posté le 06-04-2014 à 17:38:58

La Pâque, chap. N°6 - Perfection de Jésus le Nazaréen

 

Jean le Baptiste

 

La Pâque le Lundi 14 Avril

 

Dans une dizaine de jour c’est Pâque pour nous, les « Enfants » d’El-Shaddaï. Cet Pâque où le responsable de cérémonie exécutera les gestes de Jésus le Nazaréen, ce que nous ferons nous aussi après lui, car en faisant ce geste nous briserons nos chaines spirituel en nous libérant de toute emprise religieuse sur nous, reniant cette idolâtrie de toutes les confessions mondiales que se soit « Musulmane, Hindou, Bouddhiste, Christianisme », reprenant notre liberté pour suivre volontairement les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, ainsi que tous les Enseignements de Jésus le Nazaréen.

EL-SHADDAÏ nous sommes tes « Enfants », fière de l’être, alors avec allégresse nous allons pouvoir te prier sachant que tes ennemis ne vont pas rester là, à nous regarder, mais vont nous attaquer de toute part. Tu es notre bouclier et ils vont s’user les dents dessus.   

Pour le pain sans levain voici une recette.

Un peu de farine que vous mélangez a un peu d’eau, une pincée de sel, pour faire une pâte qui ne colle pas aux doigts. Vous pouvez ajouter un œuf ou deux, ou bien des fines herbes ou autre chose, sauf du levain ou de la levure.

Votre boule de pâte faite, vous faites des petites galettes en étalant la pâte au rouleau.

Au four à 200 degré et vous veillez pour que vos galettes ne soient pas trop cuites.

Pour le repas de la Pâque, pain sans levain, vin rouge, viande rôtie.

 

Dernières phrases du chapitre précédent

 

Aujourd’hui en l’an 2014, écrivant pour la Pâque, je suis dans l’obligation de reconnaître que les versets bibliques posés ci-dessous sont malheureusement d’actualités.

Malachie III : 14-15

« Vous dites :

« C'est vanité de servir EL-SHADDAÏ, et que gagnons-nous à avoir gardé ses observances et marché dans le deuil devant EL-SHADDAÏ Sabaot ?

Maintenant nous en sommes à déclarer heureux les arrogants, ils prospèrent, ceux qui font le mal, ils mettent EL-SHADDAÏ à l'épreuve et ils s'en tirent ! » »

Job XXI : 14-17

« Eux, pourtant, disent à EL-SHADDAÏ : « Écarte-toi de nous, connaître tes voies ne nous plaît pas!

Qu'est-ce que Shaddaï pour que nous le servions, quel profit pour nous à l'invoquer ? »

 Ne tiennent-ils pas leur bonheur en main, et EL-SHADDAÏ n'est-il pas écarté du conseil des méchants ?

Voit-on souvent la lampe des méchants s'éteindre, le malheur fondre sur eux, la Colère divine distribuer des souffrances ? »

Job XXII : 17

« Car ils disaient à EL-SHADDAÏ :

 « Éloigne-toi de nous! Que peut nous faire Shaddaï ? » »

En effet tout cela aujourd’hui nous sommes en droit de le penser, car quel espoir se dessine devant nous ?

 

Chapitre N° 6

 

Perfection de Jésus le Nazaréen

 

Sommes-nous entrés dans les prophéties d’Hénoch, de Moïse, qui reçurent leurs prophéties pour le premier par les Anges d’EL-SHADDAÏ, pendant soixante jours et nuits, et pour le second d’EL-SHADDAÏ lui-même pendant quarante jours et quarante nuits, sans compter les rappels d’Ézéchiel, Isaïe, Daniel, Jérémie, et du plus grand de tous qui fut aussi le dernier, le Fils unique engendré d’EL-SHADDAÏ, Jésus le Nazaréen ?

Pourquoi ce Dieu seul, ce Dieu unique, EL-SHADDAÏ, envoya-t-il sur la planète Terre son Fils unique engendré, non créé comme l’humain, pour sauver ce dernier qui fut d’une ingratitude remarquable ?

Ce Dieu doit avoir un cœur énorme pour aimer cet humain oublieux, stérile, son amour pour cet Être à son image, à son reflet en tout, est immense jusqu’à demander à son Fils de venir sur la Terre en tant qu’humain pour redonner la vie éternelle à ce dernier, malgré tous les risques que cela encours.

Comme annoncé par les prophéties, Jésus le Nazaréen est né comme tous les humains, après avoir été formaté dans un ventre féminin, le seul à posséder le mystère et la matrice du développement de l’enfantement, car comme l’oiseau, la poule, cet œuf est, si l’on peut dire, couvé dans la partie abdominale de la femelle.

Jésus le Nazôréen doit naître d’une femme dont le corps est parfait sans tache, donc d’une femme ne possédant pas la tare héréditaire de la première transgression humaine. La Bible sur ce fait spécifique est muette, même pas une allusion, une vraie tombe ! …

Comme à mon habitude, en premier je vais réfléchir comme un « Païen », mais avec une logique indémontable.

Grâce aux sciences modernes, tout n’est pas mauvais dans la science, nous savons qu’un enfant à un cinquante, cinquante de ses géniteurs, c’est-à-dire un ADN pour moitié de la mère, de moitié pour le père. Cela est une certitude scientifique !

Donc Jésus le Nazôréen a un ADN pour moitié de sa mère, donc imparfait, et l’autre moitié de son Père, donc parfait mais en plus, un ADN inconnu, puisque le spermatozoïde mâle vient de l’ADN céleste. Ma réflexion et ma logique sont tellement évidentes qu’il est difficile de me prouver le contraire. Cela fait de Jésus le Nazaréen un « Être » imparfait, donc il ne peut être équivalent à Adam et Ève, qui eux étaient parfaits.

Je viens de vous prouver que Jésus-Christ, Jésus le Nazaréen pour moi, est un charlatan car il est mort bêtement par la torture romaine, n’offrant à l’humain rien en échange.

Aucun texte de la Bible canonique du Nouveau Testament ne nous prouve la perfection de Marie la mère de Jésus le Nazaréen !

Rien, pas une ligne, pas un mot !

Si nous voulons être sauvés, il est impératif que Jésus le Nazôréen naisse parfait de corps sans la tare Adamique. Si ce n’est pas le cas alors la race humaine est maudite, plus honnie que la plus exécrable bestiole et alors pourquoi avoir créé cette race à l’image, au reflet de ce Dieu unique, cela n’a pas de sens, et d’un illogisme phénoménal !

Comme toujours l’humain a évincé des « Livres » qui le dérangeaient en les déclarants apocryphes, qui signifient que ces écrits ne doivent pas être dévoilés.

Ces écrits apocryphes nous divulguent la perfection du corps de Marie, quant à l’âge de trois ans, EL-SHADDAÏ, devant le peuple rassemblé au Temple de Jérusalem, supprima la tare Adamique à cette enfant qui esquissât des pas de danse sur les marches de l’Autel interdit au peuple et réservé uniquement aux Prêtres du Temple.

De ce corps parfait pouvait naître un être parfait puisque la semence venait du Père Céleste, donc Jésus le Nazaréen avait un ADN par sa mère parfait comme son Père et les desseins de ce dernier pouvaient se réaliser.

Maintenant, je certifie que Jésus le Nazaréen est né parfait de corps et qu’il est resté parfait en « Esprit » et que par ses actions sur la Terre, il a prouvé qu’il était vraiment le Fils Bien-Aimé d’EL-SHADDAÏ. Par lui, l’être humain peut retrouver sa perfection comme à l’origine, là tout est logique, nous prouvant combien EL-SHADDAÏ aime l’humain, sa plus belle création.

Les prophéties se sont réalisées et Jésus le Nazaréen, son fils unique, non créé mais engendré, est né une seconde fois en temps que matière humaine avec tout ce que cela comporte comme risques pour son Père géniteur EL-SHADDAÏ.

En effet, cet unique Enfant, afin d’accomplir la volonté de son Père, accepta librement de venir sur Terre pour sauver la race humaine.

Voyons les Écritures !

Matthieu XXVI : 26-29

« Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant :

 « Prenez, mangez, ceci est mon corps. »

Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant :

 « Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés.

Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, nouveau, dans le Royaume de mon Père. » »

Jean XIX : 36

« Car cela est arrivé afin que l'Écriture fût accomplie : Pas un os ne lui sera brisé. »

Lettre aux Hébreux par le Disciple Saül de Tarse dit Paul. IX : 15, X : 16

« Voilà pourquoi il est médiateur d'une nouvelle alliance, afin que, sa mort ayant eu lieu pour racheter les transgressions de la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel promis. »

« Telle est l'alliance que je contracterai avec eux après ces jours-là, dit le Seigneur EL-SHADDAÏ,

« Je mettrai mes lois dans leur cœur et je les graverai dans leur pensée. » »

Tous les historiens affirment que Pierre était l’Évêque d’Antioche jusque en l’an 59-60 où il partit pour Rome. Donc il ne fut l’Évêque de Rome que quatre ans et ce n’est pas le premier Évêque de cette ville il s’ensuit que ce ne peut pas être le premier « Pape » de la chrétienté.

Chercher l’erreur ! … !

Avant mon explication personnelle sur le sacrifice de Jésus le Nazaréen, je vais être ce que je suis, un « Païen » pour la chrétienté, et je vais réfléchir comme tel.

« Prenez et manger ceci est mon corps »

« Prenez et buvez ceci est mon sang »

Je ne peux accepter et accéder à votre religion chrétienne car vous êtes des cannibales. En effet vous mangez de la chair humaine et vous buvez du sang humain.

Vos Prêtres font cela tous les jours et vous, vous ne valez guère mieux puisque c’est ce que vous faites le Dimanche à la messe quand vous communiez.

Vous mangez bien le corps de Jésus le Nazaréen, votre Jésus-Christ, et buvez bien son sang ! …

Je ne suis pas un menteur ! …

Ce que je viens d’écrire est bien l’explication de vos Dirigeants !

Vous-mêmes, chrétiens, c’est bien ce que vous écrivez, affirmez sur le Net !

Donc j’ai raison vous êtes des cannibales !

Même nos « Dieux » païens n’acceptent pas le cannibalisme ! Alors vous êtes pire que toutes les religions de la Terre !

A moins que toutes vos explications soit erronées, ce que personnellement je pense, car dans votre religion il y a tellement d’inventions comme la « Trinité », le « Saint Esprit » qui serait un troisième Dieu, La Messe, le Purgatoire, le Confessionnal, etc …

Voyons maintenant ma réflexion sur ce sacrifice de Jésus le Nazaréen et sur ses paroles. Ce raisonnement, comme il se doit, n’engage que ma façon personnelle de comprendre les Écritures. Comme à chaque fois j’essaierai d’être le plus logique possible, mais sur ce point je ne me fais pas trop de soucis car EL-SHADDAÏ veille mon esprit et me reprend si nécessaire, car ce Dieu unique, me donne un « esprit SAIN », il n’y a pas de faute d’orthographe.

La fête de la Pâque est la plus importante pour EL-SHADDAÏ car, en dehors de la première alliance qu’il avait faite avec Abraham confirmé avec le fils de ce dernier du nom d’Isaac, elle est perpétuelle.

A cette première alliance il y avait le choix de son Peuple avec une manière certaine de le reconnaître, mais il n’y avait pas de Pâque.

Avec Moïse la Pâque et l’Alliance deviennent beaucoup plus importante. En effet puisque c’est le Dieu unique EL-SHADDAÏ qui délivre « Son Peuple » de l’esclavage Égyptien. Il ne faut pas oublier que ce « Peuple » est devenu un peuple au pays d’Égypte après, quatre cents ans avant, une grande disette en Palestine à l’époque de Joseph et de son père Jacob. C’est la descendance de Jacob qui fit ce « Peuple » en Égypte.

C’est dans ce pays d’Égypte que la Pâque fut instituée par EL-SHADDAÏ le quatorzième jour du premier mois de l’année, le mois de Nissan, où le soir il fallait manger la viande rôtie d’un petit bétail dont on n’aura pas brisé les os que l’on aura saigné et avec le sang on aura badigeonné les linteaux de la porte pour la reconnaissance et la protection, accompagné d’un pain sans levain.

Puis dans le Sinaï il y eu cette seconde alliance avec le « Peuple » et EL-SHADDAÏ où Moïse aspergea le peuple avec le sang d’un jeune taureau sans tache.

 Par la suite, à la Pâque les prêtres badigeonnaient les montants de la porte du Temple pour la rémission des péchés.

Comme à son habitude l’humain transforma cette fête sacrée pour EL-SHADDAÏ, en une fête banale, ou le sens premier avait disparu.

À la naissance de Jésus le Nazaréen le « Peuple » d’EL-SHADDAÏ n’existait plus puisque les israélites, « Peuple d’EL-SHADDAÏ » avait été dispersé sur la surface de la Terre.

La preuve flagrante de ce que je viens d’écrire est Jean le Baptiste, qui demandait à ses semblables de se baptiser dans le Jourdain afin de faire partie du « Nouveau Peuple » d’EL-SHADDAÏ, puisque cette action représentait la « circoncision spirituelle ».

. En l'an 27, Jean le Baptiste s'installe sur les bords du Jourdain, où il commence à pratiquer le « baptême de repentir pour la rémission des péchés » par immersion dans l'eau prophétisé par Isaïe.

Isaïe XL : 3-5

« Une voix crie :

 « Dans le désert, frayez le chemin d’EL-SHADDAÏ, dans la steppe, aplanissez une route pour notre Dieu.

Que toute vallée soit comblée, toute montagne et toute colline abaissées, que les lieux accidentés se changent en plaine et les escarpements en large vallée. Alors la gloire d’EL-SHADDAÏ se révélera et toute chair, d'un coup, la verra, car la bouche d’EL-SHADDAÏ a parlé. »

Voici les paroles de Jean quand il baptisait ses semblables dans le Jourdain

Matthieu III : 10-12

« Déjà la cognée se trouve à la racine des arbres ; tout arbre donc qui ne produit pas de bon fruit va être coupé et jeté au feu.

Pour moi, je vous baptise dans de l'eau en vue du repentir ; mais celui qui vient derrière moi est plus fort que moi, dont je ne suis pas digne d'enlever les sandales.

Il tient en sa main la pelle à vanner et va nettoyer son aire. Il recueillera son blé dans le grenier, quant aux bales, il les consumera au feu qui ne s'éteint pas. »

Je tiens à vous prévenir que j’ai supprimé cet ajout « lui vous baptisera dans l'Esprit Saint et le feu. » qui est un vulgaire ajout de copiste, car Jésus le Nazaréen n’a jamais baptisé personne.

Matthieu III : 13-17

Alors Jésus arrive de la Galilée au Jourdain, vers Jean, pour être baptisé par lui.

Celui-ci l'en détournait, en disant :

« C'est moi qui ai besoin d'être baptisé par toi, et toi, tu viens à moi ! »

Mais Jésus lui répondit :

« Laisse faire pour l'instant, car c'est ainsi qu'il nous convient d'accomplir toute justice. »

Alors il le laisse faire.

Ayant été baptisé, Jésus aussitôt remonta de l'eau, et voici que les cieux s'ouvrirent. Il vit l'Esprit d’EL-SHADDAÏ descendre comme une colombe et venir sur lui.

Et voici qu'une voix venue des cieux disait :

« Celui-ci est mon Fils bien-aimé, qui a toute ma faveur. »

J’espère que vous avez lu attentivement ces versets car il n’est pas question « d’Esprit Saint » mais de « l’Esprit d’EL-SHADDAÏ » c’est à dire de « l’Esprit d’Intelligence » qui est matérialisé par quelque chose de visible à l’humain, car « l’Esprit » ne se voit pas, alors il fallait bien matérialiser ces ondes par une chose qui descend comme une colombe, mais qui n’est pas une colombe.

Ce « Baptême » aurait dû être une alliance avec le nouveau peuple d’EL-SHADDAÏ, malheureusement l’humain, encore une fois, a détourné cet acte en le transformant en signe d’idolâtrie marquant au front par le signe de la croix ses enfants en offrande au Roi de cette Terre SAMMAËL, celui que vous nommez « Dieu »  qui en réalité est « Satan » car il est vraiment pour le moment le « Dieu » de la Terre.

