir.
11. Et puis elle mit au monde un taureau blanc.
12. Et après celui-ci beaucoup d’autres taureaux et d’autres génisses.
13. Je vis encore dans mon songe un boeuf blanc, qui grandit de la même manière, et finit par devenir un grand boeuf blanc.
14. Et de lui sortirent beaucoup d’autres boeufs qui lui étaient semblables.
15. Et ils commencèrent à produire d’autres boeufs blancs, qui leur étaient semblables, et ils se succédaient les uns aux autres. »
Vous constaterez qu’il y a trois couleurs de taureaux, blanc, (cuivré pour certaines traductions) ou rouge, et le noir.
Maintenant voici ce qui est écrit dans le « Livre Sacré » des Quichés, peuples qui vivaient en Amérique latine avant l’arrivé des espagnoles avec Christophe Colomb.
Le « POPOL-VUH »
« Ils vivaient tous ensemble, est-il dit, et grande était leur existence et leur renommée dans les contrées de l’Orient. Alors ils ne servaient pas encore et ne soutenaient point les autels des dieux ; seulement ils tournaient leurs visages vers le Ciel et ils ne savaient ce qu’ils étaient venus faire si loin. Là vivaient alors dans la joie les hommes noirs et les hommes blancs ; doux était l’aspect de ces gens, doux le langage de ces peuples.
Ils n’invoquaient encore ni le bois ni la pierre. Ils ne se souvenaient que de la parole du Créateur et Fondateur, du Cœur du ciel, du Cœur de la terre. Ils parlaient en méditant sur ce qui cachait le lever du jour, et remplis de la parole sacrée, remplis d’amour, d’obéissance et de crainte, ils faisaient leurs prières, puis levant les yeux au ciel, ils demandaient des filles et des fils. »Je vous promets une chose, je vous poserais la suite des chapitres du « Livre d’Énoch » à la fin de « Hypocrisie Chrétienne ».
Comme moi vous allez être étonné, sachant que ce « Livre » à été recopié trois siècles avant l’arrivé de Jésus le Nazaréen.
Fait étrange c’est ce « POPOL-VUH » qui ressemble bizarrement au livre de la Genèse ainsi que des parallèles du Livre d’Énoch.
Commentaires
lapinbleu2 le 04-02-2010 à 11:24:53 # (site)
hello !!
trés instructif ton blog.. bravo !!
bonne journée.. jean claude..