EL-SHADDAÏ est obligé de respecter son engagement en laissant à SAMMAËL le « TEMPS défini », car il a donné une arme terrible à l’humain contre ce « Dieu SAMMAËL », le « Libre-choix » pas de torture, pas de menace, la liberté complète pour l’humain.

Alors pourquoi avoir laissé torturer son propre Fils, son Être le plus cher, celui qui est venu de ses entrailles, celui qui fait partie de son « sang », sachant que cet humain est irréductible et qu’il va trucider l’Être qui n’a pas de prix tellement l’amour est grand pour lui ?

Son propre Fils savait qu’en venant sur la Terre, cet humain allait le tuer, sinon il n’aurait jamais conté cette « Parabole »

Luc XX : 9-15

---« Jésus le Nazaréen se mit alors à dire au peuple la parabole que voici :

« Un homme planta une vigne, puis il la loua à des vignerons et partit en voyage pour un temps assez long.

Le moment venu, il envoya un serviteur aux vignerons pour qu'ils lui donnent une part du fruit de la vigne. Mais les vignerons le renvoyèrent les mains vides, après l'avoir battu.

Il recommença, envoyant un autre serviteur, et celui-là aussi, ils le battirent, le couvrirent d'outrages et le renvoyèrent les mains vides.

Il recommença, envoyant un troisième, et celui-là aussi, ils le blessèrent et le jetèrent dehors.

Le maître de la vigne se dit alors :

«Que faire ?

Je vais envoyer mon fils bien-aimé, peut-être respecteront-ils celui-là. »

Mais, à sa vue, les vignerons faisaient entre eux ce raisonnement :

 «Celui-ci est l'héritier. Tuons-le, pour que l'héritage soit à nous. »

Et, le jetant hors de la vigne, ils le tuèrent. » »-----

Tout ce que j’écris est une réflexion et un raisonnement personnel qui me touche profondément, car je suis un humain, et comme lui je suis dans l’imperfection, mais j’ai ce « Libre-Choix », cette liberté absolue de mes pensées, raisonnement, réflexion, actions, donc je suis responsable de moi intégralement.

Ce n’est pas la faute d’EL-SHADDAÏ si certaines de mes actions sont bonnes ou mauvaises ! …

Ce Dieu seul et unique, notre Père spirituel au Cieux, EL-SHADDAÏ, a convenu avec nous ses « Enfants », nous qui formons son « Nouveau Peuple », une « ultime Alliance » en mettant dans notre cœur ses Lois et Préceptes plus les Enseignements de son Fils engendré, Jésus le Nazaréen, et nous volontairement, sincèrement, librement acceptons tout ce qui vient d’être écrit.

EL-SHADDAÏ ne nous a pas choisi, non, c’est nous humains qui librement, sans torture, sans menace, mais avec la sincérité de notre cœur qui l’avons choisi comme étant notre seul et unique « Dieu », et nous n’avons pas besoin d’images, de statues représentative puisque lorsque nous nous regardons dans une glace, c’est son image que nous voyons !

Cette vérité est flagrante indémontable, c’est pour cela que nous l’avons choisi comme notre Dieu.

Qu’il soit toujours dans votre cœur ! Prenez soins de vous et portez-vous bien !

Salutations cordiales

Sig : JP.G dit « Grandeloupo » 


 

 


Commentaires

 
 
 
posté le 28-03-2014 à 01:37:42

La Pâque, chap. N°4 - Carême = Action païenne Babylonienne

Dieu Babylonien

La Pâque le Lundi 14 Avril

 

Dans deux semaines, le Lundi 14 Avril, entre les deux soirs, nous allons fêter la Pâque comme notre Père Céleste nous le demande.

Vous mes semblables, qui chaque année me lisez au sujet de cette fête de la Pâque, où j’essaie par mes écrits de ne pas être trop répétitif, cette année, si vous avez le cœur pour, vous allez célébrer la Pâque. Je tiens à vous dire à tous que vous êtes de plus en plus nombreux à me lire, ce qui m’encourage à continuer dans cette voie de héraut pour ce Dieu seul et unique, EL-SHADDAÏ.

La Pâque représente pour nous la libération des chaines religieuses et sectaires, car nous refusons avec force l’idolâtrie chrétienne, comme l’idolâtrie de toutes les autres confessions religieuses. Contrairement à toutes ces religions, nous aimons, glorifions, vénérons, prions qu’un seul et unique « Dieu », celui que nous appelons EL-SHADDAÏ, Être Suprême, et nos prières sont retransmises par notre médiateur, assesseur, notre Roi, Jésus le Nazôréen qui n’est pas un « Dieu » puisqu’il a eu un commencement et qu’il peut avoir une fin par la volonté de son Père, cela il faut le savoir, comme il faut savoir que son Père nous a promis que son Fils règnerai au milieu de nous, par cela nous savons que ce Père ne veut pas la fin de son Fils unique.

Donc ce lundi 14 Avril nous allons commémorer notre libération spirituelle des entraves religieuses.

Explication dans les textes à venir

 

Par le chapitre précédent

 

Épitre aux Hébreux IX : 15-16

 « Voilà pourquoi il est médiateur d'une nouvelle alliance, afin que, sa mort ayant eu lieu pour racheter les transgressions de la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel promis. »

« Telle est l'alliance que je contracterai avec eux après ces jours-là, dit le Seigneur EL-SHADDAÏ,

« Je mettrai mes lois dans leur cœur et je les graverai dans leur pensée. » »

Avant de continuer sur cette « Nouvelle Alliance », voyons ce que les responsables humains du IVème au VIème, ces Évêques déclarés « Saint » à leur mort par un conciliabule d’Évêques sous la tutelle du « Pontifex Maximus » qui était l’Empereur Romain, le « Pape » n’existant pas encore, inventèrent en instituant un jeun de quarante jours avant les Pâques

 Jamais, je ne dis bien jamais, la Bible incite à faire un jeun de quarante jours avant la Pâque.

 Alors pourquoi l’Église Chrétienne a institué le « Carême » qui ait une action non biblique ?

 

Chapitre N° 4

 

Carême : Action païenne babylonienne

 

Il n’y a aucun écrit biblique ou historique qui mentionne que Jésus le Nazôréen, les Apôtres ou l’Église primitive aient participé à une période de carême.

Pâques (ou dimanche de Pâques) est une fête religieuse chrétienne qui commémore la résurrection de Jésus-Christ, le troisième jour après sa mort par la torture romaine de la  crucifixion. C'est le jour le plus saint du calendrier chrétien.

Il marque la fin du jeûne du « Carême. » 

Le nom carême provient de la contraction du mot latin quadragesima, qui signifie « quarantième ». Il s'agit naturellement d'une référence au jour de Pâques, qui termine le carême.

Le carême est une période de jeûne de quarante jours que l'Église a instituée en référence aux quarante jours de jeûne effectués par Jésus-Christ dans le désert.

Matthieu IV : 1-11

Alors Jésus fut emmené au désert par l'Esprit, pour être tenté par le diable.

Il jeûna durant quarante jours et quarante nuits, après quoi il eut faim.

Et, s'approchant, le tentateur lui dit :

« Si tu es Fils d’EL-SHADDAÏ, dis que ces pierres deviennent des pains. »

Mais il répondit :

« Il est écrit : Ce n'est pas de pain seul que vivra l'homme, mais de toute parole qui sort de la bouche d’EL-SHADDAÏ »

Alors le diable le prend avec lui dans la Ville Sainte, et il le plaça sur le pinacle du Temple et lui dit :

« Si tu es Fils d’EL-SHADDAÏ, jette-toi en bas ; car il est écrit : Il donnera pour toi des ordres à ses anges, et sur leurs mains ils te porteront, de peur que tu ne heurtes du pied quelque pierre. »

Jésus lui dit :

« Il est encore écrit : Tu ne tenteras pas le Seigneur, ton Dieu. »

De nouveau le diable le prend avec lui sur une très haute montagne, lui montre tous les royaumes du monde avec leur gloire et lui dit :

« Tout cela, je te le donnerai, si, te prosternant, tu me rends hommage. »

Alors Jésus lui dit :

« Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : C'est le Seigneur ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. »

Alors le diable le quitte. Et voici que des anges s'approchèrent, et ils le servaient.

Le Carême est la période de préparation à la fête de Pâques qui est, dans le calendrier chrétien, la plus grande fête de l'année. 

On appelle aussi le carême, la Sainte Quarantaine. La durée de quarante jours commémore à la fois les quarante jours et quarante nuits du jeûne de  Moïse avant la remise des Tables de la Loi et les quarante jours de la tentation du Christ dans le désert entre son baptême et le début de sa vie publique, lors desquels il fut tenté par Satan, d'après les Évangiles synoptiques. 

La pratique du carême remonte au IVème siècle de notre ère.

C'est durant le Concile de Laodicée qui se situe en Phrygie, Asie Mineure, en 360 que fut prescrite la « xérophagie » c'est-à-dire l'usage exclusif du pain et des fruits secs pendant le temps qui correspondait au carême. Le concile de Laodicée ordonna officiellement l’observance du carême.

Parenthèse, je n’ai pas pu résister.

Les livres du Nouveau Testament sont d’inspiration Divine, alors juste pour le plaisir :

Canon 60 décrété au Concile de Laodicée

« Canon 60

Liste les écritures retenues par l'Église, notamment les quatre évangiles canoniques constituant le nouveau testament, rejetant ainsi les autres textes dans la catégorie des Apocryphes.

À ce concile, l'Apocalypse de Saint Jean était lui aussi exclu des livres canoniques ce que ne manque pas de relever Voltaire :

« Le concile de Laodicée, tenu en 364, ne compta point l’Apocalypse parmi les livres canoniques. Il était bien singulier que Laodicée, qui était une Église à qui l’Apocalypse était adressée, rejetât un trésor destiné pour elle; et que l’évêque d’Éphèse, qui assistait au concile, rejetât aussi ce livre de saint Jean enterré dans Éphèse. »

Comique … non ? …

Au VIIe siècle, le carême fut établi dans son calendrier actuel. 

Le jour de Pâques a été fixé lors du concile de Nicée (aujourd'hui İznik, en Turquie), en 325.

Les fêtes de la Pâque et des Pains sans Levain étaient observées par Jésus le Nazaréen, les Apôtres et Disciples de la première heure, et par la suite par les Églises primitives, y compris les païens qui en faisaient partie.

En instituant le « Carême » avec le « Jeudi et Vendredi Saint » et « Les Pâques » l’Église Chrétienne se fourvoie car ce sont des célébrations qui sont  profondément ancrées dans le paganisme ancien babylonien.

Elles ont été instituées par le christianisme traditionnel pour remplacer la saison de la Pâque juive. En effet, malgré que le début de ce Christianisme fut un embryon de la religion judaïque, les Évêques Dirigeants tout en acceptant les écrits hébraïques Ancien et Nouveau Testaments, les rejetaient hypocritement, défaisant, tranchant, remaniant ceux-ci changeant de quelques jours les fêtes religieuses, leur donnant un autre « Nom » quand cela était possible.

Je cite l’Encyclopédie catholique 1917

« …//…Le principal but du carême est, par-dessus tout, de préparer les gens à la célébration de la mort et de la résurrection du Christ …//… Meilleure est la préparation, meilleure sera la célébration. On ne peut réellement revivre le mystère qu’avec un esprit et un cœur purifié. Le but du carême est de fournir cette purification en détachant l’homme du péché et de l’égoïsme par l’abnégation et la prière tout en suscitant en lui le désir d’accomplir la volonté de Dieu et de faire en sorte que Son royaume vienne d’abord dans le cœur de chacun.»

À première vue, cette croyance semble sincère. Toutefois, elle n’est pas en accord avec ce que dit la Bible. Une mise en garde  du Disciple Saül de Tarse nommé Paul qu’il écrivit à Timothée.

II Tim 3 : 13-17

« Quant aux pécheurs et aux charlatans, ils feront toujours plus de progrès dans le mal, à la fois trompeurs et trompés.

Pour toi, tiens-toi à ce que tu as appris et dont tu as acquis la certitude. Tu sais de quels Maîtres tu la tiens, et c'est depuis ton plus jeune âge que tu connais les saines Lettres. Elles sont à même de te procurer la sagesse qui conduit au salut par la foi dans Jésus le Nazôréen

Toute Écriture est inspirée d’EL-SHADDAÏ et utile pour enseigner, réfuter, redresser, former à la justice. Ainsi l'homme d’EL-SHADDAÏ se trouve-t-il accompli, équipé pour toute œuvre bonne. »

Étant donné qu’il n’existe aucune instruction biblique ordonnant d’observer le carême, quelle est donc son origine ?

Voyons les faits historiques et comment la religion chrétienne est devenue la plus grande religion « Païenne » en servant le « Maître de la Terre Sammaël qui porte les noms de Baal, Moloch, Mastéma, Béliar, Satan, Lucifer, et familièrement Diable. »

Venons-en maintenant à la fête de Pâques 

Le nom « Pâques » avec un « s » en terminaison  a une origine Chaldéenne et n’est pas autre chose que la traduction du nom « Astarté », l’un des titres de Beltis, la « Reine des Cieux », des Ninivites. Le mot « Pâques » se prononçait « Easter », mot usité dans la langue anglaise pour Pâques

Ci-dessous des textes du livre de Alexander Histops, « Les Deux Babylone »

« La fête dont nous parle l'histoire de l'Église sous le nom de « Pâques » aux III  et IVème siècle, était une fête toute différente de celle qu'on observe aujour­d'hui dans l'Église Romaine.

 On l'appelait Pascha ou « La Pâque », et bien qu'elle ne fût pas une institution apostolique, elle était observée de fort bonne heure par bien des chrétiens déclarés en sou­venir de la mort et de la résurrection du Christ. Cette fête s'accordait à l'origine avec l'époque de la Pâque juive où le Christ fut sacrifié. Vers la fin du IIème siècle, du temps de Tertullien, on croyait que c'était le 23 mars. »

Le mot grec qui a été traduit par « Pâque(s) » est  « pascha » qui provient du mot hébreu pessa’h. Il n’existe aucun mot grec pour le mot « Pâque » et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâquejamais les « Pâques » ! C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec.

« Cette fête n'était nullement une fête idolâtre, et n'était précédée d'aucun carême. 

 « Il faut savoir, dit le moine  Johannes Cassianus  de Marseille, écrivant au Ve siècle et comparant l'Église primitive avec celle de son époque, que l'obser­vation des 40 jours n'existait pas, aussi longtemps que la pureté de cette église demeura intacte. » ( Première Conférence de l’Abbé Théonas, chap. 30 ).  

« D'où venait donc cette observation ?

Les 40 jours de jeûne du carême étaient directement empruntés aux adorateurs de la déesse Babylonienne. Le jeûne de 40 jours au printemps de l'année est encore observé par les Yezidis ou adora­teurs païens du diable dans le Kurdistan, qui l'ont emprunté à leurs anciens maîtres les Babyloniens.

II en était de même en Égypte. » ( Wilkinson, Antiquités Égyptiennes, vol. I, p. 278 )

« Ce jeûne égyptien de 40 jours, nous dit Landseer dans ses recherches Sabéennes,( vol. I, p. 112.) était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis ou Osiris, le grand Dieu médiateur. 

Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. »

Socrate de Constantinople, 380-450, historien ecclésiastique de l'antiquité, après un long récit des diverses manières dont Pâques était observée de son temps, au Vème siècle se résume ainsi.

« Nous en avons déjà assez écrit, nous semble-t-il, pour prouver que la fête de Pâques commença partout à être célébrée bien plus par habitude que par suite d'un commandement de Christ ou des apôtres. » (Hist. ecclés., liv. V, ch. 22).

Je cite toujours des extraits des Deux Babylone en ajoutant des références de confirmation.

 « Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. Dans bien des pays cette mort était célébrée beaucoup plus tard que la fête chrétienne.

En Palestine et en Assyrie, c'était au mois de juin, aussi disait-on de ce mois:

« C'est le mois de Tammuz. »

En Égypte, vers le milieu de mai.

Afin de gagner les païens à un christianisme nominal, Rome poursuivant sa tactique habituelle, s'arrangea pour fondre ensemble les fêtes païennes et les fêtes chré­tiennes, et par un ajustement compliqué mais habile de son calendrier, elle n'eut pas de peine en général à faire que le christianisme et le paganisme ne se donnassent la main sur cette question comme sur beaucoup d'autres.

Celui qui servit à faire cet amalgame fut Denys-le-Petit vers l’an 525, ap. J-C.,  auquel nous devons aussi, comme l'ont démontré des chronologistes modernes, d'avoir reculé de quatre à sept années au-delà de sa véritable date, la date de l'ère chré­tienne, ou de la naissance du Christ lui-même.

 Le fit-il par ignorance ou volontairement ?

Ce changement dans le calendrier à propos de Pâques eut les plus désastreuses conséquences. ( Vol. I, p. 51, Gieseler cite comme autorité, à propos de ses déclara­tions, HUMBERGER, De epochœ Christianœ ortu et auctore (in MARTINI, Thesaur. Dissertat; JANI, Historia Aerœ Dionysianœ, Viteb. 1715 et IDELER, Chronologie). C'est aussi la déclaration faite dans presque toutes les chronologies.)

 II fit entrer dans l'Église la plus grossière corruption et la superstition la plus vile au sujet de l'abstinence du carê­me.

C'était un mauvais signe que des chrétiens ne pussent jamais songer à introduire l'abstinence païenne du carême, cela prouvait la profondeur de leur dégrada­tion, et c'était aussi la cause d'un grand mal.

Cela menait inévitablement à une dégradation encore plus profonde.

À l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carê­me avec les orgies du carnaval qui le précédaient et même lorsqu'on crut qu'il était nécessaire de jeûner avant la Pâque chrétienne, ce fut insensiblement qu'on se conforma au rite païen.

On ne voit pas trop combien de temps durait le jeûne dans l'Église Romaine avant le concile de Nicée en 325 sous Constantin le Grand. Mais ce qu'on sait d'une manière cer­taine, c'est que bien longtemps après ce Concile, il ne durait pas plus de trois semaines. »

Voici ce que dit Socrate écrivant sur ce sujet, vers 440-450 après J.-C. :

 « Ceux qui habitent la grande cité de Rome jeûnent avant Pâques pendant trois semaines excepté le samedi et le jour du Seigneur. » (Hist. ecclés, liv. V, ch. 22, p. 234.)

Socrate de Constantinople dit le Scolastique historiographe chrétien, tout comme Théodoret 393-460, un historiographe est une personne qui lit et écrit l’histoire, avec Sozomène 375-450 et Évagre le Scolastique 536-594, tous deux historiens chrétiens reconnaissent dans leurs écris l’incohérence des jours de jeûne pour la Pâques comme pour le jour même de Pâques. La haine est tellement grande contre les juifs que les théologiens, historiographes et autres écrivains, tous chrétiens vont jusqu’à nier le jour de Pâque juif oubliant que celui qu’ils vénèrent comme un « Dieu », je nomme Jésus-Christ, est juif ainsi que ses Apôtres et Disciples. A cela nous nous apercevons de la détérioration spirituelle de cette religion et que ce sont les dogmes des humains qui font force de Lois, Jésus le Nazaréen est aux oubliettes avec ses Enseignements.

Espérant que cette lecture fut instructive et intéressante pour votre raisonnement personnel, et qu’elle vous permet de vous approcher de ce Dieu unique que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, portez-vous bien !

Salutations cordiales à tous !

Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » mais plus souvent « GRANDELOUPO » 

 


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posté le 23-03-2014 à 06:13:43

La Pâque, chap. N°3 - Ultime Alliance

 

 

 

 

 

Arche de l’Alliance

 

 

La Pâque le Lundi 14 Avril

 

Dans trois voir quatre semaines nous serons le lundi 14 Avril. Pour nous « Enfants » de ce Dieu seul et unique, c’est un jour de fête. En effet le soir du 14 Avril, après le coucher du soleil, dans le calendrier d’EL-SHADDAÏ, le jour de Pâque commence qui est le 15 Avril.

Selon la disponibilité de chacun dans cette journée du 14 Avril, notre épouse ou nous-même aura préparé ces galettes de pain sans levain comme EL-SHADDAÏ nous le demande. Chacun selon son portefeuille, selon ses goûts, aura prévu une viande à rôtir et si elle comporte un os, nous ferons attention à que celui-ci ne soit pas brisé.

Il ne faut pas oublier que c’est un repas normal, alors cette viande peut être accompagnée de légumes ou d’une salade. Nous choisirons pour le plaisir du palais un bon vin rouge, léger pour une viande blanche et un peu plus corsé pour une viande rouge.

Nous célébrerons cette Pâque dans la joie, en famille bien-sûr et si possible, et si nous avons des voisins qui comme nous sont « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, ou des amis proches, alors essayons de faire cette « Pâque » ensemble. Il sera normal que dans la maison où nous célébrons la Pâque que ce soit le chef de cette maison qui officie ce repas sauf si celui-ci demande à un de ces convives ayant le plus de connaissances d’officier à sa place.

Je continuerai ce développement de ce jour de Pâque dans le prochain chapitre

 

Dernières phrases du chapitre précédent

 

Le dernier prophète Joël marquera la fin définitive du peuple d’El-Shaddaï. Trois siècles avant l’Ère Commune une grande partie de la Palestine sera hellénisé de force malgré une forte opposition. C’est à cette époque, près d’Alexandrie que seront traduit « les Livres Sacrés » de la religion juive sous le nom de « Septante », notre Ancien Testament.

Les juifs et juives se mariaient avec les gens des nations quittant leur religion pour épouser la religion adverse et devenaient pour la majorité idolâtre, abandonnant les Lois et Préceptes de leur Dieu Shaddaï.

Nous arrivons à l’ère où vécut Jésus le Nazaréen !

 

Chapitre N° 3

 

Ultime Alliance

 

Du « Peuple d’El-Shaddaï » il ne reste plus rien en terme spirituel. Les hébreux vivant en Palestine respectent les fêtes religieuses instituées par les humains, qui ne sont qu’une dérive des anciennes fêtes célébrées au temps de David et du roi Salomon, seuls les noms sont restés. La seule fête qui ne bouge pas est la  cérémonie de « Pâque »

La  « Pâque » à l’ère de Jésus le Nazaréen à toujours ce sens de libération, de renouveau. D’ailleurs beaucoup d’hébreux espèrent en la venue d’un Messie qui les libérera du joug romain, qui protègera le pays d’Israël et que celui-ci retrouvera sa splendeur de l’ère du Roi David.

Ceci, jamais ne se produira, au contraire la Nation d’Israël sera rayée de la carte. Il faudra attendre 1948 pour qu’Israël ne redevienne une Nation libre et indépendante.

Jésus le Nazaréen est né dans un mystère total.

Nombreux étaient les juifs qui allaient célébrer Pâques en pèlerinage à Jérusalem. Ils sacrifiaient le petit bétail au temple puis le mangeaient en famille.

Les parents de Jésus respectueux de la Loi viendront chaque année à Jérusalem pour la Pâque, et c’est là, qu’à l’âge de douze ans il se fera connaître en lisant le rouleau d’Esaïe au Temple, devant le Sanhédrin. Le Sanhédrin est une administration de soixante et onze « Grand Prêtre » qui ont la charge de vérifier les Lois religieuses, de les faire appliquer ; il est aussi le tribunal suprême dont le rôle important est la promulgation du calendrier ; il a un pouvoir politique et religieux puisqu’il peut contrôler les actions et décision du Roi, ainsi que ceux du Grand Prêtre du Temple.

A l’ère de Jésus, la majorité des croyants hébreux ressemble beaucoup aux chrétiens d’aujourd’hui. Ils font plus la Pâque par habitude que par conviction religieuse, les mariages entre humain de confession hébraïque étant minoritaire.

Le mot « pâque » désignait la fête et aussi l'animal que l'on sacrifiait et que l'on mangeait. --- pastorale --- Ce sacrifice était encore pratiqué au temps de Jésus mais ne l'est plus depuis la destruction du second temple de Jérusalem en 70 de J-C. ou  EC (ère commune)

Avant toute chose voyons le sens spirituel de la Pâque !

EL-SHADDAÏ, ce Dieu unique de l’humanité, fit des alliances avec la race humaine. La première fut avec Abraham, mais qui vu sa confirmation avec Isaac. Cette alliance fut renouvelée avec Jacob auquel Il lui donna le nom « d’Israël » qui deviendra le nom d’une Nation. L’autre ce fit officiellement au pied du Mont Sinaï, non plus avec un humain, mais avec un « Peuple » dont Moïse était le guide spirituel.

Exode XXIV : 6-8

« Moïse prit la moitié du sang et la mit dans des bassins, et l'autre moitié du sang, il la répandit sur l'autel.

Il prit le livre de l'Alliance et il en fit la lecture au peuple qui déclara :

 « Tout ce qu’EL-SHADDAÏ a dit, nous le ferons et nous y obéirons. »

Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit :

« Ceci est le sang de l'Alliance qu’EL-SHADDAÏ a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. » »

Ce « Peuple », se révèlera ingrat envers son Dieu qu’il nommait Yahvé, mais que moi je nommerai El-Shaddaï pour être juste avec la religion Chrétienne qui le nomme de ce nom vulgaire de « Dieu ». En plus de cette ingratitude envers son Dieu, ce « Peuple », après le règne du Roi Salomon, ne pensera qu’à ce faire la guerre d’où la division en -931 entre le Pays d’Israël dont le roi Jéroboam fait ériger des veaux d’or à la séparation du pays d’Israël qui comporte dix tribus et le royaume de Juda dont le roi est Roboam, qui ne comprend que deux tribus, celle de Benjamin et Juda qui resteront fidèle au culte d’El-Shaddaï pendant encore un peu plus de trois siècles. Le royaume d’Israël portera après le IX siècle av. J-C le nom de Royaume de Samarie, nom de sa capitale.

L’alliance qui eut lieu à l’ère de Moïse entre l’Être Suprême et les humains ayant été rompu par ce « Peuple » choisi par Lui, il fallait qu’Il passe une « Nouvelle Alliance » avec les humains, mais cela nécessitait un nouvel intermédiaire.

Cet intermédiaire allait être son propre Fils, qui par ses actes, deviendrait le « porte parole de l’humanité », mais aussi par son sacrifice terrestre il passait une « Nouvelle Alliance » entre son Père et les humains.

Zacharie écrivit ceci : IX : 1, 9-10

« Proclamation La parole de Yahvé est au pays de Hadrak, à Damas elle fait halte.

Exulte avec force, fille de Sion ! Crie de joie, fille de Jérusalem ! Voici que ton roi vient à toi : il est juste et victorieux, humble, monté sur un âne, sur un ânon, le petit d'une ânesse.

Il retranchera d'Éphraïm la charrerie et de Jérusalem les chevaux ; l'arc de guerre sera retranché. Il annoncera la paix aux nations. Son empire ira de la mer à la mer et du Fleuve aux extrémités de la terre. »

Malachie III : 1-3, 14-17

« Voici que je vais envoyer mon messager, pour qu'il fraye un chemin devant moi. Et soudain il entrera dans son sanctuaire, le Seigneur que vous cherchez ; et l'Ange de l'alliance que vous désirez, le voici qui vient ! dit EL-SHADDAÏ Sabaot.

Qui soutiendra le jour de son arrivée ?

 Qui restera droit quand il apparaîtra ?

Car il est comme le feu du fondeur et comme la lessive des blanchisseurs.

Il siégera comme fondeur et nettoyeur. Il purifiera les fils de Lévi et les affinera comme or et argent, et ils deviendront pour El-Shaddaï ceux qui présentent l'offrande selon la justice. »

« Vous dites :

« C'est vanité de servir EL-SHADDAÏ, et que gagnons-nous à avoir gardé ses observances et marché dans le deuil devant EL-SHADDAÏ Sabaot ?

Maintenant nous en sommes à déclarer heureux les arrogants, ils prospèrent, ceux qui font le mal, ils mettent EL-SHADDAÏ à l'épreuve et ils s'en tirent ! »

Alors ceux qui craignent EL-SHADDAÏ se parlèrent l'un à l'autre. EL-SHADDAÏ prêta attention et entendit : un livre aide-mémoire fut écrit devant lui en faveur de ceux qui craignent EL-SHADDAÏ et qui pensent à son Nom.

Au Jour que je prépare, ils seront mon bien propre, dit EL-SHADDAÏ Sabaot. J'aurai compassion d'eux comme un homme a compassion de son fils qui le sert. »

Malachie IV : 1-3, 5

« Car voici : le Jour vient, brûlant comme un four. Ils seront de la paille, tous les arrogants et malfaisants. Le Jour qui arrive les embrasera - dit EL-SHADDAÏ Sabaot - au point qu'il ne leur laissera ni racine ni rameau.

 Mais pour vous qui craignez mon Nom, le soleil de justice brillera, avec la guérison dans ses rayons, vous sortirez en bondissant comme des veaux à l'engrais.

Vous piétinerez les méchants, car ils seront de la cendre sous la plante de vos pieds, au Jour que je prépare, dit EL-SHADDAÏ Sabaot. »

« Voici que je vais vous envoyer Élie le prophète, avant que n'arrive le Jour d’EL-SHADDAÏ, grand et redoutable. »

Les prophéties se sont réalisées et Jésus le Nazaréen, son fils unique, non créé mais engendré, est né une seconde fois en temps que matière humaine avec tout ce que cela comporte comme risques pour son Père géniteur EL-SHADDAÏ.

En effet, cet unique Enfant, afin d’accomplir la volonté de son Père accepta librement de venir sur Terre pour sauver la race humaine.

En effet ce « Nouveau Peuple », ce ne sera pas El-Shaddaï qui le choisira, mais se sont les humains des Nations qui le formeront, ceux qui le choisiront comme unique Dieu, et qui respecteront ses Lois et Préceptes, ainsi que les Enseignements de son Fils le Bien-Aimé. Ce « Peuple » aura la circoncision d’esprit, c’est à cela qu’ils seront reconnus par la « Nouvelle Alliance ». Normalement cela aurait dû être le baptême, mais celui-ci fut tourné par les humains en désuétude.

Voyons ce que dit la Bible de cette « Nouvelle Alliance », en premier l’Épitre aux hébreux de Saül de Tarse : VIII : 6-13

« Mais à présent, Jésus le Nazaréen a obtenu un ministère d’autant plus élevé que meilleure est l’alliance dont il est le médiateur, et fondée sur de meilleures promesses.

Car si cette première alliance avait été irréprochable, il n’y aurait pas eu lieu de substituer une seconde.

C’est en effet en les blâmant qu’El-Shaddaï déclare :

« Voici que les jours viennent, dit le Seigneur, et j’accomplirai avec la maison d’Israël et la maison de Juda, une alliance nouvelle, non pas comme l’alliance que je fis avec leurs pères, au jour où je pris leur main pour les tirer du pays d’Égypte.

Puisque eux-mêmes ne sont pas demeurés dans mon alliance, moi aussi je les ai négligés, dit le Seigneur.

Voici l’alliance que je contracterai avec la maison d’Israël, après ces jours là, dit le Seigneur.

Je mettrai mes lois dans leur pensée, je les graverai dans leur cœur, et je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.

Personne n’aura plus à instruire son concitoyen, ni personne son frère, en disant :

« Connais le Seigneur », puisque tous me connaîtront, du petit jusqu’au grand.

Car je pardonnerai leurs torts, et de leurs péchés je n’aurai plus souvenance. »

En disant : alliance nouvelle, il rend vieille la première. Or ce qui est vieilli et vétuste est près de disparaître. »

En lisant ces versets vous constatez la justesse de ma pensée quand j’écris que Jésus le Nazôréen est le médiateur universel entre El-Shaddaï et nous humains.

Par contre au sujet de « l’alliance » je pense qu’il existe une erreur dans cet écrit biblique à moins que l’on parle de l’alliance par le sang. Je réitère la première alliance ce fait avec Isaac, la deuxième avec le « Peuple » libéré de l’esclavage égyptien, et la troisième avec les humains qui feront parti de son « Nouveau Peuple » dont son Fils sera leur Roi.

Je vous invite à bien relire ces versets bibliques ci-dessus qui ont une énorme importance à mon sens. El-Shaddaï dit bien pour cette « Nouvelle et ultime Alliance » :

« Je mettrai mes lois dans leur pensée, je les graverai dans leur cœur, et je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. Je pardonnerai leurs torts, et de leurs péchés je n’aurai plus souvenance. »

La « Maison d’Israël » est à prendre dans un sens spirituel, car elle ne représente pas une cité, une maison, mais la descendance spirituelle d’un humain.

Par le sang versé il n’y a que deux « Alliances », celle avec Moïse et le « Peuple » au pied du Mont Sinaï, et la deuxième par le sang versé lors de la crucifixion de son Fils Bien-Aimé par les romains. Ce sang qui, entre parenthèse quand l’officier romain planta sa lance dans le flanc de Jésus le Nazôréen, de l’eau mélangée au sang jaillit de la blessure causée par cette lance. Où parle-t-on du sang répandu tout le long du parcours ?

Pourquoi le sang ? Parce que le sang transporte la vie et aucun humain n’a le même sang, même aujourd’hui, en 2014, avec sept milliard d’humains, il y a sept milliard de sang différend car celui-ci porte la génétique ascendante de chaque humain. Une preuve irréfutable : c’est par le sang que les scientifiques ont constaté que chaque enfant avait un ADN de moitié du père, de moitié de la mère, et chaque moitié est différente selon les frères et sœurs même si l’ADN reste de cinquante pourcent.

L’Épître aux Hébreux donne l’importance du sang en disant : IX : 19-22.

« Effectivement, lorsque Moïse eut promulgué au peuple entier chaque prescription selon la teneur de la Loi, il prit le sang des jeunes taureaux et des boucs, avec de l’eau, de la laine écarlate et de l’hysope, et il aspergea le livre lui-même et tout le peuple en disant :

« Ceci est le sang de l’alliance qu’El-Shaddaï a prescrite pour vous »

Puis, de la même manière, il aspergea de sang la « Tente » et tous les objets de culte.

D’ailleurs, selon la Loi, presque tout est purifié par le sang, et sans effusion de sang il n’y a point de rémission. »

En résumé, avant Jésus le Nazaréen le Grand Prêtre du Temple, une fois par an à la Pâque, sacrifiait des animaux mâles sans tâche pour la rémission de ses fautes et celles du peuple en aspergeant les linteaux de la porte du Temple qui donnait accès au « Saint des Saints ». Depuis le ministère de Jésus le Nazôréen, c’est lui qui fait fonction de « Grand Prêtre », mais aussi du mâle sans tâche pour le sacrifice, pour la rémission du péché des deux premiers humains suite à leur transgression volontaire d’une interdiction divine, qui amena la sanction de la mort sur l’humain.

Jésus le Nazôréen venant sur la Terre en tant qu’humain, savait qu’il allait avoir les difficultés des humains, tant corporel, que spirituel, par les tentations diverses.

Épitre aux Hébreux IX : 15-16

 « Voilà pourquoi il est médiateur d'une nouvelle alliance, afin que, sa mort ayant eu lieu pour racheter les transgressions de la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel promis. »

« Telle est l'alliance que je contracterai avec eux après ces jours-là, dit le Seigneur EL-SHADDAÏ,

« Je mettrai mes lois dans leur cœur et je les graverai dans leur pensée. » »

Avant de continuer sur cette « Nouvelle Alliance », voyons ce que les responsables humains du IVème au VIème, ces Évêques déclarés « Saint » à leur mort par un conciliabule d’Évêques sous la tutelle du « Pontifex Maximus » qui était l’Empereur Romain, le « Pape » n’existant pas encore, inventèrent en instituant un jeun de quarante jours avant les Pâques

 Jamais, je ne dis bien jamais, la Bible incite à faire un jeun de quarante jours avant la Pâque.

 Alors pourquoi l’Église Chrétienne a institué le « Carême » qui ait une action non biblique ?

Ce Dieu seul et unique, notre Père spirituel au Cieux, EL-SHADDAÏ, a convenu avec nous ses « Enfants », nous qui formons son « Nouveau Peuple », une « ultime Alliance » en mettant dans notre cœur ses Lois et Préceptes plus les Enseignements de son Fils engendré, Jésus le Nazaréen, et nous volontairement, sincèrement, librement acceptons tout ce qui vient d’être écrit.

EL-SHADDAÏ ne nous a pas choisi, non, c’est nous humains qui librement, sans torture, sans menace, mais avec la sincérité de notre cœur qui l’avons choisi comme étant notre seul et unique « Dieu », et nous n’avons pas besoin d’images, de statues représentative puisque lorsque nous nous regardons dans une glace, c’est son image que nous voyons !

Cette vérité est flagrante indémontable, c’est pour cela que nous l’avons choisi comme notre Dieu.

Qu’il soit toujours dans votre cœur ! Prenez soins de vous et portez-vous bien !

Salutations cordiales

Sig : JP.G dit « Grandeloupo »

 


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posté le 17-03-2014 à 04:49:59

La Pâque, chap. N°2 - Première Pâque

Route de l'exode

La Pâque le 14 Avril 2014

 

Comme chaque année, je vous écris sur cette fête de « Pâque »

La journée du calendrier hébraïque commence du coucher du soleil au coucher du soleil. Cela il faut vous en souvenir car nous allons immoler la « Pâque » le lundi 14 Avril, entre les « deux soirs » comme notre « Dieu » seul et unique nous le demande.

J’écris pour vous mes semblables, pour que vous trouviez cet Être Suprême que je nomme comme Abraham, « EL-SHADDAÏ », mais ce Dieu est unique, il n’en existe aucun, et son Fils engendré par deux fois, n’est pas un « Dieu » comme la chrétienté veut vous le faire croire. Quant à « l’Esprit-Saint ou Saint-Esprit », qui, selon la chrétienté serait une personne, il n’existe pas, fadaise et baliverne qui, si, il existait, supprimerait l’unicité de notre « Dieu », EL-SHADDAÏ.

Alors je vous laisse à votre réflexion, votre raisonnement, qui est votre « esprit » puisque vous faite une relation entre votre cerveau et votre cœur pour connaître la vérité, et là, vous constatez que « l’Esprit » est volatil, éphémère, je pensais à quoi il y a une minute !....

 

Chapitre N° 2

 

Première Pâque

 

En parcourant le récit Biblique de la formation d’un « peuple », qui est la descendance d’un humain fidèle pardessus tout à ce Dieu unique et jaloux, nous constatons deux choses. Ce « Peuple » dans un pays étranger devenait plus important en nombre que les autochtones, d’où sa mise en esclavage, défense compréhensive des indigènes de ce pays.

Il faut aussi comprendre Pharaon qui, si, il libérait cette population il se privait d’une main d’œuvre bon marché, mais aussi d’un équilibre économique pour son pays d’où son entêtement.

Pourquoi EL-SHADDAÏ libéra « son Peuple », qui porte le nom « Israël », au printemps et non en été ou en automne, en hiver cela nous pouvons le comprendre, la cause étant principalement le froid. En choisissant cette époque pour la délivrance de l’esclavage égyptien  de « son Peuple », ce Dieu acceptait avec bienveillance la fête humaine de la Pâque, qui était à son originel la commémoration du renouveau, la victoire de la Lumière sur les Ténèbres, avant que ne soient associés les dieux et les déesses, les humains faisant la fête des semailles et les bergers remettant leurs troupeaux au près avant leur départ pour les pâturages.

Donc en libérant son « Peuple » à cette époque, Il donnait aux humains qui le formaient le sentiment plus marqué encore du « renouveau », d’une libération corporel, mais surtout spirituelle, car cela représentait pour ces humains une grande victoire sur les « Ténèbres », car maintenant ils se dirigeaient vers la « Lumière ».

EL-SHADDAÏ profita de cette délivrance pour instituer solennellement la fête de « la Pâque. »

La fête de la Pâque est la plus importante pour EL-SHADDAÏ car, en dehors de la première alliance qu’il avait faite avec Abraham, confirmé avec le fils de ce dernier du nom d’Isaac, elle est perpétuelle.

A cette première alliance il y avait le choix de son Peuple avec une manière certaine de le reconnaître, mais il n’y avait pas de Pâque.

Avec Moïse la Pâque et l’Alliance deviennent beaucoup plus importante.

En effet puisque c’est le Dieu unique EL-SHADDAÏ qui délivre « Son Peuple » de l’esclavage Égyptien. Il ne faut pas oublier que ce « Peuple » est devenu un peuple au pays d’Égypte après, quatre cents ans, suite à une grande disette en Palestine à l’époque de Joseph et de son père Jacob. C’est la descendance de Jacob qui fit ce « Peuple » en Égypte.

C’est dans ce pays d’Égypte que la première « Pâque » fut instituée par EL-SHADDAÏ le quatorzième jour du premier mois de l’année, le mois de Nissan, où le soir il fallait manger la viande rôtie d’un petit bétail dont on n’aura pas brisé les os que l’on aura saigné et avec le sang on aura badigeonné les linteaux de la porte pour la reconnaissance et la protection, accompagné d’un pain sans levain.

Ce jour là fut la première « Pâque » veille de la délivrance, du renouveau, comme le printemps, mais aussi veille où les chaines de l’esclavage seront rompues.

Voici les Enseignements ou Lois qu’EL-SHADDAÏ ordonna à son Peuple pour cette Pâque. La Bible

L’année suivante la « Pâque » est une commémoration de la délivrance par ce Dieu unique de se « Peuple » choisi par Lui

Voyons ce que dit ce Dieu « El-SHADDAÏ », le Dieu d’Abraham et de ses descendants jusqu’à Moïse au Mont Sinaï !

Exode 12 :1-11

Yahvé dit à Moïse et à Aaron au pays d'Égypte :

« Ce mois sera pour vous en tête des autres mois, il sera pour vous le premier mois de l'année.

Parlez à toute la communauté d'Israël et dites-lui : Le dix de ce mois, que chacun prenne une tête de petit bétail par famille, une tête de petit bétail par maison.

Si la maison est trop peu nombreuse pour une tête de petit bétail, on s'associera avec son voisin le plus proche de la maison, selon le nombre des personnes. Vous choisirez la tête de petit bétail selon ce que chacun peut manger.

La tête de petit bétail sera un mâle sans tare, âgé d'un an. Vous la choisirez parmi les moutons ou les chèvres.

Vous la garderez jusqu'au quatorzième jour de ce mois, et toute l'assemblée de la communauté d'Israël l'égorgera au crépuscule.

On prendra de son sang et on en mettra sur les deux montants et le linteau des maisons où on le mangera.

Cette nuit-là, on mangera la chair rôtie au feu ; on la mangera avec des azymes et des herbes amères.

N'en mangez rien cru ni bouilli dans l'eau, mais rôti au feu, avec la tête, les pattes et les tripes.

Vous n'en réserverez rien jusqu'au lendemain. Ce qui en resterait le lendemain, vous le brûlerez au feu.

C'est ainsi que vous la mangerez : vos reins ceints, vos sandales aux pieds et votre bâton en main. Vous la mangerez en toute hâte, c'est une pâque pour EL-SHADDAÏ. »

Ceci est la « Première Fête de la Pâque » que demande EL-SHADDAÏ à son « Peuple ». C’est une « Pâque » de veille, une « Pâque » d’attente, d’angoisse, et aussi d’horreur toute la nuit, car tous les premiers nés vivants vont mourir, de la bestiole à l’animal, pour finir par les humains, dans tout le pays d’Égypte. En effet, le quatorzième jour ce termine au coucher du soleil en fin d’après-midi vers dix-sept, dix-huit heure, et le quinzième jour commence, jours de Pâque, dans le calendrier hébraïque, calendrier sacré car offert à Hénoch par ce Dieu unique, EL-SHADDAÏ.

Cet Être Suprême avait bien préparé son « Peuple » pour le départ puisque le dixième jour il avait demandé à celui-ci de choisir un mâle sans tache dans le petit bétail et de ce réunir entre voisins proches dans une maison pour le manger, de tel façon qu’il n’en reste pas au petit matin. Ceci avait l’avantage aussi de faire entrer tous les animaux dans les maisons pour les protéger de la colère de ce Dieu puisque l’ordre avait été donné de badigeonner tous les linteaux des maisons appartenant à son « Peuple » avec le sang des animaux sacrifiés.

Vingt-heure, ce n’est pas encore la nuit noire, mais dehors il fait nuit. Les animaux rôtissent sur le feu comme El-Shaddaï l’a demandé. Les humains à cette heure commencent à manger cette viande avec le « Pain sans levain, ces galettes azymes » le tout accompagné de vin rouge. La nuit avance dans sa noirceur et l’on entend les premiers cris de désolation des humains et les cris de crainte des animaux, les « Anges » d’EL-SHADDAÏ passent, pleurs et lamentations après leur passage, les premiers nés ne sont plus, enfants, jeunes, adultes vieillards, tous périssent. Toute la nuit les clameurs du chagrin de la désolation résonne dans tout le pays d’Égypte, des hauts plateaux du Nil jusqu’à la mer ce n’est que jérémiades et sanglots. Le « Peuple » d’EL-SHADDAÏ a entendu ces gémissements toute la nuit, la peur et surtout la crainte de ce Dieu est dans leur cœur, et il a les sandales aux pieds, le bâton dans une main et il attende l’aurore

En ce matin de bonne heure, les humains finissent de faire brûler tout ce qui reste de viande et de pain comme El-Shaddaï a sollicité, principe de la « terre brûlée »

Enfin l’aube est là, et voici que des centaines de milliers d’humains, femmes, enfants, adultes, vieillards se mettent en route en direction de la Mer Rouge, Moïse, Aaron, entêtes avec les chefs de fil, des clans, des tribus, avec tout leur fardeau, et le cheptel animalier, ovins, bovins, caprins, chameaux, dromadaires, chevaux et toute la basse-cour sur les charrettes, tout cela fait une immense colonne hétéroclite d’êtres vivants.

Les égyptiens terrassés par le chagrin, car pas une seule famille a été épargnée, regardent partir ce « Peuple ».

En quelques lignes j’ai essayé de vous plonger dans l’atmosphère de ce terrible jour de « Pâque » qui cela est certain ne fut pas une fête, avec joueurs de flûtes et tambourins, chants et danses.

Chacun dans son cœur ressentait une immense joie car il quittait l’esclavage, et une odeur de liberté flottait comme un renouveau, comme le printemps.

Je reprends les textes bibliques.

Puis plus loin il est écrit : Exode XII : 14-18

« Ce jour-là, vous en ferez mémoire et vous le fêterez comme une fête pour EL-SHADDAÏ, dans vos générations vous la fêterez, c'est un décret perpétuel.

 Pendant sept jours, vous mangerez des azymes. Dès le premier jour vous ferez disparaître le levain de vos maisons car quiconque, du premier au septième jour, mangera du pain levé, celui-là sera retranché d'Israël.

Le premier jour vous aurez une saine assemblée, et le septième jour, une saine assemblée. On n'y fera aucun ouvrage, vous préparerez seulement ce que chacun doit manger.

Vous observerez la fête des Azymes, car c'est en ce jour-là que j'ai fait sortir vos armées du pays d'Égypte. Vous observerez ce jour-là dans vos générations, c'est un décret perpétuel.

Le premier mois, le soir du quatorzième jour, vous mangerez des azymes jusqu'au soir du vingt et unième jour. »

Toujours à ce chapitre XII : 24

« Vous observerez cette disposition comme un décret pour toi et tes fils, à perpétuité. »

Si pour un événement indépendant de votre volonté, vous ne pouviez respecter la Pâque le mois de Nissan la Bible dit :

Nombre IX : 10-12, 14

« Parle aux Israélites et dis-leur : Si quelqu'un, parmi vous ou vos descendants, se trouve impur, du fait d'un mort ou est en voyage au loin, il célébrera une Pâque pour EL-SHADDAÏ.

C'est au second mois, le quatorzième jour, au crépuscule, qu'ils la célébreront. Ils la mangeront avec des azymes et des herbes amères ; rien n'en devra rester au matin, ils n'en briseront aucun os. C'est selon tout le rituel de la Pâque qu'ils la célébreront.

Si quelque étranger réside parmi vous et célèbre une Pâque pour EL-SHADDAÏ, c'est selon le rituel et les coutumes de la Pâque qu'il la célébrera. »

Dans ce Livre Lévitique qui est le livre des Grands Prêtres, il est rappelé les consignes pour la Pâque.

 Lévitique XXIII : 4-8

« Voici les solennités d’El-Shaddaï, les saines assemblées où vous appellerez les Israélites à la date fixée :

Le premier mois, le quatorzième jour du mois, au crépuscule, c'est Pâque pour El-Shaddaï, et le quinzième jour de ce mois, c'est la fête des Azymes pour El-Shaddaï. Pendant sept jours vous mangerez des pains sans levain.

Le premier jour il y aura pour vous une saine assemblée ; vous ne ferez aucune œuvre servile.

Pendant sept jours vous offrirez un mets à El-Shaddaï. Le septième jour, jour de saine assemblée, vous ne ferez aucune œuvre servile. »

L’année suivante, le jour de « Pâque » ne sera pas aussi terrifiant que cette nuit d’attente où lamentations, jérémiades, sanglots, pleurs, cris de désespoir, était la musique jouée et entendue toute cette nuit là !

Ce jour de « Pâque » devient un jour du souvenir, de commémoration où les chaines de l’esclavage furent brisées. El-Shaddaï a lui aussi changé un peu les règles. Le premier jour de Pâque est une fête pour El-Shaddaï. Je réitère, le jour commence au coucher du soleil et se termine au coucher du soleil. En souvenir de l’esclavage égyptien il demande à son « Peuple » de manger un « Pain de misère » c’est-à-dire un pain sans levain pendant sept jour, le chiffre sept, chiffre symbolique représentant la plénitude, le premier et dernier jour étant des jours « Sains ». Non ! Je n’ai pas fait de faute d’orthographe car ces deux jours où l’on ne doit pas travailler, sont des jours propres, limpides, sans tache, et non des jours que l’on doit vénérer, glorifier, adorer.

Lisez-bien le « Lévitique » ci-dessus où il est écrit « saines assemblées à la place de « saintes » assemblées », et vous constaterez la différence énorme de compréhension du texte.

Deutéronome XVI : 1-8

« Observe le mois d'Abib et célèbre une Pâque pour El-Shaddaï ton Dieu, car c'est au mois d'Abib qu’El-Shaddaï ton Dieu, la nuit, t'a fait sortir d'Égypte.

Tu immoleras pour El-Shaddaï ton Dieu une pâque de gros et de petit bétail, au lieu choisi par El-Shaddaï ton Dieu pour y faire habiter son nom.

Tu ne mangeras pas, avec la victime, de pain fermenté ; pendant sept jours tu mangeras avec elle des azymes - un pain de misère - car c'est en toute hâte que tu es sorti du pays d'Égypte : ainsi tu te souviendras, tous les jours de ta vie, du jour où tu sortis du pays d'Égypte

Pendant sept jours on ne verra pas chez toi de levain, sur tout ton territoire, et de la chair que tu auras sacrifiée le soir du premier jour rien ne devra être gardé jusqu'au lendemain.

Tu ne pourras pas immoler la pâque dans l'une des villes qu’El-Shaddaï ton Dieu t'aura données, mais c'est au lieu choisi par El-Shaddaï ton Dieu pour y faire habiter son nom que tu immoleras la pâque, le soir au coucher du soleil, à l'heure de ta sortie d'Égypte.

Tu la feras cuire et tu la mangeras au lieu choisi par El-Shaddaï ton Dieu, puis, au matin, tu t'en retourneras et tu iras à tes tentes.

Pendant six jours tu mangeras des azymes ; au septième jour une réunion aura lieu pour El-Shaddaï ton Dieu ; et tu ne feras aucun travail. »

Le premier mois du printemps, correspondant à notre mars-avril, qui s’appelait Abib dans l’ancien calendrier, et s’appellera Nisân ou Nissan dans le calendrier postexilique d’origine babylonienne adopté par les politiques et la religion hébraïque.

Vous constaterez la différence entre le premier texte de l’Exode et ce texte du Deutéronome. En premier il ne faut que du petit bétail, et en second est ajouté au petit bétail, le gros bétail. En plus la viande n’est plus obligé d’être rôti elle peut être bouillie. Maintenant cet Être Suprême choisit même son lieu de culte car à cette époque les Israéliens se déplaçaient avec « l’Arche d’Alliance »

Événement important que j’aie oublié de vous écrire. A la sortie du pays d’Égypte il y avait la « Pâque » qui était une fête importante pour Shaddaï, mais qui ne durait qu’une journée et était accolé à la « Pâque » la fêtes des « Azymes », « Pain sans levain » qui durait sept jours en commençant avec le jour de « Pâque ».

EL-SHADDAÏ pose ces Lois à son « Peuple » avant d’entrer en « Terre Promise », et depuis la sortie d’Égypte quarante ans d’errance dans les montagnes désertiques du Sinaï en péninsule Arabique, ce sont écoulés.

L’observance de cette fête de la Pâque avec la signification de libération pour le peuple de confession hébraïque, durera jusqu’à la venue d’un Messie. Aujourd’hui, au XXIème siècle, les hébreux sont toujours dans l’attente de la venue d’un hypothétique Messie.

La terre d’Israël ou si vous aimez mieux la Palestine sera sous occupation par divers Nations ou Empires, Perse, Grec, Romain.

Par la Bible nous savons qu’El-Shaddaï sera compatissant pour le « Peuple Hébreux », mais celui-ci aura le « cou raide » et n’écoutera pas les prophètes qui les mettaient en garde contre la colère d’El-Shaddaï.

Le dernier prophète Joël marquera la fin définitive du peuple d’El-Shaddaï. Trois siècles avant l’Ère Commune une grande partie de la Palestine sera hellénisé de force malgré une forte opposition. C’est à cette époque, près d’Alexandrie que seront traduit « les Livres Sacrés » de la religion juive sous le nom de « Septante », notre Ancien Testament.

Les juifs et juives se mariaient avec les gens des nations quittant leur religion pour épouser la religion adverse et devenaient pour la majorité idolâtre, abandonnant les Lois et Préceptes de leur Dieu Shaddaï.

Nous arrivons à l’ère où vécut Jésus le Nazaréen !

Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.

Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales à « Tous » !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO » 

 


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posté le 11-03-2014 à 02:32:18

La Pâque, chap. N°1 - "Ceux qui Passent"

Ceux qui passent

 

Pâque, le 14 Avril 2014

 

Pour nous, « Enfants » de cet admirable Dieu, seul et unique, cet Être Suprême, nous allons avec joie respecter la seule et unique fête qu’il nous demande de commémorer avec allégresse chaque année, le « Jour de la Pâque ».

Oui, vous mes semblables, vous qui chaque semaine venez vous fortifier intérieurement, cherchant sans interruption le sentier qui mène vers ce Dieu unique que personnellement je nomme EL-SHADDAÏ, comme cet « Être » m’a appris à le nommer ainsi, me prouvant par les « Textes de l’Ancien Testament » que seul ce véritable « NOM » écrit comme une plénitude, comme le symbole de la perfection car écrit sept fois dans la Genèse. Par vos efforts personnels, en continuité, vous vous reconnaissez comme étant les « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, Lui notre Père Céleste. Je ne suis pas un « Prophète », ni un « Prêtre » ou autre « Nom » dignitaire de religion ou de secte, je suis un « Quidam » comme vous tous, avec mes qualités et mes imperfections, qu’EL-SHADDAÏ a éclairé sur les « Textes Bibliques ». Pourquoi moi et pas vous cela je l’ignore, mais pour moi je considère cela comme une bénédiction et au « Jour du Jugement » la sentence sera certainement plus sévère pour moi que pour vous, ce qui n’est que justice. Cette connaissance je dois la partager avec vous, avec tous les humains qui voudront volontairement se transformer en suivant les Lois et Préceptes de ce Dieu, ainsi que tous les Enseignements de son fils Bien-Aimé Jésus le Nazaréen.

Comme toute chose porte un « Nom », nous, ses « Enfants » le nommeront donc comme Abraham, qui ignorait son véritable « Nom », nous l’appellerons « EL-SHADDAÏ », « Dieu au-dessus des Montagnes » et non, ce « Nom » vulgaire de « Dieu » employé par toute la « Chrétienté ». Mais rien ne vous interdit de le nommer par un « Nom » que vous aimez.

Son « Peuple », que lui EL-SHADDAÏ a choisi sur toute la Terre, par le signe de reconnaissance de la circoncision, qui se format en terre étrangère, en Égypte, puis le libéra de l’esclavage de ce pays, et lui fit apprendre son « NOM » au pied du Sinaï, quelle fut sa récompense ?

Des décennies de discordes entre humains de mêmes langues, priant le même Dieu, sans compter les déportations massives du peuple ainsi que les invasions successives, firent que le « NOM » disparut du langage et des « Écritures » remplacé par ce tétragramme de quatre lettres « YHWH » qui se prononcerait hypothétiquement « YAVHÉ » qui signifierait « Seigneur » tout comme « Élohim ».

Nous, ses « Enfants », nous allons en cette année 2014 lui prouver qu’il est vraiment notre Père Céleste, en respectant la seule et unique fête qu’il nous demande de commémorer, la « Pâque » et non les « Pâques » comme le célèbre le christianisme, toutes confessions entendues, c’est-à-dire pour être clair, des Catholiques, Orthodoxes, Protestants, et toutes leurs innombrables factions comme les Témoins de Jéhovah, Baptiste, Évangéliques, Scientologues, Calvinistes, Luthériens, mais aussi tous les Jésus en Sauce, les Franciscains, Dominicains, Jésuites, Carmélites, etc …

Comme à l’ère d’Abraham quatorze jours après l’Équinoxe du Printemps qui est la Nouvelle Lune, où pour nos villageois, la Lune Rousse, et pour le calendrier Hébreux le 14 Nisan, la « Pâque » sera pour nous, cette année, le Lundi 14 Avril, entre les deux soirs nous mangerons la « Pâque » comme EL-SHADDAÏ notre Dieu, le seul que nous vénérons et pas un autre, sûrement pas son Fils unique Jésus le Nazôréen le Bien-Aimé, nous le demande.

Vous savez impertinemment que je vous donnerai de plus amples détails au fur et à mesure que nous nous approcherons de la date de la « Pâque ».

 

Chapitre N°1

 

Les Hébreux, « Ceux qui Passent »

 

La Pâque, la seul fête qui existe depuis qu’El-Shaddaï dévoilât à Hénoch le parcours elliptique, dans un temps donné, de la Terre autour du soleil dans le cosmos et sa rotation sur elle-même. Il lui expliquât le fonctionnement des « Solstices », cet événement astronomique qui se produit lorsque la position du soleil vu de la Terre atteint son extrême méridional ou septentrional et les équinoxes, celles du printemps, vers le 20-22 Mars, qui annonce les semailles dû au réchauffement de la terre, et le retour des troupeaux de petits et gros bétails aux prés, celle de l’automne, vers le 20-22 septembre qui est l’époque des récoltes, de la fabrication du vin, du retour des animaux des pâturages à l’étable.

Bien avant qu’El-Shaddaï ne fixa la fête de Pâque, les humains fêtaient cet équinoxe de printemps qui était l’ère du renouveau, l’herbe poussant dans les prés, les arbres bourgeonnant, se vêtissant de mille fleurs, les oiseaux avec leurs chants mélodieux s’accouplant pour faire leur nid, la « Lumière » reprenant ses droits sur les « Ténèbres. »

Bien avant que le peuple hébreu soit connu, les humains fêtaient les équinoxes, celui du printemps pour les semailles et celui de septembre pour les récoltes. Beaucoup d’humain vivait de l’élevage de petit bétail et de basse-cour, et de l’agriculture, l’artisanat en général était pour un petit nombre d’humain tel que le forgeron, charpentier, tailleur de pierre, etc.

Éleveurs et agriculteurs s’associaient en général pour cette fête, les premiers égorgeant un bouc ou un jeune taureau comme offrande pour les « Dieux » et avec le sang de l’animal on badigeonnait les pourtours de l’entrée de la tente ou de la cabane afin que ces derniers détournassent les mauvais Esprits et protégeassent toute la famille ou le clan pour l’année.

À l'origine, il existait deux fêtes pour célébrer le printemps.

Le « Hag Ha-Pessah » : fête de l'agneau pascal, est une fête pastorale dont l'origine remonte au temps où les humains s’appelaient les « Hommes à la Tête Brune »  et n’étaient qu’un peuple de nomades qui, bien plus tard se nommeront « Hébreux », qui signifiait « Ceux qui Passent ». Nous pouvons remonter jusqu'à l’ère du père, Térakh, voir du grand-père, Nak-hor d’Abram dit Abraham.

Le mot « hébreu » qui vient d’un très vieil araméen serait la langue sacré d’El-Shaddaï d’avant la « Confusion » à la Tour de Babel, la seule langue qui existait à l’époque et qui fut éradiquer au moment du changement d’aspect des humains et de leur langage. Seul un petit nombre de juste gardât cette langue qui disparut quand même avec le temps. La légende veut que ce soit El-Shaddaï qui remit cette langue dans la bouche d’Abraham.

Ce sont les humains de l’époque qui donnèrent le nom d’ « Hébreux » au clan de Térakh, père d’Abraham car il signifiait « Ceux qui passent ». En effet ils se déplaçaient beaucoup pour faire paître leur immense troupeau de bovins, caprins, moutons.

Le rite du sang avait une valeur importante pour les humains, car ces derniers c’étaient rendu compte que sans le sang ils ne pouvaient pas vivre.  Le sang que ce soit pour l’humain ou les animaux c’était la vie. Voilà pourquoi les humains prenaient le sang de l'agneau ou du bétail sacrifié pour oindre le pourtour des portes d'entrée de la tente ou de la cabane qui était sensé éloigner les mauvais « Esprits » et protéger toute la famille de tous les dangers aussi bien spirituels que corporels.

Le « Hag Ha-Matsoth » : fête de l’agriculture qui remonte à l’origine d’Abel et de Seth, puis après le Déluge où l’on offrait une mesure de son meilleur grain aux Prêtres du Temple afin qu’ils intercèdent en notre faveur devant les « Dieux » pour que l’année soit bonne en récolte de grain. Donc à la « Pleine Lune » après l’équinoxe de « Printemps » les sédentaires façonnaient un « Pain sans levain », nommé le « Pain Azyme » qu’ils mangeaient pendant sept jours en faisant une fête le premier jour, et le septième jour.

Cette période de fête se nommait la Pâque.

Cette fête de la Pâque  avait un nom différent selon la langue, le dialecte du clan ou de la tribu ou encore du peuple, mais le résultat était le même puisque cette fête se faisait toujours à la même époque.

N’oublions pas que l’humanisation de la Terre est partie du plateau du Mont Loubard en Anatolie --- Turquie d’aujourd’hui --- qui faisait partie des montagnes Ararat où le Tigre et l’Euphrate prennent leur source. Ces deux grands fleuves se jettent dans le Golfe Persique. Toute cette région entre ces deux fleuves était très fertile. Se sera la Mésopotamie.

Nous ne sommes peut-être pas à l’ère d’Abram, mais sûrement à celle de ces géniteurs.

Faisons un peu d’histoire antique, --- une Légende ---

Dumuzi en sumérien ou Tammuz en babylonien est un Dieu-Pasteur mésopotamien, ainsi que le Dieu de la fertilité dans la religion babylonienne. C’est un berger-Roi uni à Ishtar -- qui se prononce « Easter » --, nommée aussi Astarté, déesse mythologique hermaphrodite --- qui possède les deux sexes --- babylonienne de l’amour physique et de la guerre, d’une renommée culturelle jamais égalée. Elle portera le nom de Inanna en sumérien, Aphrodite en Grèce, Turan en Étrurie, Vénus à Rome, Isis chez les Égyptiens, Astarté en Ougarit, Ashtoreth, chez les Palestiniens, Shaushka  chez les Hourrites, Ashtart en langue punico-phénicienne, etc.

Un récit mythologique oppose Tammuz ou Dumuzi à Enkimdu, dieu des agriculteurs, auquel il dispute les faveurs de la déesse Inanna, qui finit par le choisir. Cela reprend les conflits entre agriculteurs et pasteurs.

Dans une autre légende, la Descente d'Inanna ou Ishtar aux Enfers, il est choisi par sa parèdre pour la remplacer aux Enfers. Il est donc mort, et est alors considéré comme une divinité infernale. Il se fait cependant remplacer une moitié de l'année par sa sœur Geshtinanna.

Le retour de Dumuzi ou Tammuz sur terre est vu comme le début du renouveau de la nature. Cela est notamment marqué dans les rituels mésopotamiens par le Mariage sacré Hiérogamie, dans lequel les rois sumériens interprétant Dumuzi, s'unissaient rituellement à la déesse Inanna, pour marquer le retour du printemps.

Inanna ou Ishtar en Akkadien, Babylonien est considérée comme la fille du dieu ciel An ou Anu en Akkadien.

Nous pourrions dire que les événements décrits ci-dessus constituent, dans un certain sens, la fête de Pâques.

Je vous ai écrit tout ceci afin de vous faire comprendre que la « Pâque » avant d’être religieux comme nous l’entendons aujourd’hui était une fête païenne religieuse.

Pâque est bien considérée comme la fête du renouveau.

La Pâque juive -- Pessah en hébreu, le sacrifice de printemps -- a pour origine une fête des bergers nomades et une fête agricole, la fête des Azymes, les Pains sans levain.

Par la suite cette fête, La Pâque, commémorera la libération du peuple juif de l’esclavage qu’il subissait en Égypte. Le mot Pessah signifie « passage ». Il désigne le passage de « Yahweh »,-- EL-SHADDAÏ -- qui frappa les maisons des égyptiens et épargna les israélites. Ce mot  commémore aussi le passage de la Mer Rouge, nommé aussi la Mer des Roseaux.

Encyclopédie juive :

« La Pâque juive, également appelée Zman Heroutenou, -- Le Temps de notre liberté --, Hag HaMatzot -- la fête des azymes --, ou Hag HaAviv -- la fête du printemps ou fête du blé chez les Karaïtes --, est une fête juive de 7 jours -- 8 jours en dehors de la terre d’Israël. -- Elle commémore l’Exode des Hébreux hors d’Égypte. Ainsi que le décrit le Livre de l’Exode, Pessa’h marque la « naissance » des enfants d’Israël, dont est issu le peuple Juif, les ancêtres des Juifs ayant été libérés du joug pharaonique et désormais libres de suivre les voies et prescriptions d’EL-SHADDAÏ. »

Abraham, qui dans les montagnes de Harran, appela ce Dieu qu’il entendait mais ne voyait pas, EL-SHADDAÏ, qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes » quitta son père pour partir en Canaan.

Il eut un fils Isaac et Isaac eut Ésaü et Jacob. Jacob fut appelé Israël par El-Shaddaï car il eut douze fils qui formèrent les douze tribus d’Israël. Lia sa femme lui enfanta Ruben, Syméon, Lévi, Juda, Ysachar, Zabulon et Dina leur sœur, Rachel sa femme lui enfanta Joseph et Benjamin. Bala sa première concubine lui donna Dan et Nephtali, quant à Zelfa sa deuxième concubine elle enfanta de Gad et Aser.

Les enfants de Jacob suite à une grande famine se réfugièrent en Égypte où Joseph leur frère était « Grand Chambellan » de Pharaon. C’est dans ce pays l’Égypte que le « Peuple d’Israël » se forma. C’est de ce pays qu’El-Shaddaï délivra son « Peuple » de la servitude.

Contrairement à ce que certains de mes semblables pensent, ce Dieu ne choisit pas un « Peuple », mais la descendance d’un humain fidèle, qui devint un « Peuple ».

Comment ce Dieu seul et unique allait-il reconnaître les humains qui formeront sont « Peuple » parmi les Nations ? Il les marqua comme les éleveurs marquent leurs bêtes au fer rouge.

Je cite EL-SHADDAÏ en Genèse XVII : 1-5, 7, 9-11, 17, 19, 21

« Lorsqu'Abram eut atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, El-Shaddaï lui apparut et lui dit :

« Je suis El-SHADDAÏ, marche en ma présence et sois parfait. J'institue mon alliance entre moi et toi, et je t'accroîtrai extrêmement. »

Et Abram tomba la face contre terre. EL-SHADDAÏ lui parla ainsi :

« Moi, voici mon alliance avec toi : tu deviendras père d'une multitude de nations.

Et l'on ne t'appellera plus Abram, mais ton nom sera Abraham, car je te fais père d'une multitude de nations

J'établirai mon alliance entre moi et toi, et ta race après toi, de génération en génération, une alliance perpétuelle, pour être ton Dieu et celui de ta race après toi. » »

« EL-SHADDAÏ dit à Abraham :

« Et toi, tu observeras mon alliance, toi et ta race après toi, de génération en génération.

Et voici mon alliance qui sera observée entre moi et vous, c'est-à-dire ta race après toi : que tous vos mâles soient circoncis.

Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous. » »

« Abraham tomba la face contre terre, et il se mit à rire car il se disait en lui-même :

 « Un fils naîtra-t-il à un homme de cent ans, et Sara qui a quatre-vingt-dix ans va-t-elle enfanter ? »

« Mais EL-SHADDAÏ reprit :

 « Non, mais ta femme Sara te donnera un fils, tu l'appelleras Isaac, j'établirai mon alliance avec lui, comme une alliance perpétuelle, pour être son Dieu et celui de sa race après lui. »

« Mais mon alliance, je l'établirai avec Isaac, que va t'enfanter Sara, l'an prochain à cette saison. » »

El-Shaddaï n’ayant qu’une parole, à la date prophétique, à l’âge de quatre-vingt-onze ans, Sara, l’épouse d’Abraham, lui engendra un fils, qu’elle nomma « Isaac ». La conception d’Isaac n’est pas miraculeuse, mais dû à une relation intime. Donc il est logique de penser que Sara à cet âge avancé, avait toujours ses menstruations et comme une jeune femme son corps avait gardé le cycle de la fécondation.

Comme vous venez de le lire la circoncision n’était qu’un signe de reconnaissance de la descendance de cet humain. Cette descendance nommait leur seul et unique Dieu « EL-SHADDAÏ ». L’autre nom qui fut rendu tabou par les Grands Prêtres, il faudra attendre Moïse au Mont Sinaï pour le connaître et pour que le peuple le prononçât pendant environ cinq siècles. En effet le Nom de ce Dieu était écrit en sceau  sur un turban frontale que les Grands Prêtres étaient obligés de porter afin que le peuple puisse lire ce « Nom », qui, aujourd’hui à disparu, pas pour tout le monde.

Exode XXVIII : 36-38

« « Tu feras une fleur d'or pur et tu y graveras en intaille, comme un sceau :

« Consacré à EL-SHADDAÏ. »

Tu la placeras sur un cordon de pourpre violette, et elle sera sur le turban : c'est sur le devant du turban qu'elle sera.

Elle sera sur le front d'Aaron, et Aaron se chargera ainsi des fautes concernant les choses saintes que consacreront les Israélites, pour toutes leurs saintes offrandes. Elle sera sur son front toujours pour leur attirer la faveur d’EL-SHADDAÏ. »

Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.

Portez-vous bien !

Cordiales salutations à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO » 

 


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posté le 01-03-2014 à 01:07:25

Secte, Religion ... Chap. N°Purgatoire et Indulgences

Purgatoire de Dante

 

Secte, Religion, Païenne, La Chrétienté

 

Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.

Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.

Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU »  par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».

Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.

Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.

Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc

« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »

Mais aussi :

« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. » 

De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans }  une Religion d'Idolâtre

C'est cette histoire que j'écris ! ...

 

Dernières lignes du chapitre précédent

 

C’est aussi à ce CONCILE que fût décréter le « Pourpre Cardinalice ».

Toujours à ce fameux CONCILE, le 8 Avril 1546 ces mêmes ecclésiastiques se permirent de définir le CANON, c’est à dire le contenu considéré comme authentique des Livres de la Bible et de juger quels Livres étaient inspirés, quels Livres étaient apocryphes.

 Ils en ajoutèrent et en retranchèrent.

 Les éditions de la Bible sont désormais soumises à la censure des autorités ecclésiastiques---- { exactement comme sous Constantin Ier le Grand au Concile de NICÉE en 325 …} ----

Ce « CANON » est toujours le même aujourd’hui

 

Chapitre N° 4

 

Purgatoire et « Indulgences »

 

Sur le plan disciplinaire, il crée les séminaires diocésains, destinés à former les prêtres. Trente est l'un des Conciles les plus importants de l'histoire du catholicisme ; il est le plus abondamment cité par le Concile Vatican II, ouvert par le Pape Jean XXIII en 1962 et clos par son prédécesseur Paul VI en 1965.

A ce Concile, lors de la Vème session, le 17 juin 1546, il définit le dogme du péché originel --- [ S'il touche tous les hommes, il est effacé par le baptême : « en ceux qui sont nés de nouveau, rien n'est l'objet de la haine de Dieu. » ] ---- et confirme une autorité de la Bible spécifique au catholicisme romain, les sept sacrements, le culte des saints et des reliques.

Ce texte ci-dessus confirme bien votre « Idolâtrie » avec le culte des saints et des reliques.

Encore une Loi du « Dieu Unique », que je nomme comme Abraham « EL-SHADDAÏ », ainsi que l’enseignement de son Fils Jésus le Nazaréen, bafouée par votre religion chrétienne.

Vous Chrétiens dans vos Temples, vos Églises, on vous enseigne beaucoup de mensonges !… et volontairement vous les acceptés ! …

Jésus le Nazaréen a dit :

 « Vous entendez et vous êtes sourd !…..Vous voyez et vous êtes aveugle….. ! »

Maintenant le « PURGATOIRE »

Le « PURGATOIRE », véritable invention des Catholiques.

Le mot désignant le lieu purgatoire était inconnu avant le XIème siècle.

Un des premiers documents à mentionner ce nom est une lettre du bénédictin Nicolas de Saint-Alban au cistercien Pierre de Celle en 1176

Il fallut attendre Juin 1438 le Conseil des Pères Orientaux Orthodoxes lors de la Session VI ou le cardinal Julien Césarini reparla du « Purgatoire ».

Un décret canonique contenant une doctrine semblable est incorporée au « Décret d'Union » rédigé avant la clôture du Concile de Ferrara-Florence, lequel avait donné un court instant l’espoir de mettre fin au Grand Schisme d'Orient

 Un développement de la doctrine sur le Purgatoire se retrouva par la suite dans les canons du Concile de Trente Session XXV, qui tire l’idée de Purgatoire « des Écritures saintes » --- [ I Co 3, 12-17 et II Ma 12, 43-45 ] ----

Je vous laisse le soin d’aller vérifier sur une Bible, afin que par vous-même vous puissiez juger la fertilité stupide et aberrante de vos Dirigeants.

Tout bien réfléchi, je vous pose ces quelques lignes Bibliques

II Macchabé 12 :43-45 mais avant pour une bonne compréhension je vous pose les versets 41et 42

41- « Tous donc, ayant béni la conduite du Seigneur, juge équitable qui rend manifestes les choses cachées, se mirent en prière pour demander que le péché commis fût entièrement pardonné, puis le valeureux Judas exhorta la troupe à se garder pure de tout péché, ayant sous les yeux ce qui était arrivé à cause de la faute de ceux qui étaient tombés. »

43- « Puis, ayant fait une collecte d'environ 2.000 drachmes, il l'envoya à Jérusalem afin qu'on offrît un sacrifice pour le péché, agissant fort bien et noblement d'après le concept de la résurrection.

Car, s'il n'avait pas espéré que les soldats tombés dussent ressusciter, il était superflu et sot de prier pour les morts, et s'il envisageait qu'une très belle récompense est réservée à ceux qui s'endorment dans la piété, c'était là une pensée sainte et pieuse. Voilà pourquoi il fit faire ce sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu'ils fussent délivrés de leur péché. »

I Corinthiens 3 : 12-17

« Que si sur ce fondement on bâtit avec de l'or, de l'argent, des pierres précieuses, du bois, du foin, de la paille, l'œuvre de chacun deviendra manifeste ; le Jour, en effet, la fera connaître, car il doit se révéler dans le feu, et c'est ce feu qui éprouvera la qualité de l'œuvre de chacun.--[ cette phrase en rouge est un rajout grossier de copiste qui n’a aucun sens dans le contexte. Vérifier par vous-même et vous m’expliquerez ce que signifie « la fera connaître » ]

Si l'œuvre bâtie sur le fondement subsiste, l'ouvrier recevra une récompense ; si son œuvre est consumée, il en subira la perte ; quant à lui, il sera sauvé, mais comme à travers le feu. [ en rouge comme ci-dessus ]

Ne savez-vous pas que vous êtes un temple -- d’EL-SHADDAÏ-- de Dieu, et que l'Esprit --- d’EL-SHADDAÏ-- de Dieu, habite en vous ?

Si quelqu'un détruit le temple d’EL-SHADDAÏ, de Dieu, celui-là, EL-SHADDAÏ, Dieu, le détruira. Car le temple d’EL-SHADDAÏ, de Dieu est sacré, et ce temple, c'est vous. »

Si dans ces textes bibliques vous arrivez à trouver un simple mot qui pourrait signifier « PURGATOIRE », veuillez me pardonner, je me fais « moine » !

Sauf erreur de ma part, il me semble que Paul écrit en comparant la matière avec le comportement et l’esprit humain. Il connaît aussi les paroles d’EL-SHADDAÏ, Dieu pour vous, qui dit en parlant de son peuple, je cite :

« Je les épurerai comme on épure l’or précieux. »

Parenthèse

Je cite les textes de vos livres car je trouve cela amusant, mais surtout navrant pour vous.

---- « « Le catéchisme pour adultes, publié par la Conférence des évêques de France en 1991 avec l'accord de la Congrégation pour la doctrine de la foi qui a donné le 23 janvier 1991 l'approbation du Saint-Siège, indique simplement ce qui suit :

« ...Pour parvenir à cette contemplation de Dieu, une « étape » de purification, appelée purgatoire, peut être nécessaire. Il ne s'agit ni d'un lieu, ni d'un temps ; on peut parler plutôt d'un état. En tout cas, le purgatoire, qui est bien une peine, n'est pas à concevoir comme une punition, par laquelle Dieu se vengerait en quelque sorte de nos infidélités. La communion avec Dieu, dans laquelle nous introduit la mort, nous fait prendre conscience douloureusement de nos imperfections et de nos refus d'aimer, et du besoin de nous laisser purifier par la puissance salvatrice du Christ.

C'est Dieu lui-même qui purifie et transforme. Mais la Tradition de l'Église catholique affirme que ceux qui sont au purgatoire bénéficient des prières et des supplications adressées en leur faveur à Dieu par leurs frères, et aussi de l'intercession des saints déjà introduits dans la béatitude de la vision de Dieu ». » » ----

Ce fameux « Purgatoire » va devenir une manne sonnante et trébuchante pour le giron de la Chrétienté avec cette invention nommée « INDULGENCE »

Dans l'Église catholique romaine, l’indulgence, du latin indulgere, « accorder », est la rémission totale ou partielle devant Dieu, El-Shaddaï pour moi, de la peine temporelle encourue en raison d'un péché déjà pardonné.

Selon la doctrine catholique, le péché est effacé par le sacrement du pardon, confession. Mais ce sacrement n'enlève pas la peine temporelle due au péché, qui se traduit généralement par un temps de purgatoire si elle n'est pas d'abord purgée sur terre par des actes de foi et de charité, actes de réparation.

Sa pratique, héritée du droit romain, remonte au IIIème siècle.

 Il s'agit alors de réintégrer dans le giron de l'Église les chrétiens ayant apostasié pendant les persécutions. Au XIIème siècle, elle reçoit une définition juridique dans les décrétales pontificales : une distinction est clairement établie entre l'absolution, réservée à Dieu, et l'indulgence, qui permet la réconciliation avec l'Église.

L'indulgence est obtenue en contrepartie d'un acte de piété, pèlerinage, prière, mortification, effectué à cette fin dans un esprit de repentir.

Comme vous venez de le lire les Enseignements de Jésus le Nazôréen sont dans les « oubliettes ». Par contre la fertilité intellectuelle des Dirigeants de la chrétienté est très grande. Les humains vont jusqu’à expliquer ce qu’EL-SHADDAÏ, Dieu, pardonne et ce que l’Église justifie.

Remplacer EL-SHADDAÏ il faut le faire !... !

Suite à la grande peste qui eut lieu dans toute l’Europe en 1347 ou 1351 et qui dura cinq ans faisant plus de vingt-cinq millions de victimes, sans compter toutes les autres épidémies, la peur de la mort et de l'enfer eurent comme conséquence le développement du culte marial, des saints, des reliques et la pratiques des « indulgences. »

 Le but est de gagner son paradis sur la terre même au prix d'un séjour au purgatoire[]. À la fin du XVème siècle, les indulgences sont un moyen de plus en plus en vogue pour réduire le nombre des années passées par une âme au purgatoire après sa mort.

N’oubliez pas que le « PURGATOIRE » est une invention humaine, mais pour vous fidèles lectrices et lecteurs, vous le savez puisque je vous l’ai déjà écrit ultérieurement.

Elle reflète l'angoisse des âmes[], par la question du salut.

Dès cette époque, on enregistre les premiers abus, la débauche de certains prêtres et moines qui vivent publiquement en concubinage, s'enrichissent avec l'argent des fidèles, principalement la simonie. Les fidèles marchandent auprès du prêtre un acte de charité, souvent sonnant et trébuchant.

[ La simonie est, pour les Chrétiens, l’achat et la vente de biens spirituels, tout particulièrement d’une charge ecclésiastique.]

Ainsi certains prélats devinrent des seigneurs, tirant des profits de la frappe de la monnaie et exerçant le droit de ban. Ils exploitèrent tous les moyens pour accroître leur puissance. Ils jouèrent sur la peur de l’enfer, extorquèrent des dons, et vendirent les sacrements.

Les charges épiscopales et cléricales, vendues, furent l’objet d’un véritable trafic. On vit même des dynasties d’évêques s’établir et de Papes. ]

Les « indulgences » sont par la suite vendues : dès que l'or tombe dans la sébile, l'âme s'échappe du purgatoire. La confusion du spirituel et du matériel accentue les phénomènes de désacralisation de cette époque. []De plus en plus, le fidèle se confesse, non pas poussé par la conscience de la foi, de sa faiblesse, mais par peur de la punition après la mort.

On monnaie également des dispenses à diverses obligations, les sommes ainsi récoltées finançant des édifices religieux ou permettant à certains prélats de mener grand train.

Ainsi la Tour de beurre de la cathédrale Notre-Dame de Rouen doit son surnom à la vente des dérogations accordées pour consommer des matières grasses pendant le carême.

Amorcée dès le XVème siècle et culminante au XVIème siècle, certains dénoncent la corruption de toute la société engendrée par le commerce des « indulgences. »

La naissance de l'imprimerie permet la diffusion d'éditions de bibles en langue vernaculaire ou si vous aimez mieux en langues vulgaires en montrant qu'elle ne fait mention ni des saints, ni du culte de la Vierge, ni du Purgatoire. Ce contact direct habitue le lecteur à avoir une relation personnelle avec les textes saints et à réfléchir par lui-même sur leur signification.

Le texte originel de la bible se trouve ainsi restauré.

A partir du milieu du XVème siècle, le pouvoir d'achat s'amenuise.

Mais ce qui affaiblit le plus l'Église catholique, c'est la perte de la sacralité. Les fidèles voient trop de fils de prêtres devenir prêtres, trop de clercs s'enrichir aux dépends des laïques, trop d'évêques vivant comme des grands seigneurs.

Les facteurs politiques ne sont pas absents non plus. Le développement des États se heurte à la puissance temporelle de l'Église. De plus en plus, les princes cherchent à intervenir dans le choix des membres du Haut-clergé, évêques, abbés.

En effet, les postes ecclésiastiques sont liés à des bénéfices.

Celui qui contrôle l'élection du prélat, contrôle indirectement le bénéfice[]. L'autorité universelle du Pape, proclamé par Grégoire VII depuis 1075 se heurte à l'autorité grandissante du souverain.

Le Pape peut lever des impôts réguliers ou exceptionnels dans tous les pays d'Occident.

L'Église catholique mettra, suite à la Réforme, un frein aux abus les plus criants. Néanmoins, la pratique perdure jusqu'à nos jours, encadrée d'abord par la Congrégation des « indulgences », créée par Clément VIII, 1592–1605, ses compétences sont transférées en 1908 au Saint-Office puis en 1917 à la Pénitencerie apostolique, qui en a toujours la charge.

Je ne fais que conter l’histoire de la religion la plus interplanétaire, celle du christianisme. Vous croyez que cela me fait plaisir d’écrire de tels textes ?... Cela me rend triste pour mes semblables, car ce qu’ils font en ce moment, moi le Païen de Grandeloupo, je l’ai pratiqué aussi.

Heureux humain que je suis aujourd’hui d’avoir ouvert les yeux ainsi que mon esprit de réflexion sur mes pratiques idolâtres, et d’avoir tout abandonné pour suivre le chemin qui mène vers le seul et véritable Dieu EL-SHADDAÏ.

Je réitère, je ne fais partie aujourd’hui d’aucune Secte, d’aucune religion de cette Terre, je mets en pratique le mieux que je peux les Lois d’EL-SHADDAÏ ainsi que les enseignements de son Fils unique, je cite Jésus le Nazaréen, mais surtout ce onzième commandement :

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même, en particulier tes ennemis comme la pupille de ton œil. »

Faisant cela je suis, non nous sommes avec mon épouse, les plus heureux du monde et nous avons un aperçu de ce qu’est le Paradis.

Portez-vous bien et prenez soins de vous !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »
 


Commentaires

 
 
 
posté le 20-02-2014 à 01:11:13

Secte ou Religion ... Chap. N°3 - Le mensonge de la Sainte Trinité

Représentation de la Sainte Trinité par Giovanni Battista Tiepolo

 

Secte, Religion, Païenne, La Chrétienté

 

Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.

Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.

Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU »  par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».

Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.

Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.

Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc

« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »

Mais aussi :

« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. » 

De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans }  une Religion d'Idolâtre

C'est cette histoire que j'écris ! ...

 

Dernières lignes du chapitre précédent

 

Pour moi une Trinité raisonnablement comprise, c’est « trois » et pas « un », car « un » est une unité et ne sera jamais une trilogie. Donc avale cette « Trinité » dans la foi chrétienne celui ou celle qui veut bien être pris pour un niais, car « un » en mathématique ne fera éternellement que « un » et jamais « trois ».

Ceci je tenais à le préciser car c’est avec des humains comme Tertullien, déclaré « Saint » que le dogme Trinitaire de la chrétienté c’est forgé.

Cette notion « Trinitaire » est décidé au concile œcuménique de Nicée en 325 après  J-C. --- { début du IVème siècle } --- par l’Évêque Athanase d’Alexandrie --- { 298 - 373 } --- qui imposa le mot  « Trinité »

 

Le mensonge de la Sainte Trinité

 

Chapitre N° 3

 

C’est dans le Nouveau Testament qu’on trouve l’essentiel de la révélation d’un Dieu qui est Trinité, mais le mot n’y figure pas.

Par un astucieux stratagème de remaniement des Textes originaux, les trois personnes y sont clairement nommées, y agissent et s’y manifestent, à la fois dans leur distinction et dans leur unité.

Je cite :

 Luc I : 35

« Le Saint-Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre. C'est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu. »

Voilà le style d’écriture que j’appelle être un pléonasme. Ce qui est le plus grave c’est ce « rajout » de copiste -- « le Saint-Esprit viendra … blabla, blabla ---

Comme je l’ai expliqué dans le chapitre précédent le Très-Haut possédant un « esprit », il y a un « hic » dans cette phrase.

Comment un « esprit » de raisonnement, d’intelligence peut-il « couvrir » Marie, puisque l’esprit d’EL-SHADDAÏ, Dieu pour vous, n’est rien sans sa propriété matière ?

Avez-vous essayé de faire un enfant avec votre esprit ? …

L’impossibilité est évidente !

Cela prouve bien que ce texte biblique fut remanié, sans trop d’intelligence, avec le dogme fanatique de la bêtise.

Nous avons bien là le « Père » dans les cieux ; le « Fils » dans le sein de Marie ; l’ « Esprit Saint » descendant du ciel sur Marie pour la féconder.

Vous constaterez par vous-même l’incohérence de cette phrase, car si je la détaille voilà ce que cela donne :

« Le Saint-Esprit viendra sur toi », donc cette chose « Esprit » couvre Marie puisqu’il est écrit « viendra sur toi »

Le Très-Haut te couvrira de son ombre, donc une deuxième chose couvre Marie

Lequel des deux a ensemencé Marie ? …

Première incohérence ! …

Et à la fin du verset « --- sera appelé Fils de Dieu --- » Là, bizarrement cela ne fait plus qu’UN. La logique aurait écrit « Fils du Très-Haut » puisque « DIEU » et « Très-Haut » sont exactement la même personne sous un nom différent.

Deuxième incohérence ! …

Tout est écrit pour mettre la confusion dans l’esprit du lecteur

Simplement qu’en ayant disséqué cette phrase la vérité éclate.

Dieu et le Très-Haut une seule personne avec un « esprit » et être le fils de Dieu ne dit pas être un Dieu.

Voilà comment la religion « Chrétienne » est devenue une religion « Trinitaire » !

J’en déduis que votre religion « Chrétienne » n’est pas une religion « monothéiste », mais une religion « Trinitaire », donc obligatoirement « Idolâtre »

Vous, les Chrétiens, Catholiques, Orthodoxes, Protestants, et vos innombrables Sectes,  Ordres, Confessions Monastiques,  « Vous » qui nommez  « PAÏEN » tous ceux qui ne font pas partie de votre religion,…{ comme les Musulmans qui appellent tous les autres des « INFIDÈLES » } …VOUS êtes les plus grands « IDOLÂTRES »  planétaire !…( plus de 3 milliards d’adeptes )…

Cependant vous niez cette évidence !…

Quelle imposture… !

Duplicité… !

Tromperie… !

Hypocrisie… !

Veuillez m’expliquer quelle différence existe-t-il entre une personne qui se signe, se prosterne devant une statue représentant « Bouddha », la déesse « Singhasari » { Prajna paranuta}, « Shiva, Vishnou, Krisna », ou chez les Aztèques « Coyolxauhqui, Tézcatlipoca, Quetzalcoati », …ainsi qu’à l’ère du Christianisme  « Jupiter, Zeus, Thor, Iran,…. », et une qui se signe devant une croix avec un humain cloué dessus, que vous nommez « Jésus-Christ », ou devant une ronde-basse représentant une femme avec un enfant dans les bras que vous désignez « Sainte Vierge Marie »… ?….. ?

Quelle est la différence ?….

Quelle est la distinction entre toutes ces sculptures de l’Hindouisme, Bouddhisme, Shintoïsme, Aztèque, Mayas, Grec, Romaine,…que beaucoup d’humains vénèrent, et toutes vos peintures, vitraux, statues, fresques, …devant lesquelles vous vous agenouillez, signez, priez, adorez ?….. ?…sans compter les offrandes, cierges, argent, fleurs ? …

Aucune ! …

Ai-je tort ?…

Certainement pas ! …

De l’humilité et reconnaissez ces faits réels ! …

Ce sont bien les actes que vous pratiquez dans vos bâtisses, Temples, Chapelles, Églises, Cathédrales, Basiliques, Monastères,…etc.…, ainsi qu’à l’intérieur de vos maisons devant vos statuettes et vos croix suspendues dans chaque pièce…?

Moi, « GRANDELOUPO », le « PAÏEN », je ne suis pas un --- « tartuffe » --- !

La religion Hindoue est moins hypocrite que la religion « Chrétienne. »

 Par le « BRAHMAN » leur Dieu en trois personne Brahmâ, Vishnu, Civa, ils reconnaissent une « Trimurti », mais vous, vous parlez bien de la  « SAINTE TRINITÉ » ---- Dieu le « Père », Dieu le « Fils », et Dieu le « Saint Esprit » ---,  donc votre religion est bien une trilogie comme chez les Hindouistes …

.Pourquoi le nier ? …..

La « Sainte Trinité » est égale au « Brahman » 

Prouvez-moi le contraire par des explications logiques !

Je reconnais que je ne suis pas instruit, mais là ! C’est vraiment me prendre, nous prendre pour des nigauds !…

Et je suis poli ! …

Non ! … Je réitère, je ne suis pas un -- « TARTUFFE ! … »

Comme toutes les religions de cette Terre, vous aussi vous êtes « IDOLATRE » !….. !

 Pas une ne fait exception, même le judaïsme, et la religion musulmane, pas une seule, aucune dérogation !…

Dans ces conditions, pourquoi insultez-vous les autres de « PAÏEN » ?…

Alors que votre religion est analogue, identiques, similaire et parallèle à toutes les autres !…

Combien adorez-vous de « sous-DIEUX » que vous désignez « SAINT » ?….

Combien ?…

Incalculable ! …

Vous en avez des myriades, et, chaque année des nouveaux arrivent sur notre calendrier grégorien. En plus pour un même jour ce ne sera pas le même « Saint »  si vous habitez en France, Italie, Canada, ou un autre pays de confession chrétienne. Tout est bon pour l’invention de nouveaux « Saints » vos « sous-Dieu » …

 Je suis même étonné que vous n'ayez pas sorti encore un « Saint Trouduc, Saint Nichon, Saint Imbécile, Sainte Voiture, Sainte Moto, etc … »

Comment en êtes-vous arrivé là ?…

Plus « IDOLÄTRE » que les humains de l’Antiquité !…

Faisons un peu d’histoire !…

Commençons !

Jésus est né 7 av. J-C.

Tous les Écrits historiques le prouvent grâce aux recherches des paléographes, ainsi que les découvertes des Manuscrits de la Mer Morte qui affirment les écritures des parchemins de l’époque. Au premier chapitre je vous aie expliqué que Jésus le Nazôréen est né sous le règne d’Hérode Ier le Grand qui décéda en l’an 4 av. EC. Cet homme, étant décédé en l’an 33 de notre ère par la torture Romaine de la crucifixion, avait une quarantaine d’années

Je reviendrai sur ce thème en fin d’écriture.

Cet homme crucifié, du Nom de Jésus le Nazaréen, plus tard Jésus-Christ, durant sa vie, mena un ministère très spécial.

 ---- [ Il est le seul être humain vivant,  il n’y en a jamais eu avant, il n’y en a jamais eu après, même à ce jour, à avoir offert un tel degré d’enseignement, à avoir eu une telle autorité, sans jamais se servir des armes de guerres, ses seules armes étant la Parole et l’Esprit de raisonnement. ]----

Il nous initia, expliqua, dévoila, professa et pratiqua les LOIS et PRÉCEPTES de son PÈRE biologique---[ science de la vie ]---pas un Père charnel comme Vous et Moi, non ! Un Être visible dans l’invisible !…

---- [ Le Nom de ce PÈRE n’est pas « Dieu » ; ce Nom comporte 72 lettres, et à l’ère de MOÏSE il était écrit en sceaux sur le turban frontal des GRANDS-PRÊTRES, afin que le peuple puisse le lire,   « cela dura environ 800 ans »,  et ces mêmes Grands-Prêtres rendirent le Nom Divin « TABOU » en le remplaçant par ce tétragramme « Y.H.W.H. » prétextant que ce NOM était imprononçable, et que, tout être humain qui le prononcerait mourrait, sauf eux,  bien sûr ! … ]----

Dix à vingt ans après la mort de cet homme, ses Enseignements, par l’intermédiaire des Apôtres et Disciples, se développèrent en Judée, puis en Asie Mineur, qui sera un berceau important du christianisme primitif, et tout le Bassin Méditerranéen en remontant l’Europe Central et du Nord, en descendant vers l’Éthiopie, l’Afrique du Sud, s’étendant jusqu’à l’Empire du  « Soleil Levant »

Prenons un exemple de l’enseignement de ce Jésus de Nazareth --- Votre Jésus-Christ du Nouveau Testament ---

Je pose quelques écrits de Disciples et d’Apôtres sûrement plus authentiques que certains livres canoniques du NT --- [ Épître des Apôtres EAC 387 : 42 ]---   correspondance Mt 23 :9

JÉSUS de Nazareth à dit :

« Mon PÈRE est plus grand que moi, sans Lui je n’existerai pas. »

« Celui qui fait la glorification de mon PÈRE est la demeure de mon PÈRE »

« N’appelez personne...PÈRE…sur la Terre, ni Maître, car un seul est votre PÈRE celui qui est dans les cieux, un seul est votre Enseignant lequel est dans les cieux. »

Pourquoi, appelez-vous les prélats… Mon Père ?…

Pourquoi leur faites-vous allégeance en les nommant « Monseigneur » ? …

N’est-ce pas une transgression flagrante des Écrits que vous considérez comme sacré ?

Toujours l’Histoire !…

Le « CONFESSIONNAL »

Le confessionnal fût inventé et promeut pour la première fois par Charles Borromée, [ Arona, 2 octobre 1538 – Milan, 1er novembre 1584  Religieux Italien canonisé par Paul V au XVIème siècle ] et adopté au  Concile de TRENTE.

Un confessionnal désigne un isoloir clos, disposé sous forme décorative dans les églises catholiques afin que le confesseur, un prêtre, y entende derrière un grillage le pénitent à confesse.

Charles Borromée s'attacha à réformer les abus qui s'étaient introduits dans l'Église, et fit rédiger le célèbre catéchisme connu sous le nom de Catéchisme du Concile de Trente (1566).

C’est aussi à ce CONCILE que fût décréter le « Pourpre Cardinalice ».

Toujours à ce fameux CONCILE, le 8 Avril 1546 ces mêmes ecclésiastiques se permirent de définir le CANON, c’est à dire le contenu considéré comme authentique des Livres de la Bible et de juger quels Livres étaient inspirés, quels Livres étaient apocryphes.

 Ils en ajoutèrent et en retranchèrent.

 Les éditions de la Bible sont désormais soumises à la censure des autorités ecclésiastiques---- { exactement comme sous Constantin Ier le Grand au Concile de NICÉE en 325 …} ----

Ce « CANON » est toujours le même aujourd’hui

La suite pour bientôt afin de laisser place à votre propre réflexion !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO » 

 


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posté le 11-02-2014 à 11:07:28

Fête de la Saint Valentin

Fêtes de la Saint Valentin

 

Cette fête fut fixée arbitrairement le 14 février par un Évêque de Rome. De cela je vais y revenir un peu plus loin

Comme toujours avant d’être une fête religieuse chrétienne, c’était une fête païenne qui avait une certaine importance dans l’Empire Romain et particulièrement à Rome et ses environs.

L’association du milieu du mois de février avec l’amour et la fécondité date de l’Antiquité. Dans le calendrier grec de l’antique Athènes, la période de mi-janvier à mi-février était le mois de Gamélion, consacré au mariage incestueux, mais sacré de Zeus, fils des Titans Cronos et Rhéa tout comme son épouse Héra qui est leur fille, déesse de la fécondité et sœur de Zeus.

À la fin du Vème siècle, certaines fêtes traditionnelles romaines sont toujours en vigueur telle que la fête de « Lupercales » consacrée à la fécondité et aux amoureux.

Dans la Rome antique, les « Lupercales » sont les fêtes annuelles célébrées à Rome du 13 au 15 février, près d’une grotte nommée le « Lupercal », en l’honneur du dieu des troupeaux, Faunus Lupercus

Faunus est le protecteur des troupeaux contre les loups d’où son nom de « Lupercus » et il leur donne la fécondité

Les Luperques, prêtres de Faunus, sacrifiaient un bouc à leur dieu dans la grotte du Lupercal, au pied du mont Palatin, à coté de la ville de Rome, où, selon la légende, la louve avait allaité Romulus et Rémus, après avoir découvert les deux jumeaux sous un figuier sauvage situé devant l'entrée de celle-ci.

La coutume voulait que, une fois le sacrifice du bouc et la cérémonie religieuse terminée, deux jeunes hommes, aristocrates de préférence, vêtus uniquement d'un pagne en peau de bouc, courraient dans toute la ville de Rome, armés de lanières taillées dans la peau du bouc sacrifié, avec lesquelles ils fouettaient les femmes rencontrées sur leur passage et qui souhaitaient avoir un enfant dans l’année, afin de les rendre fécondes.

En réalité cette fête célébrée dans tout l’Empire Romain et l’Europe était la fête des célibataires. Dans les villages les jeunes femmes célibataires en âge de se marier allaient ce cacher aux alentours du village et les jeunes hommes célibataires devaient les trouver. Ce jeu, qui durait trois à quatre jours, était ouvert à de toutes les triches possibles et inimaginables car certains hommes visaient une jeune fille en particulier et notamment « la plus belle du village », très courtisée.

 À l’issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l’année. Ceci permettait de développer la démographie et stimuler l’expansion des villages.

Au troisième siècle trois Saints nommés Valentin étaient vénéré par ceux que l’on commençait à appeler « Chrétiens », et le plus connu de tous, était le moine Valentin de Terni.

Valentin de Terni était un moine qui vivait à l’époque de l’Empereur Claude II le Gothique  -- 214-270 règne de 268 à 270 --- surnommé Claude II le Cruel

Valentin était connu pour conseiller les jeunes amoureux. Il est dit qu'une fois les jeunes hommes assurés par les paroles de Valentin, celui-ci donnait, en guise d'offrande, une fleur de son jardin au prétendant, lequel s'empressait de rejoindre sa dulcinée pour la lui offrir.

La légende

« Claude II n’aimait pas particulièrement la chrétienté et ordonna que Valentin de Terni soit arrêté et emprisonné.

C'est dans cette période de sa vie qu'il rencontra la fille de son geôlier, laquelle s'appelait Julia et était aveugle de naissance. Durant sa captivité, Valentin entretint des relations amicales avec Julia. Celle-ci, étant donnée sa cécité, avait demandé à Valentin la description du monde. Julia, par amour envers Valentin, lui apporta à manger jusqu'au soir où, un miracle se produisit.

Certains témoins auraient dit avoir aperçu une vive et forte lumière par la fenêtre de sa cellule, Julia venait de trouver enfin la vue ! Ses paroles furent :

« Maintenant je vois ! Je vois le monde tel que vous me l'avez décrit ! »

Ce grand événement parvint jusqu'aux oreilles de Claude II le Cruel, lequel n'apprécia pas ce genre d'histoire, et ordonna sur le champ l'exécution de Valentin.

Le jour de son exécution, il fut roué de coups par les légionnaires romains et fut décapité sur la voie Flaminia, le 14 février 269.

Il est dit que Julia planta, près de la tombe de Valentin, un amandier et cet arbre fut depuis ce jour, le symbole de l'amour. »

Fin du cinquième début du sixième siècle le monde chrétien est toujours en proie à la discorde entre Byzance nommé Constantinople et Rome. N’oublions pas que les Empereurs de l’empire Romain sont les « Pontifex Maximus » de la religion chrétienne.

Gélase Ier, d’origine berbère, est l’Évêque de Rome de 492 à 496 sous l’Empereur Anastase 1er.

J’écris sur cet Évêque que la chrétienté nomme « Pape », alors que lui se considère « Évêque » car le terme pontife « Pape » n’existe pas encore dans le christianisme, mais aussi pour « notre fête ».

Gélase défendit vigoureusement la primauté de Rome lors du schisme d'Acacius, patriarche de Constantinople, conséquence de la politique religieuse de l'empereur Zénon[]

Il continue la politique d'indépendance de l'Église, entamée par Félix III, en particulier vis-à-vis de la cour de Byzance et du nouvel empereur Anastase 1er en lui faisant parvenir en 494, une lettre où il formule avec clarté le principe, qui selon lui, doit inspirer les relations entre l’évêché et l'empire.

« Deux pouvoirs, Auguste Empereur, règnent sur le monde.

Le pouvoir sacré des Évêques et le pouvoir des Rois. Le pouvoir des Évêques l'emporte d'autant plus sur celui des Rois que les Évêques auront à répondre au tribunal de Dieu de tous les hommes, fussent-ils rois.

Votre pieuse Majesté ne pourra donc qu'en conclure que personne, en aucun temps, sous aucun prétexte humain, ne pourra jamais se dresser contre la fonction absolument unique de cet homme que le précepte du Christ lui-même a placé à la tête de tous et que la Sainte Église reconnaît comme son chef. »

Comme vous venez de le lire le terme « pape » n’est absolument pas employé. Vous constaterez en même temps le peu d’humilité dans cette écriture. En plus le mensonge ne le dérange pas beaucoup car jamais, je dis bien jamais, Jésus le Nazaréen n’aurai accepté une telle vanité.

De plus j’ai constaté dans « Wikipédia » que le terme véridique et historique dérangeait et volontairement remplacé le terme « Évêque » par le terme « Pape » alors que le véritable « Pontife » de la chrétienté fut sous Gélase 1er l’Empereur Zénon puis Anastase 1er.

Ce que je viens d’écrire est historique alors je serai heureux que « Wikipédia » remette la vérité il en va de sa crédibilité.

Pour éradiquer la fête de Lupercales, Gélase Ier décide autoritairement en 495 de célébrer la fête de la « Saint Valentin » le 14 février qui sera la fête chrétienne des amoureux, et dans le même élan il interdit cette fête païenne, cette date étant aussi la date anniversaire de sa naissance

Si cela n’est pas une christianisation d’une fête païenne, dites moi ce que c’est !

À cette fête Gélase Ier ajouta la fête de la « Chandeleur » qui devient une fête chrétienne le 2 février en remplacement de la fête païenne de purification des « Chandelles », qui faisait partie des fêtes de Lupercales.

Quand j’écris que la chrétienté est l’emblème de SAMMAËL sur la Terre je suis vraiment dans la vérité.

Et aujourd’hui que reste-il de cette fête théoriquement religieuse. En premier c’est une fête commerciale pour enrichir les riches qui sont de plus en plus riche.

Mais au niveau spirituel. ?

La chrétienté par une Messe ce jour là bénit les lesbiennes, les homosexuels, là, j’écris un pléonasme, les adultérins, enfin tous ceux qui s’aiment par un acte sexuel, cette fête étant la fête de la fécondité. Je ne dis pas que les deux premières catégories citées ci-dessus peuvent se reproduire, quoiqu’il y en ait de plus en plus.

Il faut bien que les « Prophéties » se réalisent ! …

Ce qui me fait plaisir c’est que nous sommes vraiment retournés à une fête païenne, transformée et encore beaucoup plus inique que la fête d’origine, approuvé par le « Dieu » des Chrétiens, ce qui m’étonnerait puisqu’il a en horreur les humains qui pratiquent le contre-nature

Pour finir aucun texte Biblique ne parle de cette fête de la Saint Valentin ou plus exactement de « Lupercales »

Alors devrait-on supprimer cette fête ?

Que nenni !

Jamais EL-SHADDAÏ n’a interdit une fête tant qu’il n’y pas d’adoration d’idoles pour un « Dieu » quelquonque.

La fête des amoureux c’est la fête de ses êtres humains qui ne font qu’un. Ces couples hétérosexuels, homme femme, qui vivent ensembles depuis un certains nombre d’années. Ceux que vous appelé les « vieux jeux » !

Dans cette époque moderne sans amour, si l’amour sexuel, que vous reste-t-il ?

Rien !

Ce n’est pas vos Curé, Abbé, Pasteur qui vous apprennent l’amour au sens « SAIN » du terme. Pour vivre avec quelqu’un pendant trente, quarante, cinquante ans et plus, il faut beaucoup d’amour, car l’amour demande des concessions, de la patience, s’accepter mutuellement avec ses qualités et ses défauts, savoir pardonner, je ne parle pas d’adultère ceci est une autre histoire, et que chacun tienne le rôle de sa génétique.

Combien de femme de quarante ans quitte leur marie pour la « Bisouquette » et quelles t’ont gagné ?

Que des déboires !

Il est reconnu aujourd’hui le nombre incalculable de femme qui étant à l’âge de la retraite se retrouve seule, bannit par leurs propres enfants, filles où garçons. Les enfants sont plus indulgents pour leur père que pour leur mère car ils disent :

 « Papa est un homme il propose, si la femme refuse il s’en va. »

Comme ils disent « L’homme propose la femme dispose ! » donc c’est à leurs yeux la femme qui est responsable et non l’homme.

En plus la femme veut être légale de l’homme, c’est sa perte !

J’ai beaucoup de jeunes qui me rendent visite et dans nos discussions tous disent la même chose. Mon propre fils pense comme eux. Il y en a qui ont été marié, Église et Mairie et tous disent :

« Grandeloupo, pourquoi voudrais-tu que je prenne une gonzesse ? Pour faire comme avec la première que je fasse le ménage, la vaisselle, le repassage, même le lit conjugale elles ont la rame de le faire et si tu fais une réflexion elles te disent : «  t’as qu’à te le faire ! »

« Alors pour faire tout cela je n’ai pas besoin de « Nana » je suis assez grand pour le faire tout seul sans être emmerdé par une gonzesse et puis comme je suis un garçon Maman me lave et repasse mon linge ou sinon je le donne à la laverie et il est tout propre et repassé alors pourquoi veux-tu que je m’emmerde ? 

Quand à la bagatelle ce n’est pas les « salopes » qui manque, surtout avec internet deux heures après tu en as une dans ton lit voir deux alors ! »

Ce que je viens d’écrire est malheureusement la vérité !

Enfin chez nous, nous ne fêtons pas la « Saint Valentin » car cela est une fête idolâtre et comme mon épouse dit

« Nous la fête des amoureux c’est tous les jours, car les jours passant nous nous aimons de plus en plus, cela n’empêche pas que nous devons faire des concessions car nous ne sommes pas toujours en accord et ils nous arrivent des prises de bec, cela fait partie de la vie de couple. »

Je tenais à dire qu’une femme qui tient son rôle de femme est une fortune pour l’homme qui la possède !

Et il en existe car j’en connais même des jeunes et elles sont loin d’être malheureuse même si leurs copines les prennent pour des tarées.

Comme elle disent ; «  Moi, je suis heureuse et je n’ai pas besoin d’aller me défouler et me saouler en boîte de nuit car je suis contente de ma vie, et mon mari n’a pas besoin d’aller chercher ailleurs car il a le vêtement soigné, le ventre plein d’une bonne cuisine et il m’offre et je lui donne le nécessaire au lit. »

Ça, c’est de l’amour !

Maintenant c’est à vous de choisir, comme je le dis souvent vous êtes responsable de vous, de vos actions, vous avez la liberté de choisir sans torture, sans menace, pour mon Maître EL-SHADDAÏ ou pour le Roi de cette Terre et de ses environs SAMMAËL, celui que vous nommez « SATAN ».

Portez-vous bien et prenez soins de vous !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO » 

 


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